Posts Tagged ‘pluralisme’
Posted by dodzi sur décembre 19, 2011
L’Orient le Jour
Dans une de ses volte-face devenues légendaires, le leader druze Walid Joumblatt a retrouvé hier des expressions qu’il avait abandonnées ces derniers temps, notamment au sujet de la Syrie, en souhaitant qu’elle sorte de la crise qui la secoue « unie, loin du spectre de la guerre civile, démocratique et pluraliste, tout en restant dans l’axe de la moumana’a ».
Ces propos de M. Joumblatt ont été tenus à deux occasions : la première au cours de la réunion de réconciliation à laquelle avait appelé l’émir Talal Arslane pour circonscrire l’incident qui avait eu lieu à Choueifate et qui avait fait une victime, et la seconde au cours d’une réception en hommage à un haut responsable du Parti socialiste progressiste, Chérif Fayyad.
La rencontre de réconciliation, à laquelle ont donc assisté MM. Joumblatt et Arslane, mais aussi le député Akram Chehayeb et le président de la municipalité de Choueifate, Melhem Dsouki, ainsi que des notables de la région, a insisté sur la nécessité de préserver le calme au Liban en cette période délicate. Les parties en présence ont aussi rendu hommage au rôle de l’armée et des Forces de sécurité intérieure pour préserver la stabilité, tout en appelant les différents protagonistes à préserver l’unité des rangs, quelles que soient leurs divergences politiques.
Devant les personnes présentes, Walid Joumblatt a prononcé une courte allocution, au cours de laquelle il a rappelé que l’alliance et la relation sont naturelles, familiales et politiques avec l’émir Talal Arslane et le Parti démocratique libanais. Cela ne l’empêche pas d’avoir ses propres opinions « car, a-t-il précisé, il n’est pas nécessaire d’avoir un point de vue unique ». Il a aussi insisté sur le fait qu’il reste au sein de la large alliance qui compose le gouvernement Mikati, et qui regroupe l’émir Talal Arslane, le Hezbollah, Amal, le président Michel Sleiman et le CPL. Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Actualité Tayyar-CPL, Elections 2013, Géneral | Tagué: accords de Taef, Akram Chehayeb, Amal, Cherif Fayyad, Choueifat, communauté druze, Courant Patriotique Libre, CPL, crise syrienne, Démocratie, Druzes, Emir Talal Arslan, Etats-Unis, Forces de Sécurité Intérieure, FSI, Gouvernement Mikati, Guerre civile, hassan nasrallah, hezbollah, Israel, Jounblatt, Melhem Dsouki, Michel Sleiman, Mikati, moumana'a, Nabih Berri, Parti Démocratique Libanais, Parti Socialiste Progressiste, PDL, pluralisme, PSP, Réconciliation, régime syrien, Russie, Syrie, Taef, Talal Arslane, Tribunal Spécial pour le Liban, TSL, USA, Walid Joumblatt | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur décembre 1, 2009
L’Orient le Jour
Par Scarlett HADDAD
« Beaucoup d’entre nous considèrent que ce pays n’est pas seulement un message mais une véritable bénédiction. » Par ces mots prononcés après la longue lecture des 32 pages du document politique du Hezbollah, adopté par le huitième congrès général du parti, sayyed Hassan Nasrallah a résumé la nouvelle orientation politique du parti : davantage de libanisation, davantage de pragmatisme sans toutefois renoncer aux fondements idéologiques de base qui consistent en l’option de la Résistance pour recouvrer les droits et la lutte contre le projet américano-israélien dans la région et dans le monde.
Beaucoup de chemin a été parcouru depuis le document fondateur du Hezbollah rendu public en 1985, qui appelait alors à une unité musulmane autour du waliy al-fakih. Aujourd’hui, le Hezbollah reconnaît officiellement la formule libanaise et la richesse de la diversité religieuse et sociale qui caractérise notre société. Il renonce ainsi clairement et officiellement au projet d’instaurer une République islamique au Liban qui avait été évoqué en filigrane du document constitutif de 1985 et prône la démocratie consensuelle en attendant une abolition du confessionnalisme politique qui permettrait l’avènement d’une démocratie plus traditionnelle.
Voulant mettre l’accent sur l’importance de ce tournant dans la politique du Hezbollah, le département de l’information du parti avait convié des journalistes et des personnalités politiques à la conférence de presse du secrétaire général qui s’est tenue sur écran géant, face notamment aux députés membres du Bloc de la Résistance, Mohammad Raad, Ali Fayad, Hassan Fadlallah, Ali Mokdad et Walid Succarié.
En un peu plus d’une heure, sayyed Nasrallah a lu ce qui a été appelé « le document politique » du parti qui, tout en retraçant le parcours du Hezbollah depuis son apparition officielle en 1985 jusqu’à nos jours, explique les changements survenus dans sa vision politique, dus essentiellement à des changements locaux, régionaux et internationaux. Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Tayyar & Hezbollah | Tagué: Administration Bush, Afghanistan, Ali Fayad, Ali Mokdad, Ali Moqdad, Arabe, armée, bloc de la Loyauté à la Résistance, Bush, Chrétiens, Chrétiens d'Orient, Christianisme, Compromis, confessionalisme, confessionalisme politique, Consensuel, consensus, Constitution, Démocratie, démocratie consensuelle, diversité, droit au retour, Droits de l'Homme, droits humains, Etats-Unis, Europe, Fadlallah, George Bush, Hassan Fadlallah, hassan nasrallah, hezbollah, Hizballah, Identité, identité arabe, implantation, interventionnisme, Irak, Iran, Iranien, Islam, islamisme, Israel, Liban, Militaire, Mohammad Raad, Mokdad, monde arabe, monde musulman, Moqdad, musulmans, Nasrallah, néoconservateurs, Pacte National libanais, Palestine, Palestiniens, palestiniens au Liban, pluralisme, politique libanaise, projet américain, Raad, réfugiés, réfugiés palestiniens, république, République Islamique, Résistance, résistance islamique, résistance libanaise, relations internationales, Sayyed Hassan Nasrallah, Seconde Guerre mondiale, Société, Stratégie, Stratégie de défense, stratégie politique, Syrie, Talal Salman, Union Europeenne, USA, Walid Succarié, Wilayat al-Faqih, WWII | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur août 15, 2009
Tribune des Droits humains
Le pluralisme religieux est la clé de voûte du système politique libanais. De nombreux observateurs estiment que le Liban a désormais dépassé cette structure politique, qui a fait ses preuves par le passé. Reste à savoir comment les Libanais pourront continuer de fonctionner à l’intérieur de ce système tout en renforçant leur sentiment d’identité nationale aux dépens de celui d’appartenance religieuse.
Luna Farhat/Service de Presse de Common Ground – Un des aspects positifs du système libanais, qui compte 18 rassemblements religieux officiellement reconnus, c’est qu’il permet à toutes les communautés religieuses d’avoir une représentation dans le gouvernement, de participer à la gestion des affaires de l’Etat et de contribuer à son essor.
Cette formule a été élaborée dans le Pacte national non écrit de 1943, adopté lors de l’accession à l’indépendance, qui a débouché sur une répartition attribuant : aux maronites, la présidence de la république, par élection de l’assemblée nationale ; aux sunnites, la présidence du Conseil des ministres ; aux chiites, la présidence de l’assemblée nationale. A l’assemblée nationale, les sièges sont répartis entre chrétiens et musulmans selon un rapport de 6 à 5, équilibre qui a en principe tenu jusqu’en 1989.
Pour certains, la guerre civile qui a ravagé le pays de 1975 à 1990 est due au fait que la répartition confessionnelle était inadaptée pour assurer que toutes les mouvances religieuses soient équitablement représentées au gouvernement.
En somme, s’il est vrai que le système a été conçu pour assurer l’équilibre politique entre plusieurs communautés confessionnelles et garantir une coexistence pacifique entre elles, sa conception fondamentalement confessionnelle donne plus de poids à l’appartenance religieuses qu’à la Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Billets & Opinions, Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: équilibre, Chrétiens, Citoyenneté, civile, cohésion, communataire, confessionalisme, Guerre civile, Liban, Libanais, Luna Farhat, musulmans, Nation, pluralisme, Politique, Religieux, Société, structure, Taef, unité nationale, USJ | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 3, 2008
iloubnan.info
Dans son rapport hebdomadaire, la Banque Byblos a publié les résultats de l’index sur la démocratie au monde pour l’année 2008 préparé par l’ « Economist Intelligence Unit ».
Réalisé sur 167 pays, le rapport a montré que le Liban occupe la 89ème place au classement mondial et la 3ème place au classement régional, soit la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.
85ème mondialement et 3ème régionalement en 2006, le Liban a également occupé la 20ème place, toujours selon l’enquête, parmi les 26 pays méditerranéens ayant un revenu national élevé (UMIC).
L’index de la démocratie mesure 60 indicateurs répartis sur cinq catégories majeures. Celles-ci sont respectivement le processus électoral et le pluralisme, les libertés civiles, le fonctionnement du Gouvernement, la participation au processus politique et la culture politique.
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Géneral | Tagué: Classement, Démocratie, indicateurs, Liban, Moyen Orient, pluralisme | Leave a Comment »