Le sport libanais est endeuillé par la disparition soudaine et douloureuse de l’escrimeur libanais Fadi Tannous, fauché, samedi dernier, à l’age de 37 ans par une crise cardiaque en pleine compétition d’escrime, au complexe militaro-sportif Emile Lahoud, à Dekweneh.
Ce samedi 14 juillet 2012 devait être un jour on ne peut plus banal pour Fadi Tannous. Rien en effet ne laissait présager un tel drame. Malheureusement le destin en décidera autrement. Alors qu’il dispute une rencontre dans le cadre du Jour Olympique, organisé par le Haut Comité des Sports de l’Armée libanaise, et supervisé par le Comité Olympique libanais, Fadi Tannous s’écroule subitement terrassé par une crise cardiaque.
Les secours présents sur place accourent immédiatement, mais il est déjà trop tard. Le mal est fait, il est irrémédiable. L’impensable, l’inimaginable vient de se produire sous les yeux humides des escrimeurs et officiels présents au Lire le reste de cette entrée »
[Farid Habib n’est plus, le Liban perd un de ses députés. Le Mouvement Pour le Liban -MPL Belgique présente ses condoléances à la famille du député ainsi qu’à ses proches]
Le député Farid Habib, membre du bloc parlementaire des Forces Libanaises, a perdu la vie ce soir après un long combat contre la maladie.
Le député avait été admis à l’hôpital Saint-Georges pour traitement.
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Elias Naïm Aoun, le frère ainé du général Michel Aoun, des suites d’une longue maladie.
Le Mouvement Pour le Liban présente ses sincères condoléances à toute sa famille ainsi qu’à l’ensemble de la famille du Courant Patriotique Libre.
Elias Aoun était considéré comme le père du CPL. Il symbolisait à la fois la sagesse et le courage. En l’absence du général Aoun, il représentait le refuge des jeunes aounistes, en lutte pour la libération de leur pays. Doté d’un grand coeur, il laissera derrière lui un énorme vide. Que son âme repose en paix. Et longue vie à notre Général.
Le Liban a perdu hier une des figures politiques qui ont marqué son histoire contemporaine, l’ancien président du Parlement Kamel el-Assaad. Les funérailles officielles et populaires auront lieu demain.
C’est à l’aube du dimanche 25 juillet que Kamel el-Assaad, 82 ans, a rendu son dernier soupir, après une longue lutte contre la maladie. Sa famille a annoncé la nouvelle dans la matinée d’hier. Il avait six enfants : Ahmad (président du mouvement de l’Option libanaise), Imane et Maha, d’un premier mariage avec Ghada el-Khansa, et Khalil, Abdel-Latif et Waël d’un second mariage avec Lina Saad. Il sera inhumé, conformément à ses dernières volontés, au sanctuaire de Sayyida Zeinab en Syrie, où sa mère est enterrée.
La direction du protocole au Parlement a aussitôt décrété le deuil national durant trois jours à partir de mardi, au cours desquels les drapeaux seront mis en berne et les médias seront appelés à ne pas diffuser des programmes de variétés. Elle a également publié le programme de la journée de mardi. Le convoi quittera le domicile du défunt à Tallet el-Khayat vers 10h30, pour se diriger vers le sanctuaire à Damas, où la prière et l’inhumation auront lieu. Dans le convoi, les motards, les équipes de scouts, les porteurs de couronnes, les porteurs des décorations, membres de la police du Parlement, et les hommes religieux précéderont le cercueil, qui sera suivi des officiels et des autres participants aux funérailles. Deux détachements des Forces de sécurité intérieure (FSI) Lire le reste de cette entrée »
L’ambassadrice de Grande-Bretagne au Liban a provoqué la colère des Israéliens et l’embarras de Londres, en rendant hommage sur son blog officiel au défunt grand ayatollah Faldallah, le plus haut dignitaire chiite libanais, souvent présenté comme le chef spirituel du Hezbollah.
Frances Guy, en poste à Beyrouth depuis près de quatre ans, a publié cet hommage après la mort du grand ayatollah Mohammed Hussein Fadlallah à la fin de la semaine dernière. Dans un message sur son blog sur le site du Foreign Office, le ministère britannique des Affaires étrangères, elle salue un « vrai homme de religion ».
« Si j’ai été triste d’apprendre la nouvelle, je sais que les vies d’autres personnes seront vraiment dévastées. Le monde a besoin de plus d’hommes comme lui prêts à tendre la main au-delà des confessions, à reconnaître la réalité du monde moderne et oser remettre en cause les vieilles contraintes », ajoute-t-elle. « Puisse-t-il reposer en paix ».
Des propos qui ont rendu furieux les responsables israéliens à Jérusalem. Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Yigal Palmor a décrit le grand ayatollah Fadlallah comme un extrémiste qui a inspiré « des attentats suicide, des assassinats et toutes sortes de violence gratuite ». « L’ambassadrice de Grande-Bretagne doit décider si promouvoir le terrorisme et lui donner une justification religieuse peut être considéré comme un héritage à chérir », a-t-il ajouté.
Finalement, le Foreign Office a fait savoir vendredi que le texte avait été retiré du blog « après mûre considération », et sans autre Lire le reste de cette entrée »
Nicolas Hayek avait 82 ans. Il est décédé d’un arrêt cardiaque dans les bureaux du groupe helvétique.
Le président du groupe suisse Swatch, Nicolas Hayek, est décédé lundi d’un arrêt cardiaque dans les bureaux de l’entreprise qu’il avait hissée au rang de numéro un mondial de l’horlogerie. Né à Beyrouth au Liban il y a 82 ans, Nicolas Hayek était un dirigeant emblématique.
Il était à la tête d’un empire regroupant les marques de luxe Omega, Breguet, Tissot et Blancpain mais aussi des montres plus entrée de gamme, qui disposait de capitaux propres à hauteur de 6 milliards de francs suisses. Le groupe, qui reste discret sur les circonstances du décès mais indique qu’il s’avère être « inattendu », souligne les « immenses services dans le sauvetage de l’industrie horlogère suisse » qu’a rendus Nicolas Hayek, rappelant qu’il avait également largement contribué « à la création et au développement de Swatch Group ».
Depuis 2003, c’est son fils Nick qui a pris les fonctions de directeur général du groupe. En mai, Nicolas Hayek avait déclaré que Swatch était en voie de réaliser 4,5 milliards d’euros de ventes pour l’année, un record.
Le Liban figure en très mauvaise place en termes de lutte contre la prévalence du tabagisme parmi les jeunes avec 65,8 % de fumeurs dans la catégorie des garçons de 11 à 15 ans et 45,1 % des filles dans la même catégorie d’âge.
Selon les résultats d’une étude publiée dernièrement sur le tabagisme au Moyen-Orient et en Afrique, objet d’un atelier de travail organisé par le Programme national de lutte contre le tabagisme en collaboration avec l’Association de protection des consommateurs, près de 3.500 citoyens meurent chaque année au Liban d’une maladie liée au tabagisme.
Les taux de particules chimiques dans l’air dans les endroits où l’on fume beaucoup au Liban sont anormalement élevés, et se situent en moyenne à quelque 309 particules par mètre carré (plus de dix fois plus que la limite fixée par l’OMS).
Le ministre libanais de la santé, Mohammed Khalifé, a rappelé le coût des maladies résultant du tabagisme au Liban, qui s’élève à quelque 900 millions de dollars par an en médicaments seulement. De même, 250 à 300 millions de dollars sont dépensés pour Lire le reste de cette entrée »
L’actrice Amalia Rayess alias Amalia Georges Awad est décédée ce samedi à l’âge de 83 ans. Cette artiste, connue pour ces multiples rôles durant les années 70 et 80 dans des feuilletons télévisés, notamment « El-Dinié Hek », ainsi que pour ces différents rôles auprès du grand acteur feu Chouchou, ainsi que d’Abou Salim et sa bande, était une des actrices pionnières de Télé Liban, première télévision libanaise.
Dans les années 50, Amalia était connue grâce à son répertoire de chansons légères qui étaient une forme de critique sociale, ce qui lui valut alors le surnom de « La monologuiste du Liban ». Elle était mariée à l’artiste Ali El-Ariss, avec lequel elle avait fait ses débuts au théâtre libanais, ainsi que dans le cadre du cinéma, avec son premier film « La planète de la princesse du désert ».
Amalia Rayyes fait partie de la génération d’acteurs qui considéraient l’art comme une vraie mission.
Les funérailles auront lieu ce lundi à 16h en l’église Saint Jean-Baptiste, à Mar Elias, Beyrouth. Les condoléances se tiendront au salon de l’Eglise, le mardi et mercredi 14 et 14 juillet de 11 à 18h.
[Pour rappel, le quotidien « l’Orient le Jour » mène une campagne diffamatoire envers le Courant Patriotique Libre depuis plusieurs années. La ligne de conduite de l’Orient le Jour est dominée par certains responsables politiques proches du clan Joumblatt-Hariri. Le MPLBelgique.org vous propose de lire la réponse du candidat Nicolas Sehnaoui qui fait face à une campagne hostile et gratuite de la part de journalistes de l’Orient le Jour.]
Comme chaque année le 21 mars, le réveil est difficile parce que cette date anniversaire nous rappelle à moi et à ma famille que ma mère Mouna Bustros n’est plus là depuis cette soirée du 6 août 1989 où un obus syrien l’a emportée alors qu’elle regardait tranquillement la télévision dans sa demeure à Achrafieh.
Mais hier, le sort ou les mauvaises intentions ont voulu que notre journée soit encore plus douloureuse vu que nous avons découvert avec stupeur et tristesse l’article dans lequel M. Makhoul s’est permis de flétrir sa mémoire en modifiant son histoire.
Répondre à un journaliste pour un homme public, même lorsqu’il est dans son droit, n’est jamais aisé. Alors répondre à une dizaine de journalistes et de lecteurs pleins de hargne pour le mouvement et les idées qu’on défend est encore plus délicat. Enfin, on ne choisit pas toujours ses batailles, surtout qu’il y en a qu’on doit mener, quelles qu’en soient les conséquences. Je me lance donc dans cet exercice périlleux mais nécessaire, résolu à m’élever au-dessus de la boue et des flétrissures, et déterminé à adresser les questions de fond qui sont, après tout, les causes de la vindicte ou au moins de l’incompréhension qui nous est opposée par certains.
Je profite donc ouvertement et sans honte de ce droit de réponse pour m’adresser aux lecteurs de L’Orient-Le Jour qui ont si peu l’occasion d’entendre notre point de vue, dans une tentative que j’espère fructueuse de leur expliquer nos objectifs, nos priorités et notre feuille de route. Les lecteurs excuseront l’effort de synthèse imposé par l’étroitesse et la rareté de la tribune en ce qui me concerne. Je demande cependant au lecteur de garder deux choses à l’esprit tout au long des lignes qui suivent :
1- La politique est l’art du possible et
2- Plus la force dont on dispose est petite pour influer sur le cours des événements et plus le jeu des priorités devient crucial pour réussir. Lire le reste de cette entrée »