Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘Indépendant’

A la découverte d’un autre cinéma au FIFI (festival international du film indépendant)

Posted by jeunempl sur octobre 29, 2012

FIFI

Le MPL Belgique vous donne l’occasion de remporter des places pour 3 films libanais projetés durant le FIFI. Pour participer, il suffit de liker notre page facebook et d’envoyer vos coordonnées à info@mplbelgique.org.

Pour la 39ème année, le FIFI revient à Bruxelles du 6 au 10 novembre 2012 pour proposer aux amoureux du cinéma des films inédits d’ici et des quatre coins du monde. Rendez-vous incontournable du cinéma belge et international, le FIFI présente une compétition nationale et internationale qui met en avant un cinéma riche mais souvent méconnu. Le gala d’ouverture au lieu le mardi 6 novembre 2012 à 19h30 avec le film Blind intersections de Lara Saba (Liban) au Flagey.

Le Liban à l’honneur

Chaque année, la création cinématographique d’un pays est mise en avant pour dévoiler son univers artistique. Cette année c’est le Liban qui sera mis à l’honneur, l’occasion pour le public de découvrir le cinéma et la culture de ce pays aux multiples facettes.

Un Festival à taille humaine

Lieu d’échanges unique, le FIFI reste un festival à taille humaine qui permet la  rencontre entre cinéastes, producteurs, distributeurs, auteurs, médias et public en toute convivialité.

Un voyage à travers les cinémas du monde

Tous les films sélectionnés méritent d’être vus, bien sûr. Mais au-delà des films de notre pays vedette, le Liban, qui ouvrira cette édition avec le film Blind intersections de Lara Saba, ne manquez surtout pas le voyage fort en émotions que nous vous avons planifié vers  la Turquie avec Night of Silence de Reis Celik, un huis clos dans une chambre nuptiale au suspense garanti. Ou vers l’Egypte  avec Winter of Discontent de Ibrahim El Batout qui vous plongera au cœur Lire le reste de cette entrée »

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Ziad Baroud : Ambition et réalisme

Posted by jeunempl sur décembre 3, 2011

Joëlle Seif – L’Hebdo Magazine

On n’a jamais vu au Liban un ministre quitter le pouvoir, plus populaire à sa sortie qu’à son entrée en politique. Rarement un ministre de l’Intérieur a fait autant l’unanimité autour de sa personne. Appuyé et respecté de tous les bords, Ziad Baroud a réussi l’impossible pari de rester à égale distance de tout le monde. Aujourd’hui hors du ministère mais pas loin de la politique, Ziad Baroud nous parle de son expérience, de sa vie loin du pouvoir et de ses ambitions.

Avocat de formation, Ziad Baroud fait ses premiers pas en politique dans le cadre de l’Association libanaise pour la démocratie des élections, dont il est le co-fondateur en 1996 et dont il est élu secrétaire général en 2004-2005. C’est dans ce cadre qu’il dirige une équipe d’observateurs, composée de 1350 personnes pendant les élections de 2005. C’est ensuite son action au sein de la Commission nationale pour la loi électorale présidée par Fouad Boutros qui fera parler de lui.

Où en est-il aujourd’hui? «J’ai le sentiment d’avoir récupéré ma vie. J’ai repris mon travail d’avocat. Ce n’est pas que je me plains des trois années passées au ministère de l’Intérieur. Bien au contraire, j’ai accumulé une très grande expérience qui m’a rendu beaucoup plus fort. Mais aujourd’hui, j’ai retrouvé ma liberté d’action qui m’est très chère. Je me sens bien. J’ai tenu jusqu’au bout. Je n’ai pas quitté au moment où les difficultés étaient grandes», confie Ziad Baroud. Et des difficultés, il en a connues le jeune ministre de l’Intérieur. Pour lui, l’affaire la plus critique demeure la Lire le reste de cette entrée »

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Moukheiber: « Le Parlement est la meilleur place pour le dialogue »

Posted by jeunempl sur juillet 31, 2011

Z.M. – ANI

Le député Ghassan Moukhaiber a invité « au respect des différences et des diversifications entre les parties politiques libanaises », affirmant que la meilleure place pour le dialogue est « le Parlement et le Conseil des ministres ». Il a mis l’accent sur l’importance du dialogue plus particulièrement sous une ombrelle constitutionnelle parlementaire. Il a indiqué que « le dialogue fait partie de la démocratie, sinon l’état ne peut être géré sans que toutes les parties dirigeantes se communiquent entre eux ».

Le discours du député Moukhaiber est survenu durant une entrevue au Télé-Liban durant laquelle il a encore mis l’accent sur le rôle du Parlement et du gouvernement comme étant « la place adéquate pour contenir et parrainer tout dialogue national à travers les représentants du peuple ».

Il a ajouté que « la table du Conseil des ministres est également un lieu convenable pour la gestion du dialogue entre les différentes forces partenaires dans le gouvernement », soulignant l’appel du président de la République, Michel Sleiman, pour activer « la table du dialogue, notamment la question de la stratégie défensive et la présence d’un autre dialogue venu à l’invitation du Patriarche maronite pour les dirigeants chrétiens ».

Le député du bloc « le Changement et la Reforme » a finalement conclu que « le dialogue est indispensable entre les différentes parties libanaises et il est l’assise initiale de toute démocratie ».

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Liban : Le gouvernement Mikati est né et nos félicitations à M. Adnan Mansour

Posted by jeunempl sur juin 13, 2011

MPLBelgique.org

Le nouveau gouvernement libanais est enfin né! 30 ministres dont la tâche sera de redresser une économie affectée par le status-quo politique. Désormais, seul le changement évitera au Liban une stagnation.

Le cabinet est composé de tehcnocrates et de nombreuses personnalités indépendantes, dont l’ex-ambassadeur du Liban en Belgique (2007-2010), son excellence M. Adnan Mansour nommé au poste de Ministre des Affaires Etrangères. Son ouverture vis-à-vis de toutes les forces civiles, politiques et religieuses ainsi que son travail sans relâche, avec son équipe, a eu le mérite de redynamiser la communauté libanaise de Belgique, laissant derrière lui une communauté plus forte et respectée. Nous lui souhaitons toute la réussite au sein de ce gouvernement en tant que ministre des Affaires Etrangères. Nul doute que son ouverture, son tacte et son sens de la diplomatie lui permettront de porter haut notre message au sein des instances internationales, surtout européennes.

Le Bloc du Changement et de la Réforme est représenté par 11 ministres, dont 6 pour le Courant Patriotique Libre, 2 pour les Marada, 2 pour le Tachnag et 1 pour le Parti Démocratique.

Premier Ministre Mikati
Premier Ministre: Najib Mikati
Ministre des Finances: Mohammad Safadi
Ministre d’Etat: Ahmad Karame
Ministre de l’Information: Walid Daouq
Ministre de l’Education: Hassan Diab
Ministre de l’Economie: Nicolas Nahas

Président Sleiman
Ministre de l’Environment: Nazem Khoury
Vice-Premier Ministre: Samir Mokbel
Ministre l’Intérieur: Marwan Charbel

Bloc du Changement et de la Réforme
Courant Patriotique Libre
Ministre de la Justice: Chakib Kortbawi
Ministre des Télécommunications: Nicolas Sahnaoui
Minstre de l’Energie et de l’Eau: Gebran Bassil
Ministre du Travail: Charbel Nahas
Ministre du Tourisme: Fadi Abboud
Ministre de la Culture: Gaby Layoun
Tachnag
Ministre de l’Industrie: Vrej Sabounjian
Ministre d’Etat: Panos Manajin
Marada
Ministre de la Défense: Fayez Ghosn
Ministre d’Etat: Salim Karam
Parti démocratique
Ministre d’Etat: Talal Arslane

Parti Social Progressiste
Ministre des Travaux Publics et des Transports : Ghazi Aridi
Ministre des Affaires Sociales : Wael Abou Faour
Ministre des Déplacés: Alaeddine Terro

Hezbollah & Amal
Ministre de l’Agriculture: Hussein Hajj Hassan (Hezbollah)
Ministre des Affaires Etrangères : Adnan Mansour (Amal)
Minstre de la Santé : Ali Hassan Khalil (Amal)
Ministre d’Etat pour les Réformes Administratives : Mohammad Fneich (Hezbollah)
Ministre de la Jeunesse et des Sports: Faiçal Karamé (indépendant)
Ministre d’Etat: Ali Kanso (PSNS)

Indépendant
Ministre d’Etat pour les affaires du Parlement: Nicolas Fattouche

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Le film libanais « Que vienne la pluie » au 37ème Festival International du Film Indépendant (FIFI) de Bruxelles

Posted by jeunempl sur novembre 2, 2010

FIFI – Centre multimédia

Sacré Meilleur film Arabe 2010 au Festival d’Abou-Dhabi, le film libanais Que vienne la pluie (Shatti ya Dini) sera présenté au FIFI le 4 novembre à 20h, une première européenne.

Pour plus de détails sur l’ensemble de l’évènement, vous pouvez télécharger le dossier de presse.

Le 37ème FIFI de Bruxelles se déroulera du 2 au 7 novembre au Centre Culturel Jacques Franck; Chaussée de Waterloo, 94 – 1060 Bruxelles.

Le 37ème Festival international du Film Indépendant, c’est :

> 3 compétitions : la compétition nationale, la compétition internationale et la compétition spéciale « La création filmée des sourds »

> Un pays vedette : le MEXIQUE
Cette année, le Mexique sera mis à l’honneur avec notamment la projection du film Norteado de Rigoberto Perezcano sur le thème de la frontière et de l’immigration. Ainsi que plusieurs longs métrages marquants du nouveau cinéma mexicain comme Abel, il s’agit  du premier film en tant que réalisateur de Diego Luna (acteur et star montante du cinéma mexicain qui a notamment tourné avec Spielberg dans Terminal aux côtés de Tom Hanks et Catherine Zeta-Jones) et le très poétique Vaho ou encore le thriller musclé Backyard.

> Un événement : BRILLANTE MENDOZA sera l’invité d’honneur du Festival, il sera présent lors de la clôture le 7 novembre 2010 à 20h. Il sera également présent lors de la première du film LOLA le 8 novembre 2010 au BOZAR.

> L’autre regard : BIG MEMORY de Richard Olivier, nouveaux portraits inédits de cinéastes belges, les dernières réalisations de Jean-Jacques Rousseau, cinéaste belge de l’absurde,

> Des leçons de cinéma : « Distribution et marketing des films indépendants » et « La production indépendante à l’époque d’Obama ». Par Steve Montal (American Film Institute)

>Plus de 100 films.
Au total, cette  37e édition du Festival International du Film Indépendant de Bruxelles vous convie à une grande fête  du cinéma avec plus de 100 films projetés (long et court métrages), 40 pays représentés et un succès public et médiatique grandissant. Ceci sans oublier l’événement surprise du gala de clôture : la projection du plus grand succès néo-zélandais a ce jour : Boy, la comédie de Taika Waititi. Ce gala inaugure et annonce le pays qui sera mis a l’honneur en 2011 : la Nouvelle Zélande qui nous permettra de découvrir une sélection de grande qualité des meilleurs films néo-zélandais récents, y compris les créations cinématographiques des maoris. Lire le reste de cette entrée »

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Charbel Nahas – Sérieux, droit, pudique

Posted by jeunempl sur juin 10, 2010

L’Hebdo Magazine – Joumana Nahas

Il a 56 ans, il est polytechnicien, mais aussi ingénieur des Ponts et Chaussées, docteur en Anthropologie… et, depuis quelques mois, il a débarqué sans prévenir dans le paysage politique libanais. Notre actuel ministre des Télécommunications, désigné par le Courant patriotique libre, est un homme au parcours jalonné de luttes, un homme intègre et droit jusqu’au bout des ongles. Un homme très réservé aussi, à qui il arrive de stresser lors des séances photo dues à son nouveau poste. Magazine a essayé de percer pour vous les secrets de Charbel Nahas.

11h. Derrière son ordinateur qu’il a du mal à quitter des yeux, le ministre des Télécommunications est pourtant bien décidé à n’éluder aucune question. Le visage avenant, l’attitude bon enfant, ne doivent pas leurrer son interlocuteur: Charbel Nahas est redoutable de précision. Les rares détails concernant sa vie privée seront délivrés au compte-gouttes par un homme de poigne, habitué à ne rien laisser au hasard. C’est que quand on a passé une bonne partie de sa vie à parfaire sa formation, ou plutôt ses formations pour notre ministre, il faut reconnaître que l’on prend le pli de rester aux aguets. Charbel Nahas commence son parcours par un passage chez les Jésuites, à Jamhour, où il reste jusqu’au début des années 70.
Ses années d’école? Rudes, et réglées comme du papier à musique. De 7 à 7 tous les jours, et le samedi jusqu’à 4h. Rien à voir en somme avec les rythmes actuels! Le milieu, très peu mélangé, cloisonné et plutôt restreint aux garçons, laisse peu de possibilités au jeune Charbel de se rebeller. C’est donc un garçon plutôt sage et bon élève qui a fréquenté des années durant les bancs de l’école sans faire de vagues.

Pourtant, Charbel Nahas se remémore avoir participé à quelques mouvements estudiantins, vers la fin des années 60, notamment pour réclamer la mixité à l’école! On ressent chez le ministre une réelle nostalgie au souvenir de ses années scolaires, où, dit-il, les Libanais étaient très optimistes quant à l’avenir de leur pays, où rien ne laissait présager les horreurs qui suivraient.

Premier choc: 1967. «Dans notre milieu, nous avons senti pour la première fois le problème de fond qui nous menaçait, et duquel nous ne sommes toujours pas sortis», raconte le ministre sur un ton soudain grave. C’est que l’homme n’a jamais vécu dans l’indifférence les soubresauts qui ont déchiqueté son pays, même à l’âge de l’insouciance. Il s’est depuis toujours senti très concerné par les évolutions, positives ou négatives du Liban, et son parcours ultérieur prouve bien son amour inconditionnel pour son pays. En 1972, Nahas est inscrit en prépa, à Paris, avec pour objectif de joindre les rangs de la très prestigieuse et très sélective Ecole polytechnique de Sainte-Geneviève. Ses deux années de préparation auront été loin de l’image classique que l’on pourrait se faire d’une vie d’étudiant à Paris. La question amuse même le ministre: «C’était du sérieux! On n’avait pas le temps de nous amuser! Il y avait un concours en plus au bout du compte, donc une certaine compétition avec mes camarades… C’était dur».
A-t-il eu le temps de se faire une bande de copains insouciants? Des amourettes? Motus… Le visage s’empourpre de manière à peine perceptible, et on passe à un autre sujet.

A-t-il souffert d’une attitude de bûcheur, pas très branché parmi les jeunes? Il sourit: «L’étiquette de bosseur? Il y a pire… Non, j’avais mes amis, certains sont même restés depuis l’époque». Quelques mois après son admission en polytechnique, X pour les initiés, Charbel Nahas vit l’horreur des débuts de la guerre à distance. Il n’y croyait pas beaucoup à l’époque. Il se disait, comme tout le monde, que ce serait une question de semaines avant que les choses ne rentrent dans l’ordre.

84-85: l’optimisme finit par céder

Toujours dans l’ambiance optimiste des années 60, l’étudiant, qui cumule les diplômes les plus prestigieux en quelques années, ne s’imagine pas que l’histoire de son pays allait basculer. Jamais il n’a accepté de s’installer en France ou ailleurs dans le monde indéfiniment. Jamais il n’a songé postuler pour un emploi de cadre sup dans une grosse multinationale. Jamais il n’a songé, comme son camarade de classe en polytechnique le Libano-Brésilien Carlos Ghosn, travailler ailleurs qu’au Liban. Même s’il se marie en France à la Libanaise Magida Saba, en 1977, le couple rentre au pays en 1979, à la faveur d’une accalmie.
Le but? «Reconstruire, évidemment!», lance Nahas, presque étonné de la question.

Pourtant, dès son arrivée au Liban, les choses n’ont pas été faciles pour le jeune homme, même bardé de diplômes. Il va apprendre, à ses dépens, qu’on ne rentre dans certaines institutions de l’Etat et dans les projets de reconstruction que si on a des affinités politiques avec les personnes influentes du moment. Il s’occupera quand même des tronçons d’autoroutes Tabarja-Chekka et Khaldé-Jiyé, en même temps qu’il achève sa thèse d’Anthropologie: analyse des discours de la guerre.

En 1980, il travaille en collaboration avec d’autres ingénieurs pour constituer la faculté de Génie de l’Université libanaise. Le projet démarre sur des chapeaux de roue, résiste à l’invasion israélienne de 1982, avant de tomber à l’eau, comme presque tout au Liban, vers le milieu des années 80.
Pour le ministre, en 84-85, l’optimisme a fini par céder. Il ne voyait à l’époque pas du tout le bout du tunnel… Il n’a pourtant jamais approché aucun des mouvements politiques en place, pas même celui du général Michel Aoun vers la fin des années 80 (voir encadré).

Aujourd’hui, le ministre estime que le Liban a une chance unique de pouvoir enfin se relever vraiment, et compte bien mettre toute son énergie et tout son savoir au service de son pays. Quant à ses hobbies tels la gravure, la sculpture ou la peinture, ils vont devoir attendre des jours plus relax: «Je vis un défi excessivement important, il prime sur tout actuellement…». Du sérieux, du travail et de l’efficacité, voilà ce que promet Charbel Nahas aux Libanais.

Ce qu’il en pense

Le 14 février 2005
«Ce fut un grand choc pour tout le monde, évidemment! Les Libanais, comme un ressort longtemps comprimé, ont laissé éclater tous leurs espoirs les plus fous. Nous avons manqué de sagesse par contre. Nous n’avons pas su intégrer le changement de donne internationale à notre avantage. Nous avons, à mon avis, évité le pire de peu… Les institutions qui restaient de l’Etat sont tombées. Il aurait fallu qu’on sache saisir la chance qui s’offrait à nous, mais nous n’avons pas su, malheureusement».

La privatisation des télécoms
«Ce n’est pas un thème en soi! Privatiser quoi dans les télécoms? Tenez, quand on parle de téléphonie mobile. Ce qui s’est passé est très simple: le secteur était privatisé; nous avons rompu le contrat à l’avance, et nous connaissons les conséquences. Mais pourquoi avons-nous voulu étatiser à nouveau le secteur? Parce que cela s’est avéré être une manne, non? Eh bien, cette manne a été malheureusement construite sur le dos du contribuable. Il faut rationaliser le débat autour du sujet!».

Le Budget proposé par la ministre des Finances
«C’est un budget qui, malheureusement, est en continuité avec tous ceux d’une phase qu’on espérait révolue. Il faudrait profiter de ce qu’on a la chance de vivre une paix relativement durable pour le moment pour travailler autrement. On ne peut pas se permettre de continuer avec la même politique économique d’avant. Ce serait rater encore une fois notre chance de changement».

Un froid avec Rafic Hariri

Vers le milieu des années 80, Charbel Nahas fait la connaissance d’un homme dont le nom va changer l’histoire du Liban: Rafic Hariri. A l’époque homme d’affaires seulement, Rafic Hariri inclut Charbel Nahas dans son équipe au sein d’Ogero. L’entente, hélas, ne durera que le temps des roses. Très vite, des différends séparent les deux hommes, notamment au sujet de Solidere.
Nahas n’a jamais jugé opportun que le centre-ville soit géré par Solidere, somme toute une entreprise privée. Charbel Nahas raconte que tout au long du reste de son parcours, il n’a jamais reculé et il n’a jamais accepté de changer de position politique, de se soumettre à l’état des faits, même si cela devait lui valoir quelques gros projets qui lui filent sous le nez. C’est probablement pour cette raison que l’actuel ministre des Télécoms a été approché par le CPL, mais aussi parce que Nahas avait, dès 1998, travaillé en étroite collaboration avec le courant aouniste lors des municipales…

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Résultats à Zahlé & Békaa-Ouest : Grand retour de Skaff, défaite du Moustaqbal

Posted by jeunempl sur mai 17, 2010

L’Hebdo Magazine

Elie Skaff a récupéré le leadership de Zahlé en obtenant 19 des 21 sièges du Conseil municipal. Une légère percée a été enregistrée par la coalition soutenue par les forces du 14 mars qui soutient que les voix sunnites sont allées à la liste rivale. Dans la Békaa-Ouest, le Moustaqbal voit son leadership sérieusement ébranlé.

Chaudes et surprenantes. C’est ainsi que l’on peut qualifier les élections municipales dans la Békaa, qui a vu l’ensemble de son paysage politique changer à la lumière des résultats des urnes. A Zahlé, bien que toutes les parties aient affirmé et réaffirmé, dans leurs discours, que ces élections constituaient une sorte d’entente fraternelle dont le seul souci est de participer au développement et à l’essor de la ville, tous les indicateurs ont démontré le contraire. C’est à Zahlé précisément qu’a eu lieu l’une des batailles politiques les plus rudes, malgré le mélange des cartes. En effet, les voix sunnites, supposées soutenir la liste du 14 mars, sont tombées dans les urnes de la liste parrainée par Elie Skaff et présidée par Joseph Maalouf. Informations confirmées par Assaad Zogheib, mais aussi par les chiffres. «La décision zahliote libre» a raflé la mise et a obtenu 19 des 21 sièges à pourvoir au Conseil municipal. Heureux de sa victoire, mais aussi de son pari gagné, Skaff s’est empressé de réitérer son leitmotiv préféré, à savoir que la «fiancée» de la Békaa a toujours été indépendante, fermée aux ingérences partisanes et entend le rester. Estce vraiment le seul facteur qui a contribué au plébiscite de sa liste? Selon l’ancien président de la municipalité et ancien allié du leader greccatholique, qui a réussi à percer la liste de Skaff, plusieurs éléments sont entrés en compte. «La principale raison de la victoire de la liste de Skaff, affirme à Magazine Zogheib, c’est que 60% des voix sunnites lui ont été accordées sans hésitation». Comment cela est-il possible, puisque les forces du 14 mars, y compris le Courant du futur, ont affiché clairement leur soutien à la liste qu’il préside? «D’après moi, répond-il, c’est le rapprochement syrosaoudien qui s’est reflété dans les urnes à Zahlé, et je trouve dommage que ce soient ces pays qui aient choisi à notre place. Il y a eu aussi le jeu des Lire le reste de cette entrée »

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Résultats des élections à l’USJ: Victoire du CPL et ses alliés

Posted by jeunempl sur novembre 4, 2009

Tayyar.org

Vote-USJ-repartitionVictoire du CPL à l'USJ (Université St Joseph - Beyrouth)Ce mardi se sont tenues les élections estudiantines internes à l »université Saint-Joseph. L’établissement regroupe 10 facultés dont le nombre d’étudiants dépasse les 250 dans chacune, où la bataille électorale était purement politique. Ces Facultés sont les suivantes:

– Faculté de Gestion FGM (1480 étudiants): 9 sièges pour l’Opposition-6 sièges pour les loyalistes et la Présidence pour le CPL

– Faculté de Médecine Générale FM (806 étudiants): 10 sièges pour l’Opposition- 5 sièges pour l’Opposition- 3 sièges pour les indépendants et la Présidence pour le CPL

– Faculté de Génie ESIB (743 étudiants): 6 sièges pour l’Opposition- 9 sièges pour les loyalistes et la Présidence pour les Forces Libanaises.

Faculté de Lettres FLSH (623 étudiants): 7 sièges pour l’Opposition, 8 sièges pour les loyalistes et deux sièges indépendants et la Présidence pour le Courant Futur et le PSP.

– Faculté d’économie FSE (484 étudiants): 6 étudiants pour l’Opposition- 7 sièges pour les loyalistes- et la Présidence pour le Courant Futur ou pour les Forces Libanaises

– Faculté des Sciences humaines FS (483 étudiants): 8 Sièges pour l’Opposition- 6 sièges pour les loyalistes- un seul sièges pour les indépendants et la Présidence pour le CPL

– Faculté de Pharmacie FP (435 étudiants) 10 sièges pour l’Opposition – 4 sièges pour les loyalistes, un seul siège indépendants et la Présidence pour le CPL

– IGE (381 étudiants): 3 sièges pour l’Opposition- 3 sièges pour les loyalistes et 3 sièges pour les indépendants et les résultats de 4 sièges de DEA sont toujours suspendus et la présidence est probablement pour le CPL.

– Faculté de Droit FDSP (343 étudiants): 5 sièges pour l’Opposition- 4 sièges pour les loyalistes et trois sièges pour les indépendants et la présidence est probablement pour le CPL

– Faculté de médecine dentaire FMD (253 étudiants) : 6 sièges pour l’Opposition- 4 sièges pour les loyalistes et 3 sièges pour les indépendants et la présidence pour les indépendants soutenus par l’Opposition

Ainsi l’Opposition aurait gagné dans 6 facultés parmi les 10 plus grandes contre 3 pour les loyalistes et une faculté pour les indépendants, ce qui équivaut à 71 délégués pour l’Opposition, 56 pour les loyalistes et 14 délégués pour les indépendants.

Pour ce qui est des Facultés dont le nombre d’étudiants est inférieur à 250, les résultats sont les suivants: Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Biographie : Mikhael Hanna Matta (Becharré)

Posted by jeunempl sur mai 30, 2009

MPLBelgique.org

Mikhael Matta est candidat indépendant soutenu par le Courant Patriotique Libre pour l’un des deux sièges maronites de la circonscription de Becharré.

Michel-MattaCandidat: Mikhael Hanna Matta
Indépendant
Maronite – Becharré

Etat civil
– Né le 31 mai 1950 à Becharré
– Marié à Hoda Moussalli. Ils ont ensemble 3 enfants: Johnny, Jessica et Joanne

Ses études
– Ecole des Frères à Tripoli
– Docteur en médecine générale: faculté de médecine à l’université St Joseph (USJ) à Beyrouth
– Docteur en pédiatrie:: université de Caen (France)
– Diplôme de DEA en santé publique (université libanaise et université de Bordeaux en France)

En politique
– 1985 – 1987: Chef du département médical au sein des Forces Libanaises
– 1989 – 1998: Secrétaire général de l’Union Démocratique Chrétienne
– 2009: Fondateur et président du Courant Républicain Civil

Les bases politiques
– Relations d’entente civile
– Loyauté perpétuelle et fidélité continue à la vérité

C’est une personne intègre, sincère, loyale, aussi bien que convaincue et dévouée avec une grande confiance en soi et au succès.

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Elections 2009 – Biographie : Massoud Joseph Achkar (Beyrouth 1)

Posted by jeunempl sur mai 16, 2009

Massoud-Ashkar.org

Massoud Achkar est candidat indépendant sur la liste du Changement et de la Réforme au siège maronite de la circonscription de Achrafieh – Rmeil – Saifi (Beyrouth 1).

massoud-achkarCandidat: Massoud Achkar
Union Pour le Liban
Maronite – Beyrouth 1

Site officiel

Massoud Joseph Achkar est né le 16 septembre 1956 à Beyrouth. Son père était oto-rhino-laryngologiste. Sa mère, volontaire à la Croix Rouge du Liban pendant plus de 50 ans, était une femme dévouée, consacrant sa vie à l’éducation de ses trois fils : Maroun, Nabil et Massoud, qui était le benjamin.

Massoud a appris, grâce à ses parents, l’amour de l’autre et de la société, gardant à l’esprit l’image de son père, oubliant le sommeil pour aller soigner ses patients à l’hôpital Geitawi.
Son enfance fut partagée entre la demeure familiale à Achrafieh et la demeure de son grand-père Massoud Massoud à Bekfaya, la résidence d’été. Là-bas, il amassa un bouquet de souvenirs inoubliables, tissant ses premières amitiés. Ses passe-temps favoris étaient le basketball, le football et la course.
La vie scout a cultivé en lui « l’esprit patriotique », ainsi l’appelle-t-il. L’éducation scolaire rigoureuse qu’il a reçue à l’école de la Sagesse à Achrafieh a contribué à enraciner en lui cet esprit. Ces deux expériences ont sculpté sa personnalité et lui ont enseigné le respect de l’autre et de la nature.

A présent, il rêve de retourner à la ville de son aïeul. Il rêve de bâtir une maison dans la terre que lui a léguée sa grand-mère…
Hélas, les événements de 1975 ont étouffé ses rêves d’été, les rêves de la jeunesse innocente, et l’ont poussé dans l’abysse de la guerre contre cet «étranger»…

Mon parcours académique et professionnel

A l’école de la Sagesse, Massoud Achkar participa dès son plus jeune âge aux élections estudiantines, pour représenter ses classes en tant que délégué. A cette époque, il se montrait toujours au premier rang des manifestations estudiantines exprimant haut et fort leur soutien à l’armée libanaise et à l’autorité de l’Etat.

Plus tard, il poursuivit à l’Université Saint-Joseph des études supérieures en gestion. Ainsi, il acquit non seulement la capacité de gérer les affaires et l’administration, mais aussi l’intelligence nécessaire pour traiter avec les gens, y ajoutant ses qualités personnelles et cette cordialité qui distingue son caractère et qui le rapproche des autres.

Mon héritage politique

· La candidature aux élections parlementaires

Massoud Achkar est convaincu que la construction d’un Etat qui transcende les confessions et qui réunisse tous les Libanais nécessite le passage à l’action concrète qui, à son tour, nécessite la capacité. Pour cette raison, en 2000, il présenta sa candidature à la députation de la circonscription de Beyrouth 1, comme indépendant, ne figurant sur aucune liste. Il fut menacé par les syriens et leurs « fidèles », et il ne put vaincre la loi de Ghazi Kanaan. Pourtant, il obtint 85% des votes Lire le reste de cette entrée »

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