L’actualité parcourue avec le député du Kesrouan Farid Elias Khazen

OTV

Le député du Kesrouan, Farid Elias Khazen, aborde l’actualité libanaise et régionale avec la journaliste Josephine Dib sur OTV, essentiellement les discussions en cours sur la nouvelle loi électorale mais aussi les projets au Kesrouan.

Publicité

Farid Khazen : De la théorie à la pratique

Joëlle Seif – L’Hebdo Magazine

Engagé mais pragmatique, il prend la fonction publique très au sérieux. Cet académicien, détenteur d’un PhD en Relations internationales de la prestigieuse université Johns Hopkins, n’est pas tombé par hasard en politique. De la théorie, il n’a pas tardé à passer à la pratique. Depuis 2005, Farid Elias Khazen est député du Kesrouan-Ftouh et fait partie du Bloc du Changement et de la Réforme.

Né en 1960, Farid Khazen est professeur de sciences politiques et de relations internationales à l’AUB (American University of Beirut).

Après avoir terminé ses études aux Etats-Unis, il rentre, en 1982, au Liban, en pleine guerre, pour des raisons familiales. Il enseigne, depuis 1988, les sciences politiques et devient chef de ce département à l’AUB. Il se consacre alors à sa carrière académique. A son actif, plusieurs publications dont le célèbre The breakdown of the state in Lebanon, en 1997, qui sera traduit en plusieurs langues, ainsi que la rédaction de plusieurs articles et ouvrages sur le Liban et le Proche-Orient.

Elu en 2005 pour la première fois sur la liste du Bloc du Changement et de la Réforme, il sera réélu en 2009. «Depuis mon élection en 2005, j’enseigne à temps partiel et je n’ai plus de fonction académique. Malheureusement, je n’ai plus de temps à consacrer à la recherche non plus», confie le député.

Farid Khazen n’est pas un nouveau venu en politique. En 2000, il est l’un des fondateurs de la rencontre de Kornet Chehwan, dont le but était essentiellement de recouvrer la souveraineté et l’indépendance du Liban. Il est également le fondateur de la revue La défense nationale, qui paraissait au moment où Michel Aoun était commandant en chef de l’armée, et c’est à cette époque que remonte sa relation avec lui. «J’ai toujours été en contact avec le général et je le voyais régulièrement quand il était en France», raconte Farid Khazen.

«Avec le retrait de l’armée syrienne et le retour du général Michel Aoun, dit-il, deux opinions prévalaient au sein de la rencontre de Kornet Chehwan. La première voulait que toute l’opposition chrétienne, incluant le général Michel Aoun, forme des listes unifiées, et la seconde voulait que

Rahi de Kfardebian, pour « une diversité dans l’unité »

Z.M. – ANI

Baie de Jounieh - Kesserwan

Le patriarche maronite Mgr Rahi

Le Patriarche Maronite, le Cardinal Mar Béchara Boutros al-Rahi, a poursuivi la première journée de sa tournée dans la région de Kesserwan, en s’arrêtant ce soir à Kfardebian, où il a prononcé un mot saluant les habitants de ce village touristique, en présence du Mgr Guy Njeim et du député Farid Elias al-Khazen, représentant le député Michel Aoun, chef du bloc du Changement et de la Réforme.

Le chef de l’église maronite a été accueilli à l’entrée du village par une foule massive de personnalités municipales et sociales ainsi que le Patriarche de l’église syriaque catholique, Ignacio Youssef III Younan, l’Archevêque de l’Egypte et du Soudan pour les maronites, François Eid, ainsi que les deux députés, Gilberte Zwein et Nehmetallah Abi-Nasr.

Dans son mot prononcé devant les habitants de Kfarzebian, le Patriarche a dit que « le Fort Puissant a béni ce village en lui offrant les montagnes, les rivières et la beauté des paysages », louant les efforts déployés pour que cette région soit « une station touristique distinguée ».

Le Patriarche al-Rahi a incité, dans son mot prononcé devant les habitants de la région, à l’adoption d’une démocratie qui respecte  » la diversité « , mettant l’accent sur le concept de  » la multiplicité dans l’unité « . La rencontre du patriarche avec les familles de Kfardebian a

Kesrouan : Manifestation à Wata el Joz contre les carrières

ANI

Les citoyens de Wata el Joz et Ain Delbeh se sont manifestés devant la municipalité de Wata El Joz contre les carrières de la région en présence du député Farid Khazen.

M. Khazen a mis en garde d’un malheur environnemental dans différents villages des hauteurs de Kesrouan. Il faut appliquer la loi, a-t-il dit signalant que les manifestations des habitants, du président de la municipalité et des moukhtars prouvent un rassemblement pour éviter les inconvénients de ces carrières.

Première réunion hebdomadaire des députés du Kesrouan, issus du bloc du Changement et de la Réforme

Tayyar.org

Dans le cadre du développement et de l’activation du travail parlementaire au niveau des régions et conformément au principe de maintenir la communication directe avec la base populaire pour assurer les besoins de chaque région, les députés de Kesrouan au sein du bloc du Changement et de la Réforme ont tenu leur première réunion hebdomadaire au bureau  du député Neamtallah Abi Nasr à Jounieh en présence des députés : Farid Elias Khazen, Gilberte Zouein, Youssef Khalil et Neemtallah Abi Nasr.

A l’issue de la réunion, les députés ont émis un communiqué dans lequel ils déclarent :

« 1- Les députés ont étudié les plaintes envoyées par les propriétaires des institutions touristiques et commerciales, qui se trouvent tout au long de la côte maritime entre Jounieh et Maameltein. Les propriétaires ont exprimé leurs mécontentements à la suite de l’embouteillage causé par les travaux de restauration.  Une réunion a été tenue avec le Caïmacan du Kesrouan – Ftouh, pour résoudre cette affaire et un plan de travail a été établi.

2- Les députés ont examiné la souffrance des citoyens à la suite des problèmes d’embouteillage notamment dans la région de Nahr el Kaleb et l’échangeur de Zouk. Ils ont

Khazen : D’abord la présidence de la Chambre, ensuite le Gouvernement

Iloubnan

Le député du bloc du Changement et de la Réforme Farid Khazen a déclaré mardi à la radio Voix du Liban que l’atmosphère locale est bien encourageante, doublée des positions politiques qui ont suivi les élections. Il a précisé que la question de la formation du Gouvernement n’a pas été encore abordée ; affirmant que la priorité est actuellement accordée à la présidence de la Chambre, et que le Gouvernement vient en second lieu.

Elections 2009 – Biographie : Farid Elias Khazen (Kesrouan)

MPLBelgique.org

Farid Elias Khazen est candidat indépendant sur la liste du Changement et de la Réforme pour l’un des 5 sièges maronites du Kesrouan.

Candidat: Farid Elias Khazen
Indépendant
Maronite – Kesrouan

Données personnelles
Date de naissance: 1954
Village: Kfardebian – Liban

Études
– Doctorat en relations internationales à l’Université de Johns Hopkins (Etats-Unis)

Activités passées
– Professeur à l’Université Américaine de Beyrouth (AUB – Liban)

Activités courantes
• Juin 2005 – Aujourd’hui: Député libanais, représentant la circonscription de Jbeil-Kesrouan et élu sur la liste du Changement et de la Réforme présidée par le général Aoun.
• Juin 2005 – Aujourd’hui: Rapporteur au sein de la Commission des Relations Extérieures et membre de la commission de l’Education nationale au sein du parlement libanais.
• Fondateur et président de l’ONG « Moubadarat Lil inma » (Initiatives de développement)
Fondée en 2006, les travaux de Moubadarat se sont concentrés sur les questions de développement au niveau de l’environnement, la jeunesse, la bonne gouvernance, l’émancipation de la femme et l’éducation, tant aux niveaux nationale et régional. L’un des récentes activités de Moubadarat fut la tenue d’une conférence de première importance sur le développement du Kesrouan-Ftouh les 7 et 8 mars 2008, en coopération avec la Fondation Friedrich Ebert.
• 2007 – Aujourd’hui: Membre fondateur du centre civil pour l’Initiative Nationale
• Coordinateur du groupe de travail “Eglise et Politique” au sein du Synode de l’Église Maronite qui se clôtura en 2006.
• 2007- Aujourd’hui: Membre du comité politique de la Ligue Maronite.
• 2004 – Aujourd’hui : Membre du Conseil du Centre Maronite pour la Documentation et la Recherche
• 1988 – Aujourd’hui : Professeur d’Etudes Politiques à l’Université Américaine de Beyrouth (AUB)
• 2000 – 2005: Ancien président du Département d’Etudes Politiques et de l’Administration Publique à l’AUB
• 1996 – 1998 : Ancien Éditeur d’un journal académique Al-Abhath
• Contributeur actif aux quotidiens libanais et arabes.
• Conférencier et participant à plusieurs conférences et travaux au sujet des politiques libanaise et du Moyen-Orient, au Liban et à l’étranger.

Publications incluant les livres suivants:
• The Breakdown of the State in Lebanon, 1967-1976 (Harvard University Press and I.B.Tauris, 2000)
• Parliamentary Elections in Postwar Lebanon: Democracy With No choice (Dar al-Nahar, 2000)
• Lebanon’s Political Parties and the Limit of Democratic Practice (LCPS, 2002)
• The Communal Fact of National Identities: The Making and Politics of the 1943 National Pact (Oxford: Centre for Lebanese Studies, 1991).
• Auteur de plus de 30 articles sur les politiques arabes et libanaises publiées dans des journaux académiques au Liban, en Europe et aux Etats-Unis.

Elections au Mont-Liban: Alliances et rapports de forces

L’Hebdo Magazine

Si, dans les circonscriptions de Aley et du Chouf, la composition politique des communautés druze et sunnite fait nettement pencher la balance en faveur des forces du 14 mars, les autres régions du MontLiban, à très forte majorité chrétienne, restent plus ou moins ancrées dans l’orbite du CPL qui sera jugé sur ses choix politiques depuis 2005. A deux mois du scrutin fatidique, Magazine dresse un état des lieux.

Lors du lancement de la machine électorale du Courant patriotique libre (CPL), Michel Aoun a identifié les champs de bataille électorale les plus incertains: Beyrouth I, Zahlé et le Koura. Il n’a cité aucune circonscription du MontLiban, considérant que les résultats donneront l’ensemble de ses candidats vainqueurs, quelles que soient les circonstances ou, plutôt, parce qu’il a déjà une idée assez précise des forces qui s’érigeront contre lui, ses candidats et l’opposition. Car les données politiques de ce scrutin sont radicalement différentes du schéma de 2005. Le CPL est devenu un indéfectible allié du Hezbollah, la loi électorale n’est plus la même et, surtout, le général Aoun a exercé son magistère pendant quatre ans. Le tsunami a fait son œuvre, reste à savoir si les électeurs lui en tiendront rigueur. Pour remporter la mise le 7 juin prochain, le parti aouniste devra résoudre une équation à quatre nouvelles inconnues: le rôle du président Michel Sleiman à Jbeil, l’influence de Bkerké au Kesrouan, l’unification des rangs loyalistes dans le Metn et la prégnance des candidats indépendants à Baabda. Dans chacune de ces régions, le combat repose sur des données géographiques, démographiques et politiques propres à elles. Entre les rumeurs de marchandages, le bouillonnement des sondages et les intentions des uns et des autres, la cartographie politique est désormais assez claire pour identifier les forces en présence.

METN
LES ARMÉNIENS FERONT PENCHER LA BALANCE
Le Metn est traditionnellement considéré comme le bastion du maronitisme politique. Cette région est l’objet d’énormes tractations et, comme