Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘Sderot’

Confessions d’un soldat israélien : « Nous traitons les Palestiniens comme des animaux »

Posted by dodzi sur mars 14, 2009

Info-Palestine

Mundo Obrero

Checkpoint de Beit Iba - Enlèvement d’étudiants palestiniens ayant protesté après être restés bloqués pendant des heures

Checkpoint de Beit Iba - Enlèvement d’étudiants palestiniens ayant protesté après être restés bloqués pendant des heures

Dans la société israélienne, les premières voix contre la guerre commencent à s’élever. Dimanche, une marche à Tel Aviv pour demander la fin des bombardements à Gaza et au Liban. Aujourd’hui, une nouvelle qui toucha l’opinion publique : le sergent Itzik Shabbat annonça qu’il refusait de participer à l’offensive contre Gaza. « Je le fais pour m’opposer à cette folie et pour mettre fin à l’illusion que nous sommes tous en faveur de cette guerre inutile basée sur des mensonges », affirma ce jeune réserviste de 28 ans qui vit à Sderot, ville proche de Gaza dans laquelle les missiles Qassam du Hamas tombent régulièrement.

L’heure du retour à Gaza approche [janvier 2009]. Je termine les dernières interviews à Jérusalem. Dans un café de Jaffa Road, je me trouve avec Yehuda Shaul, fondateur de l’ONG Breaking the Silence ( rompre le silence).

« Tout est pure folie : l’occupation, la forme inhumaine avec laquelle nous traitons les Palestiniens », me dit-il. En Israël, tu entres dans l’armée à 18 ans parce que tu veux combattre l’ennemi de ton pays, parce que tu veux laisser une trace dans l’histoire, et tu fais ce qu’on te dit de faire, sans penser. Et tout est fait pour que tu ne penses pas. Des missions à accomplir, des ordres à suivre ».

« Et tu ne vois pas les Palestiniens comme des être humains, tu les vois comme des animaux. Tu entres dans leur maison, la nuit, tu les réveilles, les femmes d’un côté, les hommes de l’autre, et tu casses tout. C’est le genre de choses que tu ne ferais pas ici, en Israël, mais tu le fais chez eux. Et, pour ce faire, tu refuses la réalité. C’est la seule manière. Tu crées entre toi et la réalité un mur de silence ». Lire le reste de cette entrée »

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« Aujourd’hui, c’est un véritable climat de MacCarthysme autour de la critique d’Israël

Posted by dodzi sur janvier 28, 2009

webmanagercenter.com

Guillaume Weill Raynal

Juriste de formation, ancien avocat, Guillaume Weill Raynal est un empêcheur de penser (l’image) en rond. Iconoclaste, libre dans sa tête et ses propos, il est l’auteur notamment d’un livre remarquable «Les nouveaux désinformateurs» (éd. Armand Colin). Il s’exprime, ici, sur un sujet que les médias, en France, «colorent» par un parti pris déconcertant : les rapports entre Juifs et Arabes, les médias et le conflit du Moyen-Orient. Entretien!

Webmanagercenter: Vous êtes l’auteur du livre «Les nouveaux désinformateurs». Abordons, si vous le voulez bien, la nouvelle crise au Moyen-Orient. Israël a fait de cette guerre une «guerre d’images» en verrouillant l’accès des journalistes aux sources . Quelle est la part de la désinformation dans cette affaire ?

Guillaume Weill Raynal : On peut effectivement parler de verrouillage. A ce titre, je ne pense pas que l’on puisse parler de désinformation au sens où j’analyse ce phénomène dans Les Nouveaux désinformateurs, à savoir un ensemble de procédés et de mécanismes précis par les effets indirects desquels on manipule consciemment l’opinion. Ce que Volkoff appelle l’effet de levier, ou que d’autres appellent le «coup de billard à trois bandes».

Pour en revenir à Gaza et au verrouillage que vous évoquez, c’est bien plutôt de degré zéro de l’information qu’il faudrait parler : «circulez, il n’y a rien à voir», en quelque sorte. Sans aucun bénéfice à la clé, d’ailleurs ! Ni sur le plan militaire ou stratégique, car les Israéliens se retirent sans être parvenus à éliminer le Hamas et les tunnels entre Gaza et l’Egypte sont déjà en reconstruction. Ni sur le plan de la «communication» : l’image d’Israël n’a pas été franchement améliorée par ces trois semaines de combat, malgré l’absence de journalistes sur le terrain, bien au contraire.

Justement, en termes d’images, quelles seront, pour vous, les conséquences, à court terme et à long terme ?

Il y a bien sûr les images les plus immédiatement négatives des conséquences des combats : destructions, victimes, etc. C’est au départ ce qui frappe le plus l’opinion. Mais ne nous leurrons pas. Ce qui touche et émeut sur l’instant s’oublie aussi très vite. D’autant que, sur ce terrain, le débat devient rapidement stérile et tourne en rond : qui a rompu la trêve ? Israël pouvait-il accepter le bombardement de son territoire, même si les roquettes et les missiles du Hamas ont causé infiniment moins de dégâts et de victimes, etc. Et puisque nous parlons d’«image», ne perdons pas de vue, non plus, que le Hamas n’incarne pas, par ses méthodes et sa vision du monde, l’image la plus séduisante de ce à quoi pourrait ressembler, à l’avenir, la société palestinienne. Au-delà de l’émotion immédiate, ce qui ressort de la politique israélienne, c’est l’absence de toute perspective, de toute vision d’avenir sur le plan politique. Non pas seulement parce que le but d’éliminer le Hamas n’a pas été atteint par cette campagne. On a l’impression que l’armée israélienne a voulu effacer l’impression désastreuse du ratage de la guerre du Liban en 2006. Mais excepté le fait que les pertes israéliennes ont été limitées au maximum, les buts de guerre ne semblent pas avoir été mieux atteints cette fois-ci que la précédente. Surtout, il aurait mieux valu ne pas «nourrir» le Hamas et le faire croître par un affaiblissement systématique de l’Autorité palestinienne, comme l’ont fait méthodiquement les différents gouvernements israéliens qui se sont succédés depuis bientôt quinze ans.

Il faut arrêter de regarder le conflit par le petit bout de la lorgnette. Le conflit israélo-palestinien n’a pas débuté par les tirs de roquettes sur Sderot. Le Hamas n’est pas la cause de ce conflit. Lire le reste de cette entrée »

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MENSONGES – Trêve brisée, buts de guerre, bombes intelligentes, civils massacrés

Posted by dodzi sur janvier 11, 2009

Le Quotidien

les bombes à phosphore blanc, et les bombes à fragmentation.

Israel utilise des armes interdites: les bombes à phosphore blanc, et les bombes à fragmentation.

Les trous d’air de la propagande sioniste

Aucun autre Etat au monde proche des pays occidentaux ne serait sorti indemne de la foudre des sanctions et des représailles de la «communauté internationale» s’il était coupable d’un centième des carnages quotidiens perpétrés par Tsahal dans l’enfer de Gaza. Mais Israël, Etat terroriste par essence, abonné aux crimes de guerre parce qu’il se sait intouchable, a les mains libres quand sa pseudo sécurité est en jeu. Le châtiment collectif que ses armées infligent aux Palestiniens de Gaza est la conséquence d’une impunité garantie et dont la continuité repose fondamentalement sur le mensonge et le travestissement des faits. Sous le parrainage des Etats-Unis, de la France, de la Grande Bretagne, avec la complicité d’Etats arabes.

Par Momar DIENG

A lire le communiqué de presse publié par l’Ambassade d’Israël à Dakar en date du 28 décembre 2008, c’est-à-dire au lendemain du début du carnage sur la Bande de Gaza, puis à entendre l’ambassadeur dudit Etat sur la bande Fm, on mesure l’étendue des difficultés auxquelles un diplomate peut être confronté entre la vérité et le mensonge. C’est hallucinant ! Lire le reste de cette entrée »

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Obama garde un silence prudent

Posted by dodzi sur janvier 5, 2009

L’Orient le Jour

À quelques jours de sa prise de fonctions le 20 janvier, le président élu américain Barack Obama garde un silence prudent sur l’inextricable conflit israélo-palestinien et l’offensive terrestre lancée par Israël dans la bande de Gaza. Barack Obama « surveille la situation à Gaza », a déclaré samedi une de ses porte-parole, Brooke Anderson, dans un communiqué, après l’entrée des troupes israéliennes dans la bande de Gaza. Le futur président des États-Unis n’a fait aucun commentaire sur l’offensive elle-même, Mme Anderson rappelant le sacro-saint principe « un président à la fois », martelé par l’équipe Obama tout au long de la période de transition. Le futur président restera probablement en retrait au moins jusqu’à son investiture.

Mais ce silence n’est que temporaire puisque l’administration Obama va devoir gérer une des crises les plus aiguës au Moyen-Orient depuis la guerre de l’été 2006 au Liban. « La future administration comptait sans doute s’installer au pouvoir, observer le résultat des élections israéliennes (le 10 février), puis formuler son approche. Mais ils n’ont désormais plus ce luxe, ils vont devoir réagir à une crise sur le terrain », estime Tamara Wittes, experte du Proche-Orient à la Brookings Institution. De plus, la perspective de l’arrivée au pouvoir en février du « faucon » Benjamin Netanyahu vient encore compliquer la donne pour M. Obama. Seul indice de la future politique de M. Obama, il avait, alors qu’il était candidat à la Maison-Blanche, pris fait et cause pour Israël face au Hamas lors d’un passage dans la ville israélienne de Sdérot, cible régulière des tirs de roquettes palestiniennes. « Si quelqu’un tirait des roquettes sur ma maison où mes deux filles dorment chaque soir, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour faire cesser cela », avait-il dit. Lire le reste de cette entrée »

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