Selon le site de statistiques sur les réseaux sociaux SocialBakers, quelque 1,6 million de Libanais sont activement connectés à Facebook en novembre 2012. Au premier trimestre 2011, moins d’un million étaient connectés, selon les chiffres de la Dubai School of Government. Cette augmentation rapide est à mettre sur le compte de l’amélioration de la connexion Internet enregistrée au Liban à partir de l’été 2011 (date de la mise en service du câble international IMEWE).
Dans la région MENA (Moyen-Orient Afrique du Nord), plus de 10 millions de personnes se sont abonnées au réseau de Mark Zuckerberg depuis début 2012, portant le nombre total d’abonnés actifs à 44 millions, soit 4 % du total mondial.
Au Moyen-Orient, Facebook reste un réseau de jeunes, avec 68% des abonnés âgés de moins de 34 ans, et un réseau d’hommes, contrairement Lire le reste de cette entrée »
[Note du MPLBelgique.org : Nous vous proposons un recueil d’articles sur l’affaire de ces deux derniers jours : L’appel du ministre des Télécoms, Nicolas Sehnaoui, pour préserver la confidentialité des informations privées des internautes libanais suite aux appels répétés des services de renseignement des Forces de sécurité intérieure, une branche politisée au sein de la police libanaise… Retour sur le tollé provoqué au sein de la toile libanaise !]
Le système judiciaire connait assez souvent des abus mais au Liban, on ne fait pas la dentelle. Après les données de tous les étudiants libanais de 2000 à 2005 transmis on ne sait ou dans le monde, un nouvel épisode – bras de fer – apparait ce soir, le viol de la confidentialité de 4 millions de Libanais une nouvelle fois.
Dans un communiqué publié par le ministre des télécoms actuel, Nicolas Sehnaoui, on apprend que les FSI ont demandé à que leur soit communiqué les bases de données, noms d’utilisateurs et mots de passe des libanais utilisant, non seulement les réseaux de télécoms mais également les réseaux sociaux. Big Brother en gros.
Vous pouvez lire ici la traduction en français:
« Ce soir, pour le bien de notre vie privée, j’appelle à votre soutien. Un appel à tous les blogueurs, e-journalistes, Tweeters et les utilisateurs de Facebook et tous les membres de notre communauté de médias sociaux.
Notre confidentialité sur Internet tout comme le peuple libanais est en jeu.
Aujourd’hui, j’ai pris une décision et j’ai refusé une demande de « Fer3 Ma3loumet » exigeant le contenu de tous les SMS, des noms d’utilisateur et mot de passe de toutes les sessions de données, BBM, Webmail de 4 Million de libanais.
Cette demande est inacceptable, illogique et ne saurait être justifiée. Nous ne pouvons pas résoudre un crime en commettre un autre crime.
La décision est désormais entre les mains du Conseil des ministres, et j’ai besoin de votre soutien. J’ai besoin de vous faire part pour sensibiliser la population et faire pression sur tous les membres du Conseil afin arrêter cette invasion de notre vie privée.
Retweetez, partagez, émailez et bloggez, utilisez tous les moyens que vous trouverez pour dire « Comme un citoyen libanais je refuse de renoncer à ma vie privée sur Internet »
Traduction du communiqué fourni par Bing – la flemme de traduire ce soir…
Liban: la sécurité veut accéder à tous les comptes Internet
Pour leur enquête sur l’assassinat du général Wissam el-Hassan, les services de renseignement libanais demandent aux Télécoms les mots de passe de tous les usagers de Facebook. Le ministère refuse et le débat enflamme la société.
Beyrouth
« Mobilisez-vous contre les violations de la vie privée sur Internet.» L’appel qui agite les réseaux sociaux libanais depuis lundi n’émane pas d’une association de défense des droits de l’homme mais du ministre libanais des Télécoms. Nicolas Sehnaoui a annoncé avoir refusé aux services de renseignement des Forces de sécurité intérieure (FSI) l’accès à un très gros volume de données numériques dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de leur chef, Wissam al-Hassan, le 19 octobre 2012. Les services de sécurité ont demandé à avoir accès au contenu de tous les textos échangés sur le territoire libanais entre le 13 septembre et le 10 novembre 2012, ainsi qu’aux données personnelles (mots de passe, adresse, numéro de téléphone, etc.) sur des sites tels que Facebook, qui compte 1,4 million de membres au Liban.
Levée de boucliers sur le web
«J’ai besoin de vous, internautes et activistes libanais, pour faire pression sur les membres du gouvernement afin d’empêcher cette atteinte à notre vie privée», dit le ministre des Télécoms, s’adressant aux internautes. Un message qui Lire le reste de cette entrée »
Un dialogue étonnant grâce aux nouvelles technologies, les protagonistes du conflit entre la branche militaire du Hamas et l’Armée Israélienne se répondent, non pas seulement par roquettes et missiles sur le terrain, mais également sur Twitter.
Ainsi à un message du porte parole de l’Armée Israélienne recommandant aux activistes du Hamas « qu’ils soient des dirigeants hauts placés ou non, de ne pas montrer leurs visages au dessus de la surface dans les jours qui viennent », les Brigades Al Qassam du Hamas ont rétorqués que « leurs mains bénies atteindront les dirigeants et les soldats israéliens ou qu’ils puissent être » ajoutant que la dernière opération en cours leur a ouvert les portes des enfers.
Cette conversation assez surréaliste intervient suite à l’embrasement de la Bande de Gaza qui a suivi l’assassinat de la branche militaire du Hamas Ahmed al-Jaabari par les Forces Israéliennes.Afin de faire face au possible retournement de l’opinion publique internationale, l’état hébreu a investi les réseaux sociaux, Facebook et Twitternotamment, pour promouvoir l’action de ses troupes face aux combattants du Hamas, ce qui était déjà par l’utilisation des nouvelles technologies de communication lors des précédents conflit et plus particulièrement de celui de juillet 2006 contre le Hezbollah Libanais.
Le dernier bilan des combats fait état de la mort de 11 palestiniens dans des frappes israéliennes et de 3 israéliens, touchés par une roquette artisanale.
Le 13 octobre est une date importante pour notre mouvement, symbole de notre combat aux côtés du général Michel Aoun pour la liberté, la souveraineté et l’indépendance. Aujourd’hui, ce combat se poursuit pour réformer le pays et ses mentalités. De tout temps, nos idéaux légitimes ont été combattus par les chefs de guerre, aujourd’hui rejoints par les barons de la corruption et de la désinformation.
C’est donc tout naturellement que nous avons choisi ce jour pour vous inviter à découvrir notre nouveau site internet consacré à la diaspora libanaise. Tayyar-intishar.org est un espace de rencontre pour aider les Libanais du monde entier à se rapprocher et à partager nos idéaux d’ouverture, de liberté et de justice.
La diaspora libanaise partout dans le monde aspire à revenir un jour au pays des Cèdres. Ce site vise également à rapprocher les non-arabophones (francophones et anglophones) de leur mère patrie, tout en leur offrant des informations intéressantes et constructives, avec parfois des rédactions propres pour tenter de mieux comprendre certains sujets complexes.
Vos remarques, idées et contributions sont les bienvenues afin de nous aider à améliorer la qualité de cet espace.
Le site des grottes de Jeita, une merveille en plein coeur du Liban, a besoin de votre soutien.
Dans le cadre de la procédure d’accession aux 7 merveilles naturelles du monde, nous vous invitons à faire le pas d’un soutien concret à travers un vote sur le site officiel de la sélection (vous êtes invités à choisir 7 sites parmi les 28 finalistes): http://www.new7wonders.com/vote-2
Il vous suffira ensuite de valider votre vote en cliquant sur le lien que vous recevrez dans votre boite mail.
Ce dimanche 30 octobre a été déclarée journée de mobilisation. Organisée par le ministère du tourisme, cette journée « Telethon » visera à booster les votes avec des actions à travers tout le pays et dans la diaspora. Notre rôle justement en tant que Libanais vivant en Belgique est de profiter de l’occasion pour introduire les fiertés naturelles de notre pays et particulièrement les grottes de Jeita à nos amis belges. Emails, facebook, twitter ou simplement bouche-à-oreille, il nous reste 12 jours pour faire la différence. Inutile de préciser qu’au-delà de Jeita, c’est tout le Liban et son secteur touristique qui peuvent tirer profit d’une telle visibilité.
Deux autres moyens existent pour voter;
– soit par téléphone en composant le numéro international +44 758 900 1290 et en insérant à la fin du message le code à 4 chiffres pour la grotte de Jeita 7714
– soit par SMS si vous habitez dans l’un des pays de la liste renseignée en pièce jointe. Au Liban, envoyez « JEITA » au 1070.
Cet acte permettra d’augmenter les chances de succès de la candidature des grottes de Jeita. La procédure de vote se clôture le 11 novembre prochain.
Pour de plus amples informations sur cette merveille naturelle, vous pouvez visiter son site officiel : http://www.jeitagrotto.com/
La création d’un blog par un Américain se faisant passer pour une homosexuelle basée à Damas, Amina Arraf, a scandalisé la blogosphère.
Copie d'écran de la page Facebook de soutien à Amina Abdallah, supprimée depuis.
En prétendant défendre la cause des opposants syriens, la vraie-fausse blogueuse Amina Abdallah a surtout nui à leurs combats. Celle qui se présentait comme une homosexuelle américano-syrienne, auteur du blog « A gay girl in Damascus », était en fait un étudiant américain installé en Ecosse. Dans unmessage d’excuse, Tom MacMaster écrit qu’il ne s’attendait pas à susciter une telle attention. Mais, précise-t-il, si la blogueuse n’existe pas réellement, « les faits relatés sur le blog sont vrais et pas trompeurs sur la situation sur le terrain. » « Je ne pense pas avoir fait de mal à quiconque », dit-il tout en reconnaissant qu’il a « heurté des gens dont il partage les opinions et les luttes. »
MacMaster utilisait le nom d’Amina comme pseudo en ligne depuis 5 ans selon le Washington Post, une des premières sources à révéler l’information. Tom MacMaster a créé le blog « A gay girl in Damascus » en février, peu après que la vraie-fausse Amina a annoncé qu’elle rentrait des Etats-Unis en Syrie. Son histoire jusque-là était plausible. Et quand une personne se disant son cousin, Rania O Ismail, a annoncé sa disparition, le 6 juin, ses « fans » ont créé une page Facebook pour la défendre, « Free Amina Abdallah ».
Sur son blog, Amina racontait sa participation aux protestations de rue et comment elle avait dû se cacher, après une tentative d’arrestation, à son domicile, à laquelle son père se serait opposé. C’est à ce moment, alors que tous les médias relaient cette « disparition » tout en lui consacrant des portraits parfois détaillés comme celui du Guardian, que les doutes sur son identité apparaissent.
Les blogueurs Liz Henri et Andy Carvin, responsable de la stratégie médias pour le site de la radio publique américaine (NPR), devenu une célébrité en ligne depuis qu’il suit en direct les révoltes arabes, sont parmi les premiers à avoir douté: « Il y a quelques jours, j’ai reçu un tuyau d’une source LGTB (lesbiennes, gays, bi et trans) syrienne qui pensait qu’Amina n’existait pas », raconte Andy Carvin, le 8 juin. Cette source avait interrogé d’autres membres de la communauté et personne ne la connaissait. Ceux-ci s’inquiétaient d’ailleurs du fait que son blog attirait l’attention sur les homosexuels de Syrie et pouvait les mettre en danger. Andy Carvin raconte avoir alors demandé sur Twitter si quelqu’un avait rencontré Amina et n’avoir trouvé personne. Lire le reste de cette entrée »
Le mystère sur l’identité d’Amina, blogueuse soit-disante enlevée le 6 juin dernier, est levé. Il ne s’agirait, ni plus ni moins, d’un certain Tom MacMaster, résident d’Edimbourg, comme un site d’information israélien l’a relevé via l’adresse Ip qui intervenait régulièrement sur des articles concernant des personnalités israéliennes sur Wikipedia.
As days go by, more and more details emerge on the backstage workings of the Gay Girl in Damascus blog, the author of which was ostensibly « disappeared » in Damascus last week. The website Lezgetreal, which played a key role in the establishment and early fame of the blog, published the two IP adresses from which « Amina » logged on to the site (h/t commenter Louise). The same adress was found by Googlesome readers to have been used in the editing of several Wikipedia articles, including one on an incident at Edinburgh University involving israeli diplomat Ishmael Khali, another on Martin of Tours, which could mean the author is a politically active Medieval History student at Edinburgh.
Il existait déjà des inconsistances notoires dans le récit de l’enlèvement, comme le fait que le véhicule des ravisseurs supposés arbore un autocollant de Bassel el Assad, enfant terrible et notoirement sanguinaire de feu Hafez el Assad – il devait même lui succéder à la tête du régime syrien – mais décédé en 1994, officiellement dans un accident de voiture et qui pourrait être en réalité un attentat.
« One of the men then put his hand over Amina’s mouth and they hustled her into a red Dacia Logan with a window sticker of Basel Assad. The witness did not get the tag number. She promptly went and found Amina’s father. »
Ce récit m’avait fait douter dès l’origine, estimant que ces derniers auraient plutôt mis l’autocollant d’un membre « vivant » de la famille Assad, en l’occurrence Bachar el Assad ou son frère, Maher el Assad. Des commentateurs israéliens avaient d’ailleurs relevé cette incohérence, estimant le récit faux, y voyant plutôt l’œuvre d’opposants libanais au régime syrien, se remémorant sous des airs romantiques des récits de la guerre civile libanaise. L’auteur de ce blog aurait peut-être dépassé par l’ampleur de la supercherie, inventant « pour tuer le personnage », une histoire d’enlèvement, voir cherchant un moyen maladroit de s’en sortir, tout en ne n’exposant pas, blâmant ainsi le régime sanguinaire syrien.
Le premier doute sur l’identité réelle d’Amina est tout simplement en raison de la photographie supposée de la jeune femme – il s’agirait en réalité d’une londonienne d’origine croate, Jelena Lecic qui avait dénoncé l’utilisation de son portrait -, lançant une grande enquête sur la supercherie.
Toujours est-il que cette histoire puisqu’il ne s’agit désormais que d’une histoire avait amené une partie de la blogosphère libanaise et internationale notamment sur Facebook, à s’emparer de la cause d’Amina, comme le Blog Ami Beirut Spring, oubliant tout le recul que l’on se doit d’avoir concernant les informations circulant actuellement sur la situation réelle en Syrie.
Il faut dire que le récit d’Amina avait tout pour plaire: syrienne et sunnite qui fait face à la répression et lesbienne, ce qui permettait de convaincre l’opinion publique occidentale de la justesse d’une cause « moderne » et laïque. La construction d’une cause où le méchant était tout désigné.
Ce faux devrait cependant nous rappeler qu’il ne faut pas se saisir de tout et de n’importe quelle information sans recul qui sous-entend « Vérité ». D’autres récits sur la répression en Syrie, dont celle de Hamza, ce jeune syrien émasculé, pourraient être également des actes de supercherie selon d’autres sources, décrédibilisant les histoires réelles de la répression. Faut-il encore rappeler que la page Facebook Syrian National Revolution est tenue par des Frères Musulmans, opposants notoires et historiques de Bachar el Assad qui n’est certes pas un ange, mais on peut peut-être y voir une instrumentalisation – paraitre des anges face à un régime sanguinaire – au détriment de la vérité?
C’est une première au Liban ! Trois jeunes aounistes ont été arrêtés pour diffamation contre le président de la République pour des opinions exprimées sur… Facebook. Hier, cette affaire soulevait de nombreuses questions sur la nature de l’intervention de l’État sur Internet.
Le procureur général près la Cour de cassation, le juge Saïd Mirza, a ordonné hier l’arrestation de trois personnes accusées de diffamation contre le président de la République Michel Sleiman sur Facebook. Selon notre chroniqueuse judiciaire Claudette Sarkis, les trois jeunes hommes sont Naïm Georges Hanna (27 ans), Antoine Youssef Ramia (29 ans) et Chebel Rajeh Qassab (27 ans), ils feraient partie du mouvement aouniste et leur dossier a été transféré au parquet. Le juge Mirza a également émis un avis de recherche et d’amener à l’encontre d’un quatrième homme, Ahmad Ali Chouman, sur base des mêmes accusations.
Interrogé par notre chroniqueuse judiciaire, le juge Mirza a précisé qu’il est de ses prérogatives d’initier une action « spontanément », suivant le code pénal et la loi des imprimés, en cas de calomnie contre le président de la République. « Je ne suis proche d’aucune partie ni d’aucune personne, a-t-il assuré. C’est suivant ma seule appréciation que je décide de saisir le parquet. Il est de mon devoir d’agir quand le président de la République est attaqué, et j’ai lu des propos très durs (sur Facebook) à son encontre. »
Pour sa part, le bureau du ministre de la Justice Ibrahim Najjar a publié un communiqué dans lequel il estime que « ce qui a été écrit dans certains médias fait l’amalgame, d’une part, entre les libertés de presse, de parole et d’expression politique, qu’il faut préserver et, d’autre part, entre les crimes liés à la diffamation et à la calomnie, notamment celles qui touchent le chef de l’État ». « Les écrits, les qualificatifs et les termes peu convenables, diffusés sur Internet, sont passibles de poursuites et de sanctions, dans les cas où les règles de la loi sur les imprimés s’appliqueraient, ajoute le texte. La liberté des médias au Liban et dans tout pays civilisé atteint ses limites quand son contenu n’est que pure calomnie et vise à saper l’institution du président de la République, le chef de l’État ». Le communiqué précise que dans ce cas, « il était des prérogatives du juge concerné d’agir spontanément pour poursuivre les contrevenants, les faire arrêter et les transférer devant le tribunal compétent ».
Par ailleurs, une vague de protestations pouvait d’ores et déjà être constatée sur le réseau social Facebook hier. Des groupes se sont formés pour Lire le reste de cette entrée »
Der Spiegel – Traduction de Marie-Sophie Keller (Rue 89)
Soutirer des informations en faisant appel à des jolies filles, la technique est sans doute vieille comme l’espionnage. Le faire via Facebook, c’est plus récent et c’est ce qu’aurait réussi le Hezbollah en créant un profil avenant d’une jeune femme israélienne.
A en croire le portail d’information israélien MySay.co.il, dont l’information est relayée par le Spiegel, une certaine Reut Zukerman aurait ainsi convaincu 200 soldats ou réservistes israéliens de devenir ses « amis » sur Facebook et leur aurait soutiré nombre d’informations confidentielles :
« Les hommes auraient rapporté à leur copine Facebook des noms de soldats, du jargon, des codes secrets et des descriptions détaillées des bases militaires, d’après le rapport [du site MySay, ndlr].
Ce n’est qu’un an après que certaines des victimes de Zukerman auraient commencé à trouver bizarre le nombre de militaires d’élite sur sa liste d’amis. Ils auraient alors prévenu leur hiérarchie, et en janvier les militaires auraient Lire le reste de cette entrée »
Le Forum ArabNet 2010, parainné par le premier ministre Saad Hariri, a été inauguré aujourd’hui à l’Hotel Habtoor, avec la présence de plus de 500 personnes, essentiellement des milieux des médias, des entrepreneurs, bloggeurs, d’investisseurs et professionnels des nouvelles technologies. Il s’agit, comme principal objectif, de mettre à disposition un moyen d’échange de contact, comme on peut constater – lors des pauses – en circulant dans les allées du forum.
Ce Forum a cependant été entachée par l’interdiction faite, selon des sources anonymes proches des organisateurs, par les autorités israéliennes, à la participation de 4 ressortissants palestiniens résidants à Gaza. Les moyens techniques mis à disposition dont un Live Stream que vous pouvez retrouver à l’adresse suivante http://live.arabnet.me/ pourrait cependant leur permettre de néanmoins assister aux débats, les nouvelles technologies pouvant, par cet exemple, également casser les barrières, traverser les frontières et ainsi permettre une plus grande liberté.
Le ministre des télécommunications, Charbel Nahhas, a ainsi souligné que le Liban disposera prochainement de structure pour la protection des copyrights et des patentes, ainsi que de l’utilisation Lire le reste de cette entrée »