Posts Tagged ‘Nahr Ibrahim’
Posted by jeunempl sur avril 8, 2013
Le Commerce du Levant
Le ministre démissionnaire de l’Energie et de l’Eau, Gebran Bassil, a affirmé que le seul moyen de préserver l’eau au Liban était à travers la construction de barrages.
Ces déclarations de M. Bassil sont intervenues alors qu’il posait la première pierre du barrage de Janna à Nahr Ibrahim. D’un coût de 250 millions de dollars entièrement versés par les offices des eaux de Beyrouth et du Mont-Liban, le barrage, haut de 165 mètres (note du MPLBelgique.org : la plus grande hauteur pour un barrage au Moyen-Orient) et qui pourra retenir jusqu’à 95 millions de mètres cubes d’eau, sera le deuxième plus grand barrage du Liban après celui du lac Karaoun.
La deuxième étape de la construction du barrage sera lancée en juin. Le projet devrait être prêt en 2017.
Ce barrage permettrait aussi de produire de 90 à 140 MW d’électricité. Il alimentera en eau le casa de Jbeil avec 35 millions de mètres cubes et Beyrouth avec 60 millions de mètres cubes.
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Economie, Géneral | Tagué: barrage, Bassil, Beyrouth, EAU, Electricité, Gebran Bassil, Janna, Janneh, Jbeil, Ministre, Mont-Liban, MW, Nahr Ibrahim | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur janvier 15, 2012
ANI – Rima Youssef
Traduction de l’arabe: Diala Hanna
De Brad sur l’Oronte à la vallée sainte de Qannoubine…un chemin parsemé de foi, de sacrifices et d’un déni de soi pour parvenir à l’état de pureté des prophètes!
Le voyage de Saint Maron, « père de la nation maronite », débuta en Syrie, du village de Zabad où il naquit jusqu’à Brad, à Alep, où il fut enterré. Les penseurs ne savent pas exactement où se trouve son ermitage, mais les scientifiques maronites se sont accordés sur le fait qu’il est né puis devenu ermite au nord-ouest de l’Oronte. Il serait également syriaque et parlait la langue syriaque, courante dans la région d’Antioche.
Selon les chercheurs, le couvent de Saint Maron est en fait « la grotte de Maron » ou « la grotte des moines » située dans la région libanaise de Hermel. L’un des disciples de Saint Maron aurait, à la mort de ce dernier, choisi cette grotte comme lieu d’ermitage, lui donnant le nom de son maître. Une autre grotte, située dans la région de Nahr-Ibrahim, aurait aussi servi de lieu d’ermitage à un moine maronite dénommé Ibrahim, d’où le nom du fleuve.
A la mort de Saint Maron, les moines qui vivaient avec lui sur une colline de Hermel y ont construit un monastère, sur les vestiges de temples romains. Ce monastère a constitué le noyau de l’Eglise maronite actuelle et, vu l’importance des maronites en ces temps-là, l’empereur Marcien (392 – 457) ordonna son élargissement pour qu’il puisse abriter plus de 500 moines ayant trouvé en le Liban un refuge et un pays de liberté.
La Grotte du Moine
C’est de cette grotte que la mission d’évangélisation des moines maronite débuta! En se postant devant la source d’où jaillit l’Oronte, à Hermel (Bekaa-Est), aux pieds du monastère Saint-Maron gravé dans les rochers, et en regardant vers le Mont-Liban, deux routes piétonnes sont visibles: la première relie la source aux hauteurs de Akoura, Jbeil, alors que la seconde arrive jusqu’à la montagne des Cèdres et la vallée de Qadisha. C’est vers la Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: Akoura, Antioche, Assi, Brad, cèdres, foi, grotte, grotte du moine, Hermel, Homs, Jbeil, la grotte de Maron, la grotte des moines, Liban, Mgr Semaan Atallah, moine, Nahr Ibrahim, Oronte, Palmyre, Qadisha, Qannoubine, Saint-Maron, Saint-Maroun, Syrie, vallée, vallée sainte, Zabad | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur janvier 7, 2012
Economy & Ecology online – Traduit par MPLBelgique.org
Avec les défis d’approvisionnement en eau auxquels fait face le Liban, les projets destinés à augmenter le stockage des ressources en eau à travers la construction de barrages semble avancer plus vite. Le lancement du projet du barrage de Janneh (situé dans le caza de Jbeil au Mont-Liban) pourrait n’être qu’un début. Le ministre de l’Energie et des Eaux, Gebran Bassil, a annoncé un accord initial sur l’étude préliminaire avec les consultants « Khatib & Alami » et la société française Sogrea.
Le projet est divisé en deux phases, à démarrer ce mois-ci d’après le ministre, sachant que la vente publique doit paraître fin du mois.
La partie fixe du barrage a une capacité de 38 millions de mètres cube, alors que la partie mobile environ 90 millions de m3.
Le coût total du projet est estimé à 200 millions $. Selon Bassil, « le barrage est un très important projet, étant destiné à être l’un des plus grands barrages du Liban, situé sur la rivière d’Abraham (Nahr Ibrahim) et dont la moitié des Libanais pourront en bénéficier ».
La première phase du projet sera lancée en mai 2012 et sa réalisation prendra une année. La seconde phase débutera en mai 2013 et est destinée à prendre 3 ans et demi. Cependant, après 2 ans et demi, le Liban pourra profiter des Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Culture & Société, Dossiers, Economie, Géneral, Nos articles | Tagué: Aazzounieh, Abraham, approvisionnement, Assi, Bared, barrage, Bassil, Bisri, Bokaata, Byblos, Changement, Construction, Courant Patriotique Libre, Damour, EAU, eau potable, el Mseilah, Environnement, Gebran Bassil, hydraulique, Idel Saki, Janneh, Jbeil, Karkaf, Khardaleh, Khatib and Alami, Laal, lac, Massa, Nahr Ibrahim, Noura el Tahta, plan décennal, PNUD, projets, Reforme, rivière, Sogrea, stockage, Younine | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur septembre 26, 2010
(Suzanne Baaklini – L’Orient le Jour)
Le changement climatique dans notre région devrait se traduire, selon la plupart des modèles, en une pénurie d’eau. Cela, on le sait depuis quelque temps. Mais les conclusions d’un grand symposium qui s’est tenu récemment à la LAU sont encore plus pessimistes que prévu.
L’impact du réchauffement climatique sur les ressources hydrauliques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Tel est le vaste programme que s’est proposé d’explorer cette année le cinquième symposium du Forum arabo-allemand pour les études environnementales, organisé à la Lebanese American University (LAU) de Jbeil cette semaine, en collaboration avec de nombreux partenaires dont la Fondation Friedrich Ebert, qui en a financé une grande partie, les ministères concernés et le Conseil national pour la recherche scientifique (CNRS). Experts libanais et allemands se sont succédé pour traiter divers aspects de cette épineuse question.
Le ton a été donné dès la session d’inauguration avec Nagib Saab, secrétaire général du Forum arabe pour l’environnement et le développement (AFED). Il a parlé du rapport que présentera cette organisation au cours de son congrès annuel en novembre prochain, précisant qu’il sera alarmiste. « Au cours de la rédaction de ce rapport, nous avons compris que les pays arabes feront face dès 2015 et non à partir de 2025, comme on le croyait précédemment, à des conditions de grave pénurie d’eau, en d’autres termes que leur part annuelle per capita sera inférieure à 500 mètres cubes, moins d’un dixième de la moyenne mondiale qui est de 6 000 mètres cubes », a-t-il dit. Il a rappelé que Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: Assi, barrages, Developpement durable, EAU, Environnement, Etude, Européens, Fadi Comair, fleuve, hydraulique, LAU, Liban, Nahr Ibrahim, Oronte, Penurie, Plan, ressources, rivière, scientifique, Talal Darwiche | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur février 12, 2010
L’Orient le Jour
Le ministre de l’Énergie, Gebran Bassil, a déploré, lors d’une conférence de presse hier, le manque d’effectifs et « le pourrissement technique » de l’Électricité du Liban (EDL). Il a en outre reconnu ne pas pouvoir appliquer la loi régissant le secteur électrique car « les fondements nécessaires à cette application ne sont pas réunis ».
« Les anciennes lois demeurent donc en vigueur, a-t-il noté. L’EDL conserve son monopole sur la production, l’acheminement et la distribution de l’électricité, à l’exception de certaines concessions attribuées en 1924 et sans cesse renouvelées depuis. Ces concessions ne produisent pas de courant et achètent l’électricité qu’elles produisent auprès de l’EDL. En moyenne, cette dernière facture le kilowattheure 127 livres au consommateur et quelque 50 à 75 livres aux concessions. Il y a donc un manque à gagner évident pour l’État qui, du fait du régime des concessions à Aley, Jbeil, Zahlé et Bhamdoun, a assumé une perte de 18 millions de dollars en 2009 (…), de 185 millions de dollars au cours des six dernières années ». Le ministre a en outre qualifié de « complexe » le statut juridique de ces concessions « que de nombreux différends opposent à l’EDL et au ministère de l’Énergie ».
Évoquant le nombre d’employés de l’EDL, le ministre a indiqué que 5 027 postes sont rattachés au cadre de la compagnie. « Dans les faits, 3 097 postes sont vacants et seuls 1 930 salariés sont rattachés au cadre de l’EDL », a-t-il précisé, sans faire toutefois allusion aux très nombreux travailleurs journaliers qu’emploie la compagnie directement ou via d’autres sociétés.
« Chaque année, quelque 120 à 150 salariés, soit 8 % des employés cadrés, vont à la retraite, a-t-il ajouté. La moyenne d’âge à l’EDL est de 52 ans et 60 % des salariés cadrés de la compagnie, soit Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Actualité Tayyar-CPL, Géneral | Tagué: Aley, énergie hydraulique, Bassil, Bekaa, Beyrouth, Bhamdoun, branchements illicites, Couran Patriotique Libre, CPL, EAU, eaux, EDL, Electricité, Electricité Du Liban, Energie, FPM, Gebran Bassil, hydraulique, hydroelectricité, investissement, investissements, Jbeil, Liban, Liban-sud, Litani, Mont-Liban, Nahr el Bared, Nahr Ibrahim, Nord-Liban, ressources hydrauliques, tayyar, Zahle | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 28, 2009
Mawassem Kheir
1- Parlez-nous de vous-même? Votre formation? Votre profession? Vos activités?
Je suis président d’une ONG Mawassem Khair (moissons de la bienfaisance) dont la seule mission est de faire découvrir et sauvegarder ce patrimoine de la biodiversité et la richesse de notre nature.
Membre de la communauté Libanaise du Sénégal, j’ai commencé mes actions en Afrique avant de me consacrer exclusivement au Moyen-Orient…. Là-bas, au côté de mon frère Haidar El Ali, je me suis engagé, dans le cadre de l’association Océanium, dans la défense des dauphins et des espèces protégées, puis dans l’effort de reboisement.
Au Liban ensuite, où je me suis rendu la première fois il y a cinq ans seulement, accompagnant mon père suite au décès de ma mère. Le Liban a été pour moi une révélation : j’y ai découvert une « Terre Sacrée », capitale de la biodiversité du Moyen-Orient, et je me suis, depuis lors, engagé dans la protection de son riche patrimoine écologique. Mon ONG, Mawassem Khair, Moisson de la Bienfaisance, en coopération avec la FINUL, a participé au désamorçage de plus de 4000 bombes au Liban du Sud, au reboisement de la région ainsi qu’à la lutte contre les incendies, et surtout aux efforts de sensibilisation et d’éducation de la population aux problèmes environnementaux.
Mon grand projet actuel est de renforcer mes initiatives de reboisement du Liban, d’assister les municipalités en matière de traitement des déchets et des eaux usées, et de créer une agence d’information dédiée au développement durable et aux questions d’éco-santé au Liban.
[Pour suivre les actions de Ibrahim El Ali, rendez-vous sur son site : http://fondation-elali.blogspot.com/]
2-Que pouvez-vous dire des fleuves au Liban?
Le Liban, contrairement à ses voisins, dispose d’abondantes ressources en eau. Ses fleuves sont à l’image des nombreux paradoxes de notre pays. Que ce soit notre eau, nos montagnes, nos plantes et fleurs, notre littoral, nos oiseaux migrateurs, ou la faune sauvage – affluence du trésor de la biodiversité du moyen orient et gâchis permanents causés par la cupidité -, l’écosystème libanais paye un lourd tribut à cause des solutions de facilité et du manque d’implication d’un gouvernement encore instable, davantage inquiet de son maintien et soucieux des questions de sécurité, que de développement durable qui est pourtant parti intégrante de la sécurité humaine.
Le Liban est composé de plus de 2000 rivières et de 40 fleuves dont 17 pérennes que sont le Nahr Litani, l’Oronte, Nahr Awali, Nahr Ibrahim, Nahr Abu Ali, ainsi que 23 saisonniers.
Les principaux polluants sont de nature agricole, avec l’azotate et le phosphore, par les engrais et les différents pesticides de nature industrielle, les lacunes en matière d’évacuation d’eaux usées et enfin de déchets physiques de toute sorte. L’eau est la plus grande richesse des décennies à venir, protégeons-la pour en tirer les fruits demain.
3- Quelles sont les activités qui polluent (les causes de la pollution) ?
Quelle question ! Tout pollue au Liban. L’agriculture, comme je le disais tantôt, avec son surdosage en pesticides n’est certainement pas le dernier des facteurs. Savez-vous qu’en France, 70 produits sont acceptés comme pesticides alors qu’au Liban, nous en avons plus de 130 homologués, sans parler des Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: aérobie, anaérobie, Awali, Beyrouth, biodiversité, Damour, déchets, Ecologie, Ecotourisme, Environnement, FINUL, fleuve, Forêt, France, Gouvernement, Ibrahim el Ali, Jezzine, Liban, Litani, lumière, Mawassem Khair, Nabatiyeh, Nahr Abu Ali, Nahr Awali, Nahr Ghadir, Nahr Ibrahim, nappe, Océanium, ONG, Oronte, oxygene, parc, phréatique, poisson, Pollution, projet, réserves, reboisement, Sénégal, Wazzani | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur avril 11, 2009
(Livre Blanc du conflit Armée Libanaise – Forces Libanaises)
Ce texte entre dans le cadre plus large de la publication du Livre Blanc, regroupant les témoignages de la population lors de la guerre civile libanaise en 1990. Vous pouvez suivre l’intégralité de ce document sur cette page:
1990 – Devoir de mémoire: La population libanaise témoigne
– Parce que les politiques ont voulu effacer de notre mémoire, à travers une loi d’amnistie, toutes les exactions qu’ils ont commises durant la guerre civile,
– Parce que les médias n’assurent pas leur rôle de conscientisation de la population,
Le Livre Blanc reste encore aujourd’hui une référence pour rappeler à la population, de tous ages, les malheurs que peuvent engendrer tout conflit opposant un Libanais à son propre frère libanais. En attendant que l’état assure un jour pleinement ce rôle de mémoire au niveau de ses institutions, nous vous publions en plusieurs parties le Livre Blanc, rédigé à la fin de la guerre civile par de jeunes étudiants français, extérieurs au conflit, venus au Liban dans le seul but de comprendre. Pour cela, ils partent à la rencontre de la population témoin des exactions de la milice des Forces Libanaises dans le conflit l’opposant à l’Armée Libanaise.
Chapitre 2 : La Drogue
Le Liban est le pays des rumeurs. L’une d’elle concerne la drogue : on conditionnerait les miliciens en les droguant ce qui expliquerait leur comportement bestial pendant les combats. En revanche aucune rumeur de ce genre ne court sur l’Armée. Nous avons cherché à démêler le vrai du faux. Mais des conclusions définitives sont très difficiles à tirer puisque nous n’avons aucun chiffre. Après réflexion, nous avons décidé de publier ce que nous savons en restant très prudents sur certaines hypothèses.
Mais avant d’aborder la question de la consommation de drogue, nous avons voulu en savoir un peu plus sur Lire le reste de cette entrée »
WordPress:
J’aime chargement…
Posted in Géneral | Tagué: Adma, Ain-el-Remaneh, alcool, Antoine Boustany, Armée libanaise, canons, crimes, drogue, Etude, FL, Forces Libanaises, Guerre, Guerre civile, héroïne, Jbeil, Kesrouan, Liban, médecin, Metn, milice, Miliciens, Nahr Ibrahim, obus, Ouyoun el Siman, plantation, problématique, témoignages, Zouk-Mikaël | Leave a Comment »