MPLBelgique.org – Vertaald in het nederlands door Roger De Cock
[Ter gelegenheid van het ontstaan van het 20 jarig bevrijdingsproces op een zekere 14de maart, de MPLBelgique.org heronderschrijft in het Nederlands de inhoud van een reportage die de geschiedenis hertekent van de strijd voor de bevrijding van 14 maart 1989 (datum van het begin van de bevrijdingsoorlog tegen de bezetting) tot 14 maart 2005 (datum van de enorme anti Syrië betoging) ]
Doorheen deze reportage, hertekent het OTV de geschiedenis van het Libanese verzet tot aan de Syrische bezetting die een zekere 14de maart 1989 aanving. Het gaat ook over het zich herinneren van de omstandigheden waarin deze akkoorden van de schaamte (of akkoorden van Taëf, in oktober 1989) warden opgedrongen aan het Libanese volk. Het is de eerste zo volledige reportage van de geschiedenis van de strijd tegen de Syrische bezetting. Opgepast ; zij die denken dat de strijd tegen de Syrische bezetter begon op 14 maart 2005, zullen waarschijnlijk geschokt zijn door de getuigenissen en beelden die men terugvindt in deze reportage.
Reportage
1ste deel
Generaal Aoun : Gezien van wat vandaag gebeurde en na de blinde bombardementen van het vijandig Syrische leger op Libanees grondgebied, heeft de regering zich verenigd en heeft deze besloten de nodige maatregelen te treffen zodat het Syrische leger zich onmiddellijk terug trekt uit het Libanees grondgebied.
Ik sta voor een beslissing. Ik neem deze enkel en alleen in functie van die van het volk. Mijn beslissing hangt af van die van jullie. Als jullie zeggen : “ ok, we staan achter jou “ , dan Lire le reste de cette entrée »
Le député du Kesrouan, Farid Elias Khazen, aborde l’actualité libanaise et régionale avec la journaliste Josephine Dib sur OTV, essentiellement les discussions en cours sur la nouvelle loi électorale mais aussi les projets au Kesrouan.
Ce mardi soir, le général Michel Aoun était l’invité de Jean Aziz dans l’émission « Bila Hasana ».
D’emblée la loi orthodoxe est abordée et le général met les points sur les i quant à l’intérêt d’une telle loi : rendre les droits aux citoyens en leur permettant de voter pour leur députés… tout simplement, cela concerne près de 450.000 votants chrétiens. Une longue analyse permet d’y voir plus clair dans les premiers instants de l’interview jusqu’au moment de sa proposition : « Si vous voulez un état laïc, qu’on élise les députés sur base de la loi orthodoxe, en mettant à pieds d’égalité chaque communauté, et qu’on transforme ensuite le pays ».
Le dossier des réformes fut également abordé dont celle du refinancement des municipalités libanaises, en rappelant d’autres réformes réalisées dans cet esprit.
La crise syrienne est analysée sous l’angle de l’inaction du gouvernement vis-à-vis des postes d’entrainement de l’ASL au Liban et que le général Aoun critique, surtout les ministres de l’Intérieur et de la Défense. « On ne peut changer de gouvernement toutes les heures », déclare-t-il dépité. « Les frontières turque et jordanienne sont fermées, seul le Liban doit supporter le poids des réfugiés syriens? ». Enfin, le général Aoun prévoit un règlement politique de la guerre syrienne.
L’émission se termine enfin par quelques informations électorales que le général Aoun commente.
Les exploits du député du Courant du Futur Okab Sakr n’étaient pas limités à la fourniture d’armes aux combattants de l’opposition syrienne. Les enregistrements obtenus par Al-Akhbar ont également exposé son rôle clé dans le suivi proche des opérations militaires en Syrie, gérant même personnellement les chambres d’opérations militaires réparties en Turquie et au Liban.
La source qui a fourni à Al-Akhbar les enregistrements téléphoniques Hariri-Sakr – il s’agit d’un ancien associé qui travailla dans l’un des centres militaires de Sakr en Turquie – avait posé une condition à la libération des autres enregistrements : « publiez [ce que vous avez] et vous en recevrez plus ».
La première série d’enregistrements contenait assez de preuves pour établir l’implication de l’ex-premier ministre Saad Hariri et du député du Courant du Futur Okab Sakr dans le conflit sanglant en cours en Syrie. Comme le révélait plus tôt cette semaine Al Akhbar, Sakr et Hariri n’ont pas seulement fourni des armes et du support logistique à l’opposition armée syrienne; ils ont également dirigé à distance les opérations militaires, en utilisant la guerre civile syrienne pour poursuivre leurs propres intérêts avec peu, voire aucune considération pour les dommages collatéraux.
Alors que la source confirma sa volonté de rester dans le camp de l’opposition syrienne pour « combattre le régime répressif », dit-il, « je suis maintenant courtisé par les 2 camps », c’est-à-dire le régime et l’opposition.
La source confirma ses affirmations d’association avec Sakr en fournissant à Al-Akhbar des photos privées avec le député du Courant du Futur, prises à différentes occasions. En outre, il parla en détails d’évènements auxquels il a assisté sur une durée de plus d’un an, travaillant avec Sakr dans les dénommées « chambres d’opérations révolutionnaires » en Turquie.
La source expliqua la nature de ces chambres, et le type de personnes qui s’y trouve le plus souvent ou qui les supervisait, pointant le fait que les chefs de l’opposition armée syrienne y rencontrèrent périodiquement Sakr, ainsi que des Lire le reste de cette entrée »
Al-Akhbar a obtenu des enregistrements du député du Courant du Futur Okab Sakr organisant des transferts d’armes pour l’opposition armée syrienne sur ordre du leader du Courant du Futur Saad Hariri.
L’appel téléphonique est la première preuve solide du rôle de Sakr et de ses soutiens dans le Courant du Futur dans la fourniture d’armes et du support logistique aux rebelles syriens.
Dans une trilogie construite sur base de documents, d’enregistrements audio et d’interviews avec des sources proches de Sakr, Al-Akhbar met la lumière sur les tentatives de Sakr de détourner la révolte syrienne à son propre compte en dirigeant l’opposition armée sur le terrain.
Il y a quelques semaines, les bureaux d’Al-Akhbar à Beyrouth reçurent un appel téléphonique anonyme. L’appelant affirmait être en possession d’ « enregistrements audio qui exposeront le député Okab Sakr et son rôle dans la destruction de la révolution [syrienne] ».
La nouvelle ne vint pas comme une surprise. Les liens de Sakr avec l’opposition syrienne étaient bien connus, et son rôle en tant que dealer d’armes aux rebelles avait été documenté dans la presse. Et ce n’était pas la première fois que Lire le reste de cette entrée »
Nous vous proposons de retracer la visite de Gebran Bassil en France à travers les deux reportages de la OTV.
La soirée annuelle du Rassemblement Pour le Liban à Paris en présence du ministre de l’Energie et des ressources hydrauliques était le point fort de cette visite, réunissant plus de 400 personnes.
Montréal était la troisième et dernière étape de la visite du Général Aoun et du ministre Gebran Bassil au Canada.
Là aussi, un accueil triomphal leur a été réservé. Lors d’un diner rassemblant plus d’un millier de Libanais, le général Aoun a mis l’accent sur l’influence des pays du B.R.I.C.S (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) qui permettra à terme l’équilibre des forces, assurant par conséquent que la Syrie ne tombera pas entre les mains des extrémistes islamistes.
Le Général Aoun a également pris part à des célébrations religieuses parmi les communautés chrétiennes libanaises à Montréal.
Ainsi, Monseigneur Youssef Khoury a célébré la messe en la cathédrale Saint Maroun, recevant ensuite le leader du CPL dans sa demeure.
Le général Aoun a également été invité à assister à la célébration donnée en l’honneur du Monseigneur Ibrahim Ibrahim en la cathédrale Mkhalles pour les Grecs Catholiques.
Enfin, un accueil particulier fut réservé par la communauté musulmane de Montréal, et spécialement la communauté chiite et son représentant religieux Sayyed Nabil Abbas. Dans son discours le Général Aoun a insisté sur l’entente durable avec le Hezbollah et le caractère national qu’elle revêt. « Beaucoup ont posé cette question; qu’a gagné le Général Aoun de son alliance avec le Hezbollah? Pour nous, la question va au-delà d’une quelconque victoire ou défaite. Car finalement, quoi qu’il arrive, si nous gagnons, nous gagnerons tous ensemble, et si nous perdons, de même nous perdrons tous ensemble ».
Chacun de ces évènements est largement décrit dans le reportage de la OTV.
Ce dimanche 20 mai, le cheikh Ahmed Abdel Wahed est mort après avoir forcé un barrage de l’armée libanaise en direction de Halba au Akkar. Un de ses gardes du corps a également été tué lors de l’échange de tirs.
S’en sont suivies des accusations politiques à l’égard de l’armée libanaise et des manifestations à caractère communautaire à plusieurs endroits du pays, dont la banlieue sunnite de la capitale, le quartier de Tarik Jdidé à Beyrouth. La route y a été coupée par des partisans de Hariri. Ils ont ainsi mis le feu à des poubelles et des pneus afin d’empêcher les citoyens d’emprunter plusieurs artères de la capitale ainsi que bloquer l’accès au Sud du pays.
Le cheikh, proche du courant du Futur, devait participer à un rassemblement organisé par les partisans de Hariri à Halba pour y commémorer les évènements du 7 mai 2008 à Beyrouth. Ce rassemblement a été annulé à la suite de cet incident.
A noter qu’un autre rassemblement devait avoir lieu sur la place de Halba… celui de la commémoration du massacre de Halba où des partisans du PSNS avaient été sauvagement assassinés par les partisans de Hariri en mai 2008.
Plusieurs versions derrière l’incident du cheikh abattu
D’après MTV, une chaîne financée par des proches du clan Hariri, le cheikh aurait été abattu de sang froid par l’armée libanaise alors que son véhicule se serait arrêté au check-point de l’armée. Le cheikh serait un opposant à Assad, d’où un lien à faire avec l’incident…
D’après l’OTV, chaîne de télévision proche du Courant Patriotique Libre, deux véhicules transportant 8 personnes dont le cheikh en question étaient remplis d’armes. Suite au refus d’obtempérer à un contrôle militaire au niveau d’un barrage de l’armée libanaise, et blessant par la même occasion 1 ou 2 soldats, l’armée aurait riposté en tirant sur le véhicule du cheikh en fuite. Touché par une balle, Abdel Wahed en est mort plusieurs heures plus tard.
D’après un premier rapport de l’armée libanaise (publié par New TV-Al Jadeed), celui-ci confirme bien la présence de 2 véhicules escortant cheikh Abdel Wahed, mais un seul aurait refusé et agi violemment à la demande de fouille de l’armée. C’est à ce moment qu’un soldat a été touché au visage par un tir provenant du véhicule en question… d’où la réplique d’un autre soldat. La fouille a par après confirmé la présence de 3 AKs et 1 M16 dans le véhicule.
Quoiqu’il en soit, le véhicule du cheikh Ahmad Abdel Wahed était teinté, les vitres noires et opaques. Lorsqu’un check-point de l’armée est sur le point d’être franchi, il est de coutume d’ouvrir ses fenêtres et d’obtempérer à toute exigence de l’armée libanaise. Ici en l’occurrence, il s’est avéré que Lire le reste de cette entrée »
Les forces de sécurité ont découvert une énorme cache d’armes dans le dépôt de l’immeuble Zeidane dans le quartier de Jeitawi, à Achrafieh, a rapporté jeudi soir la chaîne de télévision al-Jadeed. A l’intérieur du dépôt, les forces de l’ordre ont trouvé 33 engins contenant 200 grammes d’explosifs, ainsi que plus de 37 kilos de TNT, une mine anti-personnelle israélienne de type M4 et une quantité de munitions pour armes automatiques.
Selon al-Jadeed, chacun des propriétaires de l’immeuble, Kamal et Ahmad Zeidan, possède une clé du dépôt, « mais aucun d’eux n’était au courant de la cache ». La découverte des explosifs a été rendue possible grâce au concierge de l’immeuble qui l’a trouvée en faisant le ménage du dépôt, précise la chaîne.
La chaîne OTV a, de son côté, ajouté que des photos montrant des membres des Forces libanaises effectuant des entraînements militaires ont également été trouvées dans le dépôt. La chaîne du Courant patriotique libre du général Michel Aoun a par ailleurs indiqué qu’un important membre des FL réside dans l’immeuble Zeidane.
L’armée libanaise a renforcé les mesures sécuritaires et installé des postes de contrôle dans la région frontalière avec la Syrie au nord du Liban, rapporte aujourd’hui mardi le quotidien Annahar.
Lundi, l’ambassadeur de Syrie au Liban, Ali Abdel Karim Ali, avait appelé l’État libanais à être « plus stricte » dans le contrôle de ses frontières avec la Syrie afin d’éviter l’infiltration de « groupes armés » vers son pays.
« Il existe au Liban un refuge pour les groupes extrémistes libanais. Nous exhortons l’Etat libanais à garder un œil sur ce paradis », avait affirmé l’ambassadeur à la NBN, faisant allusion aux villages dans le nord du Liban, à la frontière avec la Syrie.
« Le gouvernement et les autorités doivent respecter les accords conclus entre le Liban et la Syrie », avait-t-il ajouté précisant que les mesures sécuritaires et les efforts déjà entrepris n’étaient pas « suffisants ».
« Nous savons qu’ils tentent de résoudre ce problème, mais nous espérons qu’ils seront plus sérieux car la situation est très sensible au Liban. Tout ce qui menace la sécurité du pays du Cèdre devrait être pris au sérieux car le Liban et la Syrie ne font qu’un », avait déclaré le diplomate.
L’AFP a, par ailleurs, rapporté mardi qu’un Libanais nommé Al-Baghdadi a été enrôlé dans l’Armée syrienne libre (ASL), composée de dissidents de l’armée régulière. « Il affirme avoir été sniper à Bagdad pour soutenir l’ex-dictateur Saddam Hussein lors de l’invasion américaine avant de rentrer au Liban après la chute du régime », a déclaré ce Libanais de 29 ans à l’AFP. Lire le reste de cette entrée »