Le 7ème tournoi international Pierre Fabre de Beyrouth s’est cloturé par la victoire d’un club local, invaincu sur ses 4 rencontres. Le tournoi fut disputé au complexe sportif de l’Université Libanaise à Hadath.
Sous le haut-patronage du ministre des sports, représenté par son adjoint M. Elie Chahine ainsi que le comité olympique libanais représenté par M. Izzat Koraytem, membre exécutif, le tournoi fut sponsorisé pour la 4ème fois d’affilée par Pierre Fabre et soutenu par Red Bull.
C’est sous un soleil de plomb qu’une longue journée débuta. L’évènement annuel, boudé par les équipes internationales cette fois en raison de la situation sécuritaire instable, fut très physique. Ce tournoi représentait aussi un premier test pour la sélection nationale en vue du prochain tournoi en division 4 asiatique, au mois de mai à Dubai.
Les Falcons de Riyad étaient les favoris, disposant d’une équipe rapide et expérimentée.
Les 3 autres équipes, à savoir Jamhour, Beirut Total et les Exiles (Tigres) faisaient office d’outsiders.
Après leur première victoire contre les Exilés, les Falcons furent mis à rude épreuve par Beyrouth dans leur 2ème match, exposant leurs points faibles. Les Gray Wolves quant à eux remportèrent leur premier match avec confiance et en pratiquant un joli rugby.
Jamhour qui alignait une jeune équipe fut sévèrement battu dans son premier match contre Beirut et ne s’en remit jamais.
Bien que les Exilés (Tigres) subirent deux lourdes défaites, face aux Falcons et face aux Gray Wolves, ils créèrent la première surprise du tournoi en battant Lire le reste de cette entrée »
Abdel Ghani Jawhar, membre libanais du groupe extrémiste sunnite Fatah el-Islam. Selon le magazine Time, Jawhar serait mort en Syrie le 20 avril 2012, par l'explosion d'une bombe qu'il préparait.
L’extrémiste serait mort en préparant une bombe à Qoussayr, près de Homs.
Selon le blog « Global Spin » de Time Magazine, Abdel Ghani Jawhar, un Libanais haut responsable du groupe extrémiste sunnite Fatah al-Islam, est mort en Syrie dans la ville de Qoussayr, près de Homs, vendredi dernier.
Le fondateur de Fateh al-Islam, cheikh Ousama al-Chihabi, a confirmé cette information au journaliste de Time. « En tant que moudjahidine, nous sommes habitués à la mort, et si Dieu veut donner à ceux qui vont mourir la dignité, il en fait des martyrs », a déclaré le cheikh.
Ce n’est pas la première fois que la mort de Jawhar est annoncée, rappelle le Time.
Selon Abou Ali, un combattant syrien contacté par le journaliste de Time via Skype, Jawhar préparait une bombe visant à être utilisée contre l’armée syrienne. La bombe aurait explosé avant l’heure, tuant Jawhar. « Il a été tué sur le coup. Nous voulions renvoyer son corps au Liban, mais nous n’avons pas pu le faire car il était déchiqueté », a précisé Abou Ali. Le militant extrémiste libanais aurait donc été enterré dans un jardin de Qoussayr, le cimetière étant inaccessible en raison des combats.
Selon Abou Ali, poursuit le Time, Jawhar serait arrivé à Qoussayr il y a deux semaines, non en tant que combattant de Fateh al-Islam, mais en tant que simple moudjahed avec pour mission de former les combattants syriens à la fabrication de bombes.
Le journaliste de Time affirme qu’une source des services de renseignement libanais a confirmé que Jawhar était passé du Liban vers la Syrie. La source a précisé que Jawhar avait été surnommé « mercure » par les SR en raison de sa capacité à constamment leur glisser entre les doigts.
Chaker el Abssi, salafiste, fondateur de Fatah al-Islam
« La mort de Jawhar sur le sol syrien va renforcer les craintes de la communauté internationale sur le risque qu’en cas d’envoi d’armes aux rebelles syriens, elles finissent entre les mains de groupes radicaux », a expliqué Talal Atrissi, professeur à l’Université libanaise, au Time. « L’opposition syrienne va également être embarrassée qu’un tel homme combatte aux côtés des rebelles », a-t-il ajouté.
Abdel Ghani Jawhar, âgé d’une trentaine d’années, est originaire du Liban-Nord. Il aurait rejoint Fateh al-Islam en 2008, après les violents combats entre l’armée libanaise et les extrémistes de ce groupe retranchés en 2007 dans le camp de réfugiés palestinien de Nahr el-Bared, au Liban-Nord.
Jawhar est, entre autre, accusé de s’être déguisé en militaire et d’avoir posé une valise piégée près de soldats qui attendaient le bus avant de la faire exploser à distance en août 2008, à Tripoli. Pour cette opération, il a été condamné à mort par contumace par un tribunal libanais.
En décembre 2009, la chaîne de télévision al-Manar et le quotidien al-Akhbar avaient rapporté des informations selon lesquelles Fadi Ibrahim, une personne inculpée et connue sous le pseudo de Sigmo, aurait avoué que l’organisation Fateh al-Islam avait assassiné le général François Hajj ainsi que le député Walid Eido. Selon Sigmo, Jawhar aurait été chargé d’assassiner le député Eido.
Des sources avaient également évoqué une implication de Jawhar dans l’assassinat de Pierre Gemayel, en novembre 2006.
La gentrification est un processus de réhabilitation d’un quartier ancien au terme duquel les habitants initiaux doivent partir, faute de moyens suffisants pour vivre dans leur quartier rénové. Généralement, ces habitants partent vers la périphérie de la ville, alors que des groupes sociaux plus favorisés investissent le quartier réhabilité.
La plupart du temps, la gentrification prend la forme d’une réhabilitation, d’une rénovation de bâtiments anciens et de caractère, comme ce fut le cas pour le vieux Damas. Mais dans certains quartiers de Beyrouth, elle prend une forme plus radicale. A Achrafieh par exemple, la plupart des maisons traditionnelles ne sont pas rénovées, mais détruites, rasées, pour laisser la place à des tours résidentielles très souvent de haut standing.
Si des voix s’élèvent contre cette destruction régulière du patrimoine architectural libanais, peu évoquent la dimension sociale du processus, à savoir le déplacement de populations qu’il implique.
De ce silence émerge toutefois une voix, celle de Hicham Achkar, chercheur au département d’urbanisme de l’Université libanaise. Au mois de mars dernier, il présentait à l’Institut français du Proche-Orient, son étude sur le rôle de l’État libanais dans la gentrification d’Achrafieh. Lire le reste de cette entrée »
L’Université libanaise de Hadeth a accueilli les 14, 15 et 16 avril un cycle de conférences sur le thème de l’intégration des énergies renouvelables en Méditerranée. Une première pour le pays qui entend l’inscrire dans ses priorités.
La conférence internationale sur « l’impact des énergies renouvelables sur l’avenir de l’environnement méditerranéen », organisée à l’initiative de l’Université libanaise, de l’association MEDgreen, du CNRS et avec la participation de l’ambassade de France, s’est tenue au campus Rafic Hariri à Hadeth. Pendant trois jours, la conférence a été rythmée par de nombreuses interventions. Les nombreux chercheurs mobilisés, venus du monde entier, ont témoigné du regain de dynamisme pour cette question dans la région.
La préoccupation grandissante concernant le réchauffement climatique a conduit, depuis quelques années, la communauté internationale à multiplier les séminaires sur le sujet. C’est aujourd’hui le Liban qui s’inscrit dans ce mouvement pour « réfléchir à son niveau » à une utilisation privilégiant les énergies propres aux énergies fossiles. Chercheurs et académiciens n’entendent pas rester sans voix devant la crise énergétique qui touche le pays et sont venus en nombre prendre part à la toute première manifestation de ce genre à Beyrouth.
Une conférence pertinente et opportune
« Comme tous les pays du sud de la Méditerranée, le Liban est doté de caractéristiques climatiques plus importantes qui privilégient le développement pour la région des énergies renouvelables », a précisé le recteur de l’UL, Zouheir Chokr, avant d’ajouter : « Selon les chiffres officiels, la facture énergétique du pays a atteint les 5 milliards de dollars par an et la demande ne fait que croître. » L’intégration de l’énergie propre est donc une priorité à la fois locale et régionale.
Invité à l’université libanaise pour recevoir un doctorat honoris causa, le président iranien a conspué l’Occident devant une foule de garçons et filles acquis à ses idées.
Ce qui est sûr, c’est que cet homme aime les foules et celles-ci le lui rendent bien, surtout lorsqu’elles sont formées de gens pauvres ou de jeunes. Au campus de l’Université libanaise à Hadeth, où la direction lui a décerné un doctorat honoris causa en sciences politiques, il a mis en transe les étudiants, garçons et filles, voilées ou cheveux au vent, cravatés ou look islamiste. Portables tendus pour le prendre en photo, des centaines d’étudiants ont poussé des cris déments, bousculant dans tous les sens pour le voir de près, indifférents aux consignes de sécurité.
Et le président iranien, à son habitude, a terrifié son service de sécurité, en attrapant les mains tendues et en insistant pour saluer le maximum de personnes. Les jeunes sont d’ailleurs venus très tôt le matin pour avoir des places soit à l’intérieur de l’immense amphithéâtre, soit dehors pour suivre son arrivée. Tous sont impatients de le voir arriver. Certains apprécient ce qu’ils appellent son courage et son engagement, d’autres le trouvent différent et sont curieux de voir de près cet « homme phénomène ».
Mais le plus frappant, c’est quand même la gaieté qui règne sur les lieux, comme si, pour ces jeunes, accueillir le président de la République islamique d’Iran est une fête. Il arrive donc avec un peu de retard vers onze heures et aussitôt la foule se déchaîne. En professionnel de la communication (et de la provocation), Mahmoud Ahmadinejad sait se montrer proche des gens et parvient à leur montrer qu’ils sont importants pour lui. Il répétera ainsi à plusieurs reprises dans son discours sa joie d’être là « face à ces visages lumineux, cherchant le savoir… ».
Mais auparavant, il doit faire face à l’assaut d’une femme d’un certain âge qui se précipite pour lui donner l’accolade. Intimidé, il en rougit presque et ne Lire le reste de cette entrée »
Présidée par le député Ibrahim Kanaan, secrétaire général du bloc du Changement et de la Réforme, la commission des Finances et du Budget a tenu sa réunion, en présence des députés : Ghazi Zaiter, Ali Hassan Khalil, Ali Amar, Ahmad Fatfat, Jamal Jarrah, Hussein Fadlallah, Fadi Haber, Hekmat Dib, Nawaf Moussaoui et Alain Aoun.
Le directeur général des Administrations et des Conseils locaux au sein du ministère de l’Intérieur et des Municipalités, le PDG de l’Éducation, le président du conseil de Développement et de Reconstruction et plusieurs autres responsables ont assisté à la réunion.
Suite à la réunion, le député Kanaan a déclaré :
« Le comité a approuvé 3 propositions de loi et s’est mis d’accord pour approuver au cours de la prochaine réunion une proposition de loi concernant les enseignants à l’Université Libanaise.
Nous avons discutés des projets de loi concernant certains ministères. Nous rappelons que selon la loi interne du parlement, les ministres qui sont en relation avec les sujets discutés doivent assister à la réunion de la commission ou envoyer des délégués autorisés à décider à leur place.
Tel un otage libéré des mains de ses ravisseurs, c’est un parti « Kataëb » épanoui, et plus fort que jamais, qui dame le pion à ses (ex-) alliés de la coalition du « 14 mars », et plus particulièrement à ses camarades du camp chrétien qui se retrouvent très seuls sur l’îlot de la révolution aux couleurs du drapeau libanais…
Car le coup des « Kataëb » n’est pas le premier que doivent encaisser les partis de la majorité. Ce n’est en effet pas moins que le 4ème, et peut-être même pas le dernier, à la vitesse où les choses évoluent depuis le K.O. que leur a asséné Walid Joumblatt dans son célébrissime discours prononcé à l’hôtel Beau Rivage, ex-QG de Rustom Ghazalé. Le Premier ministre Saad Hariri, chef suprême de cette majorité révolutionnaire post-14 février 2005 n’a pas manqué d’y mettre du sien pour verser de l’huile sur le feu qui consume les naufragés de la majorité. Au cours des négociations qu’il a menées en vue de former son gouvernement, M. Hariri a fait du général Michel Aoun, figure de proue de l’opposition chrétienne, la star des pourparlers, admettant indirectement que les revendications de Aoun sont légitimes, étant donné qu’il est le chef du plus important groupe parlementaire chrétien au sein de l’assemblée, et du 2ème plus grand groupe parlementaire libanais, en nombre de députés.
Quoiqu’il en soit, le coup de maître qui a mis la peur au ventre à plus d’un est incontestablement le rapprochement dangereux qui s’opère entre le Premier ministre Saad Hariri, et Lire le reste de cette entrée »
Données Personnelles
Date de naissance : 19 mai 1968
Lieu de naissance : Jezzine (Liban)
Nationalité : Libanais
Statut civil : Marié à Lamia Kadib
Enfants : Nay, Leila, et Maya
Education
Il poursuivit ses études primaires, complémentaires et secondaires chez les Frères à Furn el Chebbak, puis à Ain Saadé.
Il est diplomé en droit de la faculté des Droits et Sciences Politiques à l’Université Libanaise (1991).
Il parle l’arabe, le français et l’anglais couramment.
Profession
En 1992 il a adhéré le syndicat professionnel des avocats et a rejoint le bureau d’avocatisme de Pierre Eddé et Georges Zidane.
De 1994 à 1997, il occupa le poste de conseiller juridique chez l’Entreprise Nationale pour Pétroléenne à l’UAE.
En 1997, il a fondé son bureau d’avocatisme connu sous: »Bureau Atallah et Assouad pour l’avocatisme »
Postes au sein du CPL
Responsable du CPL au Caza de Jezzine
Membre de la Commission Institutionnelle du CPL, et membre actif d’associations humanitaires.
Activités:
Il adhéra à la croix rouge et travailla dans en tant que secouriste entre les années 1988-1991.
Nassif Azzi est candidat du Courant Patriotique Libre sur la liste du Changement et de la Réforme pour l’un des 3 sièges maronites de la circonscription du Chouf.
Ses racines familiales
– Natif du village de Jiyé à Kharrouba dans le caza du Chouf, le 22 décembre 1952.
– Son père, le professeur Hanna Nassif Azzi, était directeur de l’école publique de Rmaylé. Il fut l’un des fondateurs de la ligue des Azzi.
– Sa mère, Mme. Yvonne Hanna el Khoury Chelala, est originaire de Beit Chlala à Batroun.
– Il a 4 soeurs:
Nada, mariée au professeur François Youssef Azzi
Norma, mariée à Mansour Toufic Azzi
Nayla, docteur
Nina, célibataire
Ses études primaires et secondaires
– Après les maternelles chez les soeurs de la Ste Famille Maronite à Jiyé, il poursuivit ses études primaires et complémentaires à l’école des Frères Maristes à Saïda et Rmaylé.
– Les études secondaires ont été complétées à l’école publique de Saïda (Zatari).
– Les études universitaires, il les a faite à l’Université Libanaise et à l’Université de Paris I, la Sorbonne.
Sa situation académique
– Enseignant assistant à l’Université Libanaise (UL) à la faculté de lettres et de sciences politiques (département de philosophie)
– Il enseigne à l’Université Libanaise depuis 1981
– Il a présidé à plusieurs reprises le département de philosophie à la faculté de lettres, 2ème section (UL)
– Il a enseigné l’esprit de l’arabe moderne à l’Université St-Esprit Kaslik (USEK) entre 1985 et 1991
– Il a enseigné la philosophie générale dans plusieurs établissements culturels depuis 1977
Ses activités culturelles et idéologiques
– Actif dans les rangs du mouvement culturel à Antélias
– Fondateur et responsable de la « Rencontre philosophique » au Liban
– Activiste écologique ayant participé à plusieurs actions dans ce domaine
– Penseur et écrivain, il tend à répandre une vision politique moderne pour l’appliquer à la situation globale au Liban.
Diplômes universitaires
– 1981: Docteur en philosophie, diplômé à l’Université de Paris I, La Sorbonne
– 1979: Diplômé en études appliquées en philosophie à l’Université de Paris, La Sorbonne.
– 1977: diplômé en enseignement philosophique à l’Université Libanaise, faculté de Lettres et Sciences humaines.
Son parcours social et politique
– Adolescent, il s’est enrolé dans la jeunesse estudiantine chrétienne à Saïda, aux côtés de son guide spirituel Père Sélim Ghazal du St Sauveur, devenu plus tard Evêque.
– Activiste au mouvement de l’Eveil – Front des jeunes libanais à l’Université Libanaise, durant les années 70.
– Il a mené en 1975 une tentative pacifiste contre la guerre, aux côtés de ses parents et amis dans son village à Jieh et ses environs. Tentative qui s’est couronnée par le retour des déplacés chrétiens durant la guerre de 2 ans à leurs villages, ce qui a créé une atmosphère de sécurité dans la région côtière du Kharoub.
– En 1983, avec l’explosion de la montagne, cette guerre qu’il a considéré comme un complot contre le Liban et les chrétiens, il s’est réfugié à Beit Chlela, le village de sa mère où il s’est occupé de l’affaire des Déplacés.
– Il a fondé en 1988 avec quelques amis le « mouvement des déplacés résistants », mouvement politique indépendant faisant partie de la situation libanaise instaurée autour du projet politique du général Aoun pendant 2 ans.
– Il a fondé avec ses concitoyens « l’Union des Déplacés de la montagne » au moment du retour des déplacés, auquel il a participé après son retour à Jieh, où il a fondé le centre balnéaire « Jonasse » qui sera pendant des années un havre de paix et de plaisance pour tous les touristes ainsi que les déplacés revenant au pays.
– Il a débuté au sein du Courant Patriotique Libre en 2004 en s’occupant de la coordination entre les régions. Il a été désigné responsable de la presse et des relations générales avec la région de la montagne au Sud en passant par le Chouf .
Il fut aussi membre du bureau d’études et du comité des universitaires.
Il a été désigné par le général Aoun pour suivre plusieurs dossiers comme la communication politique avec les leaders libanais et le dossier de la cause palestinienne.
Il a ainsi pleinement participé aux accords avec le « Parti Populaire Nassérien » à Saïda et avec les orientations communes au « Parti Communiste libanais ».
Il avait préparé le document « Palestine dans la conscience chrétienne » qui a été présenté au congrès international de Téhéran pour défendre la cause palestinienne.
Autres activités
– Il a pratiqué le théâtre avec la troupe du club des jeunes unis à Jieh en jouant plusieurs rôles comme celui de Léonardo dans la pièce « Les noces de sang » de Garcia Lorca, et Richard III dans l’oeuvre de Shaekspeare en passant par le cantique des cantiques. Il s’est même aventuré deux fois dans la mise en scène entre 1973 et 1975.
– Il a travaillé comme critique théatral durant son séjour à Paris dans la revue « L’Avenir » où il a rencontré plusieurs célébrités libanaises et mondiales.
Son poste actuel
Il occupe actuellement le poste de responsable de l’information et des relations générales en plus de sa responsabilité à la montagne du Sud Liban au sein du Courant Patriotique Libre.
Son oeuvre
– 1979: « Prélude à l’étude laïque dans la pensée arabe contemporaine » (Thèse pour obtenir le diplôme en philosophie à l’Université de Paris I)
– 1981: « Kamal el Hajj entre religion et laïcité » (thèse en langue française, université de Paris I)
– 1986: « Nos martyrs, des Saints » (Beyrouth, éditions Khalifé)
– 1987: « L’exode » (Beyrouth, éditions Khalifé)
– 1996: « Le philosophe, père Joachim Moubarak » (Antélias)
– 1997: « Autour de la Cause » (Antélias)
– 2001: « Le retour, un chapitre de la mémoire » (Beyrouth, éditions Georges Hajj)
– 2002: Kamal Youssef el Hajj 1917-1976, 25 ans après sa mort (Antélias)
– 2003: « René Habchi 1915-2003 », avec la participation de Pascal Habchi (éditions « Mouvement Culturel », Antélias)
– « Prières et signes » (trilogie pour Tony)
– « Homélie du Lundi » (article politique)
– « Le temps qui s’arrête ou l’histoire d’un revenant »
– « Les nouveautés linguistiques dans les oeuvres philosophiques de Kamal Youssef el Hajj »
Le bloc du Changement et de la Réforme est certainement le bloc parlementaire le plus actif de l’Assemblée libanaise. L’équipe du MPLBelgique.org a traduit en français un document vous invitant à découvrir 5 textes de lois proposés par les députés du bloc du Changement et de la Réforme depuis son intégration au sein du gouvernement d’union nationale en juillet 2008. L’intégralité de ces textes votés au parlement jusqu’à ce jour vous sont disponibles en cliquant sur ce lien: Textes de loi proposés par les députés du Changement et de la Réforme
Chaque jour, un texte vous sera proposé. Nous publions ici le cinquième et dernier, sur l’échelonnement des salaires et le paiement des rétroactifs cumulés depuis 1998.
Présentation par le député Michel Aoun d’une proposition de décret-loi pour l’échelonnement des salaires ainsi que le paiement des rétroactifs cumulés depuis 1998 jusqu’à ce jour et n’ayant pas été payés.
Le chef du bloc du Changement et de la Réforme, le député Michel Aoun, a présenté à la Chambre une proposition de loi: « Proposition de décret-loi dont le seul objet est la modification de la loi 98/717 »
L’unique objet : la suppression des amendements de l’article 14 de la loi 98/717 et son remplacement par le texte suivant : « Il sera noté dans le budget les sommes nécessaires pour payer les rétroactifs qui reviennent de droit à partir du 01/01/1996 aux ayant droits de cette loi ».
Les raisons pour le changement dans la loi
En toute occasion et lors de l’application de la loi et à chaque demande concernant les échelons (niveaux) de fonctions et les salaires, et leur effet rétroactif, la loi 98/717 vient nous rappeler que nous avons une mission, sinon un devoir, envers une grande partie des citoyens qui ont attendu avec impatience l’application effective de cette loi, et surtout l’article 14 qui impose au gouvernement le Lire le reste de cette entrée »