Posts Tagged ‘terre’
Posted by jeunempl sur octobre 17, 2011
Le Commerce du Levant
La coopérative viticole de Chartoun réalise ses premiers pas.
Pour l’heure, une dizaine de propriétaires terriens de ce village chrétien du Chouf, situé dans le caza de Aley, se sont associés pour mettre en œuvre cette nouvelle coopérative viticole. Jusqu’à présent, il n’existait qu’une seule coopérative viticole au Liban, celle de Héliopolis à Deir el-Ahmar, qui regroupe neuf villages, aussi bien chrétiens que musulmans, et compte quelque 250 coopérants dans ses rangs.
« La coopérative de Chartoun s’installe sur cinq hectares. Mais nous espérons atteindre rapidement le nombre de 20 à 25 coopérants et gérer une quinzaine d’hectares, tous compris dans les limites du village », fait valoir Yves Chartouni, l’ingénieur agronome du projet, dont la famille – comme son nom le laisse présager – est originaire de Chartoun. « 80% des terrains du village, qui pourraient être cultivés, sont abandonnés », précise le président de la municipalité de Chartoun, Joseph Maroun. Si cette première étape réussit, la coopérative pourrait ensuite s’étendre à des hameaux limitrophes.
Ce projet entend faire revenir les anciens villageois, qui ont quitté la région en masse pour Beyrouth (ou l’exil à l’étranger) lors de la « guerre du Chouf » de 1983. Il espère également enrayer la vente de terrains. « Chartoun a été occupé par les Druzes qui l’ont rasé lorsqu’ils ont dû nous restituer nos biens. Nous reconstruisons au fur et à mesure. Mais sans une activité économique régionale, on peut difficilement espérer le retour de la population », déplore le président de la municipalité.
Aujourd’hui, une centaine de personnes vivent encore à Chartoun de manière permanente. Un peu plus de 3000 y sont pourtant inscrites sur les listes électorales. Pour la municipalité, la Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Aley, Alfred Yaghy, cabernet-sauvignon, Chartoun, Chartouni, Chouf, Chrétiens, Déplacés, Deir el Ahmar, domaine, Druzes, hameaux, Heliopolis, Hiba Saloum, Joseph Maroun, Liban, Majdel Meouch, Montagne, Municipalité, oenologue, projet, raisins, Retour, Rouss, syrah, terrain, terre, villages, vin, viticol, Yves Chartouni | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 8, 2010
ANI
Le Liban fait face à un déficit de plus de 100 millions de mètres cubes (m³) par an, a indiqué le ministre de l’Energie et de l’Eau Gebran Bassil dans le cadre du Forum arabe de l’environnement et du développement.
« Sur les 8,5 milliards de mètres cubes de précipitations annuelles, 4,5 milliards s’évaporent, 1,2 milliard s’infiltrent en dehors du territoire libanais et près de 1,5 milliard vont dans la mer. Il ne nous reste donc plus que 1,2 milliard de mètres cubes, dont 650 millions d’eaux superficielles et 550 millions d’eaux souterraines », a-t-il expliqué.
Or le Liban utilise près de 650 millions de mètres cubes d’eaux souterraines par an, a poursuivi Bassil, « ce qui signifie que nous puisons dans nos réserves souterraines entre 100 et 150 millions de m³ par an ».
« Si cette situation se poursuit, c’est très grave. Nos réserves vont diminuer si nous ne réagissons pas à temps», a-t-il insisté.
Le ministre a expliqué que la majorité de l’eau au Liban, superficielle et souterraine, sert à l’irrigation de manière naturelle.
Les particuliers, eux, manquent d’eau car les capacités de stockage ne dépassent pas 245 millions de m³, dont seules 45 millions peuvent être utilisées, tandis que le reste sert à produire de l’électricité. « Nous n’avons pas les Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Culture & Société, Dossiers, Economie, Géneral | Tagué: Abdel Rahman Awadi, Agriculture, assainissement, évaporation, capacité, Courant Patriotique Libre, CPL, désert, Developpement, distribution, EAU, eaux usées, Environnement, Gebran Bassil, gestion, irrigation, Ministre, Nature, Penurie, précipitations, recyclage, secheresse, stockage, Stratégie, terre | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 2, 2010
Le Commerce du Levant
Le prochain Conseil des ministres devrait examiner un projet presenté par le ministère de l’Agriculture consistant à distribuer des semences de blé, d’avoine, de lentilles et de pois chiche à des prix préférentiels.
Ce projet comporte trois objectifs, a expliqué un responsable du ministère au Commerce du Levant. Le premier est d’augmenter la production libanaise pour ces denrées alimentaires. Selon lui, les surfaces cultivées actuellement pour ces quatre cultures sont de 150000 dounoums et le ministère vise à atteindre 225000 dounoums.
Le but est aussi d’avoir une production de bonne qualité, ajoute le responsable en indiquant que les agriculteurs seront soumis à certaines obligations en termes de processus de production, de pesticides utilisés, etc… Le ministère prépare Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Economie, Géneral | Tagué: agriculteurs, Agriculture, alimentaire, aride, avoine, blé, Culture, dounoum, Hajj Hassan, hezbollah, Hussein Hajj Hassan, lentilles, Ministère, Ministre, pesticide, pois chiche, production, projet, récolte, reglementation, semence, surface, terre | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur janvier 20, 2010
Article11.info/Altermonde-sans-frontières
Par Lémi
Il force le respect, Gideon Levy. 25 ans qu’il s’échine à dénoncer de sa plume les exactions israéliennes en Palestine et à remettre en cause une meurtrière stratégie de l’engrenage sans jamais baisser les bras. Jeudi dernier et alors qu’un recueil de ses articles vient d’être publié à La Fabrique, le journaliste israélien donnait une conférence à Paris. On y était : compte-rendu.
Je suis un « bon garçon » typique de Tel Aviv, un produit banal du système éducatif israélien. Je ne viens pas d’une famille engagée et j’ai fait mon service militaire quand j’ai eu l’âge. J’ai même fait pire que ça : j’ai travaillé pour Shimon Perès pendant quatre ans… Pendant tout ce temps, on m’a dit que les Arabes étaient mauvais et cherchaient à nous détruire, qu’Israël était David et faisait face au Goliath Arabe. J’ai écouté Golda Meir quand elle disait qu’après la Shoah, les Israéliens pouvaient tout se permettre. J’aurais dû rester dans cet état d’esprit, normalement. Mais voilà, je suis allé dans les territoires palestiniens, j’y ai rencontré des gens, et j’ai évolué du tout au tout. Depuis 25 ans j’essaye de raconter au peuple israélien une histoire qu’il ne veut pas entendre.
L’homme qui parle ce soir [1] et décrit ainsi son parcours s’appelle Gideon Levy. Israélien, il est journaliste à Haaretz, unique grand quotidien du pays à laisser s’exprimer des voix discordantes sur la question palestinienne. Le dernier sanctuaire d’une presse qui a abdiqué toute velléité de discours critique pour servir la soupe au gouvernement et à Tsahal. Il y tient une chronique hebdomadaire intitulée « Twilight Zone » (Zone d’ombre). Par ses papiers aussi limpides que glaçants, il tente de sortir la population israélienne de son apathie et de son indifférence au sort des territoires occupés. Avec sa consœur Amira Haas, il fait partie des rares Justes à ne pas baisser les bras devant l’horreur, à tenter de stopper cette machine de guerre qui toujours se relance. Tâche ingrate : « Ce supplice de Sisyphe que nous nous étions imposé pendant des années – couvrir l’occupation israélienne pour le lecteur israélien qui ne veut rien savoir, rien voir, rien entendre. », écrit-il. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: Amira Haas, antisémitisme, arabes, Barak, blocus, blocus économique, Bombes, bombes à phosphore, Boycott, camp de concentration, Cisjordanie, conflit, conflit territorial, Corée du Nord, David, David et Goliath, Démocratie, deuxième intifada, Egypte, Ehud Barak, Ehud Olmert, Electricité, Enfants, Etats-Unis, Europe, Extrémisme, Eyal Sivan, France, Gaza, Gideon Levy, Golda Meir, Goldstone, Goliath, Guerre, Haaretz, Haas, Haïti, Hamas, humanisme, humanité, inhumanité, intifada, Iran, israélien, israéliens, Israel, journalisme, La Fabrique, Levy, Liban, liberté de presse, Livni, Massacre, Meir, Michel Warchawski, nationalisme, Nicolas Sarkozy, Occupation, Olmert, Palestine, Palestiniens, Paris, Peres, phosphore, phosphore blanc, pilote, plomb durci, Pluie d'Eté, Presse, racisme, radicalisme, Rafah, Religion, Richard Goldstone, Russie, Sarkozy, Shimon Peres, Shoah, Sisyphe, Sivan, société démocratique, Tel Aviv, terre, Tsahal, Twilight Zone, Tzipi Livni, UE, Union Europeenne, USA, Warchawski | 1 Comment »
Posted by jeunempl sur juillet 17, 2009
Info Palestine
« Je m’adresse à notre soeur palestinienne et je dis : ô soeur palestinienne, mère de martyr, mère de captif, mère d’orphelin, mère de résistant, si tu as mis ton premier enfant sur une terre étrangère, je suis sûr que le deuxième, tu le mettras au monde sur la terre de Palestine », Cheikh Raïd Salah, Conférence des Palestiniens d’Europe, le 2 mai 2009.
Les réfugiés palestiniens comme réalité humaine et historique sont, par le seul fait d’exister, la preuve irréfragable que les drames de la Nakba et de l’expulsion de tout un peuple de sa terre natale ont bien eu lieu. Poser la question des réfugiés palestiniens c’est redonner à l’Histoire objective sa place entière, c’est à la fois démentir les discours négationnistes mais aussi réhabiliter un vécu, rappeler un traumatisme et démontrer le colonialisme inhérent à l’entité sioniste déclarée en 1948.
Les réfugiés palestiniens – avant d’être « un problème » à liquider dans les « négociations », « processus de paix » et autres tentatives de submersion des droits élémentaires des Palestiniens – sont garants, avant tout, de la continuité de l’identité palestinienne par delà des frontières de la Palestine historique. Ils sont les garants de la langue, de la culture et de la dimension multiconfessionnelle de tout un peuple.
La nécessité d’évoquer les réfugiés palestiniens est d’autant plus impérieuse que le discours dominant, sioniste et occidental, tente de faire oublier cette réalité pour sauvegarder les intérêts colonialistes. Mais depuis 61 ans cette tentative continue d’échouer dans les consciences palestiniennes, tout simplement parce qu’à partir du moment où il y a un déracinement forcé il y a immanquablement une volonté de « Retour ». Et c’est ce droit au Retour qui constitue aujourd’hui la substance de la Cause palestinienne.
Nous allons dans un premier temps rappeler rapidement l’Expulsion progressive du peuple palestinien de sa Terre depuis 47 (I), puis exposer la façon dont la « question » des réfugiés a été traitée par les sionistes dans les différents accords et « processus de paix » (II) Enfin, nous décrirons ce que revêt aujourd’hui la revendication du « droit au retour » en particulier à l’aune des récents Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Billets & Opinions, Géneral, Régional | Tagué: Al Qods, Al Quods, Annapolis, Ben Gourion, Bush, Cheikh Raïd Salah, Cisjordanie, colonies, Deir Yassin, droit, droit au retour, Egypte, Etat juif, expulsion, Frontière, Gaza, Golan, Grande Bretagne, Hagannah, Hamas, Histoire, idéologie, Irgoun, Israel, Jerusalem, Jihad Islamique, Likoud, Massacre, Menachem Begin, milice, milice sioniste, MSRPP, Negociations, Netanyahou, Netanyahu, Oslo, Palestine, Palestiniens, Peel, Plan Daleth, Politique, processus de paix, Ramadan Shallah, réfugiés, Résistance, Retour, Sinaï, sionisme, sionistes, Syrie, terre | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur juillet 11, 2009
Le général Michel Aoun
Il est normal que chaque Libanais se demande pourquoi cette guerre universelle contre les aounistes. Pourtant, nous n’avons annoncé la guerre contre personne, nous n’avons jamais soutenu le terrorisme. Nous n’avons pas fondé le mouvement Al Qaeda et nous ne sommes pas parmi ceux qui développent des armes nucléaires. Nous n’avons pas attaqué les deux tours jumelles de New York ou le siège du Pentagone à Washington et nous n’avons rien à faire avec l’explosion du bus à Madrid, ni du métro à Londres.
Nous faisons partie d’un petit peuple qui a cru aux chartes internationales et qui a osé, conformément à ces chartes, résister pour libérer sa terre violée par l’ennemi. Ils nous ont qualifiés de terroristes. Le Liban n’a pas cherché à être en conflit avec quelque pays que ce soit, mais il a été affaibli. Il est devenu un lieu pour résoudre toutes les crises, c’est comme ça qu’Israël, soutenue par les Etats-Unis et l’Union européenne, regarde le Liban.
En 1947, les Nations Unies ont approuvé un plan pour la division de la Palestine. A la suite de cette décision, les sionistes ont tenu une guerre éthique et ont renvoyé et déplacé les citoyens palestiniens arabes de leurs villages et les ont obligés à se diriger vers les pays arabes voisins. Un grand nombre de ces Palestiniens, s’est réfugié au Liban et depuis ce temps là, la question des réfugiés palestiniens existe et constitue le problème majeur pour toutes les solutions entre les Arabes et les Israéliens.
Outre son refus au droit de retour et de la résolution 194 des Nations Unies, décrétée en 1948, Israël s’est annoncé comme un État Juif et a l’intention de Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Billets & Opinions, Géneral | Tagué: 11 septembre, Al Qaeda, chretien, conflit, crime, Etats-Unis, Guerre, humanité, implantation, Israel, Juif, Liban, Nations Unies, ONU, Opinion, Paix, Palestine, Politique, réfugiés, sionistes, terre, Terrorisme | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mai 28, 2009
MPLBelgique.org
Programme complet du Courant Patriotique Libre
Chapitre 1 : L’Agriculture
Diagnostic
1. La part du secteur agricole dans l’économie libanaise est en baisse continue. Elle ne représente plus que 6% de la richesse générée par le pays alors que les revenus d’une large partie de la population continuent à dépendre de ce secteur.
2. La part des emplois directs offerts par le secteur agricole est en baisse rapide. Elle est tombée à 4,7% en 2004 alors qu’elle était encore de 9,3% en 1997.
3. La balance agricole et agro-alimentaire connaît un déficit grave qui menace la sécurité alimentaire du pays : 11% seulement des importations de produits de l’agriculture et de l’élevage étaient couvertes par les exportations en 2007 et 31,5% seulement des importations de produits agroalimentaires. Le déficit commercial sur l’ensemble de ces trois types de produits représentait plus de 17% du déficit commercial total en 2007.
4. Le secteur agricole n’a bénéficié d’aucune attention soutenue de la part des pouvoirs publics depuis l’Indépendance malgré la part élevée du PIB qu’il représentait alors. Aucune véritable politique agricole, au sens d’une action publique cohérente et orientée de façon à développer durablement le secteur agricole, n’a jamais été élaborée.
5. De nombreuses études effectuées par les organisations internationales ou des pays amis sont enterrées et leurs recommandations ignorées. Les programmes qu’ils mettent en œuvre ne sont pas exécutés dans le cadre d’une stratégie et de priorités nationales avec lesquelles ils devraient s’articuler.
6. Les surfaces agricoles disponibles sont en recul constant à cause d’une absence de protection réglementaire, de l’extension urbaine et de la désaffection à l’égard du secteur.
7. L’absence de cadastre dans de nombreuses zones agricoles et le coût des droits de succession qui décourage de nombreux héritiers à formaliser leurs droits de propriété ont amené des nombreux agriculteurs à être dépourvus de titres de propriété, ce qui les empêche de tout accès au crédit.
8. Le morcellement foncier, en l’absence de politiques de remembrement, pénalise la mécanisation de l’agriculture et les investissements dans le secteur.
9. L’exploitation n’est pas sécurisée car les baux ruraux sont souvent conclus oralement et pour des durées très courtes, ce qui n’encourage pas les investissements non plus.
10. Les coûts des facteurs de production sont élevés en comparaison avec ceux des pays concurrents : la location de la terre, les intrants agricoles et la main-d’œuvre libanaise.
11. Les ressources en eau sont fréquemment détournées au profit des consommateurs des grandes villes.
12. La politique d’irrigation se développe sans que soient opérés des choix culturaux.
13. Il n’y a pas de politique publique de formation unifiée ni d’actions de vulgarisation publiques efficaces. Le faible niveau technique des agriculteurs libanais les rend dépendants des vendeurs d’intrants agricoles (engrais, pesticides, insecticides, etc.). Ceci conduit à de fréquents usages abusifs d’intrants qui rendent parfois la production invendable sur les marchés internationaux à cause de son coût élevé et de sa non-conformité aux normes phytosanitaires internationales. La méconnaissance de ces normes par des agriculteurs insuffisamment formés et informés aggrave cette situation.
14. Les producteurs connaissent mal la demande interne et externe. Les variétés produites sont encore fréquemment traditionnelles. Elles sont souvent concurrencées par de nouvelles variétés plus demandées, aussi bien sur le marché domestique que sur les marchés extérieurs traditionnels, notamment les pays arabes.
L’accès de la production aux marchés des pays développés est souvent impossible car Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Géneral | Tagué: action, agriculteur, Agriculture, agronomie, bail, cadastre, Chercheurs, commercialisation, compétitivité, concurrence, consommation, Courant Patriotique Libre, cout, CPL, Culture, déficit, diagnostic, domaine agricol, EAU, emploi, exode rural, foncier, Formation, investissement, irrigation, Liban, main d'oeuvre, Marché, objectif, PIB, Politique, producteur, production, produit, programme, propriété, Protection, recherche, rural, social, tarification, terre | 1 Comment »
Posted by jeunempl sur août 1, 2008
La cité des morts reposait sous l’ancien parking de Sofil
(May Makarem – L’Orient le Jour)
Des tombes souterraines construites au IIIe siècle de notre ère ont été découvertes dans le sous-sol de l’ancien parking de Sofil, à Achrafieh. Reposant à cinq mètres au-dessous du niveau de la route, les caveaux creusés dans la paroi rocheuse ont été scellés avec des murs de pierre. L’intérieur est composé de plusieurs « loculis » ou chambres funéraires renfermant chacune un sarcophage, en terre cuite, en plomb ou en pierre, indique M. Assaad Seif, directeur des fouilles à la DGA. Il signale que les cercueils en plomb sont « très détériorés » en raison de l’acide contenu dans la roche calcaire marneuse qui a attaqué le métal.
La cité des morts qui s’étale sur plus de trois mille mètres carrés a également livré des indices d’installations plus anciennes que le romain et l’hellénistique. L’équipe archéologique de la DGA a donc décidé de pousser plus loin ses fouilles.
Ce site, ajouté à ceux découverts ces dernières années dans les secteurs de Gemmayzé, Akkaoui, Mar Mitr et Saint-Nicolas, la rue Ghandour el-Saad et la rue du Liban, à Achrafieh, apporte une somme de connaissances sur la typologie funéraire de la nécropole romaine de Beyrouth et sur les modes d’inhumation à cette période de l’histoire. On sait maintenant que du Ier siècle avant J.-C. jusqu’au Ier siècle de notre ère, la majorité des cercueils utilisés étaient en bois. Un changement de tradition est ensuite survenu avec l’utilisation de la Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral, Liban dans l'Histoire | Tagué: Achrafieh, Archeologie, Beyrouth, bois, cité des morts, Romain, sarchofage, Sofil, terre | Leave a Comment »