Le coût est de 40.000 dollars, soit moins que le coût du mazout et de l’entretien, avec un retour sur investissement en 1 an.
Nous pouvons continuer ce que nous avons commencé au ministère au même rythme pour toujours aller de l’avant.
Le ministre des Télécommunications, l’ingénieur Gebran Bassil, a inauguré une mini-centrale productrice d’électricité grâce à des énergies alternatives (solaire et éolien), pour alimenter le centre de télécommunication de Aïn Hazir-Tarchieh.
Furent présents le directeur général de l’exploitation et de l’entretien au sein du ministère, le PDG de la firme Ogéro qui a réalisé le projet, le docteur Abdel Moneh Yousseh, le directeur artistique l’ingénieur Tony Hanna, le directeur du service des actionnaires Georges Estephan, le président des « revenus » Ahmed Hachicho, le docteur Imad Abou Rached, le directeur de la surveillance interne Ahmed Ramlaoui, le membre du conseil de direction Alain Bassil et le président du réseau téléphonique de la région de la Békaa, Adnan Nassar.
Après avoir visité la station avec les explications du directeur général d’Ogéro, le ministre Bassil a pris la parole, déclarant: » Nous sommes venus pour mettre en avant le premier projet de production électrique alternative de la part d’une institution officielle de l’état qui dresse les plans d’un projet pour l’éxécuter, le financer et l’équiper entièrement. Ce travail, nous l’avions débuté il y a quelque temps et il s’est achevé début juin. L’intérêt de ce centre réside dans le lancement de ce type de projet et d’une suite d’autres projets pour lesquels nous pouvons compter sur les énergies alternatives.
Cette station est un centre de liaison alternative, qui remplace la ligne principale. Elle a toujours besoin d’énergie et l’endroit ici est isolé, surtout en hiver. Or, le coût pour assurer la fourniture en mazout est élevé pour le ministère et pour Ogéro, surtout que l’EDL n’arrive pas jusque là depuis 2002. On a donc jusqu’à maintenant compté sur les générateurs électriques qui coûtaient 50.000 dollars par an. D’où la naissance de ce projet… il repose sur l’énergie solaire et éolienne, c’est-à-dire le soleil et le vent qui existent en abondance dans notre pays.
Le coût de ce projet est de 40.000 dollars, soit moins que le coût annuel du mazout et de l’entretien des générateurs électriques. L’intérêt avec ce projet est que nous récupérions son investissement en moins d’un an. D’où des bénéfices attendus dans les années à venir, notamment par rapport au prix du Lire le reste de cette entrée »