La chaine satellitaire syrienne a diffusé de nouveaux enregistrements de conversations téléphoniques entre, selon elle, le député du Courant du futur Okab Sakr et des chefs rebelles syriens.
Le journaliste syrien Rafic Lotof, spécialisé dans le démontage des trucages médiatiques diffusés par les chaine Al-Jazeera et al-Arabiyé, a déclaré qu’il disposait d’autres enregistrements prouvant l’implication de Sakr dans le transfert d’armes aux rebelles syriens.
La télévision syrienne a diffusé 9 minutes d’enregistrements de plusieurs conversations. Certaines d’entre elles ont été Lire le reste de cette entrée »
Le ministre de l’Information Walid Daouk a signalé vendredi que la formation d’une cellule de crise médiatique était une priorité urgente ne souffrant aucun retard, lors de son patronage, au Grand Sérail, d’une table ronde organisée par le programme de l’unité spéciale – reliée à la présidence du Conseil des ministres – sur la réduction des risques et des catastrophes.
Cette table ronde fait suite aux efforts déployés par le gouvernement libanais et le PNUD pour réduire les risques des catastrophes. Elle a regroupé les propriétaires des différents moyens d’information du Liban, en présence, entre autres, du représentant du PNUD au Liban Robert Watkins, du président de l’Ordre de la presse Mohammed Baalbaki, du président et des membres du Conseil national de l’audiovisuel, du directeur général du ministère de l’Information Hassan Falha, de la directrice de l’Agence Nationale de l’Information Laure Sleiman Saab, du directeur de Radio Liban Mohammed Ibrahim et du conseiller du ministre Daouk, André Kassas.
M. Daouk a mis la lumière sur l’importance des médias et sur leur contribution à la sensibilisation des gens sur les règles de sécurité les plus élémentaires et sur les moyens d’affronter les catastrophes, quelle que soit leur nature.
Il a rappelé que les médias libanais ont déjà expérimenté la couverture des catastrophes avec le crash de l’avion éthiopien au large des côtes libanaises le 25 janvier 2010, pointant du doigt « le manque Lire le reste de cette entrée »
Le Conseil National de l’Information s’est réuni jeudi en urgence, sur l’appel du ministre de l’Information Walid Daouk, afin de discuter de la couverture des derniers développements au pays par les médias, à la suite du branlebas engendré par la façon et les moyens utilisés par ces derniers pour traiter les incidents de sécurité qui ont secoué le pays mercredi soir.
M. Daouk, qui a insisté sur l’importance de « la liberté « sacrée » de l’information », a affirmé que la couverture en direct et les faits relatés par les médias mercredi soir ont fait l’objet de la réunion.
« Nous nous sommes tous accordés sur un point: les médias n’ont pas transmis les nouvelles, mais les ont fabriquées », a regretté le ministre, signalant que les PDG et rédacteurs en chefs des différents moyens d’information sont convoqués à une réunion en son bureau, vendredi 24 août, pour essayer de parvenir à la meilleure solution dans la couverture des événements selon un plan bien défini, pour rappeler la nécessité de se baser sur des sources fiables en Lire le reste de cette entrée »
Le dernier double véto de la Russie et de la Chine sur la question syrienne doit bien renseigner que le monde a bien changé dans les rapports de force. Un triple véto doublé sur la Syrie ne se décide pas sur l’humeur, mais sur des analyses géostratégiques objectives. Il s’agit d’un affrontement entre deux conceptions du monde : l’une unipolaire et l’autre multipolaire. Les rapports de force entre les différentes puissances constituant les éléments clés, décisifs.
Dans la vision sino-russe les instabilités dans le monde arabe sont une menace directe pour leurs intérêts aussi bien matériels que dans leur espace politique intérieur, surtout pour la Russie. Les musulmans de Russie sont en effet menacés par l’Islam extrémiste salafo-wahabiste qu’encourage la puissance américaine – sous couvert de ‘démocratie’ dans cette vague des ‘Printemps arabes’- dans la mesure où cela sert ses objectifs hégémoniques dont l’affaiblissement de la Russie est l’une des priorités. Les exemples « yougoslaves », « irakiens » et « libyens » où les lois internationales ont été bafouées pour instaurer le chaos restent des cas graves des méfaits de l’unilatéralisme qu’il faut, coûte que coûte, briser. La Syrie, disent les analystes, « sera un symbole fort du retour de la puissance russe et de sa capacité à Lire le reste de cette entrée »
C’est désormais une tradition depuis 2010, comme chaque année, l’équipe du MPLBelgique.org vous propose un recueil d’articles regroupant les principales réalisations et projets lancés par les ministres du Courant Patriotique Libre. Dans cette page, les projecteurs seront pointés sur Nicolas Sehnaoui, ministre des Télécommunications.
Nicolas Sehnaoui est certes jeune mais de loin le ministre le plus efficace de ce gouvernement. Alignant réformes après réformes, il bénéficie d’une estime certaine auprès de la jeunesse qui voit en lui le libérateur de toute une génération… celle de la communication intensive.
Et pour cause, en moins d’un an, il aura réussi à rendre l’internet abordable à toute couche de la population (réduction des tarifs de 80%), tout en améliorant la qualité du service (vitesse de chargement 8 fois plus importante). Sa dernière réforme dans ce secteur concerne la gratuité de l’internet entre minuit et 7h00 du matin afin d’utiliser au mieux les ressources disponibles aux heures creuses et d’en faire profiter au maximum la population. Cela, en attendant l’installation complète de la fibre optique dans toutes les régions du pays et dont les premiers résultats se ressentiront à partir de début 2013.
Au niveau de la téléphonie mobile, il s’est d’abord attaqué à la 3G, mise en place sous l’ère Bassil-Nahas. Il a fallu avant tout tester, puis diffuser à l’échelle nationale. Aujourd’hui, ses tarifs deviennent de plus en plus attractifs après les nouveaux forfaits proposés pour les détenteurs de cartes prépayées ainsi que les nouveaux tarifs pour détenteurs de BlackBerry.
Et puis, il y a ces réformes qui ne portent pas vraiment de noms et qui ont pour but d’améliorer une infrastructure trop longtemps délaissée, en témoigne le projet de renforcement du réseau de télécommunication ainsi que le projet de National Roaming qui visent à Lire le reste de cette entrée »
Avec les risques qui pèsent sur les employés de la LBC, menacés collectivement de perdre leur emploi, le Club de la presse a publié hier un communiqué dans lequel il indique avoir reçu plusieurs plaintes qui lui sont parvenues de la part des salariés de la chaîne télévisée.
Les griefs portent sur l’attitude adoptée par la société PAC qui les emploie, notamment sur la liste des 400 noms touchés par le licenciement collectif envoyée au ministère du Travail. Ils concernent également la situation de précarité dans laquelle se trouvent actuellement les employés qui n’ont toujours pas touché leur salaire du mois de mars.
Le communiqué précise qu’en signe de solidarité avec les employés, le directeur du Club, Youssef Howayek, s’est rendu auprès du ministre du Travail, Sélim Jreissati, pour évoquer avec lui l’affaire. M. Jreissati a tenu à envoyer lors de la rencontre un message rassurant aux employés, affirmant que son ministère sera « très ferme au sujet des droits des employés qui sont sacrés, protégés par la loi et les conventions internationales ».
Le ministre a confirmé avoir effectivement reçu une demande de PAC relative au licenciement d’un grand nombre d’employés. Il a précisé avoir convié la société en question à une réunion d’arbitrage, conformément à la loi en vigueur, soulignant qu’aucun représentant de la société n’a honoré l’invitation, « un comportement qui n’est pas justifié », a souligné le ministre.
Et le communiqué de conclure que le ministre attend que le délai d’un mois réglementaire suivant l’envoi de la demande de licenciement expire afin qu’il puisse réagir en fonction, et sur base des lois en vigueur.
Cet article est un éclairage et une réponse à la propagande des médias du clan Hariri (Al Moustakbal, L’Orient le Jour et autres médias de partis inféodés).
Le Conseil des ministres a voté ce mercredi soir 2 décisions importantes :
– L’urgence: la location des bateaux générateurs d’électricité pour une capacité de 270 MW, soit 20% de la production actuelle, et ce pour une durée de 3 ans.
– Le long terme: La construction de nouvelles centrales électriques pour une capacité de 1500 MW.
A tort, le long terme est attribué à Mikati, l’urgence à Bassil. Pourtant, ces décisions reproduisent à l’identique 2 paragraphes du plan du ministre Bassil. Plongeons-nous y en détail…
Un copier-coller du plan Bassil
Qui est gagnant, qui est perdant? Apportons quelques éléments objectifs pour répondre à cette question que certains médias posent et se permettent même d’y répondre, non sans fausser la réalité objective de la situation…
Pour cela, prenons le plan du ministre Bassil (cliquez ici pour découvrir le contenu) voté en juin 2010 par le conseil des ministres, à l’époque présidé par Hariri.
Le plan prévoyait une composante de projets à court-terme, dont la location de bateaux générateurs d’électricité d’une capacité variant de 110 à 280 MW, pendant 2 à 3 années (page 6, tableau du point a). Pour rappel, la décision votée mercredi prévoit 270 MW pour 3 années. On est bien loin de la situation présentée par l’Orient le Jour.
Ensuite, dans la composante à long-terme du plan Bassil, il prévoit la construction de nouvelles centrales pour une capacité de… 1500 MW, et ce à travers un partenariat public-privé (page 7, tableau du point d). Dans son article, L’Orient le Jour nous fait croire 20 mois après la publication de ce plan que Lire le reste de cette entrée »
Le quotidien arabophone Al-Akhbar a lancé une édition anglaise en beta de son site fin août. La version définitive devrait sortir d’ici à la fin de l’année.
Présentant, à l’instar de la version arabe, des nouvelles politiques, économiques, sociales, culturelles, etc., le site est composé majoritairement d’articles traduits de la version arabe. Sa structure est toutefois plus aérée, avec davantage de photos. Le site offre aussi des blogs.
« Beaucoup de discussions et de débats sont retranscrits dans la presse arabe, mais ne passent pas le filtre de la presse anglophone, qui se focalise davantage sur les nouvelles », explique Hicham Safieddine, directeur de la rédaction. « Notre objectif est de mettre en avant ces points de vue différents ».
Ciblant en priorité une population jeune, d’origine arabe, répartie en Europe, aux Etats-Unis et dans les pays de la région, Al-Akhbar en anglais aimerait attirer plus de lecteurs que la version arabe. Le quotidien compte 1300 « followers » sur Twitter et 650 fans de sa page Facebook.
Une équipe d’une douzaine de personnes, entre designers, journalistes et traducteurs, y travaille. « Nous sommes à la recherche de journalistes », avance Safieddine, notamment pour développer la partie non liée à la traduction.
L’investissement requis pour le développement du site, entièrement réalisé en interne, n’a pas été dévoilé. Des versions pour iPad et iPhone sont prévues dans un futur proche.
Pour le moment, Al-Akhbar en anglais n’affiche pas de publicités : « Nous préférons d’abord construire le site, développer le contenu, augmenter le trafic, puis nous réfléchirons à la manière de Lire le reste de cette entrée »
Le grand et honorable quotidien francophone libanais L’Orient Le Jour a titré en manchette ce jour sur l’issue de la bataille de l’électricité.
Fidèle à sa tradition, il a pu détourner la réalité des faits et présenter le dossier comme suit:
« Exécutif
Il a fallu que Nagib Mikati tape du poing sur la table, pour que le courant passe enfin !
Le Conseil des ministres a approuvé l’ambitieux programme d’équipement du pays en électricité, que les exigences du général Michel Aoun et du ministre Gebran Bassil ont failli faire échouer. La loi-programme rééchelonnant sur quatre ans les 1,2 milliard de dollars nécessaires doit encore être votée par le Parlement. »
Malgré la réalité flagrante et évidente, malgré l’issue favorable et, dorénavant, connue de tous, ce quotidien a osé se payer la tête de ses lecteurs en manipulant l’information.
Ce n’est pas la première fois que ce vénérable quotidien est pris en flagrant délit et probablement pas la dernière. Mais malheureusement ce n’est que la preuve de la corruption et le mensonge qui gangrènnent le pays des cèdres et pour lesquels, une bonne vague de changement puis de réforme devient indispensable.
Nous vous laissons méditer cet épisode et surtout les réactions, très interessantes et pertinentes des internautes (reproduites tel que publiées sur le site de l’orient le jour) qui prouvent, encore une fois, que le peuple libanais n’est plus dupe de leurs manigances et saura renverser la table le moment venu.
Réactions des internautes à cet article
– Je n’ai pas compris cet article. Relisez le: « … que les exigences du général Michel Aoun et du ministre Gebran Bassil ont failli faire échouer ». Mais c’est leur programme. C’est comme si vous disiez que leur programme est passé…. malgré eux, voire pire, malgré vous.
Daniel LANGE
– Vraiment, c’est M. Bassil qui tentait de saboter ce projet ? J’ai dû mal comprendre alors … Lorsqu’un ministre travaille, qu’on l’aime ou pas, il faut le lui reconnaître et surtout il faut que la presse dise les choses comme elles se présentent et non Lire le reste de cette entrée »
Le journaliste Ghassan Ben Jeddou a tenu jeudi une conférence de presse à l’Ordre de la presse, durant laquelle il a annoncé le lancement de la nouvelle chaîne de télévision satellitaire « Mayadine » par la fusion de la chaîne « Ittihad » présidée par le journaliste Naef Karim, en présence de l’ancien député Issam Naaman, du président du Conseil national de l’audiovisuel Abdel Hadi Mahfouz et du président de l’Ordre de la presse Mohammad Baalbaki.
En cette occasion, M. Ben Jeddou a indiqué que « la scène médiatique arabe a une place pour des chaînes satellitaires, notamment à l’ombre des mouvements populaires sans précédents dans la région ».
« Cette chaîne (…) a été créée pour interagir avec la scène des révolutions et des manifestations arabes, observer la résistance populaire à l’occupation et représente une immunité politique face à l’hégémonie », a-t-il dit, déclarant que « Ghassan Ben Jeddo se chargera du poste de PDG de la chaîne et Naef Karim de celui de directeur général ».
M. Ben Jeddou a finalement affirmé que « leur choix est tombé sur la capitale libanaise Beyrouth pour le siège de la chaîne ».