Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘Sabra-Chatila’

Produits avariés : Hajj Hassan promet « une onde de choc pour les importateurs »

Posted by dodzi sur mars 19, 2012

L’Orient le Jour

Pas une semaine ne passe, ces derniers temps, sans que les autorités libanaises n'annoncent avoir découvert un stock de produits alimentaires avariés dans un entrepot ou une décharge.

 

Après le scandale des viandes avariées, le ministre de l’Agriculture affirme que « de nouvelles mesures strictes seront appliquées à l’encontre des contrevenants ».

Le ministre de l’Agriculture Hussein Hajj Hassan a promis hier que « de nouvelles mesures très strictes seront mises en place par le ministère à l’encontre de ceux qui commercialisent des produits avariés », affirmant qu’elles constitueront « une onde de choc pour les importateurs ». « Le ministère de l’Agriculture, en coordination avec les ministères de l’Économie et de la Santé, demandera à tous les importateurs de dresser une liste de leurs clients », a-t-il poursuivi. Il a annoncé que tout propriétaire d’un dépôt de stockage de viandes et de poissons devra dorénavant obtenir un permis spécial, soulignant que « le ministère exigera de tous les importateurs de le prévenir une semaine avant l’expiration de la date limite de consommation de chaque stock ».

Le ministre, qui s’exprimait à la Voix du Liban-93.3, a assuré que « la situation dans le port de Beyrouth, à l’aéroport et au niveau du passage frontalier de Masnaa est à 90 % sous contrôle ». « Le problème, a-t-il poursuivi, c’est quand ces viandes ne sont pas écoulées avant leur date d’expiration, pour diverses raisons, dont les mauvaises conditions de stockage, les recongélations des produits décongelés pour leur vente dans les supermarchés et les restaurants… Le plus souvent, le consommateur ne sait pas qu’il achète un produit périmé. »

Hajj Hassan a révélé que « le dépôt appartenant aux frères Natour perquisitionné à Sabra et Chatila (et dans lequel des tonnes de viandes avariées ont été découvertes) n’est pas le premier, mais c’était celui où la plus grande quantité de denrées a été saisie, d’où la panique suscitée par cette affaire ». Il a assuré que « les contrevenants ne bénéficient d’aucune couverture politique », et ajouté que « les produits avariés ne se limitent pas à la viande, mais englobent également les produits laitiers, le café, les pesticides et les chips ».

Pour ce qui est de la pénalisation des contrevenants, Hajj Hassan a appelé la justice à sévir et à ne prendre en compte aucune circonstance atténuante. « Le problème, à la base, découle de vingt ans de lacunes dans le cadre de l’État et de l’absence de contrôleurs sanitaires dans les municipalités », a-t-il ajouté. Lire le reste de cette entrée »

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« Lebanon » : la guerre à travers le périscope d’un char israélien

Posted by dodzi sur février 2, 2010

Le Monde

Refusé au Festival de Cannes par toutes les sections (de la Sélection officielle à la Semaine de la critique en passant par la Quinzaine des réalisateurs), Lebanon s’est imposé quelques mois plus tard comme un Lion d’or indiscutable à la Mostra de Venise. Voilà qui relativise le jugement sacro-saint des sélectionneurs, et prouve en même temps qu’aucun film ne fait jamais tout à fait l’unanimité, chacun ayant ses raisons de plébisciter ou de rejeter l’oeuvre en fonction de critères qui sont affaire de goût, de subjectivité, d’idéologie.

Ce film, le premier réalisé par Samuel Maoz, se situe dans le sillage d’autres oeuvres retraçant, comme lui, la première guerre du Liban d’un point de vue israélien. Les plus connus sont Beaufort (2007), de Joseph Cedar, qui, dépeignant les derniers jours d’une forteresse israélienne assiégée par le Hezbollah, reçut l’Ours d’argent au Festival de Berlin. Et Valse avec Bachir (2008), d’Ari Folman, qui retraçait, par le biais du cinéma d’animation, l’invasion israélienne du sud du Liban en 1982 et la nuit du massacre des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila.

Le terme « point de vue israélien » n’est pas tout à fait exact. Lebanon et ces deux précédents films ont ceci de commun qu’ils adoptent le regard des soldats israéliens, et non celui de leur gouvernement. Charges contre la guerre et son absurdité en général, ces films se gardent bien d’émettre des jugements politiques (ce qui leur a été reproché), se polarisent sur le traumatisme que cette campagne a provoqué dans des consciences. Il s’agit moins de films historiques que d’expériences individuelles, de mémoires intimes, de chocs psychiques générant des cauchemars privés. Lire le reste de cette entrée »

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« Lebanon », lion d’or de Venise fraichement accueilli au Liban

Posted by dodzi sur septembre 16, 2009

Rue 89

Par Antoun Issa

Lebanon - Samuel MoazLes blogueurs libanais ont fait un accueil mitigé au film de l’Israélien Samuel Maoz « Lebanon », qui a reçu le lion d’or à la 66e Mostra de Venise, et qui est consacré à l’invasion par Israël en 1982 de son voisin du nord.

Nommé de façon très directe « Lebanon » (Liban), ce film autobiographique est entièrement tourné dans un char, tandis qu’il retrace l’implication de l’armée israélienne dans le conflit.

« Lebanon » est le second film autobiographique qui montre les soldats de l’IDF (Israeli Defence Force) en action durant la guerre civile au Liban (1975-1990), un an seulement après la sortie du film d’animation « Valse avec Bachir ». Les deux films tente de retracer -de la façon la plus sanglante- la brutalité et les dévastations de la guerre moderne.

Il était évident que ce film allait soulever une controverse parmi les Libanais, tous les événements liés la guerre civile étant extrêmement sensibles.

Ce film a reçu des critiques élogieuses dans le monde entier après avoir remporté le lion d’Or à la Mostra de Venise dernièrement, mais qu’en pensent les Libanais, et du film, et de l’accueil qu’il a reçu ?

Asad Abu Khalil, sur le blog Angry Arab, [en anglais, comme tous les liens suivants], qui n’a pas encore vu le film, douche le succès du film à la Mostra de Venise avec le commentaire suivant :

« “Je dédie ce film à tous les gens dans le monde qui reviennent sain et sauf de la guerre‘, a dit le metteur en scène quand on lui a remis son prix. Ils travaillent, ils se marient, ils ont des enfants, mais les souvenirs restent logés au fonds de leur âme.’”

Donc, ce clown sioniste dédie son fim aux guerriers (Je dirais ce que je pense du film quand je recevrais ma copie gratuite) et non aux victimes des terroristes israéliens. »

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Le jour où Nina Simone a cessé de chanter

Posted by dodzi sur mars 18, 2009

Le Mague – François Xavier

le-jour-ou-nina-simone-a-cesse-de-chanter-darine-joundi-mohamed-kacimi« Le Liban raconté à ma fille » … Et plus largement, tout le Proche et Moyen-Orient peut s’associer au panorama culturel et religieux ici dressé face à vos yeux ébahis qui inviteront votre esprit à penser que vous lisez une fiction, une histoire un peu tirée par les cheveux afin de faire battre le cœur ; mais non, bien au contraire : ici, tout est vrai !

Et c’est bien là tout l’intérêt de ce livre qui nous plonge au plus profond de la société libanaise, avec ses antagonismes, ses paradoxes, ses merveilles et ses démences. Oui, il ne fait pas bon être une fille en Orient, et surtout dans la communauté musulmane ; et pas plus au Liban qu’ailleurs même si la vitrine semble donner une image plus conciliante du pays du cèdre.

Attention à l’image en Orient ! Tout n’est qu’image, apparence ou attitude et la violence de cette société tribale et patriarcale ne se voit pas, mais les mentalités sont dignes du Moyen Age. Une fille n’est rien, rien aux yeux de la loi, rien aux yeux de la société, rien aux yeux des parents qui ne rêvent que d’avoir un mâle, un héritier, un futur guerrier, en quelque sorte …

Alors qu’arrive-t-il à une jeune fille, dont le père est un éminent intellectuel musulman qui prône la laïcité en sa famille et la liberté pour ses enfants ? Comment appréhender le prix de cette liberté au pays des 17 communautés religieuses qui se regardent de biais et s’égorgent au moindre conflit ? Dans quelle mesure est-elle applicable cette liberté érigée en dogme, qu’elle soit sexuelle, amoureuse, politique, sociale ou religieuse ? Lire le reste de cette entrée »

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Malgré le boycott, les Libanais valsent avec «Bachir»

Posted by dodzi sur mars 17, 2009

Libération

Le film israélien sur le massacre de Sabra et Chatila circule sous le manteau.
BEYROUTH, de notre correspondante ISABELLE DELLERBA

Valse avec Bachir a obtenu un oscar

La porte de fer claque. Les retardataires resteront dehors. La galerie d’art beyrouthine, transformée pour un soir en salle de projection, est déjà comble. Elle ne pourra accueillir, ce soir-là, tous ceux qui, curieux ou sceptiques, veulent voir comment «l’autre», l’ancien soldat israélien devenu réalisateur, Ari Folman, relate l’une des pages les plus sombres de leur propre histoire : le massacre de Sabra et Chatila, commis en septembre 1982 par les phalangistes chrétiens au lendemain de l’assassinat de leur chef, Béchir Gemayel, alors que les troupes de l’Etat hébreu encerclaient le camp palestinien.

Le film d’animation Valse avec Bachir, Golden Globe Award et césar 2009 du meilleur film étranger, n’est pas diffusé dans les cinémas libanais. Le visionner est même illégal. Le Liban boycotte en effet tous les produits israéliens. «Je comprends parfaitement cette politique mais je trouve absurde de prohiber une œuvre d’art», lâche Ralf, appareil photo en bandoulière – «au cas où les forces de l’ordre interviendraient pour mettre fin à la projection».

Au premier rang, un couple de quinquagénaires BCBG a prévu des sandwiches «pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent si nous sommes arrêtés». Lire le reste de cette entrée »

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Radio France Internationale condamnée pour le licenciement d’Alain Ménargues

Posted by dodzi sur mars 12, 2009

François Xavier – Le Mague

La cour d’appel de Paris vient de condamner RFI à verser 200.000 euros d’indemnités au journaliste Alain Ménargues, licencié en 2004 parce qu’il avait osé dénoncer le caractère raciste d’Israël.

Souvenez-vous, cela avait un peu remué le PAF, certains y étaient allés une fois encore de leur discours idiot sur l’antisémitisme qui revenait, sur des propos inadmissibles, c’est vrai, Israël n’est que la « première démocratie » du Proche-Orient, ô jamais un pays raciste et xénophobe, enfin non voyons restons sérieux …

Hé bien, le Tribunal a décidé que dire sur le plateau de LCI que Israël est un état raciste ne permet pas à RFI de licencier aussitôt le porteur d’une telle vérité ; même si toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire …

A tel point que l’article ici publié en son temps avait fait réagir les internautes qui se sont alors confondus dans leur mauvaise foi pour certains courtisans de l’état hébreu …

Mais que reproche-t-on, finalement, à Ménargues ?

Avoir rendu compte, de longue date, des crimes de l’armée israélienne au Proche-Orient, que ce soit dans ses reportages ou dans ses livres. Alain Ménargues connaît bien la région, pour avoir été notamment correspondant de Radio-France à Beyrouth pendant de nombreuses années. Lire le reste de cette entrée »

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Valse avec Bachir … à Beyrouth

Posted by dodzi sur mars 9, 2009

mediapart.fr

Par Julie Schneider

Difficile de ce rendre compte du caractère exceptionnel de cet évènement. Ayant remporté le César du meilleur film étranger en 2008, il semblerait presque normal qu’il soit diffusé dans les salles du pays du Cèdre, mais cela serait sans tenir compte de la loi : « aucun produit israélien n’est autorisé sur le territoire ».

Propriétaire du Art Lounge café, où se déroulait la diffusion en hébreu sous-titrée anglais, Nino avait l’air surpris lorsque je lui ai dit qu’il était interdit de diffuser ce film. « Je fais ce que je veux dans mon café ». Pas peur d’avoir des problèmes ? « Non, c’est une salle privée ». Pourquoi la presse est là ? « Ils l’ont su, mais c’est pas grave ». Inconscience, naïveté, ou peut-être qu’il me faisait juste marcher, je ne le saurai jamais…

Toujours est-il que dimanche soir, sur la Quarantaine à Beyrouth, non loin du quartier où nombre de phalangistes résident, était montré à une petite centaine de personnes, Valse avec Bachir. Durant la séance, tout le monde était attentif, concentré. Tout le monde savait qu’une fois les lumières rallumées, il allait falloir commenter le film, justifier ses propos… Et quand ce fût le cas, les visages étaient fermés, les esprits retournés, on pouvait entendre les voix susurrer : « T’as aimé ? »

Par manque de place, Rana était assise à la droite de l’écran sur un plot noir. Elle, elle n’a pas aimé le film : « les Israéliens ont l’air tellement innocent. A croire qu’ils n’ont rien fait. Ils se déculpabilisent complètement dans ce film ». Rana a grandit à Beyrouth pendant la guerre, et a vécu l’invasion israélienne. Lire le reste de cette entrée »

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Le film anti guerre « Valse avec Bachir » n’est qu’une mascarade

Posted by dodzi sur mars 7, 2009

Altermonde-sans-frontières

Personnellement, je trouve le film exaspérant, inquiétant, scandaleux et trompeur. Il mérite un Oscar pour les illustrations et l’animation, mais une marque d’infamie pour son message. Ce n’est pas par accident que lors de la cérémonie du Golden Globe, Folman n’a même pas mentionné la guerre de Gaza qui faisait rage au moment où il acceptait ce prix prestigieux. Les images en provenance de Gaza ce jour-là ressemblaient étonnamment à celles de son film. Mais il a gardé le silence. Aussi, avant que nous ne chantions les louanges de Folman, louanges que nous nous adresserions bien sûr à nous-mêmes, nous ferions bien de nous rappeler que ce n’est pas un film contre la guerre, ni même un film qui critique Israël en tant que puissance militariste et occupante. C’est une tromperie et une escroquerie d’auto congratulation, qui nous dit à nous et aux autres combien nous sommes adorables.

Par Gideon Levy

Hollywood sera sous le charme, l’Europe applaudira et le ministère israélien des affaires étrangères enverra le film et ses réalisateurs dans le monde entier pour montrer le pays sous son beau jour. Mais en vérité, c’est de la propagande. Ses réalisateurs ont de la classe, ils sont sophistiqués et doués et ils ont du goût, mais le film est de la propagande. Un nouvel ambassadeur de la culture rejoindra Amos Oz et A.B. Yehoshua et lui aussi sera considéré comme fabuleusement éclairé – à l’inverse des soldats assoiffés de sang aux postes de contrôle, des pilotes qui bombardent les quartiers résidentiels, des artilleurs qui tuent les femmes et les enfants, et des ingénieurs de combat qui défoncent les rues. Ici, vous avez le tableau opposé. Et qui plus est, en dessin animé. C’est un bel Israël, éclairé, angoissé et moralisateur, qui danse une valse avec et sans Bachir. Pourquoi aurions-nous besoin de propagandistes, d’attachés, de commentateurs et de porte-paroles pour diffuser « l’information » ? Nous avons cette valse. La valse repose sur deux fondements idéologiques. Le premier est le syndrome « nous avons tué et nous pleurons » : oh ! Qu’est ce que nous avons pleuré et pourtant nous n’avons pas de sang sur les mains. Ajoutez une pincée d’holocauste sans lequel il n’y a pas d’introspection israélienne qui vaille. Et une larme de victimisation- autre ingrédient absolument essentiel dans le discours public national- et c’est fait ! Vous avez le portrait trompeur d’Israël en 2008, en paroles et en images. Lire le reste de cette entrée »

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Valse avec Bachir : Un détournement ridicule et hypocrite de la guerre civile du Liban

Posted by dodzi sur mars 1, 2009

Libnanews

Par Carmen & Ryan – du blog cinema

Valse avec Bachir a obtenu un oscar

Valse avec Bachir a été distingué par de nombreuses nominations, dont plusieurs prix, dont un Oscar et un César

La censure dont a été l’objet le film d’animation israélien Valse avec Bachir par les autorités libanaises, prouve que ces dernières illustrent fidèlement l’adage qui dit que le propre des imbéciles est de détester tout ce qu’ils ignorent. Il suffit qu’un film soit de production israélienne pour l’interdire et le fuir comme la peste, sans même le visionner pour forger sa propre critique et à ce moment-là opter pour un rejet ou pour une acceptation. C’est d’ailleurs cette politique suivie depuis plus d’une décennie dans le pays des cèdres : les dirigeants bac + 1 et les héritiers des sièges politiques de leurs parents ou de leurs aïeux qui pensent à la place du peuple et décident de ce qui peut être ou ne pas être accessible au commun des mortels.

D’ailleurs, interdire un film ces jours-ci émane de l’ignorance elle-même, puisqu’il suffit d’un écran d’ordinateur, d’une connexion et de quelques clics afin d’avoir le produit du 7ème art à portée de main.

Voilà comment, avec la curiosité de voir dans quel contexte le nom de l’ancien dirigeant des Forces Libanaises a été évoqué dans une production de l’état hébreu, nous avons pu nous procurer facilement ce film qui nous ont renvoyés à une époque où le Liban saignant de la guerre civile a été témoin d’un affreux massacre de civils palestiniens, celui de Sabra et de Chatila, mais vu par les yeux d’un juif. Lire le reste de cette entrée »

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Gaza et la complicité active des dictateurs arabes

Posted by dodzi sur janvier 11, 2009

Nawaat.org

En bon terme avec Israel, Moubarak est souvent pointé du doigt pour complicité avec lennemi

En bon terme avec Israel, Moubarak est souvent pointé du doigt pour complicité avec l'ennemi dans les massacres à Gaza.

Ce qui se passe actuellement à Gaza était parfaitement prévisible. Il s’agit de l’une des phases d’un génocide, planifié depuis très longtemps. Des phases terrifiantes, comme Deir Yassine, Kalkilia, Sabra-Chatilla, Beyrouth, Jenine et long etcetera ont précédé et d’autres encore plus effroyables certainement suivront, à coup sûr. Car les israéliens restent, malgré leur énorme supériorité militaire actuelle, sans comparaison aucune, soutenue inconditionnellement par toutes les puissances occidentales, loin de leur but final : L’extermination totale des palestiniens. Et faute d’un sort pareil, faire plier à leur volonté et d’une manière définitive toutes les populations arabes et musulmanes en premier lieu et le reste de l’humanité en dernier lieu. C’est uniquement dans ces conditions qu’ils finiront peut être par se sentir finalement en totale sécurité et pour l’éternité. Et on n’est pas encore sûr s’ils n’ont pas d’autres revendications.

Une énorme machine d’anéantissement.

La nature de « l’État » que monsieur Sarkozy décrit comme une « Grande Nation » et une « Grande Démocratie » est en réalité une tout à fait autre chose. Comme on l’a vu jusqu’à présent et comme l’ont conçu leurs pères fondateurs: Une énorme machine d’anéantissement. Un instrument de cette « Promesse » de Dieu faite aux israéliens. Le dieu exclusif de Ben Gourion et des siens. En effet comme il est rapporté dans plusieurs documents d’histoire , Ben Gourion s’adressant à Nahum Goldmann, l’ancien président du Congrès Juif Mondial, en 1956

« Si j’étais un dirigeant arabe, je n’accepterais jamais un quelconque accord avec Israël. Et c’est bien naturel. Nous leur avons pris leur pays. Il est évident que Dieu nous l’avait promis à nous. Mais qu’est-ce que ça peut leur importer à eux une telle promesse ? Notre Dieu n’est pas le leur … C’est vrai qu’il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz mais est-ce que c’est de leur faute ? – Eux (les palestiniens et tous les arabes et musulmans par extension) ne voient qu’une seule chose : Nous sommes arrivés et nous leur avons volé leur pays. Pour quelle raison doivent-ils l’accepter ? »

Quant à Berl Katznelson, un des alliés inconditionnels de Ben Gourion et l’un des principaux intellectuels des premiers sionistes l’a exprimé d’une manière laïque et brutale en disant : « L’entreprise sioniste est une entreprise de conquête » Lire le reste de cette entrée »

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