Tel est pris qui croyait prendre. Cela ne s’applique pas seulement à la Turquie mais à tous ses alliés. L’homme a été créé pour la vérité. Or, le mensonge fait du mal à ceux qui l’utilisent et veulent en profiter. C’est ce qui est arrivé à tous ceux qui ont utilisé le wahhabisme, version déformée de l’islam (donc mensongère) pour faire avancer leurs intérêts. Ils se trouvent tous bien plus mal que lorsqu’ils ont lancé leurs djihadistes (de l’aveu involontaire de France 2 hier soir) pour diviser les Arabes et surtout ceux qui se defendent encore contre l’anschluss israelien.
Le gouvernement francais est pris à la gorge et ne sait comment faire baisser le prix du pétrole de six centimes à la pompe. S’ils arretaient un peu leurs bruits de tambours au Moyen-Orient, leurs problèmes et ceux du monde seraient résolus en plus que le prix du pétrole.
Quant à la Turquie, c’est vraiment l’empoisonneur empoisonné par son propre poison, car les intégristes et les djihadistes battus en Syrie vont se refugier chez elle. Quand donc tous ces gouvernements et médias mal intentionnés réaliseront-ils qu’ils sont en train de ruiner leurs propres pays?
Syrie : Les erreurs de calcul de la Turquie
Par Dr Amin Hoteit
Quand la Turquie s’est préparée à son rôle de « Directeur Régional pour la Recolonisation » en tant que « puissance néo-ottomane» ou « califat islamique moderne », elle a cru que son chemin serait sans encombres étant donné l’absence de stratégie arabe, l’isolement de l’Iran, et l’évolution des conditions régionales ayant rendu Israël incapable de tenir son propre rôle consistant, selon les théories de Shimon Peres, à promouvoir l’idée d’un « Nouveau ou Grand Moyen-Orient » fondée sur « la pensée sioniste » et « l’argent arabe ».
La Turquie a vraiment cru que telle était la meilleure façon de s’assurer le leadership de la région pour commencer, puis celui du monde musulman ensuite… confortée en cela par ses Lire le reste de cette entrée »
Un haut responsable israélien a exprimé samedi son inquiétude face au risque de la chute du régime du président égyptien Hosni Moubarak, confronté à une contestation interne sans précédent.
« Le plus inquiétant, c’est le climat d’incertitude qui règne dans le pays le plus influent du Proche-Orient », a déclaré à l’AFP ce responsable qui a requis l’anonymat.
Il a souligné dans ce contexte les « liens stratégiques et économiques de première importance » entre Israël et l’Egypte, premier pays arabe a avoir signé un traité de paix avec l’Etat hébreu.
Il a estimé toutefois que le « régime allait tenir », quitte à opérer un changement de personne à sa tête.
Pour sa part, un haut responsable de la sécurité cité par la radio publique a exprimé sa préoccupation devant une « montée en forces d’éléments extrémistes en Egypte » en allusion aux Frères musulmans, opposés aux accords de paix entre ce pays et Israël.
« Un tel développement obligerait Israël à réviser de fond en comble ses conceptions stratégiques militaire », en déployant des Lire le reste de cette entrée »
Une des réactions à ma lettre « Liban quelle défense ? » a été la suivante : « Bravo, cher Roger pour ton plaidoyer clair, bref et néanmoins convaincant en faveur du Hezbollah. Tu as su éliminer l’assimilation de son action au terrorisme. Reste à éliminer avec la même acuité l’assimilation au fanatisme religieux. En effet l’extrémisme religieux est souvent amalgamé à la politique des mouvements anti-israéliens ou antioccidentaux et c’est un évident repoussoir à leur approbation, car le mélange politique-religion fait peur. »
J’ai aussi reçu une lettre d’insultes d’un correspondant et collègue, professeur d’université et écrivain politologue. Je pense l’avoir perdu désormais. Mais, il m’a fait penser à la réponse du Christ[1] au garde qui l’a giflé: « Dis-moi ce que j’ai dit de mal, sinon pourquoi me gifles-tu ? »[2] Quelqu’un qui insulte ou qui frappe sans raison logique, ne serait-il pas aussi un fanatique, même s’il était politologue ?
Le fanatisme, c’est subjectif.
D’après le dictionnaire, le fanatisme est un zèle excessif. Ce qui est une définition subjective. Ainsi, toute personne qui se sacrifie pour une cause serait fanatique, aux yeux de ceux qui sont contraires à cette cause ; ce qui inclurait tous les grands patriotes, les résistants à l’envahisseur, dont ceux français, en 39-45, ou américains durant la guerre d’indépendance, aux yeux de leurs ennemis. C’est pour cela que « fanatisme », dans notre cas, devrait seulement signifier Lire le reste de cette entrée »
Il y a trois ans, les combattants libanais donnaient au monde une leçon magistrale de résistance tandis que l’armée israélienne piétine à la frontière, que les chars sautent et que les soldats sionistes poussent des cris de frayeur et appellent leur mère, sous les coups des résistants.
Le 24 juillet, Condoleeza Rice se rend à Beyrouth soutenir son ami Siniora qui l’accueille par des baisers alors que les bombardements israéliens se poursuivent contre les villages et les villes, les civils et les ambulances, les routes et les ponts, sous les francs encouragements des gouvernements européens.
Mais les manifestations de soutien se poursuivent dans le monde entier et de nouveau à Paris, le 29/07, où la sommeillante remise des prix du festival du cinéma arabe de l’Institut du Monde Arabe est perturbée par une banderole qui rappelle les mots d’ordre du jour : résister à l’agression, combattre l’occupation, non à l’hégémonie US au Liban et en Palestine !
Il est évident de dire que l’Etat est un ensemble de territoire et de peuple, car ceux-ci sont ses éléments constitutifs dans sa forme préliminaire et simple. Cet Etat ne remplira ses fonctions que lorsqu’il devient un Etat qui bénéficie d’institutions nécessaires à la gestion des affaires publiques au sein de l’indépendance et de la souveraineté. A partir de cette définition de l’Etat, nous pourrons déterminer les principaux dangers qui le menacent et qui aboutissent à sa disparition au cas où nous ne prenons pas les mesures nécessaires.
Pour que le traitement soit efficace, il faut agir tout de suite, car les symptômes maladifs se développent et les pertes deviennent de plus en plus importantes.
Aujourd’hui, le Liban est atteint dans ses trois composantes principales; le territoire, le peuple et les institutions. Son territoire est vendu aux étrangers sans aucun respect des lois, sa population émigre constamment et les villages sont vidés de leurs habitants qui sont allés à la recherche de leur subsistance ailleurs. Alors que les institutions étatiques, elles, font l’objet de Lire le reste de cette entrée »
Sans doute la société chrétienne est confuse car la période est délicate et porte plusieurs changements au niveau de la politique internationale. Ces changements incitent les chrétiens à couper leur lien avec un occident traditionnel, avec lequel, ils ont été liés humainement et culturellement et qui les ont protégés tout au long des siècles passés, mais ils les ont laissés seuls plusieurs fois de nos jours, notamment depuis 1948.
Par là, la société chrétienne doit s’accommoder avec tous ces changements et s’ouvrir vers son entourage. Il faut que les chrétiens encouragent la culture d’entente et d’ouverture ou lieu de répandre la peur de l’autre, surtout que notre société protège la liberté de croyance et de pensée et respecte le droit de la différenciation.
La relation entre les Maronites et l’Occident date depuis longtemps, même avant la formation de l’entité libanaise. Cette relation s’est développée durant 9 siècles et a permis aux Maronites d’exporter l’âge de renaissance dans l’Europe ; tout cela les a aidés à jouer un rôle important dans la renaissance arabe au XIX siècle.
Cette relation a pris plusieurs formes et s’est enracinée après les massacres contre les Maronites au Caimacamat des Druzes et l’élaboration du protocole de 1861, qui a accordé aux pays européens le droit de protéger les minorités telles que les Maronites et les Druzes, et a laissé à l’Etat Ottoman le soin de Lire le reste de cette entrée »
2 ans après le déclenchement des hostilités entre l’armée et les extrémistes du Fatah el Islam, l’équipe du MPLBelgique.org regroupe sous cette page à travers un recueil d’articles, un résumé des faits par rapport aux attaques dont a été la cible l’armée libanaise, puis sa victoire face au groupe extrémiste du Fatah el-Islam retranché dans le camp palestinien de Nahr el-Bared, situé près de Tripoli au Nord du Liban.
[A l’occasion des 20 ans du lancement du processus de libération un certain 14 mars, le MPLBelgique.org retranscrit en français le contenu d’un reportage qui retrace l’histoire de la bataille pour la libération, du 14 mars 1989 (date du lancement de la guerre de libération contre l’occupation) au 14 mars 2005 (date de la gigantesque manifestation anti-syrienne commémorant cet évènement) ]
A travers ce reportage, la OTV retrace l’histoire de la résistance libanaise à l’occupation syrienne, qui débuta un certain 14 Mars 1989. Il s’agit également de se souvenir des conditions dans lesquelles les accords de la honte (ou accords de Taëf, en octobre 1989) ont été imposés au peuple libanais. C’est le premier reportage aussi complet sur l’histoire de la lutte contre l’occupation syrienne. Attention, ceux qui pensent que la lutte contre l’occupant syrien a commencé le 14 février 2005 risquent d’être choqués par les témoignages et les images que l’on retrouve dans ce reportage.
Reportage
1er épisode
Général Aoun: Vu ce qui s’est passé aujourd’hui et après les bombardements aveugles de l’armée syrienne ennemie sur le territoire libanais, le gouvernement s’est réuni et a décidé de prendre les démarches nécessaires pour que l’armée syrienne se retire immédiatement du territoire libanais.
Je suis devant une décision. Je ne prends cette décision qu’en fonction de celle du peuple. Ma décision dépend de la vôtre. Vous me dites « ok, on est avec toi », alors je Lire le reste de cette entrée »
LIBAN. La mobilisation de la société civile a enfin trouvé un écho auprès des politiciens.
(Le Temps – Delphine Minoui)
Sylvana Lakkis n’en revient toujours pas. Avec sa chaise roulante pour seule arme, c’est sans grand espoir que la présidente de l’Association des handicapés du Liban – parmi lesquels des victimes de la guerre civile – fit le pari, vendredi 16 mai, de rassembler ses amis sur la route de l’aéroport de Beyrouth pour attirer l’attention des différents membres des factions politiques en partance pour Doha. Avec pour seul message ce slogan affiché sur des pancartes portées à bout de bras: «Si vous ne vous mettez pas d’accord, ne revenez pas.»
«Résultat inattendu»
Mais, pour une fois, la mobilisation a porté ses fruits. Après six jours d’âpres négociations sous l’égide de l’émir du Qatar, visant à mettre un terme à la violence Lire le reste de cette entrée »