Elle est en concert au festival Arabesques, vendredi à Montpellier.
Après une carrière liée aux musiques électronique et pop, vous revenez depuis quelques années à des orchestrations traditionnelles. Pourquoi ?
J’avais envie de quelque chose de nouveau et je voulais interpréter des chansons que j’aime depuis mon enfance. Il m’a semblé que c’était le bon moment pour le faire. J’avais les bonnes personnes autour de moi pour le rendre possible.
Le titre de votre dernier album, « Ana Hina », signifie « Je suis là ». Que vouliez-vous faire passer ?
C’est surtout en lien avec le morceau Ana Hina, une chanson d’amour qui dit : « Je suis là pour toi, quelles que soient les circonstances. » Mais on peut aussi l’entendre dans le sens où moi, je suis encore là, je suis bien en vie et je continue de faire ce que j’ai à faire. Je ne sais pas pour combien de temps encore mais pour l’instant, c’est comme ça !
Vous êtes née en Belgique d’une mère anglaise et d’un père égyptien. De quel pays vous sentez-vous citoyenne ? Lire le reste de cette entrée »