Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘expatriés’

Abboud clôture sa visite au Brésil : ouverture d’une ligne de vol direct entre les deux pays

Posted by jeunempl sur décembre 1, 2012

ANI

Fadi Abboud - Ministre du Tourisme

Fadi Abboud – Ministre du Tourisme

Le ministre du Tourisme, Fadi Abboud, a clôturé vendredi sa visite au Brésil durant laquelle il a appelé la diaspora libanaise à signer une pétition pour réclamer l’ouverture d’une ligne de vol direct entre les deux pays « pour créer un pont permanent de communication entre les expatriés et leur pays d’origine ».

M. Abboud avait participé, plus tôt dans la journée, à un atelier de travail organisé par la Chambre libano-brésilienne pour le Commerce.

Il avait, également, répondu à l’invitation au dîner organisé en son honneur par le consul libanais à Sao Paolo.

Enfin, le ministre avait visité le siège de l’archevêché des grecs orthodoxes à Sao Paolo.

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Le Conseil des Ministres approuve la proposition de loi électorale basée sur la proportionnelle

Posted by dodzi sur août 8, 2012

MPLBelgique.org

C’était une séance fructueuse qui a eu lieu hier au siège du Conseil des Ministres. Parmi les points les plus importants: la discussion et l’approbation de la proposition de la nouvelle loi électorale basée sur la proportionnelle. Le débat tournait notamment autour de la taille des circonscriptions, plutôt que sur le système à implémenter – la proportionnelle ou la majoritaire à taille réduite. Au final, un compromis a permis à une nouvelle proposition de loi de naître: 13 circonscriptions de taille moyenne. Bien qu’approuvée par le Conseil des Ministres, la proposition de loi doit encore passer par l’Assemblée Nationale. Dans l’opposition, on cite déjà un projet mort-né.

Les circonscriptions sont réparties comme suit:

Liban Nord:
– Akkar-Minieh-Donniyeh: 10 sièges
– Tripoli: 8 sièges
– Zghorta-Bcharreh-Koura-Batroun: 10 sièges

Mont Liban:
– Kesrouan-Jbeil: 8 sièges
– Baabda-Matn: 14 sièges
– Aley-Chouf: 13 sièges

Beyrouth:
– Achrafieh-Rmeil-Saïfi-Bachoura: 9 sièges
– Ras-Beyrouth-Mreisseh-Minet el Hosn-Zouqak el Blat- Mazraa-Msaitbeh: 10 sièges

Liban-Sud:
– Jezzine-Saïda-Zahrani-Tyr: 12 sièges
– Nabatiyeh-Marjeyoun-Hasbaya-Bint Jbeil: 11 sièges

Bekaa:
– Baalbak-Hermel: 10 sièges
– Zahle: 7 sièges
– Bekaa-Ouest-Rachaya: 6 sièges

Expatriés: 6 sièges

Un pas vers l’avant, malgré certaines irrégularités

D’après nos analyses, la loi électorale proposée met certains arrangements en question: pourquoi une telle différence de taille entre les districts de Baabda-Matn (14 sièges) et de Bekaa-Ouest (6 sièges)? En effet, il était possible de réarranger les districts existant tout en évitant une telle divergence de taille entre le plus grand et le plus petit district. Pour comprendre, il s’agit de deux districts ayant de nombreuses minorités. Mais en allouant à un district 14 sièges et à un autre que 6, le système risque de soutenir les petits groupes (partis politiques ou communautés) dans l’un, et de les discriminer dans l’autre. En effet, afin d’obtenir un siège à Baabda-Matn, il ne faudra obtenir qu’un minimum de 7,14% des voix, alors qu’il faudra obtenir un minimum de 16,66% des voix à Bekaa-Ouest.

Or les communautés druzes et chiites ne représente que 14% de la population de Bekaa-Ouest chacune. Insuffisant pour faire élire un représentant par eux-même. Une répartition proportionnelle des communautés dans un district permet donc de faire élire plus de députés que dans un autre.

L’ouverture du débat et l’action qui s’en est suivie en faveur de la proportionnelle constitue néanmoins un pas dans la bonne direction. Le système offre une meilleure représentativité des minorités dans les grands districts, permet l’accès au Parlement pour les petits et moyens partis, et permet au long terme de sortir du système confessionnel.

Vous pouvez lire notre analyse détaillée permettant de mieux comprendre le système.

De plus, la loi électorale fait une avancée supplémentaire vers plus de démocratie, en allouant un quota de 10% pour les femmes. On est bien loin des 30% suggérés par certains progressistes, mais il s’agit d’une première au Liban. Les expatriés pourront également bénéficier du droit de vote dans les ambassades et les consulats. 6 sièges, 3 chrétiens et 3 musulmans ont été ajouté pour ceux-ci, portant à 134 le nombre total de députés au Parlement. Plus encore, les militaires auront pour la première fois le droit de vote en 2013.

D’autres réformes aux aspects plus techniques ont également été apportés. Citons entre autre plus de facilités pour les handicapés.

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Liban : le gouvernement approuve le projet de loi sur le mécanisme de vote des expatriés

Posted by jeunempl sur avril 25, 2012

(L’Orient le Jour)

Le gouvernement libanais a approuvé mercredi le projet de loi sur le mécanisme de vote des expatriés lors des prochaines élections législatives de 2013. Le texte a été présenté par le ministre des Affaires étrangères, a rapporté la radio Voix du Liban (VDL).

Adnane Mansour avait affirmé dans un entretien au quotidien as-Safir, en début de semaine, que son ministère avait bouclé ce projet de loi il y a huit mois et attendait toujours l’approbation du Cabinet.

Certains médias avaient annoncé que le président de la République Michel Sleimane avait eu une vive discussion avec M. Mansour à cause de cette affaire lors de leur visite officielle en Australie. Information que le ministre a démenti à son arrivée à Beyrouth.

Le vote des émigrés étudié en conseil des ministres

Al Akhbar

Le Conseil des ministres examine dans sa réunion mercredi le dossier du vote des émigrés, présenté depuis le 24 mars par le ministre des Affaires étrangères, Adnane Mansour, à la présidence du Conseil. Le résumé du dossier estime à seulement 3712 le nombre d’émigrés inscrits jusqu’à présent, sur un total de Lire le reste de cette entrée »

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Conférence sur la présence libanaise dans le monde : Mansour évoque un immense potentiel humain à l’étranger

Posted by jeunempl sur mars 9, 2012

ANI

A l’occasion de la Journée de l’Expatriation, célébrée le 14 mars, l’Institut d’Histoire de l’Université du Saint-Esprit (USEK) a organisé vendredi une conférence internationale sur « la présence libanaise dans le monde », sous le patronage du président de la République Michel Sleiman représenté par le ministre des Affaires étrangères Adnane Mansour, en présence de plusieurs personnalités politiques, diplomatiques et religieuses.

S’exprimant à la fin de la séance d’inauguration de la conférence, M. Mansour a indiqué que le Liban dispose d’un immense potentiel humain à l’étranger, surtout que l’expatriation libanaise date de plusieurs millénaires, « un navire embarquant de Saïda ayant accosté à l’est du Brésil en l’an 600 av. J-C ».

Après un aperçu historique sur les voyages des Phéniciens, le ministre a noté que « la présence libanaise dans le monde a pris une amé, leur politique, économique et culturelle et est devenue un exemple de la construction, de la croissance, de la libération et de l’éducation dans l’histoire ancienne ».

« Les expatriés libanais ont été en tête du mouvement culturel dans les deux Amériques dans la première moitié du XXème siècle et leur littérature a été l’instigatrice des révolutions arabes contre la colonisation et l’escalavage (…), si bien que la présence libanaise dans le monde constitue désormais une Lire le reste de cette entrée »

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Abi Nasr dénonce la politisation du dossier des nominations

Posted by jeunempl sur octobre 6, 2011

D.H. – ANI

Le député du bloc « Changement et Réforme » Neemtallah Abi Nasr a dénoncé jeudi la politisation du dossier des nominations administratives au Liban, notant que « les délais dans celles relatives aux chrétiens découle des références chrétiennes qui n’arrivent pas à s’entendre sur ce sujet ».

Il a également abordé, dans un entretien accordé à la chaîne OTV, le sujet de la majoration des salaires, « majoration insuffisante pour les employés mais énorme pour l’Etat », ainsi que l’affaire du Tribunal spécial pour le Liban, formé selon lui de façon anticonstitutionnelle.

Tout en qualifiant les câbles de Wikileaks de « plan visant à semer la zizanie », M. Abi Nasr a appelé à « plus de transparence dans les relations en préservant les secrets de l’Etat ».

Le député a alors critiqué les forces du 14 Mars qui font porter à l’actuel gouvernement « la responsabilité des répercussions de tous les cumuls dont on témoigne », soulignant que « les politiques de l’opposition actuelle ont engendré les crises actuelles ».

Sur un autre plan, le parlementaire a mis en garde contre les appropriations des étrangers, signalant que la loi donnant à ces derniers le droit à la propriété au Liban avait modifié l’identité de nombreuses localités libanaises.

Il a en outre dénoncé le silence des anciens députés chrétiens devant les agissements nuisibles aux chrétiens, avant de réitérer son appel à « retirer la nationalité libanaise à ceux qui ne la méritent pas ».

Quant à la loi électorale, il a affirmé son soutien au principe de la proportionnalité, exprimant ses doutes quant à Lire le reste de cette entrée »

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Pourquoi les transferts des expatriés libanais n’ont pas été affectés par la crise mondiale

Posted by jeunempl sur mai 17, 2011

Le Commerce du Levant

Un rapport de la banque Byblos publié mardi se penche sur les raisons pour lesquelles les transferts de fonds des expatriés libanais n’ont pas été significativement affectés par la crise financière mondiale, comme dans les autres pays arabes.

Lorsque la crise a éclaté au dernier trimestre 2008, les transferts vers le Liban ont reculé mais ils se sont très vite repris, affichant une hausse annuelle de 5,3% en 2009 contre une baisse de 6,3% dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

Le rapport intitulé In Focus attribue cette résilience à un plusieurs facteurs, dont le premier est le flux continu de migration.
Entre 1992 et 2007, au moins 466000 Libanais ont quitté leur pays, dont 77% étaient à un stade productif ou pré-productif de leur vie.
Sur cette période, plus de 45% des ménages libanais ont vu au moins un membre de leur famille s’installer ailleurs.

Le deuxième facteur de résilience est le maintien des liens entre les expatriés et leur famille au Liban. Selon le rapport, 49% d’entre eux envoient de l’argent au Liban régulièrement ou de temps en temps, et 76% des personnes ayant immigrés lorsqu’elles avaient entre 18 et 35 ans continuent de visiter leur pays natal.

La source des transferts des fonds explique également l’impact limité de la crise financière, les Etats Unis et l’Europe ayant progressivement perdu de leur attrait au bénéfice des pays du Golfe. Entre 1992 et 1996, les Lire le reste de cette entrée »

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Le Liban espère endiguer la fuite des cerveaux

Posted by dodzi sur mars 30, 2010

Econostrum.info

Par Jenny Saleh

466 000 à 640 000 Libanais auraient quitté le pays entre 1992 et 2007. La diaspora libanaise est trois fois plus nombreuse que les habitants actuels du pays.

Depuis de nombreuses années, le Liban est confronté à un sérieux problème, celui de l’émigration de ses jeunes diplômés vers d’autres pays plus attractifs, économiquement parlant. Salaires trop bas, instabilité politique, font partie des quelques motifs qui poussent les jeunes Libanais à s’expatrier.

Peu de pays dans le monde peuvent se targuer d’avoir plus de ressortissants à l’étranger que sur leur propre sol. C’est le cas du Liban, qui compte une diaspora ancienne mais aussi plus récente de plus de 12 millions de personnes, contre seulement 4 millions d’habitants sur la terre natale.

Aux différentes vagues d’émigration vers l’Afrique, les Amériques ou l’Europe, au début du XXe siècle, pour fuir la domination ottomane, a succédé un autre type d’émigration, entre 1975 et 1990 en raison de la guerre civile qui ensanglantait le pays. Mais depuis plusieurs dizaines d’années, c’est une toute autre forme d’émigration qui gangrène le pays, celle de ce qui est sans doute sa matière première, l’élément humain.

Cette fuite des cerveaux touche aujourd’hui toutes les familles libanaises. Au moins 50% des Libanais a un membre de sa famille qui s’est expatrié. Des chiffres publiés dans une étude de l’Université Saint-Joseph à Beyrouth parlent d’eux-mêmes. 466 000 à 640 000 personnes auraient quitté le pays entre 1992 et 2007, dont l’écrasante majorité de 77%  sont des jeunes âgés entre 18 et 35 ans.

Stopper l’hémorragie

Ces chiffres, le ministre du Travail libanais, Boutros Harb, les a utilisés lors de son intervention dans un débat portant sur « Les jeunes, l’emploi et l’émigration« , organisé le 26 mars 2010, lors du salon de recrutement Forward, à Beyrouth. Le ministre a également noté que « le taux de migration des jeunes, aux alentours des 17,5%, est beaucoup plus élevé que la moyenne nationale, de 10,3%« .

Et le plus inquiétant, comme l’a souligné M.Harb, c’est que « presque 50% de ces jeunes candidats à l’émigration sont titulaires d’un diplôme universitaire, 22% d’entre eux sont bacheliers, tandis que 10% dispose d’un diplôme technique ».

Bref, le Liban perd sa main d’oeuvre qualifiée, qui préfère aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte et surtout, plus lucrative. Lire le reste de cette entrée »

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Avec « Live Lebanon », le Pnud invite la diaspora à soutenir les projets de développement local au Liban

Posted by jeunempl sur novembre 14, 2009

Iloubnan

Le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud) et le ministre libanais des Affaires Etrangères et des Expatriés ont lancé jeudi 12 novembre à Beyrouth le projet Live Lebanon. Objectif de l’initiative : inciter les Libanais de la diaspora à effectuer des dons pour soutenir des projets de développement local au Liban, susceptibles de lutter contre la pauvreté dans les régions du pays.

Il est 17h ce jeudi quand divers représentants du secteur politique et économique ou encore des medias se dirigent vers le Dôme, ce drôle de bâtiment qui au Centre Ville est habitué à accueillir les manifestations culturelles beyrouthines. Cette fois, tous sont là pour saluer la naissance de Live Lebanon, un projet du Pnud et du ministère libanais des Affaires étrangères et des expatriés visant à lutter contre la pauvreté au Liban via le soutien de l’économie locale. Orchestre de sept musiciens, logo « Live Lebanon » accroché un peu partout : le lancement de l’initiative ne doit pas passer inaperçu. Quand l’orchestre entame l’hymne national libanais, il résonne sous la coupole du Dôme ainsi que dans l’oreillette des responsables étrangers, reliée à la cabine où officie une interprète.

L’initiative “Live Lebanon” vise à mobiliser le plus grand nombre possible de libanais expatriés pour financer, via des dons pouvant être effectués en ligne sur le site livelebanon.net, le développement local des régions les plus défavorisées du pays. Ragheb Assi, Directeur de programmation du PNUD, explique qu’à travers cette plateforme internet, « le donateur aura la liberté de choisir le projet Lire le reste de cette entrée »

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Salafranca recommande une dose de proportionnelle dans la loi électorale

Posted by dodzi sur septembre 26, 2009

L’Orient Le Jour

José Ignacio Salafranca

José Ignacio Salafranca

Trois mois après les résultats d’un scrutin législatif organisé pour la première fois en un seul jour et qui s’est déroulé dans un climat paisible, uniquement émaillé par quelques incidents mineurs, le chef de la mission européenne d’observation des élections est venu remettre le rapport final de sa mission alors que le pays ne s’est toujours pas doté d’un nouveau cabinet.

D’entrée de jeu, José Ignacio Salafranca, chef de la mission européenne d’observation des élections, tient à souligner les principales préoccupations de l’équipe d’observateurs qu’il présidait durant les élections de juin 2009 à Beyrouth : « Notre souci a été de préserver constamment la neutralité, l’objectivité et le professionnalisme de notre mission, tout en veillant à ne jamais remplacer la volonté des citoyens. Notre travail consiste à accompagner l’opération électorale en y apportant l’expertise, la disponibilité, ainsi que la solidarité de l’Union européenne. » M. Salafranca est à Beyrouth pour, rappelons-le, remettre le rapport final rédigé par la commission d’observateurs dépêchés par l’Union européenne en juin dernier. Une conférence de presse (lire par ailleurs) a été organisée hier à l’hôtel Mövenpick pour exposer au public les conclusions d’un rapport au bilan somme toute assez positif.

S’il ne fallait poser qu’une seule question à José Ignacio Salafranca ce serait la suivante : lui est-il déjà arrivé de revenir dans le pays dont il a surveillé les élections pour remettre son rapport final alors que le pays en question n’a pas réussi à mettre en place un nouveau gouvernement ? Existe-t-il un lien entre la qualité des élections et leur traduction sur le plan institutionnel ? Il répond : « Je suis ici pour présenter les recommandations qui concernent la campagne électorale, mais c’est clair que normalement, il y a un lien entre les résultats des élections et la formation du gouvernement. C’est une question absolument pertinente. Maintenant, peut-être que je ne m’exprime pas ici en tant que chef de la mission d’observation mais en tant que député européen. » M. Salafranca ajoute : « Au Mexique, un délai de 6 mois est prévu par la Constitution pour la formation d’un nouveau gouvernement. Mais ce qui s’était passé lors des élections présidentielle et législatives mexicaines, c’est que le candidat perdant a totalement contesté les résultats, il y a donc eu un conflit postélectoral très sérieux, chose qui ne s’est pas produite au Liban. »

M. Salafranca rappelle dans ce contexte qu’il y a 19 recours qui ont été présenté devant le Conseil constitutionnel, mais que de manière globale, les résultats des élections ont été acceptés par les différents acteurs locaux. « Il ne faut pas oublier que le Liban est tributaire d’un équilibre consensuel qui dépend de plusieurs facteurs », ajoute le chef de la mission européenne, mais il n’en reste pas moins qu’il devrait y avoir « un lien de cause à effet » entre les élections et le nouveau gouvernement. Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL: Diaspora

Posted by dodzi sur mai 31, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 16 Diaspora

Diagnostic

1. L’Etat a toujours négligé la Diaspora et a négligé de communiquer avec elle bien que les Expatriés forment une partie essentielle de la population libanaise et symbolisent la présence libanaise dans le monde.

2. Les Expatriés sont empêchés de récupérer la nationalité libanaise et leurs droits fondamentaux sont bafoués.

3. Les délégations diplomatiques libanaises ne remplissent pas leurs devoirs diplomatiques et administratifs, ce qui a amené les expatriés libanais à se détacher de leur pays d’origine.

4. Le ministère des Expatriés a été supprimé alors qu’il avait été créé pour s’occuper précisément des Expatriés.

5. Le pourcentage de Libanais qui quittent leur pays chaque année est à présent égal au taux de croissance naturel de la population résidente, ce qui représente pour l’Etat libanais un défi de taille s’il veut pouvoir s’en occuper dans leur pays d’accueil.

6. Les communautés d’expatriés libanais dans le monde sont déchirées et leurs institutions ont été atteintes. Lire le reste de cette entrée »

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