La troupe de danse Caracalla présente son spectacle « Deux mille et une nuits » et éblouit les visiteurs

Centre d’information Internet de Chine

La troupe de danse Caracalla, de renommée internationale et basée dans la capitale libanaise Beyrouth, a présenté dans la soirée du 22 juin son spectacle « Deux mille et une nuits » au Centre de l’Expo, avec de splendides costumes et une excellente mise en scène.

Cette compagnie fondée en 1968 s’était déjà produite à Beijing en 2005, mais il s’agissait de sa première représentation à Shanghai.

« Deux mille et une nuits » est sa pièce la plus connue, inspirée de la célèbre histoire des « Mille et une nuits », reflète la grandeur de la culture arabe.

Ivan Caracalla, le directeur de la troupe, a expliqué le 22 juin que les thèmes du spectacle sont l’amour, l’humanité, la compassion et le pardon. « La Chine est un pays extraordinaire, qui regarde toujours vers l’avant », a-t-il déclaré à propos de ses impressions sur le pays.

Soixante-quinze artistes au total, de différents milieux culturels, ont participé à cette représentation de deux heures, organisée en célébration de la Journée du pavillon libanais.

Publicité

Expo 2010: le Pavillon Liban raconte son histoire

Le Quotidien du Peuple (Chine)

Aujourd’hui est la journée du Liban. Des villes qui racontent des histoires, voici le thème du pavillon du Liban dans l’Expo de Shanghai. Quelle est cette belle histoire racontée par des ancêtres du Phénix? Voyons ça tout de suite avec notre envoyée spéciale Zhang Ni.

Comme la plupart des pavillons dans l’Expo, celui du Liban a choisi de présenter son pays à travers un film intitulé： Le Phénix, tout comme leurs racines, une culture datant de 6000 ans.

Mais pour le réalisateur, qui est aussi le représentant autorisé du pavillon, il a une autre signification.

Habib Chams, Réalisateur du film 《le Phénix》, représentant du Pavillon du Liban:

« Le Phénix, je trouve que c’est intéressant aussi parce que c’est en commun avec la culture chinoise. Dans la culture chinoise, le Phénix est aussi très symbolique. Et pour nous, l’idée c’est qu’à travers ce phénix, on découvre le Liban. »

Le Liban, un petit pays d’une superficie des deux tiers de Beijing, a été occupé par une dizaine de pays pendant des siècles. Et il possède plus de

L’Unesco parie sur Beyrouth, capitale mondiale du livre 2009

Le Monde – Cécile Hennion

Comment Beyrouth, « courtisane, érudite, ou dévote », ainsi que la célébrait la poétesse libanaise Nadia Tuéni, va-t-elle rendre honneur à sa désignation, par l’Unesco, de capitale mondiale du livre 2009 ?

Contrastes et extrêmes s’affichent sur les promontoires. Au rayon sciences humaines du Virgin Megastore, en plein coeur de la ville, ont été exposés sans complexe et côte à côte Mein Kampf, d’Adolf Hitler, et The Secret Life of Syrian Lingerie (La Vie secrète de la lingerie syrienne). Au Moyen-Orient, le Liban est le pays arabe qui échappe le mieux à la censure. La Sûreté générale proscrit surtout les ouvrages critiquant la religion, souvent sur l’injonction d’associations représentant l’une ou l’autre des dix-sept communautés confessionnelles que compte ce pays.

« L’édition libanaise en langues française ou anglaise est plus engagée qu’en langue arabe, estime Hyam Yared, romancière et poétesse libanaise, auteur d’un premier roman, L’Armoire des ombres (Edit. Sabine Wespieser, 2006). La production en langue étrangère est moins