Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘diaspora libanaise’

Le Général Aoun en voyage au Canada, accueilli par la foule à Toronto

Posted by jeunempl sur octobre 28, 2012

MPLBelgique.org

La diaspora libanaise de Toronto et de tout l’Ontario a accueilli le Général Michel Aoun et le ministre Gebran Bassil lors d’un diner de gala donné en leur honneur.
La dernière visite du Général Aoun au Canada remontait à 9 ans. Au vu de l’accueil exceptionnel qui lui a été réservé, les Canadiens attendaient impatiemment ce retour.

Dans son discours, le Général Aoun a insisté sur le Changement et les réformes qui sont nécessaires, notamment concernant la loi électorale, injuste envers la représentation des Libanais.

« Ceux qui ont profité des lois électorales fabriquée sur mesure pour s’approprier une majorité artificielle sont encore là pour refuser une nouvelle loi, vraiment représentative du peuple. » Lire le reste de cette entrée »

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« Aux cœurs de Beyrouth », dédicace pour l’écrivaine Jocelyne Nadim Boutros

Posted by dodzi sur septembre 20, 2012

MPL Belgique

Dans le cadre des activités culturelles de la communauté libanaise en Belgique, nous avons le plaisir de vous inviter à la dédicace du livre

« Aux cœurs de Beyrouth »

pour l’écrivaine

Jocelyne Nadim BOUTROS

paru récemment dans les éditions Dergham (Liban).

L’auteur sera présentée par le

Professeur Michel Mourad

L’événement aura lieu le

dimanche 23 septembre de 16 à 19 heures

à la salle de conférence « La Verrière » des Cliniques universitaires Saint-Luc (à proximité de l’entrée principale des cliniques)

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Le Conseil des Ministres approuve la proposition de loi électorale basée sur la proportionnelle

Posted by dodzi sur août 8, 2012

MPLBelgique.org

C’était une séance fructueuse qui a eu lieu hier au siège du Conseil des Ministres. Parmi les points les plus importants: la discussion et l’approbation de la proposition de la nouvelle loi électorale basée sur la proportionnelle. Le débat tournait notamment autour de la taille des circonscriptions, plutôt que sur le système à implémenter – la proportionnelle ou la majoritaire à taille réduite. Au final, un compromis a permis à une nouvelle proposition de loi de naître: 13 circonscriptions de taille moyenne. Bien qu’approuvée par le Conseil des Ministres, la proposition de loi doit encore passer par l’Assemblée Nationale. Dans l’opposition, on cite déjà un projet mort-né.

Les circonscriptions sont réparties comme suit:

Liban Nord:
– Akkar-Minieh-Donniyeh: 10 sièges
– Tripoli: 8 sièges
– Zghorta-Bcharreh-Koura-Batroun: 10 sièges

Mont Liban:
– Kesrouan-Jbeil: 8 sièges
– Baabda-Matn: 14 sièges
– Aley-Chouf: 13 sièges

Beyrouth:
– Achrafieh-Rmeil-Saïfi-Bachoura: 9 sièges
– Ras-Beyrouth-Mreisseh-Minet el Hosn-Zouqak el Blat- Mazraa-Msaitbeh: 10 sièges

Liban-Sud:
– Jezzine-Saïda-Zahrani-Tyr: 12 sièges
– Nabatiyeh-Marjeyoun-Hasbaya-Bint Jbeil: 11 sièges

Bekaa:
– Baalbak-Hermel: 10 sièges
– Zahle: 7 sièges
– Bekaa-Ouest-Rachaya: 6 sièges

Expatriés: 6 sièges

Un pas vers l’avant, malgré certaines irrégularités

D’après nos analyses, la loi électorale proposée met certains arrangements en question: pourquoi une telle différence de taille entre les districts de Baabda-Matn (14 sièges) et de Bekaa-Ouest (6 sièges)? En effet, il était possible de réarranger les districts existant tout en évitant une telle divergence de taille entre le plus grand et le plus petit district. Pour comprendre, il s’agit de deux districts ayant de nombreuses minorités. Mais en allouant à un district 14 sièges et à un autre que 6, le système risque de soutenir les petits groupes (partis politiques ou communautés) dans l’un, et de les discriminer dans l’autre. En effet, afin d’obtenir un siège à Baabda-Matn, il ne faudra obtenir qu’un minimum de 7,14% des voix, alors qu’il faudra obtenir un minimum de 16,66% des voix à Bekaa-Ouest.

Or les communautés druzes et chiites ne représente que 14% de la population de Bekaa-Ouest chacune. Insuffisant pour faire élire un représentant par eux-même. Une répartition proportionnelle des communautés dans un district permet donc de faire élire plus de députés que dans un autre.

L’ouverture du débat et l’action qui s’en est suivie en faveur de la proportionnelle constitue néanmoins un pas dans la bonne direction. Le système offre une meilleure représentativité des minorités dans les grands districts, permet l’accès au Parlement pour les petits et moyens partis, et permet au long terme de sortir du système confessionnel.

Vous pouvez lire notre analyse détaillée permettant de mieux comprendre le système.

De plus, la loi électorale fait une avancée supplémentaire vers plus de démocratie, en allouant un quota de 10% pour les femmes. On est bien loin des 30% suggérés par certains progressistes, mais il s’agit d’une première au Liban. Les expatriés pourront également bénéficier du droit de vote dans les ambassades et les consulats. 6 sièges, 3 chrétiens et 3 musulmans ont été ajouté pour ceux-ci, portant à 134 le nombre total de députés au Parlement. Plus encore, les militaires auront pour la première fois le droit de vote en 2013.

D’autres réformes aux aspects plus techniques ont également été apportés. Citons entre autre plus de facilités pour les handicapés.

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La proportionnelle demeure une possibilité, selon Charbel

Posted by dodzi sur avril 24, 2012

L’Orient le Jour

Le ministre des Affaires étrangères affirme qu’il n’existe pas d’entraves à la participation des émigrés aux législatives de 2013.

Le débat sur la loi électorale continue d’occuper le devant de la scène politique. À l’avant-veille du Conseil des ministres prévu demain, mercredi, et qui doit se prononcer à ce sujet, le ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, a estimé hier que l’adoption de la proportionnelle demeure possible à l’heure actuelle. Pour sa part, le chef de la diplomatie, Adnane Mansour, a affirmé qu’il n’existe pas d’entraves à la participation de la diaspora libanaise au scrutin législatif de l’année prochaine.

« L’adoption du principe de la proportionnelle dans les élections demeure possible si les intentions sont bonnes », a déclaré M. Charbel. Il a précisé à cet égard que le président de la République, Michel Sleiman, s’efforce aux côtés du chef du PSP, Walid Joumblatt, très hostile à la proportionnelle, de « lever les obstacles » qui empêchent l’adoption de ce mode de scrutin.

Réaliste, M. Charbel a reconnu néanmoins l’existence « d’autres obstacles à la proportionnelle » que ceux qui touchent M. Joumblatt et a appelé tous ceux qui soutiennent ce mode à « coopérer ».

En tout état de cause, le ministre a souligné la nécessité d’un accord autour de la loi électorale au maximum six mois avant les élections afin que le ministère de l’Intérieur dispose du temps nécessaire pour préparer le scrutin.

De son côté, le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, a démenti hier les informations de presse diffusées ces derniers jours et selon lesquelles le chef de l’État aurait blâmé les services de son ministère pour leurs négligences au sujet des mesures à prendre afin de permettre la participation des émigrés libanais au vote.

« Il n’existe pas d’entraves à la participation des émigrés aux prochaines élections », a assuré M. Mansour. Selon lui, le ministère s’active depuis deux ans à la préparation de cette échéance et le « dossier a été complété ».

Cependant, le chef de la diplomatie a indiqué que seuls 6 000 Libanais émigrés ont jusqu’ici rempli les conditions définies par le ministère à cet effet. Il a expliqué que cela est dû d’abord à l’absence de toute décision du Conseil des ministres dans ce domaine, et ensuite aux vacances dans les postes diplomatiques, atteignant 40 % de l’ensemble. « Ces vacances sont un coup terrible pour l’action diplomatique », a-t-il dit.

Pour en revenir au débat sur la proportionnelle, il apparaît désormais clairement que le courant du Futur s’y opposera de façon ferme tant que le problème des armes aux mains du Hezbollah ne sera pas réglé. Dans les milieux haririens, on estime en effet inacceptable que les effets attendus de ce mode de scrutin puissent se faire ressentir chez les uns et pas chez les autres du fait de l’influence exercée par les armes. Lire le reste de cette entrée »

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Le Liban espère endiguer la fuite des cerveaux

Posted by dodzi sur mars 30, 2010

Econostrum.info

Par Jenny Saleh

466 000 à 640 000 Libanais auraient quitté le pays entre 1992 et 2007. La diaspora libanaise est trois fois plus nombreuse que les habitants actuels du pays.

Depuis de nombreuses années, le Liban est confronté à un sérieux problème, celui de l’émigration de ses jeunes diplômés vers d’autres pays plus attractifs, économiquement parlant. Salaires trop bas, instabilité politique, font partie des quelques motifs qui poussent les jeunes Libanais à s’expatrier.

Peu de pays dans le monde peuvent se targuer d’avoir plus de ressortissants à l’étranger que sur leur propre sol. C’est le cas du Liban, qui compte une diaspora ancienne mais aussi plus récente de plus de 12 millions de personnes, contre seulement 4 millions d’habitants sur la terre natale.

Aux différentes vagues d’émigration vers l’Afrique, les Amériques ou l’Europe, au début du XXe siècle, pour fuir la domination ottomane, a succédé un autre type d’émigration, entre 1975 et 1990 en raison de la guerre civile qui ensanglantait le pays. Mais depuis plusieurs dizaines d’années, c’est une toute autre forme d’émigration qui gangrène le pays, celle de ce qui est sans doute sa matière première, l’élément humain.

Cette fuite des cerveaux touche aujourd’hui toutes les familles libanaises. Au moins 50% des Libanais a un membre de sa famille qui s’est expatrié. Des chiffres publiés dans une étude de l’Université Saint-Joseph à Beyrouth parlent d’eux-mêmes. 466 000 à 640 000 personnes auraient quitté le pays entre 1992 et 2007, dont l’écrasante majorité de 77%  sont des jeunes âgés entre 18 et 35 ans.

Stopper l’hémorragie

Ces chiffres, le ministre du Travail libanais, Boutros Harb, les a utilisés lors de son intervention dans un débat portant sur « Les jeunes, l’emploi et l’émigration« , organisé le 26 mars 2010, lors du salon de recrutement Forward, à Beyrouth. Le ministre a également noté que « le taux de migration des jeunes, aux alentours des 17,5%, est beaucoup plus élevé que la moyenne nationale, de 10,3%« .

Et le plus inquiétant, comme l’a souligné M.Harb, c’est que « presque 50% de ces jeunes candidats à l’émigration sont titulaires d’un diplôme universitaire, 22% d’entre eux sont bacheliers, tandis que 10% dispose d’un diplôme technique ».

Bref, le Liban perd sa main d’oeuvre qualifiée, qui préfère aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte et surtout, plus lucrative. Lire le reste de cette entrée »

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« Les réformes tombent une à une en raison du troc politique », soutient le secrétaire général de la LADE

Posted by dodzi sur mars 9, 2010

Iloubnan.info

Par Nayla Chahla

A trois mois des élections municipales prévues pour le mois de mai 2010, les préparations administratives semblent bloquées au point mort. Pas de progrès au niveau des réformes suggérées, dont le projet de loi sur la majorité, n’ayant pas été promulgué par le Parlement fin février. L’échec de promulguer ce projet de loi a été fortement déploré par l’Association libanaise pour les élections démocratiques (LADE). Quels sont les défis à soulever à l’approche des municipales ? L’éclairage avec le secrétaire général de la LADE M. Ziad Abdel Samad.

iloubnan.info: D’abord, quelle est votre évaluation de l’échec du projet de loi de la majorité?

Ziad Abdel Samad: Ce qui s’est produit au Parlement, fin février, est un très mauvais signe, pour ne pas dire le pire qu’on ait prévu. La revendication d’abaisser l’âge légal de vote, n’est pas du tout récente. Elle date depuis la mise en place du processus électoral au Liban. En plus, cette revendication est commune à tous les partis sans exception et non pas une demande unilatérale. Du coup, tous les Liban cherchent à participer au scrutin et ils ont le plein droit, notamment les citoyens majeurs de 18 ans. Ceux-ci ont le droit de voter et prendre part au processus politique à l’instar de tous leurs concitoyens. Si nous revenons aux décisions rendues par le Parlement depuis un an, nous en constatons une stipulant l’entrée en vigueur du projet de loi sur la majorité à 18 ans durant les élections municipales de 2010, alors que, moins d’un an après, ce même Parlement l’a rejeté. Malheureusement, il y a eu un certain troc entre les partis politiques que seule la jeunesse libanaise en a payé le prix.

Qu’en est-il de l’octroi du droit de vote à la diaspora libanaise en contrepartie de la promulgation du projet de loi sur la majorité?

Ceci est vrai. Certains ont exigé d’autoriser la diaspora libanaise à voter en contrepartie d’abaisser l’âge légal de vote à 18 ans. Toutefois, cette condition est insensée parce que la diaspora est, juridiquement parlant, autorisée à voter. Le problème réside dans les mécanismes de vote. Le gouvernement libanais devait établir des mécanismes de vote spécifiques afin de permettre aux émigrés de voter depuis le pays d’accueil. Ainsi, le gouvernement doit juste en déterminer les termes, conditions et pratiques et les mettre en place pour qu’ils entrent en vigueur et permettre, par la suite, à la diaspora libanaise de voter. Si nous revenons également à la Déclaration Ministérielle, nous constatons clairement que le gouvernement s’est donné un délai de six mois pour mettre en place les mécanismes électoraux. Cependant, il n’a rien fait de tout cela. Lire le reste de cette entrée »

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Georges Corm: « Le Liban n’est pas Monaco ou Dubaï. Il a quatre millions d’habitants à nourrir »

Posted by dodzi sur février 24, 2010

Iloubnan.info

Par Anne Ilcinkas

Le Liban doit-il adhérer ou pas à l’OMC? Pour Georges Corm, ce n’est pas la question. L’ ancien ministre des Finances libanais dénonce l’économie de rente qui règne dans le pays et appelle à un changement de société. Empêcher la fuite des cerveaux, c’est l’une des grandes mesures à prendre pour rendre le Liban compétitif selon lui. Eclairage.

iloubnan.info : Le Liban a-t-il intérêt à adhérer à l’OMC?

Georges Corm : Aujourd’hui, tout le monde adhère à l’OMC. Les pays qui ne le font pas sont pointés du doigt et n’ont pas très bonne presse dans la communauté internationale. Alors oui, il vaut mieux adhérer. Mais le Liban n’est pas préparé pour tirer profit de cette adhésion. C’est une évidence.

Aujourd’hui, adhérer à l’OMC, pour le pays, cela n’avance ni ne retarde quoique ce soit. Le problème n’est pas d’adhérer ou non. Le problème c’est de changer de politique économique. Il faut dynamiser l’économie du pays et ce n’est pas l’adhésion à l’OMC qui a un effet dynamisant, mais des capacités et une volonté internes.

D’ailleurs, aucun des pays qui a réussi dans l’économie mondiale n’a appliqué les recettes néolibérales. C’est d’une naïveté intellectuelle sans limites de le penser. La crise l’a démontré.

De plus, nos tarifs douaniers ont considérablement baissé, une baisse qui s’accentuera encore plus sous l’effet des accords de libre échange déjà signés par le Liban, notamment l’adhésion à la zone de libre échange arabe (GAFTA), ou au partenariat Euromed, sans compter les nombreux accords bilatéraux signés. Le Liban a déjà tout cédé. Il a signé des accords souvent désavantageux pour l’économie du pays avec l’Arabie saoudite, la Jordanie, l’Egypte, Bahrain et d’autres. Le pays a choisi d’abandonner toute ambition dans le domaine de ses propres capacités compétitives dans l’économie mondiale. Tout l’afflux de capitaux reçus depuis 20 ans n’a pas été investi dans l’économie productive, mais dans le secteur foncier de luxe et les deux secteurs bancaire et touristique. Cela a produit une prospérité extrême dans une économie aux dimensions de 50 km2, centrée sur les quartiers chics de Beyrouth et quelques centres d’estivage courus dans le Mont Liban. Mais le Liban a un territoire de 10 452km2. Ce n’est pas Monaco ou Dubai. Il a quatre millions d’habitants à nourrir. Lire le reste de cette entrée »

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Hamade : Berri aura tort à séparer l’abaissement de l’âge de vote de l’octroi de ce droit à la Diaspora

Posted by dodzi sur février 22, 2010

Iloubnan.info

Le député du bloc de la Rencontre Démocratique Marwan Hamadeh a déclaré lundi à la radio Voix du Liban qu’il soutient l’abaissement de l’âge de vote également avec l’octroi du droit de vote à la Diaspora libanaise. « A séparer des deux sujets, le président de la Chambre Nabih Berri aurait bien tort », a-t-il signalé.

Hamade a indiqué que les blocs parlementaires vont assumer leurs responsabilités, dont la principale qui est d’empêcher les alliances confessionnelles en cette période de calme au Liban. Il a assuré que le fait que certains insistent sur l’organisation des élections municipales à temps concrétise le principe de la démocratie qui interdit l’ajournement du scrutin.

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Les créateurs de mode libanais, une fierté nationale

Posted by dodzi sur janvier 22, 2010

AFP/Cyberpresse.ca

Par Natacha Yazbeck

La collection automne 2009 de Georges Chakra

Des passerelles parisiennes aux tapis rouges de Cannes et des Oscars, les créateurs libanais font un tabac dans le monde de la haute couture, offrant une image plus glamour de leur pays longtemps associé à la violence.

Pendant des décennies, le Liban a été la vitrine de la mode du monde arabe, mais ce n’est qu’avec le début du XXIe siècle qu’ont commencé à briller les noms de Georges Chakra, Zuhair Murad, Rabih Kayrouz et surtout Elie Saab, l’homme qui a lancé «la vague libanaise».

Elie Saab est devenu une star internationale lorsqu’aux Oscars de 2002, l’image de l’actrice américaine Halle Berry en robe lie-de-vin portant sa griffe a fait le tour du monde. Membre de la prestigieuse chambre syndicale de la haute couture à Paris, M. Saab habille une panoplie de stars comme Angelina Jolie, Marion Cotillard ou encore Beyonce. Avec une enseigne aux Champs-Elysées, son coeur n’en reste pas moins fidèle à sa ville natale, où il a établi son atelier.

«Je respire autrement au Liban. Mon pays me donne de la force», affirme à l’AFP cet homme aux cheveux poivre et sel, tout en mettant les dernières touches à sa collection avant le lancement de la Semaine de la haute couture à Paris (24-28 janvier).

«Parrain» des couturiers libanais en herbe, cet homme de 45 ans fait la fierté de son pays où il a grandi en pleine guerre civile (1975-1990). Enfant, il confectionnait des robes pour ses soeurs à partir de draps et de rideaux et à 18 ans, il ouvre son premier atelier. Dans son ouvroir, des femmes qui travaillent avec lui depuis 25 ans finalisent leurs broderies aux côtés de jeunes apprentis branchés.

«Beyrouth peut facilement devenir une autre capitale de la haute couture, avec tous les nouveaux talents qui se lancent dans le monde», dit M. Saab. Lire le reste de cette entrée »

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Dans les aéroports américains, la vie des Libanais devient un enfer…

Posted by dodzi sur janvier 8, 2010

L’Orient le Jour

Par Khalil FLEYHANE

C’est un couple banal de Libanais, comme des milliers d’autres qui retournent des États-Unis à Beyrouth, avec leur nourrisson, par le biais de l’Aéroport de Detroit. Un contrôleur zélé, sans doute soucieux de servir son pays de son mieux sans aucune autre considération morale ou rationnelle, confisque le biberon du bébé sous les yeux des parents horrifiés et le jette aux poubelles de la douane. Explications de l’agent de sécurité : « Le produit qu’il voit sous ses yeux pourrait bien être de la matière explosive… »

Ce genre d’incident se multiplie à outrance depuis qu’un certain Nigérian de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, a tenté le 25 décembre dernier de faire exploser l’avion assurant le vol 253 de Northwest Airlines en provenance d’Amsterdam, à l’aide d’explosifs dissimulés sous ses vêtements, peu avant l’atterrissage à Detroit. Comme des millions de Libanais à travers le monde, ce couple et leur nourrisson n’ont plus le droit à l’anonymat ou à la banalité. Ils sont coupables d’un « crime terrible », qui en fait des suspects potentiels d’« activités terroristes » : celui d’être originaires du Liban.

Cent pour cent des passagers en provenance de quatre pays, dont le pays du Cèdre, notamment des ressortissants américains nés au Liban ou des Libanais qui possèdent le passeport américain ou européen depuis plusieurs générations, sont en effet fouillés systématiquement, c’est-à-dire soumis à une fouille corporelle « complète », ainsi qu’à une inspection « manuelle » de leurs effets personnels, conformément aux directives de l’administration de la sécurité dans les transports.

Ainsi, un ancien ministre et diplomate libanais, qui retournait à Beyrouth après avoir participé aux travaux de l’Assemblée générale de l’ONU, a-t-il lui aussi été fouillé de fond en comble. Muni d’un passeport diplomatique, cet ancien responsable a aussitôt fait valoir ses droits auprès des instances sécuritaires de l’Aéroport John F. Kennedy, ne s’attirant, pour toute réponse, qu’un commentaire dédaigneux de ces dernières.

S’il est naturel que les États-Unis prennent toutes les mesures nécessaires pour combattre le terrorisme, la question reste de savoir pour quelles raisons les ressortissants libanais ou d’origine libanaise, dont plusieurs milliers vivent, travaillent ou se rendent couramment sur le territoire américain, sont-ils dans la ligne de mire des autorités US. Question plus lancinante encore : pourquoi n’y a-t-il aucune réaction dans les milieux officiels libanais par rapport à ces mesures excessives ? D’autant que les visas américains sont octroyés par l’ambassade américaine à Awkar au terme d’un contrôle particulièrement sévère des demandeurs, notamment par l’aile sécuritaire de l’ambassade, ainsi qu’à Washington même. Sans oublier le fait que les responsables américains se rendent couramment au Liban sans qu’aucun incident n’ait été signalé à leur encontre durant ces dernières années – alors même que le périmètre de l’Aéroport international de Beyrouth est sous le contrôle du Hezbollah – et que l’AIB n’a connu aucun incident sécuritaire depuis au moins deux décennies.

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