Posted by dodzi sur avril 11, 2012
L’Orient le Jour
Selon le Jerusalem Post, l’armée israélienne a désormais établi une longue liste de cibles à bombarder.
« Ne pas attaquer des cibles du gouvernement libanais, lors de la seconde guerre avec le Liban, en 2006, était une erreur », a affirmé au Jerusalem Post un responsable de la défense israélienne.
Selon ce responsable, ce sont les Américains qui, après le déclenchement de la guerre de l’été 2006, ont demandé à Israël de ne pas bombarder des cibles officielles libanaises, afin de ne pas affaiblir le Premier ministre de l’époque, Fouad Siniora, proche de l’Occident.
« Ce ne sera pas la même chose à l’avenir, et ce d’autant plus que le Hezbollah et le gouvernement sont désormais une même entité », poursuit le responsable, sous couvert de l’anonymat.
Selon le quotidien israélien, l’armée israélienne a désormais établi une longue liste de cibles à bombarder au Liban. Cette liste comporterait des milliers de cibles du Hezbollah, contre quelque 200 en juillet 2006. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur novembre 1, 2011
France 24
Le gouvernement de Benjamin Netanyahou doit plancher ce mardi sur la réponse à apporter à l’admission de la Palestine à l’Unesco. Washington a déjà annoncé la suspension de sa contribution à l’agence onusienne chargée de la protection des cultures.
Le cabinet restreint de M. Benjamin Netanyahu doit se réunir mardi pour examiner sa réponse au vote la veille, au siège de l’Unesco à Paris, en faveur de l’admission de la Palestine à l’organisation internationale, selon les médias et un responsable israélien.
« Le cabinet restreint qui compte huit ministres doit se réunir dans l’après-midi pour faire le point sur les réponses d’Israël à ce vote », ont indiqué les médias israéliens.
« Nous allons examiner comment nous entendons réagir à ce vote », a confirmé à l’AFP un haut responsable israélien qui a requis l’anonymat.
Interrogé mardi matin à la radio publique, le vice-ministre israélien des Affaires étrangères Danny Ayalon a pour sa part affirmé qu' »Israël veut peser ses réactions à ce vote au niveau diplomatique et politique en tenant compte de ses intérêts ».
Selon lui, « l’Unesco est devenue une organisation politique en intégrant en son sein un Etat qui n’existe pas, à la suite du vote d’une majorité automatique de ses membres (…) Cette démarche des Palestiniens prouve qu’ils ne veulent ni la paix ni des négociations, mais entendent perpétuer le conflit ».
M. Ayalon a par ailleurs indiqué qu’Israël allait exprimer sa « déception » à la France pour son vote qu’il a jugé « bizarre, car la France, un pays ami, a cédé à l’Autorité palestinienne après avoir essayé de la dissuader de sa démarche à l’Unesco ».
L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture a décidé lundi à Paris de l’admission de la Palestine comme membre à part entière par 107 voix pour, 52 abstentions et 14 voix contre.
Selon le quotidien Haaretz, « Israël envisage de punir l’Autorité palestinienne (..) Le cabinet de sécurité va discuter d’éventuelles sanctions » frappant l’Autorité palestinienne. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur octobre 3, 2011
AFP/France 24
L’autorisation de nouvelles constructions à Jérusalem-Est suscite de vives critiques au sein de la communauté internationale. Les États-Unis se disent « profondément déçus », Paris et Bruxelles parlent de « provocation ».
Le ministère israélien de l’Intérieur a annoncé mardi avoir approuvé la construction de 1.100 nouveaux logements dans le quartier de colonisation juive de Gilo à Jérusalem-Est occupé et annexé, s’attirant les condamnations palestiniennes et de la communauté internationale.
La décision a été vivement critiquée par les Etats-Unis, « profondément déçus », l’Union européenne, la France, qui a parlé de « provocation », et la Grande-Bretagne qui a demandé l’abandon du projet, au moment où la communauté internationale s’efforce de relancer les négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens.
Dans un communiqué, le coordinateur spécial de l’ONU pour le processus de paix au Proche-Orient, Robert Serry, a estimé que l’annonce israélienne « nuit aux chances de reprise des négociations en vue de régler le conflit par la solution de deux Etats », Israël et la Palestine.
Le plan de Gilo a été approuvé par le comité d’urbanisation du ministère et il est à présent ouvert aux objections du public pendant 60 jours, selon un communiqué.
Les éventuelles objections seront discutées par le comité, avant le lancement d’un appel d’offres pour la construction, a précisé à l’AFP un porte-parole du ministère, Roei Lachmanovich.
« Israël répond au communiqué du Quartette par 1.100 +non+ », a réagi le négociateur palestinien Saëb Erakat, en référence à l’appel du Quartette (Etats-Unis, Union européenne, ONU et Russie) vendredi à une reprise des négociations de paix israélo-palestiniennes.
Le Quartette a appelé les deux parties à reprendre les pourparlers et à « se garder d’actes provocateurs pour que les négociations soient efficaces », quelques heures après le dépôt par le président palestinien Mahmoud Abbas de la demande d’adhésion à l’ONU d’un Etat de Palestine, sur laquelle doit se prononcer le Conseil de sécurité.
« Nous disons aux pays qui ne soutiennent pas notre démarche au Conseil de sécurité que la seule voie vers la paix et une solution à deux Etats est de soutenir la demande palestinienne pour une adhésion en tant que membre à part entière » de l’ONU, a plaidé M. Erakat, dans une déclaration à l’AFP.
« Le Premier ministre israélien affirme n’avoir aucune condition préalable, mais par cette décision il crée des conditions préalables sur le terrain. Il dit qu’il ne devrait pas y avoir de mesures unilatérales, mais rien n’est plus unilatéral qu’une énorme vague de construction de colonie sur la terre palestinienne », affirme le gouvernement palestinien dans un communiqué.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a laissé entendre qu’il n’avait pas l’intention de décréter un nouveau gel de la colonisation en Cisjordanie pour convaincre les Palestiniens de revenir aux négociations, arrêtées il y a un an. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur novembre 30, 2010
Par Thierry Meyssan
Alors que la presse occidentale annonce l’imminente inculpation de dirigeants du Hezbollah par le Tribunal spécial pour le Liban, la revue russe Odnako remet en cause l’ensemble de l’enquête réalisée par les Nations Unies. Selon Thierry Meyssan, l’ancien Premier ministre libanais Rafiq Hariri aurait été assassiné avec une arme fournie par l’Allemagne. L’ancien procureur allemand et premier responsable de l’enquête onusienne, Detlev Mehlis, aurait falsifié un indice pour masquer la responsabilité de son pays. Ces révélations embarrassent le Tribunal et renversent la donne au Liban.
Les multiples conflits du Proche-Orient se cristallisent désormais autour du Tribunal spécial pour le Liban (TSL). La paix et la guerre dépendent de lui. Pour les uns, il doit permettre de démanteler le Hezbollah, de soumettre la Résistance et d’instaurer la Pax Americana. Pour les autres, il bafoue le droit et la vérité pour assurer le triomphe d’un nouvel ordre colonial dans la région.
Ce tribunal a été créé, le 30 mai 2007, par la Résolution 1757 du Conseil de sécurité pour juger les commanditaires supposés de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri. Dans le contexte de l’époque, cela signifiait ni plus, ni moins, juger les présidents syrien et libanais en exercice Bachar el-Assad et Emile Lahoud, les bêtes noires des néoconservateurs. Cependant il s’avéra que cette piste ne reposait sur aucun élément concret et qu’elle avait été alimentée par de faux témoins. N’ayant plus personne à juger, le Tribunal aurait pu disparaître dans les limbes de la bureaucratie lorsqu’un coup de théâtre le plaça à nouveau au cœur des conflits politiques régionaux. Le 23 mai 2009, le journaliste atlantiste Erich Follath révéla dans le Spiegel Online que le procureur s’apprêtait à inculper de nouveaux suspects : des dirigeants militaires du Hezbollah. Depuis 18 mois, son secrétaire général, Hassan Nasrallah clame l’innocence de son parti. Il affirme que cette procédure vise en réalité à décapiter la Résistance pour offrir la région à l’armée israélienne. De son côté, l’administration états-unienne se pose soudain en défenseur du droit et assure que nul ne saurait se soustraire à la Justice internationale.
Quoi qu’il en soit, la mise en accusation —que tous s’accordent à dire imminente— de leaders chiites pour l’assassinat d’un leader sunnite est de nature à enflammer la fitna, c’est-à-dire la guerre civile musulmane, plongeant la région dans de nouveaux soubresauts sanglants.
En visite officielle à Moscou, les 15 et 16 novembre, Saad Hariri —actuel Premier ministre et fils du défunt— a répété que la politisation du tribunal risquait d’enflammer une nouvelle fois son pays. Le président Medvedev lui a répondu que la Russie voulait que la Justice passe et réprouvait tout effort pour discréditer, affaiblir ou retarder le travail du tribunal. Cette position de principe repose sur la confiance accordée a priori par le Kremlin au TSL. Or celle-ci sera sûrement ébranlée par les révélations d’Odnako.
En effet, nous avons souhaité faire le point sur l’assassinat de Rafiq Hariri. Les éléments que nous avons découverts font apparaître une nouvelle piste dont on se demande pourquoi elle n’a jamais été explorée jusqu’ici. Au cours de notre longue enquête, nous avons rencontré de nombreux protagonistes, trop sans doute, de sorte que nos investigations se sont ébruitées et ont affolé ceux pour qui la piste de la Résistance armée libanaise est une bonne aubaine. Tentant de nous intimider, le Jerusalem Post a lancé une attaque préventive, le 18 octobre, sous la forme d’un long article consacré à notre travail. De manière purement diffamatoire, il y accuse Lire le reste de cette entrée »
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