Posts Tagged ‘souks’
Posted by dodzi sur janvier 31, 2012
L’Orient le Jour
Par May Makarem

L’immeuble Wikalat, qui procède de la maison aux trois baies, à la rue Mar Mikhaël.
Peu de Beyrouthins peuvent situer sur une carte l’emplacement des tours de défense et de surveillance de leur ancienne ville. Encore moins nombreux sont ceux qui connaissent sa toponymie, perdue aujourd’hui. Après cinq ans d’enquêtes sur le terrain et de recherches dans les archives des services du cadastre ottoman, français et libanais, l’architecte Antoine Fischfisch dresse le portrait aux cent visages du vieux Beyrouth, offrant un éclairage inédit sur ses métamorphoses depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours.
Publié par l’Académie libanaise des beaux-arts (ALBA), l’ouvrage de l’architecte-restaurateur Antoine Fischfisch, intitulé Formes urbaines et architecturales de Beyrouth, depuis le XIXe siècle à nos jours, apporte « des éléments radicalement nouveaux pour saisir l’évolution de la ville grâce à ses composantes foncières et architecturales ». D’emblée, la préface signée par le professeur Michael Davie, de l’université François – Rabelais de Tours, met l’accent sur l’importance de celle qui constitue « une référence incontournable pour les futurs chercheurs qui se pencheront sur les moments charnières de la ville ». Il souligne d’autre part que le fait de focaliser l’attention sur la période ottomane relève d’une bonne pratique scientifique, car étant donné que les lois, les réglementations urbaines, l’institution municipale, les grands aménagements et les bâtiments emblématiques de la ville datent pour l’ensemble de cette période.
Pour analyser les diverses mutations de la ville, Antoine Fischfisch a puisé dans les archives foncières. Le premier cahier trouvé remonte à 1876. Les plus anciens, ceux de 1859 – date de l’instauration du bureau ottoman « Defter Khaqany », qui s’occupait de l’inscription des diverses opérations immobilières – jusqu’à 1875 n’ont pas été repérés. Ce sont donc les registres de la période 1876-1918 qui ont été épluchés ainsi que 21 cahiers du cadastre de la période du mandat français et 27 autres issus du recensement des biens-fonds datant de 1931. Les informations réunies ont été photocopiées, photographiées ou scannées et inventoriées selon chaque thème dans un Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Liban dans l'Histoire | Tagué: Aïn el-Bachoura, Aïn el-Bayda, Aïn Mreisseh, Académie Libanaise des Beaux-Arts, Achrafieh, adminisratif, ALBA, Alep, ancien Beyrouth, Antoine Fischfisch, Architecture, Baalbak, Bachoura, Beiroet, Beirut, Beyrouth, Beyrouth au 19e siècle, Beyrouthins, Borj Abi Haïdar, Borj Brajneh, Borj Charqui, casernes militaires, Centre-ville, Charqieh, Cheikh Reslan, chemin de fer, Christianisme, Damas, Defter Khaqany, empire ottoman, Fakhreddine, Foch-Allenby, Français, fundok, gendarmerie de Beyoruth, Ghabeh, Gharbieh, Haddadine, Hama, Hamidiyyeh, Hayyakin, Histoire, histoire architecturale, histoire urbaine de Beyrouth, institution municipale, Islam, Jall el-Bahr, Karm el-Zeitoun, Liban, maisons de Beyrouth, Mar Maroun, Mar Mikhael, Mar Mitr, Mar Nkoula, Mazraa, Michael Davie, Militaire, Minet el-Hosn, Mosquée al-Khodr, Mousseitbé, Mseitbeh, Municipalité de Beyrouth, murailles de Beyrouth, Nabeh Abou Saleh, Nabeh el-Moutran, Nahr Abou Chahine, Nahr Beyrouth, Nahr el-Ghabeh, Nahr-el-Kalb, ottomans, périphérie de Beyrouth, Place des Martyrs, Première Guerre Mondiale, Qirat, Raouché, Ras el-Nabeh, règlementation urbaine, Rijal Arbaïn, Rmeil, Rmeileh, rue al-Maarad, rue à caractère traditionnelle, Saïfi village, Saifi, Saint-Elie, Saint-Maron, Saint-Nicolas, Si Beyrouth m'était contée, souks, souks de Beyrouth, Sour, tanneries, tours de défense, Turques, Turquie, Université Saint Joseph, urbanisation, USJ, vieux Beyrouth, wali Azmi Bey, XIXe siècle, Zaha Hadid, Zokak el-Blat, zoukak, Zouqaq Assour, Zqaq Assour | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur janvier 22, 2010
AFP/Cyberpresse.ca
Par Natacha Yazbeck

La collection automne 2009 de Georges Chakra
Des passerelles parisiennes aux tapis rouges de Cannes et des Oscars, les créateurs libanais font un tabac dans le monde de la haute couture, offrant une image plus glamour de leur pays longtemps associé à la violence.
Pendant des décennies, le Liban a été la vitrine de la mode du monde arabe, mais ce n’est qu’avec le début du XXIe siècle qu’ont commencé à briller les noms de Georges Chakra, Zuhair Murad, Rabih Kayrouz et surtout Elie Saab, l’homme qui a lancé «la vague libanaise».
Elie Saab est devenu une star internationale lorsqu’aux Oscars de 2002, l’image de l’actrice américaine Halle Berry en robe lie-de-vin portant sa griffe a fait le tour du monde. Membre de la prestigieuse chambre syndicale de la haute couture à Paris, M. Saab habille une panoplie de stars comme Angelina Jolie, Marion Cotillard ou encore Beyonce. Avec une enseigne aux Champs-Elysées, son coeur n’en reste pas moins fidèle à sa ville natale, où il a établi son atelier.
«Je respire autrement au Liban. Mon pays me donne de la force», affirme à l’AFP cet homme aux cheveux poivre et sel, tout en mettant les dernières touches à sa collection avant le lancement de la Semaine de la haute couture à Paris (24-28 janvier).
«Parrain» des couturiers libanais en herbe, cet homme de 45 ans fait la fierté de son pays où il a grandi en pleine guerre civile (1975-1990). Enfant, il confectionnait des robes pour ses soeurs à partir de draps et de rideaux et à 18 ans, il ouvre son premier atelier. Dans son ouvroir, des femmes qui travaillent avec lui depuis 25 ans finalisent leurs broderies aux côtés de jeunes apprentis branchés.
«Beyrouth peut facilement devenir une autre capitale de la haute couture, avec tous les nouveaux talents qui se lancent dans le monde», dit M. Saab. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur novembre 23, 2009
Iloubnan.info
Détrôné par Dubaï au fil des ans, Beyrouth compte redevenir une destination privilégiée pour le luxe au Moyen-Orient, avec l’implantation de grands noms tel Dior ou Louis Vuitton, et des « souks » modernes qui offriront le nec plus ultra du shopping.
« Le luxe grignote davantage d’espace et s’étend comme une tâche d’huile », dit Guillaume Boudisseau, de la société de conseil immobilier Ramco à Beyrouth. Le centre-ville inaugurera prochainement ce qui était, il y a 20 ans, un champ de bataille en pleine guerre civile: ses anciens souks populaires, reconstruits par le géant immobilier Solidere dans une version plus sophistiquée pour plus de 100 millions de dollars. Aux côtés de marques grand public, ces souks –400 projets de magasins, dont 49 de bijoux–, compteront des enseignes tel Yves Saint Laurent, Chloé, Burberry ou Vivienne Westwood. Ils jouxtent les rues Foch et Allenby, sortes d’avenue Montaigne ou de Sloane Street, qui accueilleront également de nouvelles marques de luxe. « Le centre-ville est le passage obligé pour le luxe au Liban », constate M. Boudisseau, en référence aux marques déjà implantées telles Armani, Berluti, aux maisons de célèbres couturiers libanais comme Elie Saab et Zuhair Murad, et aux appartements à plus d’un million de dollars du front de mer, où se dressent les hôtels les plus chers du Liban. « Beyrouth va devenir une destination de choix jusqu’à récupérer sa place d’ici à deux ans », avance Tony Salamé, PDG d’Aïshti, le groupe libanais qui a le plus de contrats de franchise dans le luxe. Selon lui, le marché à Beyrouth augmente à près de 15% en rythme annuel, avec des clients n’hésitant pas à dépenser jusqu’à 200.000 dollars par saison.
Surnommé le « Paris du Moyen-Orient » dans les années 1950-60, Beyrouth s’est imposé de nouveau comme la vitrine du luxe dans les années 90, malgré le marasme économique. Lire le reste de cette entrée »
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