Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘Pont’

Le pont de Jal el-Dib au coeur de l’entretien du ministre Abboud avec une délégation de la région

Posted by jeunempl sur juin 6, 2012

N.A. – ANI

Le ministre du Tourisme Fadi Abboud s’est entretenu mercredi avec une délégation de Jal el-Dib, au sujet du retard pris dans la construction du nouveau pont dans la localité.

La délégation a expliqué au ministre les erreurs dans lesquelles le Conseil du Développement et de la Reconstruction (CDR) est tombé.

Les habitants de la localité bloqueront de nouveau la route le 10 juillet si un projet n’est pas prévu pour finaliser la construction du pont dans les plus brefs délais, a dit la délégation à M. Abboud.

A son tour, le ministre a soutenu entièrement les demandes qui lui ont été soumises et a affirmé qu’il était prêt à aider pour l’approbation du projet.

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Pont de Jal el-Dib : le début de la fin

Posted by jeunempl sur février 7, 2012

(Anne Ilcinkas – L’Orient le Jour)

Le démantèlement de l’ouvrage a commencé mercredi.

Depuis mercredi 2 février, le pont de Jal el-Dib est fermé à la circulation. Hier, les travaux de démantèlement ont commencé, au grand soulagement des Libanais, gavés de rumeurs sur la vétusté de l’ouvrage. Des rumeurs qui s’étaient répandues comme une traînée de poudre après l’effondrement de l’immeuble de Fassouh dans le quartier d’Achrafieh (Beyrouth), le 15 janvier dernier. Un drame qui avait fait 27 morts.

Construit dans les années 80, ce pont présentait de plus en plus de signes de dégradation apparente au niveau de sa structure : bases de soutènement rongées par la rouille, bitume en lambeaux, balustrades abîmées et désarticulées…
Dans ce contexte, il avait été décidé de construire un nouveau pont, mais un désaccord entre le gouvernement et le CDR a retardé les travaux qui devaient débuter fin 2009 et dont le coût devait s’élèver à 8,2 millions de dollars.

Le pont de Jal el-Dib était la seule structure métallique des années 80 qui tenait encore debout. Toutes les autres ont déjà été remplacés par des ponts en béton. En octobre dernier, le Conseil du développement et de la Reconstruction (CDR) avait expliqué à l’Orient-Le Jour que la durée de vie du pont était depuis longtemps dépassée.

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Le pont naturel de Faqra à nouveau menacé

Posted by jeunempl sur novembre 30, 2011

Libnanews

Des explosions à la dynamite à 500m à vol d’oiseau du pont naturel de Faqra se sont produites, dans le cadre des travaux de délimitations de terrains effectués par la municipalité de Kfardebian, mettant une fois de plus ce joyau géologique en danger, selon un article publié sur l’ANI par l’écologiste Mazen Abboud.

Abboud, consultant en environnement et fondateur de l’Union des associations écologiques du Nord, a expliqué que le recours à la dynamite peut provoquer d’éventuelles fissures dans la pierre, et a invité la municipalité et les promoteurs à étudier les retombées des actes de délimitation et de construction à proximité de ce site, afin d’éviter toute agression de ce site naturel. Abboud a également appelé le Conseil Suprême de la Planification Urbaine à œuvrer avec les municipalités et les ministères concernés en vue de l’acquisition des terrains avoisinants afin de transformer le pont de Faqra, ainsi que les sites semblables menacés par le développement immobilier envahissant, en réserves naturelles.

Par ailleurs, et selon une information non-confirmée circulant sur le net et notamment sur les espaces dans les réseaux sociaux dédiées à la protection de l’environnement et du patrimoine au Liban, un certain Geryes Tayeh, connu pour être le Lire le reste de cette entrée »

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Lancement prochain des travaux d’agrandissement du port de Jounieh

Posted by jeunempl sur octobre 9, 2010

(L’Orient le Jour)

Le ministre des Travaux publics et des transports Ghazi Aridi a effectué hier une tournée dans la région du Kesrouan pour y inspecter différents projets de développement, dont celui de l’agrandissement du port de Jounieh. Il a notamment annoncé que « suivant un accord avec la ministre des Finances et le président de la République dans le cadre du Conseil des ministres, le travail dans le port pourra commencer dès que le budget sera adopté ».

Le ministre a précisé que les études préliminaires ont été finalisées et sont en cours de discussion. « Les paiements seront répartis sur les trois années 2011, 2012 et 2013, pour un budget total de 57 milliards de livres provenant du budget national », a-t-il ajouté.

La tournée de M. Aridi a englobé l’inauguration du bâtiment de la municipalité de Jounieh, récemment rénové, où il a été rejoint par le ministre de l’Intérieur Ziyad Baroud, qui l’a accompagné durant une partie de sa tournée. Il s’est également rendu à la région de Ghazir où il a inspecté les travaux de construction d’un pont. Il a également été accueilli dans la région par les députés Gilberte Zouein, Youssef Khalil et Farid el-Khazen. À Ghazir, Mme Zouein a annoncé la prochaine construction d’une route parallèle entre Ghazir et Jdeidet Ghazir qui servira à décongestionner le trafic.

Cette tournée dans le Kesrouan n’a pas été exempte de propos politiques. M. Aridi a souhaité que « nous nous fassions la compétition pour la réalisation de projets de développement, au lieu de nous menacer mutuellement de détruire ce qui a été construit et de boucher les horizons de construction de l’avenir, ce qui est très dangereux ».

Pour sa part, M. Baroud a été interrogé sur sa relation avec les Forces de sécurité intérieure (FSI). Il a insisté sur le fait qu’il ne « traite pas avec des institutions sur base de relations personnelles ou de blâme, mais selon la loi et suivant ce qui aide ces institutions à fonctionner de manière plus efficace ». Il a précisé que toute la discussion sur ce sujet a eu lieu la veille au cours de la séance de la commission parlementaire des Finances, soulignant qu’il n’y ajouterait rien.

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Echangeur autoroutier de Nahr el Mot: Les Beyrouthins dans l’impasse jusqu’au 29 avril 2011

Posted by jeunempl sur novembre 11, 2009

El Nashra

Echangeur autoroutier - LibanAccidents mortels, voitures complètement détruites, camions renversés, dépressions nerveuses… voilà la scène quotidienne dont témoigne les citoyens libanais, notamment les beyrouthins, suite aux embouteillages monstres causés par le lancement des travaux, depuis le 18 juillet 2008, à Nahr el Mot.
Il s’agit en effet du projet de l’échangeur autoroutier de Zalka- Nahr el Mot, exécuté dans le cadre d’un projet de transport urbain, dirigé par le Conseil de Développement et de Reconstruction (CDR), en coopération avec les ministères de l’Intérieur et des Municipalités, des Travaux publics, et du Transport.
A noter que c’est le carrefour le plus achalandé du Grand Beyrouth.

33 mois et demi de souffrance…

Les travaux portent sur la mise en place d’un pont en béton prêt à l’emploi, en parallèle au pont métallique existant, pour le remplacer après son élimination. Ce pont permet de lier la route du Nord aux régions de Jdeidé et Sin el Fil, aux régions de Zalka et Amarit Chalhoub de l’autre côté, ainsi qu’aux régions du Metn-Nord à l’aide d’un pont semi-circulaire qui en découlera.
Un second pont, semi-circulaire et en béton prêt à l’emploi, sera également construit, et permettra ainsi de lier les régions de Jdeidé et de Sin el Fil à Beyrouth, et à l’autostrade du Metn.

A noter que les travaux incluront la mise en place de deux passages supplémentaires, outre deux Lire le reste de cette entrée »

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Pause verte: Dans l’esprit de la loi

Posted by jeunempl sur mars 27, 2009

(Par Suzanne Baaklini – L’Orient le Jour)

pont-faqra-zoom1Respecter la loi, c’est le fondement de tout État de droit. Invoquer une conformité avec la loi pour justifier ses actes, cela peut être compréhensible et permet même parfois aux plus malins de contourner les problèmes. Ce qui ne se justifie pas, c’est quand, pour des questions d’ampleur nationale, c’est la loi elle-même qui reste inadaptée et insuffisante.

Prenez la protection des sites naturels par exemple : celle-ci suppose non seulement de préserver le site en lui-même, mais de le garder dans un environnement propice qui le mette en valeur et le garde à l’abri d’un développement anarchique et non durable. Doit-on ainsi permettre des constructions sauvages à proximité d’une superbe réserve naturelle, sous prétexte que la réserve elle-même est protégée ?

Prenez le pont de Faqra par exemple. Cette merveille naturelle, véritable perle géologique, est intégrée dans un environnement de « jurd » encore vierge, sur les hauteurs du Kesrouan. Or des militants dénoncent, depuis 1994 et jusqu’à aujourd’hui, les tentatives répétées d’un promoteur d’y ériger des constructions. L’agression envisagée est double puisque les deux constructions projetées se trouvent l’une à l’intérieur du périmètre de protection (200 mètres de rayon à partir du milieu du pont), et l’autre juste à l’extérieur. Les arguments du promoteur, qui ont malheureusement trouvé un écho dans un jugement du Conseil d’État (aussi ambigu qu’il puisse l’être), datant de 2004, visaient d’une part à contourner la loi (« un édifice dans lequel le béton n’est pas utilisé ne peut être considéré comme une construction… »), et d’autre part à s’y référer pour justifier ses actes (« la seconde construction tombe juste hors du périmètre de protection, donc elle est légale »).

pont-faqraLa loi, dans ce cas, sert-elle ses objectifs ? Une interprétation élastique en diminue déjà la valeur et n’en garantit plus la fonction de garde-fou. D’autre part, une loi datant de 1939 est-elle toujours suffisante pour assurer la protection d’un site aussi unique, dans la conception moderne du terme ?
« Dans n’importe quel pays du monde, on aurait protégé (le pont de Faqra) sans égard aux appartenances politiques. Le gouvernement aurait adopté des lois plus sévères. Ce rayon de 200 mètres est une farce et la loi devrait être modifiée sans tarder. » Cette réflexion, d’un lecteur réagissant à l’article sur le pont de Faqra (« menacé de défiguration ») paru dans l’édition du 25 mars, résume à elle seule tout le problème. D’une part, la protection d’un joyau national nécessite de rester en marge des appartenances et des intérêts politiques ou même personnels. D’autre part, une loi n’est pas supposée être immuable, et celle-ci doit sans nul doute être dépoussiérée. Enfin, c’est toute la conception de la propriété privée qui est à réviser : le simple fait de posséder un terrain vous donne-t-il tous les droits, même si cela va à l’encontre de l’intérêt national et de l’environnement ?

Peut-être qu’un tel exemple, malheureusement récurrent au Liban, devrait nous ouvrir les yeux sur notre rapport à la loi, dans le respect de l’esprit et non de la seule lettre de la loi (dans ce cas, le législateur a voulu protéger le site, quoi qu’il en coûte), et sur la nécessité de réformer les textes dès que nécessaire.

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