Mouvement pour le Liban

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« Contre l’Iran, l’État hébreu brandit une menace purement rhétorique »

Posted by dodzi sur novembre 8, 2011

France 24

Par Charlotte BOITIAUX

Alors que l’AIEA s’apprête à publier un rapport sur le programme iranien, Israël menace la République islamique de frappes préventives. Mais pour Alain Rodier, spécialiste du renseignement militaro-industriel, l’État hébreu ne passera pas à l’action.
Israël a choisi de frapper fort. Alors que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) rendra un nouveau rapport sur le nucléaire iranien mardi ou mercredi, l’État hébreu envisage désormais de procéder à des frappes préventives contre les installations de Téhéran. « La possibilité d’une attaque contre l’Iran est plus proche que l’option diplomatique », a affirmé dimanche le président Shimon Peres dans une interview au quotidien Haaretz, estimant que l’Iran serait sur le point « d’ici un an environ » de se doter de l’arme atomique.

Faut-il prendre ces déclarations pour argent comptant ? Selon Alain Rodier, spécialiste du renseignement militaro-industriel et directeur de recherche au Centre français de recherches sur le renseignement (CF2R), les menaces d’Israël ne devraient rester que de simples avertissements.

FRANCE 24 : Quel crédit accorder à la menace d’un recours à la force ?

Alain Rodier :L’État hébreu brandit une menace purement rhétorique, qui resurgit d’ailleurs assez régulièrement. Ce n’est pas la première fois que Tel Aviv brandit la menace militaire pour contrer Téhéran. En novembre 2010 déjà, le gouvernement israélien avait prévu d’attaquer les installations nucléaires iraniennes, mais les États-Unis l’en avaient empêché. Lire le reste de cette entrée »

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Un Etat qui inquiète déjà

Posted by dodzi sur septembre 14, 2011

The New York Times/Courrier International

A quelques jours de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies, où les Palestiniens devraient demander la reconnaissance de leur Etat, les Israéliens sont horrifiés. La tension monte sur le terrain, raconte le New York Times.

Alors que les Palestiniens s’apprêtent le 20 septembre à défier le gouvernement Obama en demandant leur adhésion et la reconnaissance de leur Etat aux Nations unies, beaucoup redoutent de plus en plus que le conflit israélo-arabe n’entre dans une nouvelle phase explosive. Israël doit déjà faire face à l’hostilité de l’Egypte, de la Turquie et de Gaza », constate un diplomate occidental expérimenté. « Le pays réagira certainement à une offensive pour un Etat palestinien par des mesures punitives en Cisjordanie. Le Congrès américain coupera certainement ses aides aux Palestiniens. L’Autorité palestinienne pourrait s’effondrer. Il se peut que nous allions tout droit à la catastrophe. » Ce à quoi les Palestiniens répondent que leur vie est depuis longtemps une catastrophe – à cause des Israéliens, de la colonisation et de l’occupation – et que le temps est venu de changer radicalement de méthode.

Leur saisie des Nations unies, assurent-ils, et leur adhésion, du même coup, aux grandes instances du droit international, s’accompagnera d’une relance des négociations dans un cadre mieux défini. En réalité, personne ne sait ce qu’il en sortira. Les détails de la demande d’adhésion aux Nations unies sont encore à préciser et la suite des événements tient de la partie de poker. Sur le terrain toutefois, certains présages n’annoncent rien de bon. L’armée israélienne procède à des exercices de simulation en tenue pour faire face à d’éventuelles émeutes palestiniennes. La semaine dernière, des colons extrémistes ont vandalisé des mosquées [et arraché des pieds de vigne plantés par les Palestiniens] et une base militaire israélienne.

Des diplomates américains étaient à Ramallah début septembre pour mettre en garde Mahmoud Abbas contre les conséquences imprévues de la demande à l’ONU. Aussi séduisante que soit la perspective de pouvoir faire traduire des responsables israéliens devant la Cour pénale internationale, ont-ils insisté, cela ne mettra pas fin à l’occupation et risque même de rendre la situation plus terrible encore. Et si l’Autorité palestinienne vacille, c’est le Hamas qui viendra combler le vide, redoutent les diplomates, qui ont ajouté que le seul moyen d’avancer était selon eux de reprendre des négociations directes. « Les Américains tiennent à préserver le cadre existant, fait remarquer un diplomate d’un autre pays. Mais beaucoup leur disent ‘Ce cadre existant n’a donné aucun résultat. Il est temps d’avancer’.  »

Parmi ceux-là figurent en première ligne les Français, y compris le président Nicolas Sarkozy, qui affirment en privé que le processus d’Oslo [accord de paix israélo-palestinien], qui encadre depuis 1993 les rapports israélo-palestiniens, est arrivé à son terme. L’heure est aux négociations bilatérales entre deux Etats, entre Israël et une future Palestine, insistent-ils. Des diplomates français assistent ainsi les Palestiniens dans l’élaboration d’une résolution onusienne qui définit l’Etat palestinien dans les frontières de 1967, avec en plus des échanges de territoires fondés sur des accords avec Israël, mais qui ralentit aussi le processus de reconnaissance bilatérale entre un Etat palestinien et d’autres Etats. Ce dernier point a pour objet de convaincre les Allemands, jusque-là peu enthousiastes. Les Européens se disent persuadés qu’il est important qu’ils soient unanimes sur cette question.

De leur côté, les Israéliens sont horrifiés. Abandonner Oslo, estiment-ils, c’est détruire tout espoir de négociations, car cela revient à jeter aux orties la base juridique du dialogue. Si une résolution des Nations unies vient effectivement définir la Palestine dans les frontières de 1967, elle définira du même coup 500 000 Israéliens [établis dans les colonies juives en Cisjordanie] comme des occupants. « Si les Palestiniens vont à l’ONU, cela marquera le début du long enterrement du processus de paix et des négociations », a averti Yuli Edelstein, le ministre israélien de l’Information et de la diaspora. Lire le reste de cette entrée »

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Des Palestiniens seraient menacés d’expulsion massive

Posted by dodzi sur avril 12, 2010

Le Figaro

Par Thomas Vampouille

Une ONG israélienne de défense des droits de l’Homme s’inquiète de l’entrée en vigueur de nouvelles règles de séjour qui permettraient de renvoyer des dizaines de milliers de Palestiniens vivant illégalement de Cisjordanie.

C’est le Centre Hamoked, une ONG israélienne de défense des droits de l’Homme, qui a donné l’alerte, reprise par le quotidien israélien Haaretz. Un décret militaire israélien visant à empêcher les infiltrations en Cisjordanie, qui doit entrer en vigueur mardi, rendrait illégale la présence sur ce territoire de dizaines de milliers de Palestiniens.

L’ordre concerne les Palestiniens détenteurs d’une carte d’identité avec une adresse dans la bande de Gaza, ou qui sont nés dans ce territoire, ainsi que leurs descendants. Egalement visés selon le journal, les Palestiniens nés en Cisjordanie qui ont pour diverses raisons perdu leur statut de résident, à la suite par exemple d’un séjour à l’étranger. Enfin les épouses étrangères de Palestiniens tomberaient aussi sous le coup du décret. Outre l’expulsion, la nouvelle réglementation les rend passibles de peines pouvant aller jusqu’à sept ans de prison et d’une amende de 7.500 shekels (1.500 euros).

Jugés en tant qu’«infiltrés»

Malgré le blocus imposé par Israël, de nombreux Palestiniens de Gaza vivent en Cisjordanie sans permis. Jusqu’à présent, les tribunaux civils israéliens empêchaient en général leur expulsion de Cisjordanie. Mais le décret, signé le 13 octobre 2009 par le commandant israélien des forces de Cisjordanie et qui doit entrer en vigueur mardi, change la donne. Lire le reste de cette entrée »

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Erdogan au sommet arabe : Si la Palestine brûle, le Proche-Orient en entier brûlera

Posted by dodzi sur mars 28, 2010

L’Orient le Jour

Quatorze chefs d'État sur les 22 membres de la Ligue arabe participent au sommet ordinaire annuel de deux jours, le premier à se tenir chez le sulfureux numéro un libyen Mouammar Kadhafi, et duquel sont absents deux poids lourds de la région, le Saoudien Abdallah et l'Égyptien Hosni Moubarak.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan s’en est violemment pris à Israël,

à l’ouverture samedi en Libye d’un sommet arabe placé sous le signe de la défense de Jérusalem, estimant que considérer cette ville comme la capitale indivisible de l’État hébreu, comme le fait Israël, est une « folie ».

« Jérusalem est la prunelle des yeux du monde musulman. Si Jérusalem brûle, ceci signifie que la Palestine brûle. Et si la Palestine brûle, ceci veut dire que le Proche-Orient brûle », a-t-il mis en garde.

Quatorze chefs d’État sur les 22 membres de la Ligue arabe participent au sommet ordinaire annuel de deux jours, le premier à se tenir chez le sulfureux numéro un libyen Mouammar Kadhafi, et duquel sont absents deux poids lourds de la région, le Saoudien Abdallah et l’Égyptien Hosni Moubarak.

Les dirigeants arabes étaient réunis à huis clos en soirée dans la ville méditerranéenne de Syrte, à 500 km à l’est de Tripoli. Ils n’avaient pas le droit d’avoir plus de deux accompagnateurs dans la salle de conférences. « C’est pour discuter en toute tranquillité », a dit le colonel Kadhafi. Selon le programme, le sommet doit reprendre aujourd’hui vers 10h00 locales (08h00 GMT) et s’achever par une conférence de presse vers 18h30 GMT.

« Nous ne pouvons pas tenir des négociations indirectes tant qu’Israël n’arrête pas totalement ses activités de colonisation à Jérusalem et ne mette pas fin à sa politique du fait accompli », a dit le président palestinien Mahmoud Abbas à l’ouverture du sommet dans l’après-midi. « L’État de Palestine n’aura aucun sens si Jérusalem n’est pas sa capitale », a-t-il souligné, appelant les pays arabes à « sauver Jérusalem ».

Alors que les pays arabes ont écarté tout soutien à la reprise des négociations israélo-palestiniennes sans un gel de la colonisation, le patron de l’ONU Ban Ki-moon, invité au sommet, les a appelés à soutenir ces pourparlers, tout en condamnant les projets de colonisation.

Jérusalem-Est, annexée par Israël en 1967, est au centre du conflit israélo-palestinien. Les Palestiniens veulent en faire la capitale de leur futur État, alors qu’Israël considère l’ensemble de Jérusalem comme sa capitale « éternelle et indivisible ».

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a encore assuré vendredi que sa politique concernant Jérusalem demeurerait inchangée. Israël a approuvé le 9 mars un projet de construction de 1 600 logements dans un quartier de colonisation à Jérusalem-Est, provoquant une grave crise avec Washington qui s’employait à lancer des pourparlers indirects entre Israël et les Palestiniens, alors que le processus de paix est bloqué depuis plus d’un an. Lire le reste de cette entrée »

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Devant l’Aipac, Mme Clinton réaffirme l’engagement des Etats-Unis envers Israël

Posted by dodzi sur mars 24, 2010

Le Monde

Il n’y a pas beaucoup de rassemblements où l’apparition de George Bush sur les écrans déclenche des applaudissements enthousiastes. Celui de l’Aipac est de ceux-là. Plus de 7 500 personnes ont assisté, cette année, à la conférence de l’American Israel Public Affairs Committee, le lobby pro-israélien à Washington, un record de participation.

Du temps de George Bush et du vice-président Dick Cheney, les relations étaient sans nuage. Après l’élection de Barack Obama en 2008, l’Aipac s’est prudemment doté d’un président originaire de Chicago, Lee Rosenberg, ex-financier de la campagne d’Obama. Dès son premier discours, dimanche 21 mars, il a pris ses distances. « Des alliés se doivent de gérer leurs divergences en privé », a-t-il affirmé. « L’Histoire montre que quand l’Amérique fait publiquement pression sur Israël, elle fournit un prétexte à ceux qui veulent faire dérailler le processus de paix », a-t-il ajouté.

L’Iran devait être le thème central mais les esprits ont surtout été occupés par la « crise qui n’en est pas une » entre l’administration Obama et le gouvernement de Benyamin Nétanyahou à propos des nouvelles constructions à Jérusalem-Est annoncées pendant la récente visite en Israël du vice-président Joe Biden. Pour beaucoup, la « crise » est une exagération médiatique, ou malintentionnée. « S’il y a une crise, elle est en Iran », a dit Harold Blix, un retraité de Floride, venu avec son épouse et leur petit-fils de 16 ans « qui s’est déjà inscrit pour l’an prochain ».

Mais d’autres reconnaissent les difficultés, comme Don Durbin, un homme d’affaires républicain de Philadelphie: « Les relations sont mauvaises. Il y a un manque de confiance. Les Etats-Unis ont l’impression que, pour avoir la coopération des Arabes contre l’Iran, ils doivent résoudre le conflit israélo-palestinien. C’est une erreur. » Lire le reste de cette entrée »

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Mitchell attendu mardi au Liban dans le cadre d’une tournée régionale

Posted by dodzi sur janvier 19, 2010

Iloubnan.info

L’envoyé spécial américain pour le Proche-Orient George Mitchell est attendu mardi soir au Liban, où il doit débuter une tournée régionale qui le mènera ensuite en Israël, en Cisjordanie et en Syrie.

Selon un responsable du ministère libanais des Affaires étrangères, M. Mitchell doit notamment rencontrer à Beyrouth le président Michel Sleimane, le Premier ministre Saad Hariri et le chef de la diplomatie, Ali Chami. Il doit quitter le pays mercredi.

La dernière visite de M. Mitchell au Liban remonte à juin. Ce nouveau séjour a été critiqué lundi par un député du Hezbollah chiite, mouvement considéré par Washington comme une « organisation terroriste ».

La visite de l’émissaire américain « ne sert pas les intérêts du Liban », a estimé à la radio ce député, Hassan Fadlallah.

En Israël et en Cisjordanie, George Mitchell évoquera ensuite le blocage actuel du processus de paix israélo-palestinien.

Pour reprendre les pourparlers, interrompus fin 2008 lors de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza, les Palestiniens réclament d’Israël qu’il proclame un gel total de ses activités de colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, ce que l’Etat hébreu refuse.

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Aux confins d’Israël et du Liban, un bourg du Golan refuse d’être divisé

Posted by dodzi sur janvier 8, 2010

Angola Press

La frontière telle que reconnue par la communauté internationale. Ghajar se situe à l'Ouest, à cheval entre le Liban et le Golan syrien

La frontière reconnue par le Liban. Ghajar et les fermes de Chebaa se trouvent sur son territoire. La Syrie reconnait la libanité des fermes.

Ghajar (Golan) – Sawra Khatti ne fait pas de géopolitique. Elle veut simplement pouvoir rendre visite à ses proches de l’autre côté de Ghajar, un gros village du Golan à cheval entre Israël et le Liban, sans traverser de frontière internationale.

« Ils veulent diviser le village en deux, donner une partie au Liban et l’autre à Israël. Qui acceptera ça ici ? », proteste cette habitante de Ghajar, bourg situé aux confins d’Israël, du Liban et de la Syrie. « Nous avons des parents en bas (du village), des terres en bas. Comment peut-on les diviser comme ça ? », poursuit-elle.

Ancien village syrien dont une partie des terres se situaient alors en territoire libanais, Ghajar a été conquis par Israël durant la guerre des Six Jours (juin 1967) en même temps que le plateau du Golan.

Annexé par Israël en 1981, il s’est étendu au cours des années vers le nord, en zone libanaise, si bien que le village se trouve à cheval sur la Ligne bleue, frontière entre Israël et le Liban tracée par l’ONU après le retrait israélien du Liban en 2000. En vertu de cette ligne, un tiers du village est libanais et les deux autres relèvent du secteur annexé par Israël.

Ghajar a été entièrement réoccupé par Israël en 2006, lors de sa guerre contre le Hezbollah. L’armée israélienne a dans la foulée érigé une clôture de sécurité autour du village pour empêcher l’infiltration dans son territoire de combattants du mouvement chiite libanais.

La présence israélienne à Ghajar, ainsi que dans le secteur des Fermes de Chebaa voisin, également revendiqué par le Liban, est l’une des raisons avancées par le Hezbollah pour justifier sa lutte contre l' »occupation » israélienne au Liban. L’accès au bourg n’est autorisé qu’aux habitants de Ghajar.

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Député Kanaan : Nous refusons de marginaliser le rôle de la gendarmerie et il faut que chacun assume sa responsabilité

Posted by dodzi sur novembre 21, 2009

Tayyar.org

Député Ibrahim Kanaan, secrétaire général du bloc du Changement et de la Réforme, a souligné l’importance de résoudre le problème qui surgit au sein des FSI d’une façon définitive. « Il n’est pas permis de résoudre cette question par une réconciliation ou un compromis car cela est en relation avec le travail des institutions publics. Il ne faut pas que nous prenons part dans cette affaire, mais il faut assurer que le travail de l’institution des forces de sécurité interne (FSI) soit sous l’égide de la loi et des constitutions. Il faut respecter la position et la dignité du directeur de gendarmerie, nous refusons sa marginalisation. Nous appelons le conseil ministériel et le ministère de l’Intérieur, côté chargé de cette institution, à tenir une investigation transparente et sérieuse lointe de toute démagogie pour que chaque personne assume sa responsabilité », a-t-il dit.

Interrogé sur une rencontre prévue entre le général Michel Aoun, chef du Courant Patriotique Libre (CPL) et le député Walid Joumblatt, chef du parti Socialiste Progressiste (PSP), Kanaan a indiqué que la date de la visite ne peut pas être précisée dans les médias. « Nous saluons le président de la république qui joue le rôle d’un réconciliateur. Le climat est un climat d’entente entre les Libanais et nous avons exprimé plusieurs fois que nous sommes prêts à tenir une rencontre avec le député Joumblatt. Il faut que la réunion entre le général Aoun et le député Joumblatt ait un aspect national », a –t-il ajouté. Lire le reste de cette entrée »

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Qui bloque la formation du nouveau cabinet ?

Posted by dodzi sur septembre 5, 2009

Tayyar.org

Par Bernard Mikael – RPL France

Michel Aoun - Saadeddine HaririBeaucoup d’information nuit à l’information… Les Libanais, du Liban ou de la diaspora, vivent dans le brouillard le plus total quant aux raisons, vrais raisons, du retard dans la formation du nouveau cabinet. D’où vient ce retard, qui en est responsable?

Revue chronologique

Suite aux élections du 7 juin 2009, l’ancienne majorité a été reconduite au pouvoir avec 72 députés. Coûts de l’opération selon un responsable saoudien, environ 10.5 million de barils de pétrole saoudiens (à 72 $ le baril), soit un jour de production dédié au Liban, sans compter les frais engagés par les candidats eux-mêmes.

La majorité (majorité depuis 1992 : coûts total de l’opération : 52 milliard de dollars de dette, soit plus de 170 % du PIB) s’est alors réunie et a désigné M. Saad Hariri comme leur candidat au poste de premier ministre.

Ensuite, et selon la Constitution libanaise, le Président de la république a entamé les consultations parlementaires et a désigné M. Hariri pour former le nouveau gouvernement. Les consultations parlementaires est une action constitutionnelle protocolaire dans laquelle le Président de la république demande aux députés et blocs parlementaires de désigner leurs candidats au poste de premier ministre. Le Président n’a plus qu’à faire un petit calcul des voix pour désigner le nouveau chef de gouvernement.

Mission du Président accomplie, nous sommes à la troisième semaine après les élections.

Le premier ministre désigné, M. Saad Hariri, déclare le lendemain qu’il souhaite former un gouvernement d’union nationale pour que le Liban puisse faire face aux difficultés économiques, difficultés politiques, et surtout face aux menaces de guerre d’Israël.

Dans un gouvernement d’union nationale, chaque bloc parlementaire aura un nombre de ministère qui soit proportionnel au nombre de sa représentation parlementaire, à savoir :

Bloc du Futur: (72 députés/128 sièges parlementaires)*30 ministères = 16,875 ministres
Bloc du CPL: (27/128)*30= 6,32 ministres
Bloc d’Amal : (15/128)*30= 3,5 ministres
Bloc du Hezbollah : (14/128)*30= 3,5 ministres

Or, cette formule ne peut pas être appliquée telle qu’elle, puisqu’il a fallu compter une part pour le Président de la république. Lire le reste de cette entrée »

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Israël se prépare à la guerre sur tous les fronts

Posted by dodzi sur Mai 30, 2009

Le Temps/Association France Palestine Solidarité

par Serge Dumont

« Turning point 3 ». Tel est le nom de l’exercice de cinq jours qui mobilisera à partir de dimanche l’ensemble de la population et de l’armée israélienne contre les risques d’une attaque de grande ampleur.

Selon le scénario mis au point pour l’occasion, le déclenchement de nouvelles violences dans la bande de Gaza provoquerait l’insurrection de la population arabe israélienne puis le soulèvement des Palestiniens de Cisjordanie. S’ensuivrait une forte tension à la frontière nord de l’Etat hébreu qui déboucherait sur une guerre avec le Hezbollah, avec la Syrie et bien sûr avec l’Iran. Dans ce cadre, des roquettes palestiniennes Qassam, des roquettes iraniennes Fajr tirées à partir du Liban et de la Syrie ainsi que les nouveaux missiles iraniens s’abattraient sur l’ensemble de l’Etat hébreu.

Irréaliste ? En tout cas, de nombreux réservistes de la défense passive sont conviés à l’exercice. Mais d’autres manœuvres – beaucoup plus discrètes celles-là – sont d’ores et déjà en cours. Ces dernières semaines, des servants de batteries de missiles antimissiles Patriot ont ainsi été mobilisés pour une remise à niveau. Dans la foulée, des essais secrets d’un nouveau missile antimissile de fabrication israélienne ont été effectués. Avec succès, semble-t-il.

Quant à l’armée de l’air, elle a organisé durant trois jours des exercices de combat aérien censés opposer ses F-16 à de faux Mig 29 syriens. Enfin, des agents de l’Unité spéciale de sécurité de l’information (une branche des renseignements miliaires) ont simulé des tentatives d’effraction dans les bases les plus secrètes de l’armée afin de détecter les failles des procédures de sécurité.

L’opération « Turnig point 3 » est sans conteste la plus importante de l’histoire de l’Etat hébreu. La plus coûteuse aussi. A partir de dimanche, elle mobilisera 252 centres de crise répartis sur l’ensemble du territoire national ainsi que les administrations, les écoles et les hôpitaux. Le cabinet restreint de la sécurité siégera de manière permanente et dans un endroit gardé secret. Lire le reste de cette entrée »

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