Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

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Elections 2009 – Biographie : Michel Naim Aoun (Kesrouan)

Posted by jeunempl sur mai 15, 2009

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Michel Aoun, chef du Courant Patriotique Libre ainsi que du bloc du Changement et de la Réforme, est candidat à l’un des 5 sièges maronites du Kesrouan où il y préside la liste du Changement et de la Réforme.

michel-aoun_electionsLe plus jeune commandant en chef de l’Armée libanaise (1984-1990), ancien Premier ministre du Liban (1988-1990), le « Général », comme l’appellent les Libanais, est aujourd’hui député de Kesrouan-Jbeil, chef du Bloc parlementaire du changement et de la réforme (formé de 22 députés de toutes les communautés libanaises) au Parlement libanais, et chef de l’Opposition libanaise.

Michel Aoun est né le 18 février 1935 à Haret Hreik, un village chrétien-chiite de la banlieue sud de Beyrouth. Il est le fils de Naim Aoun, agriculteur, et de Marie née Aoun, mère au foyer. Sa famille compte six enfants dont trois garçons et trois filles. Il fait ses études à Beyrouth chez les Frères des Écoles Chrétiennes et à l’école du Sacré-Cœur. Adolescent, il fut contraint, pour des raisons économiques familiales, d’abandonner ses études tout au long d’une année scolaire, au cours de laquelle il travailla comme apprenti en dessins industriels dans un bureau d’études d’ingénierie. De retour à l’école, il accomplit en une année avec succès le programme éducatif prévu normalement pour deux ans.

Bien qu’issu d’une famille chrétienne maronite, fortement attachée aux valeurs spirituelles, Michel Aoun a réussi, durant sa jeunesse, à établir des liens d’amitié avec nombre de ses compères musulmans. « Nous n’avons jamais conçu des a priori de distinctions entre Ali et Pierre, ou entre Hassan et Michel », dira-t-il. « Nous partagions les mêmes repas et nous passions les nuits les uns chez les autres. Leurs fêtes religieuses étaient les nôtres et les nôtres furent les leurs. »
Durant cette enfance, deux évènements majeurs marquèrent fortement le devenir de Michel Aoun ; ils formeront en lui un esprit rebelle s’engageant pour la défense des droits de la patrie et de ses fils. Le premier consiste en les harcèlements des femmes de son village par les soldats sénégalais en service près de l’Armée française durant le mandat, en les années quarante ; l’autre en l’occupation des maisons de Haret Hreik par des soldats australiens des Forces Alliées, lors de la seconde guerre mondiale, tirant de leur sommeil les villageois, parmi lesquels il se trouvait avec sa famille.
C’est dans cet esprit, qu’il s’engagea, en 1948, à l’âge de 13 ans, comme volontaire participant à la distribution des aides humanitaires aux réfugiés palestiniens accueillis au Liban.

Le 30 novembre 1968, il épouse Nadia el-Chami. Le couple a trois filles : Mireille, Claudine et Chantal et a aujourd’hui huit petits-enfants. Michel Aoun a toujours montré un grand attachement aux valeurs familiales, et l’appui de sa famille qui ne lui a jamais manqué, a certainement été essentiel aux heures les plus difficiles de sa vie.

La carrière militaire

Le 1/10/1955, Michel Aoun entre à l’école militaire comme élève officier. Il obtient son premier grade comme sous lieutenant dans l’artillerie le 30/9/1958. Il est nommé capitaine en 1968, commandant en 1974, lieutenant colonel en 1975 et colonel en 1980.

De 1959 à 1972, Aoun occupe plusieurs fonctions dans l’Armée de l’artillerie dans plusieurs régions libanaises. En août 1973, il est muté à Saida au sud du Liban, chargé du commandement du bataillon de la 2ème artillerie. Début 1976, lors des accrochages opposant l’Armée libanaise à l’Armée de libération de la Palestine (ALP), Michel Aoun Lire le reste de cette entrée »

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La municipalité de Beyrouth, riche aux as, ne paie pas un sou pour la décoration de Noël

Posted by jeunempl sur décembre 23, 2008

El Nashra

noel-deco-ruesLa veille de Noël approche et Beyrouth qui d’habitude était la première à se mettre en habit de fête semble avoir oublié ses rues et ruelles qui sombrent dans l’obscurité et l’indifférence. Il en est tout autrement pour les régions limitrophes du Grand-Beyrouth. Nombreuses sont les municipalités qui n’ont pas lésiné sur les dépenses, illuminant squares, poteaux, immeubles et balcons de mille feux et couleurs.
Le centre-ville de Beyrouth, associé par certains à l’avenue des « Champs-Elysées » parisienne, semble avoir beaucoup à envier cette année à sa grande soeur. Si ce n’était le grand sapin érigé par la société « Solidère » devant la mosquée Al-Amine, et les étoiles parsemées ici et là sur quelques poteaux bordant les artères principales de « downtown », Noël aurait pu aisément passer inaperçu. Sont à louer également les initiatives « personnelles » de certaines sociétés, une compagnie d’assurance dont le bâtiment ne manque pas de panache en temps normal, arbore pour les fêtes une façade de lumière.
Elnashra a enquêté sur la question pour comprendre pourquoi certains quartiers de Beyrouth Lire le reste de cette entrée »

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