Mouvement pour le Liban

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Electricité : Matelec devrait construire une deuxième centrale au Sénégal

Posted by jeunempl sur novembre 10, 2011

Le Commerce du Levant

Le groupe libanais Matelec, spécialisé dans la transmission et la distribution d’électricité, est sur le point de signer un contrat avec l’Etat sénégalais pour construire une centrale électrique de 80 MW.

« Nous avons remporté l’appel d’offres il y a deux ans, explique le directeur de la société Sami Soughayar au Commerce du Levant. Mais des délais sont liés à l’Etat sénégalais ». Le chantier, estimé à 100-120 millions d’euros (137-164 millions de dollars), nécessitera dix-huit à vingt-quatre mois de travaux.

Les bailleurs internationaux (dont la Banque africaine de développement, la Banque ouest-africaine de développement, et la Société financière internationale) vont assurer 75% du financement, et le groupe libanais les 25% restants. Matelec sera un producteur d’électricité indépendant (independent power producer, IPP) qui exploitera le site en mode Build-Own-Operate (BOO).

« Nous construirons la centrale, la financerons, la gérerons, et l’État nous achètera l’électricité », précise Sami Soughayar dans un article paru dans Jeune Afrique. Cette centrale sera la deuxième construite et gérée par Matelec dans le pays : la centrale de Kounoune (région de Dakar), opérationnelle depuis 2008, fournit déjà 67,5 MW, soit 25% de l’énergie du pays.

Matelec se développe également au Kenya : il y construit une centrale de Lire le reste de cette entrée »

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Thierry Meyssan : Reconstruire une alternative prendra hélas du temps, mais ce n’est pas une raison pour y renoncer

Posted by jeunempl sur avril 5, 2009

Par Egalité et Réconciliation/ ISM

thierry-meyssanRéfugié au Liban, Thierry Meyssan nous a accordé une longue interview dans laquelle il nous livre son analyse décoiffante de la situation internationale. Une analyse qui rejoint souvent celle d’Egalité et Réconciliation.

Thierry Meyssan, on ne vous voit plus en France, que devenez-vous ?

Je vis actuellement au Liban. Après l’arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir, j’ai été directement menacé par de hauts fonctionnaires français. Des amis au ministère de la Défense, m’ont informé que les États-Unis me considèrent comme un danger pour leur sécurité nationale. Dans le cadre de l’OTAN, ils ont demandé aux services alliés de me neutraliser et certains Français semblaient vouloir faire du zèle.
J’ai donc pris la décision non seulement de quitter la France, mais la zone OTAN. Après avoir erré de Caracas à Damas en passant par Moscou, je me suis fixé à Beyrouth où je me suis placé au service de la Résistance.

Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?

Je travaille actuellement à un livre d’analyse sur l’administration Obama, ses origines, sa composition, ses projets etc. Une première édition, limitée à quelques exemplaires, sera adressée à des quelques leaders le mois prochain.
Puis une édition grand public sera publiée dans diverses langues à l’automne. Je vis exclusivement de ma plume et je collabore à des journaux ou magazines dans le domaine de la politique internationale, au Proche-Orient et en Russie.

Quelle analyse faite vous de l’évolution de la politique américaine ?

Aujourd’hui se dégage un relatif consensus sur le constat d’échec de la politique Bush, le surdéploiement militaire, les conséquences néfastes de l’unilatéralisme sur les relations avec les alliés et la perte de leadership.

A partir de 2006, James Baker et Lee Hamilton, qui présidaient une commission créée par le Congrès pour évaluer la stratégie en Irak, ont milité en faveur d’un retour à une position plus sage. Ils ont préconisé un retrait d’Irak et un prudent rapprochement avec les pays riverains (Syrie, Iran) indispensable pour éviter que le départ des GI’s ne tourne à la débâcle, comme au Vietnam.

Ils ont fait tomber la tête de Donald Rumsfeld, et ont imposé un membre de leur commission, Robert Gates, pour lui succéder. Mais s’ils ont gelé la politique de «remodelage du Grand Moyen-Orient», ils ne sont pas parvenus à y faire renoncer George Bush et Dick Cheney; raison pour laquelle il a fallu organiser une rupture avec Barack Obama.

En réalité Obama avait été lancé dans la course au Sénat fédéral et à la présidence dès 2004. Il a fait son entrée en scène lors de la convention démocrate pour l’investiture de John Kerry. Il n’était alors qu’un obscur parlementaire de l’Assemblée de l’Illinois, mais il était déjà encadré et entrainé par Lire le reste de cette entrée »

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