Mouvement pour le Liban

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Jbeil livre ses petits secrets : Le joyau en héritage

Posted by jeunempl sur décembre 25, 2011

Julien Abi Ramia – L’Hebdo Magazine

Jbeil, la plus petite des grandes villes du pays, le carrefour paisible de millénaires d’histoire. Havre de quiétude, la cité de l’alphabet est en mouvement. Bercée par la mer, pavée de pierres blanches, ses nuits sont douces et branchées. L’endroit rêvé pour une ballade qui n’en finirait jamais. Visite guidée.

Si Jbeil était une femme, elle serait souriante et lumineuse. Attirante et joyeuse. Charmeuse mais tellement simple, sans chichis. Elle serait intelligente, un peu folle et si romantique. Elle aurait tant de choses à raconter. De grandes histoires et de petites anecdotes. Vous l’écouteriez parler des heures durant, assis sur la plage, les yeux tournés vers l’horizon. Elle aimerait marcher, se balader, soir et weekend. Au bord de la mer ou sur la terrasse d’un café, la nuit lui va si bien. On l’aimerait d’un amour adolescent, plus profond qu’un amour de vacances, moins solennel qu’un mariage. Avec elle, vous êtes en paix, serein. Vos soucis, elle les met entre parenthèses. Elle a le contact facile, ouverte sur le monde. C’est quelqu’un de cultivé, qui aime l’art et l’archéologie. Beauté extérieure, richesse intérieure. C’est une bonne copine qui aime la fête, un sacré brin de fille qui n’aime pas la vie pépère.

On a tous un souvenir, un attachement particulier avec ce grand village. On vous explique pourquoi.

Une impressionnante richesse archéologique

A Beyrouth, Berytus ne veut pas dire grand-chose. A Jbeil, Byblos signifie tout. Ses habitants se savent héritiers d’une histoire séculaire. Byblos, c’est l’une des premières implantations humaines du Levant, l’une des premières villes de l’humanité. Elle est déjà occupée à l’époque du néolithique, il y a près de 7000 ans. Elle deviendra la figure de proue de la Phénicie heureuse, dont le peuple commerçant attirera les Lire le reste de cette entrée »

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Les créateurs de mode libanais, une fierté nationale

Posted by dodzi sur janvier 22, 2010

AFP/Cyberpresse.ca

Par Natacha Yazbeck

La collection automne 2009 de Georges Chakra

Des passerelles parisiennes aux tapis rouges de Cannes et des Oscars, les créateurs libanais font un tabac dans le monde de la haute couture, offrant une image plus glamour de leur pays longtemps associé à la violence.

Pendant des décennies, le Liban a été la vitrine de la mode du monde arabe, mais ce n’est qu’avec le début du XXIe siècle qu’ont commencé à briller les noms de Georges Chakra, Zuhair Murad, Rabih Kayrouz et surtout Elie Saab, l’homme qui a lancé «la vague libanaise».

Elie Saab est devenu une star internationale lorsqu’aux Oscars de 2002, l’image de l’actrice américaine Halle Berry en robe lie-de-vin portant sa griffe a fait le tour du monde. Membre de la prestigieuse chambre syndicale de la haute couture à Paris, M. Saab habille une panoplie de stars comme Angelina Jolie, Marion Cotillard ou encore Beyonce. Avec une enseigne aux Champs-Elysées, son coeur n’en reste pas moins fidèle à sa ville natale, où il a établi son atelier.

«Je respire autrement au Liban. Mon pays me donne de la force», affirme à l’AFP cet homme aux cheveux poivre et sel, tout en mettant les dernières touches à sa collection avant le lancement de la Semaine de la haute couture à Paris (24-28 janvier).

«Parrain» des couturiers libanais en herbe, cet homme de 45 ans fait la fierté de son pays où il a grandi en pleine guerre civile (1975-1990). Enfant, il confectionnait des robes pour ses soeurs à partir de draps et de rideaux et à 18 ans, il ouvre son premier atelier. Dans son ouvroir, des femmes qui travaillent avec lui depuis 25 ans finalisent leurs broderies aux côtés de jeunes apprentis branchés.

«Beyrouth peut facilement devenir une autre capitale de la haute couture, avec tous les nouveaux talents qui se lancent dans le monde», dit M. Saab. Lire le reste de cette entrée »

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Beyrouth veut redevenir une vitrine du luxe du Moyen-Orient

Posted by dodzi sur novembre 23, 2009

Iloubnan.info

Détrôné par Dubaï au fil des ans, Beyrouth compte redevenir une destination privilégiée pour le luxe au Moyen-Orient, avec l’implantation de grands noms tel Dior ou Louis Vuitton, et des « souks » modernes qui offriront le nec plus ultra du shopping.

 

« Le luxe grignote davantage d’espace et s’étend comme une tâche d’huile », dit Guillaume Boudisseau, de la société de conseil immobilier Ramco à Beyrouth. Le centre-ville inaugurera prochainement ce qui était, il y a 20 ans, un champ de bataille en pleine guerre civile: ses anciens souks populaires, reconstruits par le géant immobilier Solidere dans une version plus sophistiquée pour plus de 100 millions de dollars. Aux côtés de marques grand public, ces souks –400 projets de magasins, dont 49 de bijoux–, compteront des enseignes tel Yves Saint Laurent, Chloé, Burberry ou Vivienne Westwood. Ils jouxtent les rues Foch et Allenby, sortes d’avenue Montaigne ou de Sloane Street, qui accueilleront également de nouvelles marques de luxe. « Le centre-ville est le passage obligé pour le luxe au Liban », constate M. Boudisseau, en référence aux marques déjà implantées telles Armani, Berluti, aux maisons de célèbres couturiers libanais comme Elie Saab et Zuhair Murad, et aux appartements à plus d’un million de dollars du front de mer, où se dressent les hôtels les plus chers du Liban. « Beyrouth va devenir une destination de choix jusqu’à récupérer sa place d’ici à deux ans », avance Tony Salamé, PDG d’Aïshti, le groupe libanais qui a le plus de contrats de franchise dans le luxe. Selon lui, le marché à Beyrouth augmente à près de 15% en rythme annuel, avec des clients n’hésitant pas à dépenser jusqu’à 200.000 dollars par saison.

 

Surnommé le « Paris du Moyen-Orient » dans les années 1950-60, Beyrouth s’est imposé de nouveau comme la vitrine du luxe dans les années 90, malgré le marasme économique. Lire le reste de cette entrée »

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