Posted by jeunempl sur mars 5, 2012
ANI

Le patriarche maronite Mgr Rahi
Le patriarche maronite Béchara Boutros Rahi a exprimé dimanche ses craintes de voir le printemps arabe se transformer en hiver, assurant que les réformes sont impossibles à appliquer par la force des armes.
« Nous sommes avec le printemps arabe, mais pas avec celui de la guerre, de la violence et de la destruction qui s’apparente plus à un hiver », a-t-il à l’agence Reuters, dénonçant la mort de plusieurs personnes tous les jours ainsi que l’exode des chrétiens d’Irak.
Il a ajouté que cette situation de guerre et de violence, ainsi que la crise économique et sécuritaire, ont un impact négatif autant sur les musulmans que sur les chrétiens, « mais que l’impact sur les chrétiens est plus important puisqu’ils sont minoritaires dans la région ».
Le prélat maronite s’est alors demandé « à quoi sert la démocratie si elle engendre la mort et l’instabilité », notant que « la lutte israélo-palestinienne est la principale source des crises en Orient ».
Et de s’interroger: « pourquoi le Veto est-il toujours utilisé à chaque fois que la communauté internationale tente de créer un Etat Palestinien pour le peuple qui a été chassé de sa terre? Pourquoi les pays arabes n’ont-ils pas le droit de s’approvisionner en armes de la façon qu’ils désirent alors que ce n’est pas le cas d’Israël? Comment instaurer la paix dans le monde Arabe dans ces conditions? Est-ce que cela signifie que Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: arabes, état palestinien, Baas, Baath, Chrétiens, Démocratie, Eglise Maronite, Guerre, Irak, Israel, Liban, Maronite, Mgr Rahi, Minorités, musulmans, orient, Palestine, Patriarche, printemps, Rahi, Réformes, Syrie, Violence | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur septembre 14, 2011
The New York Times/Courrier International
A quelques jours de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies, où les Palestiniens devraient demander la reconnaissance de leur Etat, les Israéliens sont horrifiés. La tension monte sur le terrain, raconte le New York Times.
Alors que les Palestiniens s’apprêtent le 20 septembre à défier le gouvernement Obama en demandant leur adhésion et la reconnaissance de leur Etat aux Nations unies, beaucoup redoutent de plus en plus que le conflit israélo-arabe n’entre dans une nouvelle phase explosive. Israël doit déjà faire face à l’hostilité de l’Egypte, de la Turquie et de Gaza », constate un diplomate occidental expérimenté. « Le pays réagira certainement à une offensive pour un Etat palestinien par des mesures punitives en Cisjordanie. Le Congrès américain coupera certainement ses aides aux Palestiniens. L’Autorité palestinienne pourrait s’effondrer. Il se peut que nous allions tout droit à la catastrophe. » Ce à quoi les Palestiniens répondent que leur vie est depuis longtemps une catastrophe – à cause des Israéliens, de la colonisation et de l’occupation – et que le temps est venu de changer radicalement de méthode.
Leur saisie des Nations unies, assurent-ils, et leur adhésion, du même coup, aux grandes instances du droit international, s’accompagnera d’une relance des négociations dans un cadre mieux défini. En réalité, personne ne sait ce qu’il en sortira. Les détails de la demande d’adhésion aux Nations unies sont encore à préciser et la suite des événements tient de la partie de poker. Sur le terrain toutefois, certains présages n’annoncent rien de bon. L’armée israélienne procède à des exercices de simulation en tenue pour faire face à d’éventuelles émeutes palestiniennes. La semaine dernière, des colons extrémistes ont vandalisé des mosquées [et arraché des pieds de vigne plantés par les Palestiniens] et une base militaire israélienne.
Des diplomates américains étaient à Ramallah début septembre pour mettre en garde Mahmoud Abbas contre les conséquences imprévues de la demande à l’ONU. Aussi séduisante que soit la perspective de pouvoir faire traduire des responsables israéliens devant la Cour pénale internationale, ont-ils insisté, cela ne mettra pas fin à l’occupation et risque même de rendre la situation plus terrible encore. Et si l’Autorité palestinienne vacille, c’est le Hamas qui viendra combler le vide, redoutent les diplomates, qui ont ajouté que le seul moyen d’avancer était selon eux de reprendre des négociations directes. « Les Américains tiennent à préserver le cadre existant, fait remarquer un diplomate d’un autre pays. Mais beaucoup leur disent ‘Ce cadre existant n’a donné aucun résultat. Il est temps d’avancer’. »
Parmi ceux-là figurent en première ligne les Français, y compris le président Nicolas Sarkozy, qui affirment en privé que le processus d’Oslo [accord de paix israélo-palestinien], qui encadre depuis 1993 les rapports israélo-palestiniens, est arrivé à son terme. L’heure est aux négociations bilatérales entre deux Etats, entre Israël et une future Palestine, insistent-ils. Des diplomates français assistent ainsi les Palestiniens dans l’élaboration d’une résolution onusienne qui définit l’Etat palestinien dans les frontières de 1967, avec en plus des échanges de territoires fondés sur des accords avec Israël, mais qui ralentit aussi le processus de reconnaissance bilatérale entre un Etat palestinien et d’autres Etats. Ce dernier point a pour objet de convaincre les Allemands, jusque-là peu enthousiastes. Les Européens se disent persuadés qu’il est important qu’ils soient unanimes sur cette question.
De leur côté, les Israéliens sont horrifiés. Abandonner Oslo, estiment-ils, c’est détruire tout espoir de négociations, car cela revient à jeter aux orties la base juridique du dialogue. Si une résolution des Nations unies vient effectivement définir la Palestine dans les frontières de 1967, elle définira du même coup 500 000 Israéliens [établis dans les colonies juives en Cisjordanie] comme des occupants. « Si les Palestiniens vont à l’ONU, cela marquera le début du long enterrement du processus de paix et des négociations », a averti Yuli Edelstein, le ministre israélien de l’Information et de la diaspora. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: Accords d'Oslo, adhésion, affaires étarngères, Al Quds, ambassade, Ambassades, Ammar Hijazi, armée israélienne, Assemblée Générale, Assemblée générale des Nations unies, Autorité palestinienne, état palestinien, Barack Obama, Cisjordanie, colonies israélienne, colonies juives, colonisation, conflit israelo-arabe, conflit israelo-palestinien, Conseil de Sécurité, constructions illegales, Cour Pénale Internationale, Courrier International, CPI, Egypte, Etat, Etat Observateur, Etats-Unis, EU, Fatah, France, frontières de 1967, Gaza, Hamas, Israel, Jerusalem, La Haye, Luis Moreno Ocampo, Mahmoud Abbas, Nations Unies, New York Times, Nicolas Sarkozy, Obama, observateur, Occupation, OLP, OMS, ONU, Organisation mondiale de la santé, Palestine, processus de paix, Ramallah, reconnaissance, relations diplomatiques, statut d'observateur, traités bilatéraux, Tsahal, Turquie, Unesco, Union Europeenne, USA, Yuldi Edelstein | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur septembre 7, 2011
ANI

Le patriarche maronite Mgr Rahi
Le patriarche maronite Béchara Boutros Rahi, en visite en France, a déploré mardi toute intention de diviser le Moyen-Orient en états confessionnels, proposant l’adoption du principe de l’état civil pour faire face aux déviations confessionnelles, lors de sa rencontre avec le chef de la diplomatie française Alain Juppé au Quai d’Orsay.
Le patriarche, qui a souligné la profondeur de l’amitié reliant le Liban à la France, a exprimé ses craintes quant aux dangers que le Liban et la région traversent, notant que les résultats des changements géopolitiques au Moyen-Orient suscitent la confusion et l’inquiétude.
« Nous sommes conscients que des forces internes et légales sont derrière les protestations de ces sociétés aspirant au changement et nous ne dédaignons pas les ingérences occidentales (…), mais pour nous autres Libanais et chrétiens d’Orient, toute intention de diviser le Moyen-Orient en états confessionnels est déplorable, parce que la diversité où les minorités s’intègrent harmonieusement garantit notre présence et notre prospérité dans la région », a-t-il expliqué.
Le prélat maronite a également estimé que les sociétés pluralistes permettent l’instauration de la paix et de la stabilité, proposant l’exemple de l’état civil qui sépare Etat et Religion pour préserver les droits des individus et reconnaître leur liberté de croyance.
Il a alors sollicité l’aide de la France pour édifier cet état civil au Moyen-Orient.
Le chef de l’Eglise Maronite a par ailleurs pointé du doigt les dangers de l’implantation des réfugiés palestiniens au Liban, assurant son attachement au droit de retour et à la création d’un Etat palestinien.
Il a aussi souhaité le renforcement de la francophonie au Liban, avant d’exprimer en conclusion son respect au contingent français de la FINUL qui n’épargne aucun sacrifice dans le cadre de sa mission.
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Posted in Culture & Société, Géneral, Régional | Tagué: Alain Juppé, état palestinien, Béchara Boutros Rahi, confessionnel, Etat Civil, FINUL, France, Francophonie, Liban, Mar Béchara Boutros Rahi, Mgr Rahi, Moyen Orient, Paris, Quai d'Orsay, Rahi, Syrie | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur août 14, 2011
AFP
Le président palestinien Mahmoud Abbas va présenter la demande d’adhésion à part entière d’un Etat de Palestine aux Nations unies le 20 septembre malgré l’hostilité d’Israël et des Etats-Unis.
Le président de l’Autorité palestinienne remettra « directement » la requête –qualifiée de « démarche historique »– au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, le jour de l’ouverture de la prochaine Assemblée générale de l’ONU à New York, a déclaré samedi à l’AFP le ministre palestinien des Affaires étrangères Riyad al-Malki.
« M. Ban Ki-moon transmettra la demande au président du Conseil de sécurité », a ajouté le chef de la diplomatie palestinienne, en soulignant que M. Abbas « veut présenter la demande en septembre, car le Liban assurera alors la présidence du Conseil de sécurité ».
« Cela nous va nous aider, car le rôle du président du Conseil de sécurité, qui a des prérogatives, est crucial », a-t-il expliqué.
Un haut responsable israélien qui a requis l’anonymat a critiqué la décision palestinienne: « Apparemment Mahmoud Abbas a pris la décision de s’abstenir de mener des négociations directes, c’était prévu et c’est dommage ».
« Le Premier ministre Benjamin Netanyahu continue à croire que le processus de paix ne peut avancer que par des négociations directes et réelles », a ajouté ce responsable.
Les Palestiniens avaient déjà fait part de leur l’intention de demander au Conseil de sécurité l’adhésion de leur Etat à l’ONU en septembre, excluant une reprise des négociations avec Israël avant l’Assemblée générale annuelle des Nations unies.
Les Palestiniens veulent obtenir une adhésion à part entière à l’ONU et la reconnaissance de la Palestine sur les lignes du 4 juin 1967, avant la Guerre des Six jours, soit la totalité de la Cisjordanie, de la bande de Gaza et de Jérusalem-Est.
Ils se heurtent toutefois à l’opposition des Etats-Unis qui menacent de faire échouer la requête palestinienne en utilisant leur veto au Conseil de sécurité. Une demande d’adhésion à l’ONU doit être validée par le Conseil.
Pour contourner le veto américain, les Palestiniens pourraient se tourner vers l’Assemblée générale afin « d’élever (leur) statut à l’ONU d’observateur à Etat non membre ».
Cette formule leur permettrait de devenir membre à part entière de toutes les agences de l’ONU, comme Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Géneral, Régional | Tagué: 1967, Abbas, adhésion, état palestinien, Cisjordanie, conseil, Diplomatie, Etat, Etats-Unis, Frontières, Gaza, Guerre, International, Israel, Jérusalem-est, Mahmoud Abbas, Nations Unies, ONU, Palestine, reconnaissance, Russie, six jours, Union Europeenne | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur décembre 7, 2010
La Croix – Karim Lebhour

Alors que le processus de paix au Proche Orient est dans l’impasse, l’Argentine et le Brésil viennent de reconnaître l’État palestinien. L’Uruguay annonce qu’il le fera en 2011.
Face à l’impasse dans laquelle se trouve le processus de paix au Proche-Orient, la tentation de reconnaître l’État palestinien à l’ONU fait son chemin.
La France a ainsi envoyé la semaine dernière une délégation du Quai d’Orsay dans les Territoires pour étudier les options qui s’offrent à l’Autorité palestinienne. Et Paris a récemment rehaussé le statut diplomatique de la délégation générale de la Palestine, accordant à son représentant, Hael Al Fahoum, le titre d’ambassadeur, comme l’avaient fait précédemment d’autres pays européens.
En octobre dernier, à Jérusalem, celui qui était alors ministre français des affaires étrangères, Bernard Kouchner, n’avait pas fermé la porte à une telle reconnaissance : « La communauté internationale ne saurait se satisfaire d’une impasse prolongée. Je crois que l’on ne peut pas écarter par principe l’option du Conseil de sécurité », avait-il déclaré au quotidien palestinien Al-Ayyam.
«Nous espérons que d’autres pays suivront cette voie»
Mardi 7 décembre, c’est l’Argentine, et avant elle le Brésil, qui ont procédé à cette reconnaissance. « Le moment est venu de reconnaître la Palestine comme un État libre et indépendant à l’intérieur des frontières de 1967 », a déclaré Buenos Aires.
Ce succès diplomatique pour les Palestiniens est le fruit de la tournée de Mahmoud Abbas en Amérique latine, l’an dernier, au cours de laquelle le président Lula et son homologue argentine Cristina Kirchner s’étaient engagés à reconnaître l’État palestinien. Une décision jugée « très regrettable et décevante » par Lire le reste de cette entrée »
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