Mouvement pour le Liban

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Le Liban puise dans ses réserves souterraines plus de 100 millions de m³ d’eau par an

Posted by jeunempl sur novembre 8, 2010

ANI

Le Liban fait face à un déficit de plus de 100 millions de mètres cubes (m³) par an, a indiqué le ministre de l’Energie et de l’Eau Gebran Bassil dans le cadre du Forum arabe de l’environnement et du développement.

« Sur les 8,5 milliards de mètres cubes de précipitations annuelles, 4,5 milliards s’évaporent, 1,2 milliard s’infiltrent en dehors du territoire libanais et près de 1,5 milliard vont dans la mer. Il ne nous reste donc plus que 1,2 milliard de mètres cubes, dont 650 millions d’eaux superficielles et 550 millions d’eaux souterraines », a-t-il expliqué.

Or le Liban utilise près de 650 millions de mètres cubes d’eaux souterraines par an, a poursuivi Bassil, « ce qui signifie que nous puisons dans nos réserves souterraines entre 100 et 150 millions de m³ par an ».

« Si cette situation se poursuit, c’est très grave. Nos réserves vont diminuer si nous ne réagissons pas à temps», a-t-il insisté.
Le ministre a expliqué que la majorité de l’eau au Liban, superficielle et  souterraine, sert à l’irrigation de manière naturelle.

Les particuliers, eux, manquent d’eau car les capacités de stockage ne dépassent pas 245 millions de m³, dont seules 45 millions peuvent être utilisées, tandis que le reste sert à produire de l’électricité. « Nous n’avons pas les Lire le reste de cette entrée »

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Alors que la sécheresse gagne du terrain dans la région, plus de la moitié de l’eau de pluie est gaspillée au Liban

Posted by dodzi sur octobre 22, 2008

(iloubnan.info)

BEYROUTH, Par Suzanne Baaklini

L’été s’achève, l’automne commence, avec son lot d’averses de pluies torrentielles. Comme toujours au Liban, dès qu’il pleut, les routes sont inondées par de l’eau ruisselante. Très peu de moyens semblent être mis en œuvre pour la récupération de cette eau de pluie. Dommage, quand les experts estiment que 50% de l’eau de pluie sont ainsi perdus.

En hiver, les routes inondées par les intempéries entraînent au Liban paralysie du trafic routier et dégâts sur la voirie. En plus de la gêne occasionnée, c’est aussi la quantité d’eau ainsi gaspillée (50%, selon les experts) qui peut laisser l’observateur perplexe. Il est urgent de trouver des solutions à ce gâchis et de planifier la récupération et le stockage de l’eau de pluie : le Liban a peut-être une réputation de château d’eau auprès de ses voisins, mais les précipitations qu’il connaît sont mal réparties sur son territoire. Environ la moitié de ses terrains sont exposés à un danger plus ou moins imminent de désertification, selon une étude récente financée par le bureau régional de la Fondation Heïnrich Böll, basé à Beyrouth. La courbe descendante des précipitations (celles-ci ont été inférieures à la moyenne pour la deuxième année consécutive), n’augure rien de bon. Sans compter que l’augmentation de la surface asphaltée et construite dans le pays freine la réalimentation saisonnière des nappes phréatiques, principale richesse hydraulique du Liban.

Une distribution équitable de l’eau potable vers les maisons, les agriculteurs et les industries a toujours été un casse-tête, un défi qu’aucun gouvernement n’a relevé. Entre-temps, le gaspillage va bon train : toujours selon l’étude de la FHB, sur une moyenne de 8 600 millions de mètres cubes d’eau de pluie qui tombent chaque année, quelque 4 300 millions seraient Lire le reste de cette entrée »

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