Archive for the ‘Culture & Société’ Category
Posted by jeunempl sur mars 17, 2015
Mohamad Ezzedine – RPLFrance.org
Le judoka libanais Elias Nassif a remporté ce week-end la Coupe du monde de judo disputée à Montevideo, en Uruguay.
Concourant dans la catégorie des moins de 90 kg, le Libanais a battu tour à tour l’Espagnol Pedro Gonzales Navaro, le Mexicain Açao Cardinas, le Russe Kirej Denisov, l’Américain Colton Brown, l’Anglais Frayser Chamberlain, le Français Roman Beaufilt et le Russe Kirej Fobrosov.
Avec sept victoires en autant de rencontres, dont cinq par «Ippon» (ou «mort subite»), Elias Nassif a largement surclassé ses adversaires, terminant fort logiquement en tête du classement général. A noter que, Kirej Fobrosov s’est classé second, alors que Frayser Chamberlain et Roman Beaufilt sont montés sur la troisième marche du podium.
Ce nouvel exploit en tournoi international est de bon augure pour notre champion, qui engrange ainsi une bonne dose de confiance avant de débuter sa préparation pour les Jeux olympiques de Rio de Janeiro en 2016.
Agé de 27 ans, Elias Nassif, compte déjà à son palmarès une médaille d’argent aux Jeux de la francophonie de 2009, et une médaille d’or aux Jeux Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur novembre 19, 2014

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Posted in Belgique, Culture & Société, Géneral, Nederlands, Relations Liban-Belgique/UE | Tagué: Béguinage, Bruxelles, Chrétiens, Irak, Liberté, Moyen Orient, Paix, Syrie | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 16, 2014
Mohamed FAWAZ – L’Hebdo Magazine
«Ça y est, nous sommes sur la bonne voie pour acquérir le label d’argent auprès de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF)», a déclaré, à Magazine, May el-Khalil, présidente et fondatrice de l’association Beirut Marathon, au terme de la douzième édition de la Banque du Liban-Marathon de Beyrouth classé actuellement en bronze.
«Les impressions des représentants de la Fédération libanaise d’athlétisme et de l’IAAF sont très positives, ce qui nous laisse présager une décision favorable pour le label d’argent», a affirmé Mme Khalil. Evénement sportif le plus populaire du pays depuis 2003, plus de 40000 participants venus de 94 pays arabes et étrangers dont 37153 coureurs inscrits officiellement, ont pris le départ des différentes courses, sous le slogan «Peace, love, run», et ce, malgré la situation précaire qui règne dans le pays. «Le moins que l’on puisse dire est que l’édition 2014 a dépassé et de loin toutes nos espérances. Un record de participants, un nouveau record de la course reine chez les dames et une organisation presque parfaite, que peut-on espérer de mieux?», a déclaré May el-Khalil. A noter que dans la perspective du label d’argent, les tests antidopage ont été renforcés, des athlètes mieux classés à l’IAAF ont participé à la course reine, et les prix des vainqueurs sont passés de 100000 à Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Athlétisme, Beyrouth, Chérine Njeim, Fikadu Girma, Gebresselassie, Haile Gebreselassie, IAAF, Liban, Marathon, May Khalil, Mulahabt Tsega | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mai 20, 2014
L’Hebdo Magazine – Joëlle Seif (photo Milad Ayoub-DR)
Dans les jardins de la magnifique Villa Daouk, qu’elle appelle avec une grande simplicité «la maison», Raya Daouk nous reçoit. Parmi la profusion de fleurs et de plantes, on a du mal à croire que nous sommes en plein cœur de Beyrouth, dans le quartier de Koraytem. «Avant, tout le quartier comportait des maisons semblables à la mienne. Cet endroit donne une idée de l’aspect de ce qu’était la vie avant que tout ne devienne commercial. Aujourd’hui, les choses ont changé. Tout repose sur le gain rapide».
Totalement libre de pensée et d’esprit, on ne peut limiter Raya Daouk à un lieu ou à une religion. «Je me trouve à Beyrouth par accident». Elle se veut laïque et se sent citoyenne du monde. Née dans une famille d’intellectuels druzes, les Takieddine, qui ont donné à la langue arabe onze auteurs dans plusieurs domaines, mariée à Omar Daouk, un sunnite, elle reçoit une éducation laïque au Collège protestant et fait des études de droit à l’Université Saint-Joseph, où elle obtient sa licence en 1965. Championne de ski et de natation, elle se démarque des filles de sa génération. «Je suis une femme sans tout à fait appartenir à cette catégorie. Je suis en harmonie totale avec un milieu social et intellectuel». A la fin de ses études, elle épouse «le fils d’une grande famille chargée d’histoire. Son grand-père avait formé le premier gouvernement arabe en 1918. On s’est marié dans cette demeure, entourés d’un éventail d’amis, venus des quatre coins du monde». Le prince héritier d’Arabie saoudite, Salman Abdel-Aziz, est témoin à leur mariage. Le prince Talal, très impliqué dans les affaires humanitaires et sociales, est également présent. «A travers lui, on a vu beaucoup de misères dans le monde. Mon mari et moi avons beaucoup voyagé en sa compagnie en tant que conseillers». De cette union naissent trois enfants: May, Mohammad et Talal. Raya Daouk est cinq fois grand-mère, mais n’hésite pas à dire que c’est une chimère de penser que les petits-enfants sont plus précieux que les enfants. «Je n’ai aucun complexe ni de ce que je fais ni de ce que je dis», dit-elle avec un large sourire. Dès son plus jeune âge, Raya Daouk est fortement impliquée, «par goût», dans l’humanitaire. Elle est encore étudiante lorsqu’elle est approchée par le doyen de la faculté de théologie pour fonder un centre social à la Quarantaine, qu’elle présida pendant seize ans.
Sans intermédiaire
Elle est contre toute forme de fanatisme et considère celui-ci comme une tare sociale. «Ce n’est pas la facette d’un esprit éduqué». Elle respecte le fond et la forme de pensée de tout être humain, mais, pour elle, nul besoin d’intermédiaire avec le Créateur. «Je suis née d’un père druze et d’une mère sunnite, mariée également à un sunnite ni par choix ni par conscience. Je n’appartiens à aucune communauté. Je me sens une femme éduquée, qui n’a pas besoin de la religion pour lui servir d’intermédiaire entre elle et le bon Dieu». Un jour, cachée dans un sous-sol à Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: APSAD, Assem Salam, Association, Beyrouth, Courant Patriotique Libre, CPL, Culture, Daouk, Général Aoun, Karame, Koraytem, Liban, Michel Aoun, Rachid Karamé, Raya Daouk, Yvonne Cochrane | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mai 10, 2014
Radio Vatican
A trois semaines du voyage du Pape en Terre Sainte, le cardinal Rai a réagi à la polémique suscitée au Liban par sa participation à ce pèlerinage. « Le Pape se rend en Terre Sainte et je suis celui qui doit l’accueillir, cela fait partie de mes prérogatives », déclare-t-il. Depuis qu’il a annoncé son intention d’accompagner François lors de sa visite en Terre sainte et donc aussi en Israël, le Patriarche des maronites subit les critiques d’une frange de la population libanaise. Il ne rencontrera aucun responsable politique israélien, mais deux journaux proches du Hezbollah l’accusent de vouloir normaliser les relations avec Israël.
Pourquoi ces accusations ? Que pense Mgr Boulos Sayyah, le vicaire patriarcal général des Maronites de cette polémique ? Interview.
Le Saint-Père vient chez nous et il est tout à fait normal que nous allions le recevoir dans le territoire patriarcal. Il y a d’abord un archidiocèse dans le territoire israélien et Jérusalem était une Église patriarcale. Nous avons un vicaire patriarcal à Jérusalem et non pas un évêque. Donc, il est tout à fait normal que le patriarche soit là-bas pour accueillir le Saint-Père. Et nous avons une présence maronite en Terre Sainte depuis le début de notre histoire de l’Église maronite. Je ne vois pas pourquoi on s’étonne que le patriarche soit là pour accueillir sa Sainteté.
Pourtant, le cardinal Nasrallah Sfeir, le prédécesseur du cardinal Raï avait fait le choix de ne pas aller en Israël pour accueillir le Pape Jean-Paul II.
Nous ne vivons pas comme il y a 25 ans, nous vivons à l’heure actuelle, nous vivons après l’exhortation apostolique. L’Église au Moyen-Orient se trouve dans une période où la présence des chrétiens au Moyen-Orient doit quand même être supportée, assistée d’une manière ou d’une autre et la logique qui dit « parce que ça n’a pas été fait par le passé, il ne faut pas que cela soit fait dans le maintenant ou dans l’avenir », je n’y vois pas une logique saine et les choses ont changé. Est-ce que les Papes faisaient les mêmes choses que ce que le Pape François fait actuellement ?
Est-ce que vous comprenez néanmoins que le patriarche soit accusé de vouloir normaliser les relations avec Israël ? Evidemment, c’est que mettait en avant des journaux proches du Hezbollah.
Je ne comprends pas du tout cette logique parce que tout le monde sait ce que le patriarche pense de la situation et il a fait des déclarations multiples sur notre relation avec Israël. Tout le monde sait aussi ce que le patriarche et le patriarcat font pour la cause palestinienne. Je m’excuse mais je crois qu’il y a quand même d’autres raisons que probablement, Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: cardinal, Chrétiens, hezbollah, Israel, Liban, Libanais, Maronite, Mgr Bechara Rahi, Palestine, Pape, Patriarche, Proche Orient, Rahi, Terre Sainte | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mai 9, 2014
L’Hebdo Magazine – Propos recueillis par Danièle Gergès
«Ce que je sais, c’est que Mgr Béchara Raï a l’habitude de prendre ses décisions à la lumière de ses convictions et de son devoir ecclésiastique vis-à-vis de ses fidèles et dans le cadre précis de la visite du souverain pontife en Terre sainte, vis-à-vis du pape François. Et ce n’est pas l’opinion de telle ou telle personne qui le fera changer d’avis». Interview de l’évêque Samir Mazloum, vicaire patriarcal maronite.
La visite du patriarche Béchara Raï à Jérusalem a suscité une vive polémique dans certains milieux libanais. Va-t-il quand même accompagner le pape François en Terre sainte?
Le patriarche a annoncé sa décision d’accompagner le pape en Terre sainte, et tel que je le connais, je pense qu’il ne changera pas d’avis, quelles que soient les pressions exercées sur lui.
Considérez-vous cette polémique justifiée, vu que le Liban est toujours, du moins techniquement, en état de guerre avec Israël?
Absolument pas. La polémique est injustifiée dans le sens où le patriarche n’effectue pas une visite politique et ne va pas rencontrer les responsables israéliens ni les accompagner, ni négocier avec eux. C’est une visite pastorale, ecclésiastique. Il y a des maronites qui vivent à Jérusalem. Il va, en leur nom, accueillir le pape. Nous devons distinguer entre le politique et le religieux. En procédant à cette distinction, on comprend la position de Mgr Béchara Raï.
Plusieurs médias ont qualifié cette visite «d’erreur historique», voire de «péché»…
Chacun est libre de son opinion. Mais aller jusqu’à traiter le patriarche d’homme qui va tendre la main à l’ennemi israélien ne correspond pas du tout à la réalité. Personne ne peut se prévaloir d’être aussi fidèle à la cause palestinienne que le patriarcat maronite. Il rejette tout ce qu’a fait Israël: comment les Israéliens ont chassé les Palestiniens de leur terre, comment ils leur refusent le Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Chrétiens, Diplomatie, Eglise, Israel, Jerusalem, Liban, Libanais, Maronite, Mgr Bechara Boutros Rahi, Mgr Bechara Raï, Mgr Mazloum, Mgr Rahi, Palestine, pape François, Patriarche, Politique, Rahi, Religions, Samir Mazloum, Vatican | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mars 23, 2014
Arlette Kassas – L’Hebdo Magazine
L’unification du livre d’histoire revient sur le tapis. Elias Bou Saab, ministre de l’Education et de l’Enseignement supérieur, trouve «honteux» qu’on ne parvienne pas à s’entendre sur un même programme d’histoire et que, depuis 1947, les faits ne soient pas rapportés pour cause de désaccords politiques. Il se dit décidé à plonger dans le dossier et à proposer, enfin, un projet objectif.
Faute de consensus, le livre d’histoire, tel que prévu dans les accords de Taëf, n’a pas vu le jour. Selon le décret de 1970, l’histoire du Liban s’arrête à l’année 1946. Après cette date, le silence est absolu. Les étudiants ignorent pratiquement les événements qui se sont déroulés au cours de ces années et leurs causes profondes: de l’insurrection de 1958, à la guerre de 2006 en passant par la guerre dite civile entre 1975 et 1990, les invasions israéliennes de 1978 et de 1982, ou les changements intervenus depuis 2005…
L’accord conclu par les parlementaires à Taëf, en 1989, prévoit une révision des programmes scolaires «afin de renforcer le sentiment d’intégration et d’appartenance nationales». Ainsi «les programmes d’histoire et d’éducation civique seront unifiés». Cependant, cette clause n’a pas pu être respectée, les manuels scolaires n’ont pas été unifiés faute d’unité et d’entente sur les termes à utiliser pour décrire tel ou tel événement ou incident.
En 2000, un comité ministériel rédige un nouveau livre d’histoire. Les objections qu’il a soulevées obligent le ministère de l’Education à arrêter les cours d’histoire et à les remplacer par l’éducation civique. Depuis 2002, le Liban fait une nouvelle tentative de se doter d’un livre d’histoire unifié, mais les différends sur la terminologie à utiliser pour parler de certains incidents dont le Liban a été la scène l’ont sabotée.
Le 21 septembre 2011, le gouvernement de Najib Mikati forme un comité, présidé par le ministre Nicolas Fattouche, chargé de remettre ce projet à exécution. Mais, avec un gouvernement qui ne représentait qu’une partie des Libanais, l’exploit devient quasi impossible, et le livre scolaire suscite une large polémique avant même que Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire | Tagué: Abou Saab, education, Elias Abou Saab, Enseignement, Guerre, Guerre civile, Histoire, Kataeb, Liban, livre scolaire, Taef | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mars 1, 2014
Le Commerce du Levant – Mona E. Sukkarieh
Les compagnies qui obtiendront des licences d’exploration et de production au Liban seront tenues d’embaucher des citoyens libanais à hauteur de 80 % de leurs effectifs. Il s’agit là d’un objectif ambitieux, inscrit dans le règlement régissant les activités pétrolières offshore. Cela pose un défi non seulement aux compagnies pétrolières mais aussi aux autorités libanaises et aux universités et aux instituts de formation professionnelle et technique dont les cursus et programmes actuels ne répondent pas aux besoins anticipés du marché du travail.
Étant donné la proximité du Liban des pays du Golfe riches en hydrocarbures, plusieurs universités libanaises proposaient depuis des années déjà aux étudiants des diplômes pétrole et gaz leur permettant de faire carrière dans ces pays. Mais ces programmes sont loin d’être suffisants. On s’attend désormais à ce que ces universités et centres de recherche anticipent la possible découverte de ressources offshore et le développement d’un secteur pétrolier au Liban pour offrir aux jeunes Libanais un choix plus large et un enseignement plus complet ainsi que des installations et des équipements plus modernes. Après une période d’hésitation, l’année 2013 a vu un certain nombre d’universités introduire de nouveaux programmes d’études et de formation pour accompagner l’émergence éventuelle d’une industrie pétrolière dans le pays.
Les étudiants qui ont l’intention de suivre l’un ou l’autre de ces programmes seront sur le marché dans quatre à cinq ans. Mais ces futurs diplômés n’auront aucune expérience professionnelle. Pendant les premières années, les Libanais formés à l’étranger seront donc avantagés. Il faudra donc les encourager à retourner travailler dans leur pays en leur proposant des conditions séduisantes.
Parallèlement aux programmes académiques, une attention particulière devrait être accordée à la main-d’œuvre locale peu qualifiée, un sujet jusque-là négligé. Des programmes de formation sont à l’étude. Une Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Economie, Géneral | Tagué: avenir, établissement, cursus, emplois, Enseignement, Etude, exploration, Formation, Futur, Gaz, Jeunes, Liban, Libanais, métier, offshore, onshore, petrole, professionnels, programme, ressources, secteur, Stratégie, technique, Travail, université | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 27, 2013
MPLBelgique.org
Le Festival Cinéma Méditerranéen, c’est plus de 70 films (fictions, documentaires, courts métrages) issus des pays de la Méditerranée. Mais c’est également des concerts et soirées épicées ainsi qu’un marché aux couleurs et saveurs de cette région.
Cette 13e édition aura lieu du 5 au 12 décembre, et 1 film libanais sera programmé : « Derrière moi les oliviers » de la réalisatrice Pascale Abou Jamra.
À cette occasion, le Mouvement Pour le Liban invite la communauté libanaise à porter une attention particulière à la promotion de la culture libanaise dans l’espace méditerranéen et en Belgique en particulier, en participant à cet évènement majeur. Cette année encore, le festival se tiendra au Centre Culturel « Le Botanique » : 236, rue Royale – 1210 Bruxelles.
Le programme complet du festival et toutes les informations concernant l’événement se retrouvent sur le site officiel de l’évènement : www.cinemamed.be
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Posted in Culture & Société, Géneral, Nos articles, Relations Liban-Belgique/UE | Tagué: Belgique, Bruxelles, cinema, Culture, derrière moi les oliviers, festival, film, Libanais, Méditerranéen | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 26, 2013

Par Rudolf EL-KAREH
Professeur d’université et Sociologue
Les sociétés arabes du Mashrek se trouvent confrontées, dans toutes leurs composantes, la composante chrétienne comprise, dans la diversité de ses ressourcements, à des défis existentiels touchant à leur vie et leur destinée, dans des conditions de violence directe et destructrice.
Cette contribution succincte aspire à mettre en évidence ces défis existentiels afin de formuler les problématiques pertinentes de nature à faire face aux menaces croissantes et capables d’identifier les moyens permettant d’affronter ces menaces et de définir les démarches et initiatives pratiques nécessaires, destinées à écarter les dangers qui pèsent sur nos sociétés et leur avenir.
Dans ce cadre, il convient de mettre en évidence ceci :
1. Nos sociétés arabes, et de manière plus spécifique les sociétés de l’Orient arabe du Mashrek, se distinguent par un héritage humain pluraliste produit par le mouvement d’une Histoire d’une grande richesse et d’une grande complexité. L’une des caractéristiques spécifiques de ce dispositif sociétal diversifié et quasi unique ( non dénué bien évidemment de conflits), est celle d’un mouvement de socialisation complexe fondé sur l’invention de relations de solidarité et d’échanges établis sur des processus d’acculturation réciproques. Ces processus se construisent à partir d’éléments propres à la « personnalité » de chacun d’une part, et sur les capacités de tous à inventer des modes de vie commune dans le cadre d’un Etat commun d’autre part. Il va sans dire que les facteurs qui déterminent la construction de cette « personnalité » ne sont nullement unidimentionnels mais sont la résultante de l’interaction entre divers éléments, sociaux, culturels, intellectuels, religieux, moraux, éducationnels, etc…
2. Les Arabes chrétiens, et plus spécifiquement ceux du Mashrek, ont contribué, à travers l’Histoire, à la mise en œuvre de ce lien sociétal ; ils ont apporté Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Billets & Opinions, Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Beit Anya, Chrétiens, Egypte, Histoire, Irak, Islam, Israel, Liban, Machrek, Mashrek, orient, Orientaux chrétiens, Palestine, Rudolf el Kareh, Sazonov, social, Sykes-Picot, Syrie | Leave a Comment »