Posted by dodzi sur mars 19, 2012
Info-Palestine

En 2011, la commémoration de la Nakba s'est terminée dans le sang
« Après tout, nous ne sommes pas une armée, mais une force internationale populaire non violente dont le but est de montrer sa solidarité avec la Palestine et avec Jérusalem » a déclaré au Ma’an le porte-parole de la Marche mondiale à Jérusalem, Zahir Al-Birawi.
Le groupe, qui a notamment pour conseillers deux Prix Nobels, l’archevêque Desmond Tutu et Mairead Maguire, disent qu’ils sont en train d’organiser des rassemblements simultanés dans 60 pays pour le vendredi 30 mars, en commémoration de la Journée de la Terre palestinienne.
La Journée de la Terre rappelle la mort de six citoyens Palestiniens d’Israël qui participaient à une grève générale pour protester contre une décision israélienne de confisquer des terres de propriété palestinienne privée, en 1976.
La Journée de la Terre de l’an dernier a vu des manifestations palestiniennes en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et en Israël sans qu’il n’y ait de victimes.
Mais deux mois plus tard, des ralliements simultanés pour commémorer la Nakba – la « Catastrophe » pour des milliers de Palestiniens obligés de partir ou de fuir lors des combats qui ont conduit à la création d’Israël – ont amené des milliers de personnes vers les frontières avec Israël au Liban, en Syrie et à Gaza, et qui ont fait 13 tués sous les tirs israéliens. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur janvier 8, 2010
Angola Press

La frontière telle que reconnue par la communauté internationale. Ghajar se situe à l'Ouest, à cheval entre le Liban et le Golan syrien

La frontière reconnue par le Liban. Ghajar et les fermes de Chebaa se trouvent sur son territoire. La Syrie reconnait la libanité des fermes.
Ghajar (Golan) – Sawra Khatti ne fait pas de géopolitique. Elle veut simplement pouvoir rendre visite à ses proches de l’autre côté de Ghajar, un gros village du Golan à cheval entre Israël et le Liban, sans traverser de frontière internationale.
« Ils veulent diviser le village en deux, donner une partie au Liban et l’autre à Israël. Qui acceptera ça ici ? », proteste cette habitante de Ghajar, bourg situé aux confins d’Israël, du Liban et de la Syrie. « Nous avons des parents en bas (du village), des terres en bas. Comment peut-on les diviser comme ça ? », poursuit-elle.
Ancien village syrien dont une partie des terres se situaient alors en territoire libanais, Ghajar a été conquis par Israël durant la guerre des Six Jours (juin 1967) en même temps que le plateau du Golan.
Annexé par Israël en 1981, il s’est étendu au cours des années vers le nord, en zone libanaise, si bien que le village se trouve à cheval sur la Ligne bleue, frontière entre Israël et le Liban tracée par l’ONU après le retrait israélien du Liban en 2000. En vertu de cette ligne, un tiers du village est libanais et les deux autres relèvent du secteur annexé par Israël.
Ghajar a été entièrement réoccupé par Israël en 2006, lors de sa guerre contre le Hezbollah. L’armée israélienne a dans la foulée érigé une clôture de sécurité autour du village pour empêcher l’infiltration dans son territoire de combattants du mouvement chiite libanais.
La présence israélienne à Ghajar, ainsi que dans le secteur des Fermes de Chebaa voisin, également revendiqué par le Liban, est l’une des raisons avancées par le Hezbollah pour justifier sa lutte contre l' »occupation » israélienne au Liban. L’accès au bourg n’est autorisé qu’aux habitants de Ghajar.
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Posted by dodzi sur février 12, 2009
Geostratégie
Pour les grands médias, l’affaire semble entendue : le Hamas est terroriste, intégriste et fanatique. Pourtant, ce mouvement a gagné les dernières élections et sa popularité ne cesse de croître auprès des Palestiniens. Pourquoi ? Nous l’avons demandé à Mohamed Hassan, auteur de “L’Irak face à l’occupation”, et un des meilleurs spécialistes du Moyen-Orient…
Qu’est réellement le Hamas ?
Le Hamas est un mouvement politique issu d’un des plus vieux mouvements politiques d’Egypte, les Frères Musulmans. Le mot « Hamas » signifie l’éveil, il fait référence à quelque chose en éruption… C’est un mouvement nationaliste islamiste que l’on pourrait comparer au mouvement nationaliste irlandais. Face à l’occupation coloniale de l’Irlande par les Britanniques, se développa à partir de 1916 un mouvement de résistance, l’Irish Republican Army. Comme les Irlandais étaient catholiques et les colons britanniques protestants, l’occupant tenta d’en faire une guerre de religions. La religion peut être utilisée pour mobiliser un peuple pour une cause.
Quel contexte historique explique l’émergence du Hamas ?
Pour le comprendre, nous devons prendre en considération différents événements historiques. Le premier est la guerre des Six Jours qui discrédita le nassérisme en 1967. Nasser était un président égyptien qui encouragea une révolution arabe pour l’indépendance et le développement. Suite à la sévère défaite que lui infligea Israël, son idéologie perdit en influence. Après sa mort, l’Egypte et Israël entrèrent à nouveau en conflit lors de la guerre d’Octobre en 1973. L’Egypte et la Syrie voulait récupérer des territoires sous occupation israélienne. Finalement, l’Egypte et Israël signèrent un accord, mais cet événement marqua une profonde division dans le monde arabe entre les pays qui étaient prêts à accepter les conditions israéliennes et ceux qui voulaient résister comme la Syrie, l’Algérie, l’Irak… Bien sûr, la question palestinienne restait un élément crucial dans ces conflits. La résistance à Israël avait d’ailleurs mené à la formation de l’OLP, l’Organisation pour la Libération de la Palestine. Cette organisation a été créée dans le but de rassembler les différents mouvements de résistance pour allier leurs efforts dans la résistance à Israël. Avant de négocier avec cette organisation lors des accords d’Oslo, Israël la considérait comme un groupe terroriste et lui infligea plusieurs défaites qui peuvent expliquer l’émergence du Hamas. Lire le reste de cette entrée »
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