Posted by jeunempl sur septembre 5, 2013
Le Figaro

«Il n’y a pas de solution militaire en Syrie», a insisté Herman Van Rompuy, le président de l’Union européenne. «La solution doit être politique», et s’inscrire dans le cadre de l’ONU, a martelé le représentant de l’UE à Saint-Pétersbourg, appuyé par José Manuel Barroso, le président de la Commission.
Les dirigeants européens n’ont pas de mots assez durs pour qualifier l’attaque chimique du 21 août en Syrie, un «crime contre l’humanité», selon Herman Van Rompuy, mais ils refusent de donner leur caution à une intervention militaire.
La position allemande s’impose
L‘Union européenne, membre de plein droit du G20, lâche la France en rase campagne, laissant François Hollande plus isolé que jamais, avec Barack Obama comme seul allié de poids au sommet. Herman Van Rompuy l’a affirmé: la France est, à ce stade, le seul pays européen décidé à agir militairement en Syrie. «Quant à savoir quelle sera la réaction de l’UE, s’il y a une intervention militaire de la France, nous ne savons pas encore, nous y travaillons…», a-t-il ajouté.
Un camouflet pour Paris, qui espérait un soutien au moins moral, à son action. La position européenne est calquée sur celle de Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Géneral, Régional, Relations Liban-Belgique/UE | Tagué: attaque, Europe, François Hollande, France, G20, Herman Van Rompuy, Hollande, Merkel, Militaire, Obama, offensive, ONU, Poutine, Putin, Russie, Syrie, UE, Union Europeenne, Van Rompuy, Vladimir Poutine | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 30, 2010
Par Thierry Meyssan
Alors que la presse occidentale annonce l’imminente inculpation de dirigeants du Hezbollah par le Tribunal spécial pour le Liban, la revue russe Odnako remet en cause l’ensemble de l’enquête réalisée par les Nations Unies. Selon Thierry Meyssan, l’ancien Premier ministre libanais Rafiq Hariri aurait été assassiné avec une arme fournie par l’Allemagne. L’ancien procureur allemand et premier responsable de l’enquête onusienne, Detlev Mehlis, aurait falsifié un indice pour masquer la responsabilité de son pays. Ces révélations embarrassent le Tribunal et renversent la donne au Liban.
Les multiples conflits du Proche-Orient se cristallisent désormais autour du Tribunal spécial pour le Liban (TSL). La paix et la guerre dépendent de lui. Pour les uns, il doit permettre de démanteler le Hezbollah, de soumettre la Résistance et d’instaurer la Pax Americana. Pour les autres, il bafoue le droit et la vérité pour assurer le triomphe d’un nouvel ordre colonial dans la région.
Ce tribunal a été créé, le 30 mai 2007, par la Résolution 1757 du Conseil de sécurité pour juger les commanditaires supposés de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri. Dans le contexte de l’époque, cela signifiait ni plus, ni moins, juger les présidents syrien et libanais en exercice Bachar el-Assad et Emile Lahoud, les bêtes noires des néoconservateurs. Cependant il s’avéra que cette piste ne reposait sur aucun élément concret et qu’elle avait été alimentée par de faux témoins. N’ayant plus personne à juger, le Tribunal aurait pu disparaître dans les limbes de la bureaucratie lorsqu’un coup de théâtre le plaça à nouveau au cœur des conflits politiques régionaux. Le 23 mai 2009, le journaliste atlantiste Erich Follath révéla dans le Spiegel Online que le procureur s’apprêtait à inculper de nouveaux suspects : des dirigeants militaires du Hezbollah. Depuis 18 mois, son secrétaire général, Hassan Nasrallah clame l’innocence de son parti. Il affirme que cette procédure vise en réalité à décapiter la Résistance pour offrir la région à l’armée israélienne. De son côté, l’administration états-unienne se pose soudain en défenseur du droit et assure que nul ne saurait se soustraire à la Justice internationale.
Quoi qu’il en soit, la mise en accusation —que tous s’accordent à dire imminente— de leaders chiites pour l’assassinat d’un leader sunnite est de nature à enflammer la fitna, c’est-à-dire la guerre civile musulmane, plongeant la région dans de nouveaux soubresauts sanglants.
En visite officielle à Moscou, les 15 et 16 novembre, Saad Hariri —actuel Premier ministre et fils du défunt— a répété que la politisation du tribunal risquait d’enflammer une nouvelle fois son pays. Le président Medvedev lui a répondu que la Russie voulait que la Justice passe et réprouvait tout effort pour discréditer, affaiblir ou retarder le travail du tribunal. Cette position de principe repose sur la confiance accordée a priori par le Kremlin au TSL. Or celle-ci sera sûrement ébranlée par les révélations d’Odnako.
En effet, nous avons souhaité faire le point sur l’assassinat de Rafiq Hariri. Les éléments que nous avons découverts font apparaître une nouvelle piste dont on se demande pourquoi elle n’a jamais été explorée jusqu’ici. Au cours de notre longue enquête, nous avons rencontré de nombreux protagonistes, trop sans doute, de sorte que nos investigations se sont ébruitées et ont affolé ceux pour qui la piste de la Résistance armée libanaise est une bonne aubaine. Tentant de nous intimider, le Jerusalem Post a lancé une attaque préventive, le 18 octobre, sous la forme d’un long article consacré à notre travail. De manière purement diffamatoire, il y accuse Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: accusation, agent, Allemagne, Antonio Cassese, Assassinat, Attentat, Bachar el Assad, Berlin, brouillage, Bush, Cain Külbel, Cassese, CIA, Der Spiegel, Detlev Mehlis, droit, Dudin, Elie Wiesel, Emile Lahoud, Enquête, Etats-Unis, Europe, explosif, faux témoins, généraux, Géneral, Guerre, Hariri, hezbollah, Injustice, International, Iran, Israel, Jamil Sayyed, Jürgen Cain Külbel, Jerusalem Post, Justice, Kulbel, Lehmann, Liban, Libanais, magistrat, Medias, Mehlis, Merkel, Mosad, Mossad, Odnako, Palestine, Poutine, Rafik Hariri, Rafiq Hariri, Résistance, révélations, Said Dudin, Sayyed, Securité, témoins, Tribunal, Tribunal Spécial pour le Liban, TSL, USA, Vitaly Churkin | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur novembre 20, 2009
Le Soir

Herman Van Rompuy, premier Président de l'Union Européenne
Au 1er janvier 2010, Herman Van Rompuy entrera en fonction en tant que premier président de l’Union européenne. La Britannique Catherine Ashton, elle, a été nommée Haut représentant de l’UE aux Affaires étrangères. Ceci dit, qui Obama pourrait-il appeler en cas de besoin pour joindre l’UE ? Les dirigeants européens ne savent pas très bien… La Maison Blanche, elle, a déclaré que le partenariat avec les Etats-Unis sera renforcé par ces deux nominations.
Par Jurek Kuczkiewicz
Herman Van Rompuy, inconnu sur la scène européenne il y a un an encore, a été choisi à l’unanimité par les 27 chefs d’Etats ou de gouvernement pour devenir le premier président permanent du Conseil européen, une des deux nouvelles fonctions créées par le Traité de Lisbonne qui entrera en vigueur le 1er décembre prochain.
Il assumera ses nouvelles fonctions à partir du 1er janvier 2010, ouvrant ainsi l’épineuse question de sa succession au Seize rue de la Loi. Avec une présidence stable pour un mandat de deux ans et demi renouvelable une fois, le système actuel de présidence tournante tous les six mois est remplacé. Le Premier ministre quitte le 16 rue de la Loi pour le nº 175, au Juste Lipse, siège du Conseil de l’UE.
« L’Europe est une union de valeurs et elle a la responsabilité de jouer un rôle important dans le monde », a déclaré le nouveau président de l’Union. Il a toutefois dit vouloir se contenter, dans sa fonction de président du Conseil, d’un rôle de facilitateur de compromis entre les pays de l’UE. Il a affirmé vouloir rester « discret » et ne pas se répandre en interviews dans les médias.
M. Van Rompuy s’est dit par ailleurs favorable à ce que « l’Union européenne continue à s’élargir pour inclure d’autre pays » dans les années à venir, « à condition qu’ils remplissent les critères » demandés. Une manière de répondre à ceux qui l’accusent d’être un opposant à l’entrée de la Turquie dans l’UE. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur mars 15, 2008
(www.premier-ministre.gouv.fr)
Les dirigeants européens réunis en sommet à Bruxelles ont dit oui, le 13 mars, au projet d’Union pour la Méditerranée présenté conjointement par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Objectif : renforcer la coopération entre l’Union et les pays du Maghreb.
« J’ai le plaisir de vous informer que demain matin sera formellement prise la décision de transformer le processus de Barcelone en Union pour la Méditerranée. La décision a été prise ce soir, à l’unanimité, avec un grand enthousiasme », a déclaré Nicolas Sarkozy lors d’une conférence de presse suivant le dîner des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Géneral | Tagué: Europe, Liban, Méditerranée, Merkel, Sarkozy, Union | Leave a Comment »