(Rachad Antonius)
La tension au Liban s’est résorbée grâce au compromis auquel sont arrivées les forces politiques libanaises, à Doha le 25 mai. Bien que certains évoquaient le spectre d’une guerre civile, les signes du changement ne trompent pas : l’opposition, menée par le Hezbollah (chiite), a levé le sit-in du centre-ville qui dure depuis décembre 2006. Les tentes, symbole politique plus que blocage réel, ont disparu.
Le compromis porte sur les points suivants : la composition du gouvernement, la loi électorale et l’élection d’un nouveau président.
Le compromis sur la composition du gouvernement a permis à l’opposition d’obtenir le tiers plus un des sièges du Conseil Lire le reste de cette entrée »