Le jazz avait besoin de ce sang nouveau. Voici de l’électro jazz oriental, le son enveloppant du cuivre doré d’Ibrahim fascine tous ceux qui ont encore Silence way dans l’oreille.
Deux ans déjà se sont écoulés depuis la sortie de l’album Diasporas, qui révéla au grand public un artiste presque trentenaire doté d’un souffle ensorcelant. Troublantes, lumineuses, mélancoliques, funkies, ses envolées de cuivre ont forgé un musicien d’aujourd’hui, ouvert, partageur et terriblement créatif.
Pas vraiment du jazz, pas vraiment de l’électro, pas vraiment de la musique orientale, Ibrahim Maalouf constitue un véritable cross over entre différents styles de musique actuelle : du Jazz Electro Oriental Rock
Ibrahim Maalouf en quelques points :
– Premier prix de Conservatoire National de Paris
– Lauréat de 15 concours de musique classique entre 1999 et 2003
– Collaborations diverses : Sting, -M-, Vincent Delerm, Tryo, Vanessa Paradis, Salif Keita, Amadou et Mariam, Thomas Fersen…
– « Je ne suis pas un Jazzman » (Ibrahim Maalouf)
– » Aujourd’hui bardé de prix, Ibrahim Maalouf (…) signe des compositions échevelées, des improvisations lumineuses, d’un jazz où se fondent sa culture arabe et son imprégnation occidentale ». (Libération, 23 novembre 2009)
Ibrahim Maalouf, trompette
Edouard Coquard, batterie
Franck Woeste, Fender Rhodes
Nenad Gajin, guitare
Benjamin Molinaro, basse
Concert au Théâtre 140 ce jeudi 10 décembre à 20h30.
Avenue Plasky 140
1030 Bruxelles (Belgique)
Pour réserver, visitez le lien : www.ticketnet.be