Posted by jeunempl sur septembre 28, 2011
AFP


Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est brièvement réuni mercredi et a décidé à l’unanimité de transférer la candidature d’adhésion palestinienne au Comité des adhésions du Conseil qui se réunira une première fois vendredi prochain.
Lors d’une réunion qui a duré moins de deux minutes, le président en exercice du Conseil de sécurité, l’ambassadeur libanais à l’ONU Nawaf Salam a lu une brève déclaration sur le déferrement de la candidature palestinienne au Comité des adhésions.
Aucune objection n’ayant été manifestée par les quinze pays membres du Conseil, M. Salam a validé le transfèrement et annoncé une réunion du Comité vendredi à 10h00 (16h00 GMT).
« Sauf si j’entends une proposition contraire j’enverrai la demande d’adhésion de la Palestine au Comité sur les nouveaux membres », a dit M. Salam. Aucune objection n’ayant été formulée, il a alors levé la séance.
Le Conseil de sécurité avait tenu lundi ses premières consultations après le dépôt historique vendredi d’une demande d’adhésion d’un Etat de Palestine aux Nations unies par le président palestinien Mahmoud Abbas.
Les Etats-Unis ont déjà annoncé qu’ils mettraient leur veto au Conseil de sécurité si nécessaire.
L’ambassadeur israélien à l’ONU Ron Prosor a déclaré mercredi devant des journalistes que la Palestine ne « deviendra pas le 194e Etat à l’ONU » et appelé les Palestiniens à renouer sans délai des négociations directes.
« Revenons, sans raccourci, à des négociations directes. Il n’y a pas de raccourci », a-t-il dit, utilisant l’expression employée la semaine dernière par le président américain Barack Obama au sujet de la tentative palestinienne d’obtenir un feu vert du Conseil de sécurité pour leur adhésion à l’ONU.
« La paix, par définition, est un accord entre deux parties », a ajouté l’ambassadeur. « Un Etat palestinien viable ne sera pas réalisé en Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur septembre 14, 2011
The New York Times/Courrier International
A quelques jours de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies, où les Palestiniens devraient demander la reconnaissance de leur Etat, les Israéliens sont horrifiés. La tension monte sur le terrain, raconte le New York Times.
Alors que les Palestiniens s’apprêtent le 20 septembre à défier le gouvernement Obama en demandant leur adhésion et la reconnaissance de leur Etat aux Nations unies, beaucoup redoutent de plus en plus que le conflit israélo-arabe n’entre dans une nouvelle phase explosive. Israël doit déjà faire face à l’hostilité de l’Egypte, de la Turquie et de Gaza », constate un diplomate occidental expérimenté. « Le pays réagira certainement à une offensive pour un Etat palestinien par des mesures punitives en Cisjordanie. Le Congrès américain coupera certainement ses aides aux Palestiniens. L’Autorité palestinienne pourrait s’effondrer. Il se peut que nous allions tout droit à la catastrophe. » Ce à quoi les Palestiniens répondent que leur vie est depuis longtemps une catastrophe – à cause des Israéliens, de la colonisation et de l’occupation – et que le temps est venu de changer radicalement de méthode.
Leur saisie des Nations unies, assurent-ils, et leur adhésion, du même coup, aux grandes instances du droit international, s’accompagnera d’une relance des négociations dans un cadre mieux défini. En réalité, personne ne sait ce qu’il en sortira. Les détails de la demande d’adhésion aux Nations unies sont encore à préciser et la suite des événements tient de la partie de poker. Sur le terrain toutefois, certains présages n’annoncent rien de bon. L’armée israélienne procède à des exercices de simulation en tenue pour faire face à d’éventuelles émeutes palestiniennes. La semaine dernière, des colons extrémistes ont vandalisé des mosquées [et arraché des pieds de vigne plantés par les Palestiniens] et une base militaire israélienne.
Des diplomates américains étaient à Ramallah début septembre pour mettre en garde Mahmoud Abbas contre les conséquences imprévues de la demande à l’ONU. Aussi séduisante que soit la perspective de pouvoir faire traduire des responsables israéliens devant la Cour pénale internationale, ont-ils insisté, cela ne mettra pas fin à l’occupation et risque même de rendre la situation plus terrible encore. Et si l’Autorité palestinienne vacille, c’est le Hamas qui viendra combler le vide, redoutent les diplomates, qui ont ajouté que le seul moyen d’avancer était selon eux de reprendre des négociations directes. « Les Américains tiennent à préserver le cadre existant, fait remarquer un diplomate d’un autre pays. Mais beaucoup leur disent ‘Ce cadre existant n’a donné aucun résultat. Il est temps d’avancer’. »
Parmi ceux-là figurent en première ligne les Français, y compris le président Nicolas Sarkozy, qui affirment en privé que le processus d’Oslo [accord de paix israélo-palestinien], qui encadre depuis 1993 les rapports israélo-palestiniens, est arrivé à son terme. L’heure est aux négociations bilatérales entre deux Etats, entre Israël et une future Palestine, insistent-ils. Des diplomates français assistent ainsi les Palestiniens dans l’élaboration d’une résolution onusienne qui définit l’Etat palestinien dans les frontières de 1967, avec en plus des échanges de territoires fondés sur des accords avec Israël, mais qui ralentit aussi le processus de reconnaissance bilatérale entre un Etat palestinien et d’autres Etats. Ce dernier point a pour objet de convaincre les Allemands, jusque-là peu enthousiastes. Les Européens se disent persuadés qu’il est important qu’ils soient unanimes sur cette question.
De leur côté, les Israéliens sont horrifiés. Abandonner Oslo, estiment-ils, c’est détruire tout espoir de négociations, car cela revient à jeter aux orties la base juridique du dialogue. Si une résolution des Nations unies vient effectivement définir la Palestine dans les frontières de 1967, elle définira du même coup 500 000 Israéliens [établis dans les colonies juives en Cisjordanie] comme des occupants. « Si les Palestiniens vont à l’ONU, cela marquera le début du long enterrement du processus de paix et des négociations », a averti Yuli Edelstein, le ministre israélien de l’Information et de la diaspora. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur août 22, 2011
N.A. – ANI

Le ministre des Affaires étrangères Adnan Mansour a quitté lundi Beyrouth se dirigeant vers Doha, pour participer aux réunions du comité de suivi arabe qui discutera le sujet de l’Etat palestinien avec les Nations Unies et la demande d’adhérence.
Avant son départ, M. Mansour a assuré, de l’aéroport, que « le Liban coopère avec le groupe arabe et une position unifiée des pays arabes membres de la Ligue arabe est attendue ». « Le président palestinien soumettra le dossier aux membres du Conseil et une position unifiée sera issue et proposée à l’Assemblée générale des Nations Unies », a-t-il ajouté.
Interrogé sur une feuille de route déterminée pour le Liban au milieu de ces concertations, le ministre a déclaré que le dossier sera soumis par le président Mahmoud Abbas mais plusieurs pays y apposeront leur veto et ils seront acheminés vers les Nations Unies ».
Questionné sur d’éventuelles réunions avec des responsables qataris portant sur la situation au Liban et dans la région, M. Mansour a indiqué qu’une « rencontre est prévue avec le vice-président du Conseil des ministres qatari et un nombre de ministres arabes des Affaires étrangères ».
Concernant les incidents en Libye et la réaction de la diplomatie libanaise pour lever le voile sur l’affaire de l’imam Moussa Sadr et ses compagnons, il a affirmé que « les derniers développements coïncident avec la commémoration de la disparition de l’imam Sadr le 31 août ». « Le Liban, Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur août 14, 2011
AFP
Le président palestinien Mahmoud Abbas va présenter la demande d’adhésion à part entière d’un Etat de Palestine aux Nations unies le 20 septembre malgré l’hostilité d’Israël et des Etats-Unis.
Le président de l’Autorité palestinienne remettra « directement » la requête –qualifiée de « démarche historique »– au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, le jour de l’ouverture de la prochaine Assemblée générale de l’ONU à New York, a déclaré samedi à l’AFP le ministre palestinien des Affaires étrangères Riyad al-Malki.
« M. Ban Ki-moon transmettra la demande au président du Conseil de sécurité », a ajouté le chef de la diplomatie palestinienne, en soulignant que M. Abbas « veut présenter la demande en septembre, car le Liban assurera alors la présidence du Conseil de sécurité ».
« Cela nous va nous aider, car le rôle du président du Conseil de sécurité, qui a des prérogatives, est crucial », a-t-il expliqué.
Un haut responsable israélien qui a requis l’anonymat a critiqué la décision palestinienne: « Apparemment Mahmoud Abbas a pris la décision de s’abstenir de mener des négociations directes, c’était prévu et c’est dommage ».
« Le Premier ministre Benjamin Netanyahu continue à croire que le processus de paix ne peut avancer que par des négociations directes et réelles », a ajouté ce responsable.
Les Palestiniens avaient déjà fait part de leur l’intention de demander au Conseil de sécurité l’adhésion de leur Etat à l’ONU en septembre, excluant une reprise des négociations avec Israël avant l’Assemblée générale annuelle des Nations unies.
Les Palestiniens veulent obtenir une adhésion à part entière à l’ONU et la reconnaissance de la Palestine sur les lignes du 4 juin 1967, avant la Guerre des Six jours, soit la totalité de la Cisjordanie, de la bande de Gaza et de Jérusalem-Est.
Ils se heurtent toutefois à l’opposition des Etats-Unis qui menacent de faire échouer la requête palestinienne en utilisant leur veto au Conseil de sécurité. Une demande d’adhésion à l’ONU doit être validée par le Conseil.
Pour contourner le veto américain, les Palestiniens pourraient se tourner vers l’Assemblée générale afin « d’élever (leur) statut à l’ONU d’observateur à Etat non membre ».
Cette formule leur permettrait de devenir membre à part entière de toutes les agences de l’ONU, comme Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur juin 11, 2010
AFP
Les ministres des Affaires étrangères de la Turquie, la Syrie, le Liban et la Jordanie ont signé jeudi à Istanbul un accord supprimant les visas et constituant une zone de libre échange entre leurs pays.
Leurs ministres « ont décidé d’établir un Conseil de coopération quadripartite de haut niveau et de créer un zone de libre mouvement des biens et des personnes entre nos pays », affirme l’accord.
Le document précise que ce nouveau mécanisme « sera ouvert à la participation de tous les pays frères et amis de la région ».
« Il s’agit de pas très importants, historiques, vers la constitution de notre région en une zone de paix, de stabilité et de prospérité », a commenté le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu lors de la présentation de l’accord à la presse, en marge d’un sommet Turquie-pays arabes.
Dans la pratique, l’accord regroupe et étend à toutes les parties différents protocoles bilatéraux déjà existants. La Turquie a déjà passé des accords bilatéraux supprimant les visas avec les trois pays arabes concernés, et des accords de libre échange avec la Syrie et la Jordanie.
Les relations entre la Turquie et ses voisins arabes se sont développées de manière importante au cours des dernières années, sous l’impulsion du Lire le reste de cette entrée »
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