Posted by jeunempl sur mars 12, 2011
Le Commerce du Levant
Le ministre démissionaire du Tourisme, Fadi Abboud, a présenté vendredi un projet d’établissement d’un centre de conférences et d’expositions sur une surface de plus de 38.000 m2 à Dbayé.
Le projet avait été proposé une première fois dans le cadre d’un plan de développement du tourisme au Liban approuvé en Conseil des ministres en mars 2010. Mais aucune mesure concrète n’a été prise depuis en raison des blocages administratifs, a expliqué le ministre Abboud lors d’une conférence de presse, en pointant du doigt le ministère des Finances.
L’idée est de charger un opérateur privé de construire puis de gérer un centre de conférences et d’expositions sur 25 terrains appartenant à l’Etat d’une surface totale de 38.623 m2, autour du Palais des Congrès Emile Lahoud à Dbayé.
L’objectif au niveau national est de développer le tourisme d’affaires, généré par les congrès, les conventions d’entreprise, les foires, les salons, les séminaires…etc.
Le Liban ne compte actuellement que trois centres d’expositions : le centre provisoire BIEL dont la licence arrive à expiration cette année, le Forum de Beyrouth qui est trop petit et qui ne dispose pas de places de parking suffisantes et enfin la foire Rachid Karamé qui n’accueille que des évènements locaux, a indiqué Abboud.
Selon lui, Dbayé est une zone idéale pour ce type de projet : outre la disponibilité des terrains publics, la région est facilement accessible, et elle dispose des infrastructures nécessaires avec plus de 1600 Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: Abboud, administratif, affaires, Biel, blocage, confénrences, CPL, Dbayé, el Hassan, expositions, Fadi Abboud, Finances, foire, Forum de Beyrouth, Hariri, Hotels, Metn, Ministre, palais des congrès, projet, Raya el-Hassan, Saadeddine Hariri, séminaires, Tourisme | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur avril 12, 2009
(Livre Blanc du conflit Armée Libanaise – Forces Libanaises)
Ce texte entre dans le cadre plus large de la publication du Livre Blanc, regroupant les témoignages de la population lors de la guerre civile libanaise en 1990. Vous pouvez suivre l’intégralité de ce document sur cette page:
1990 – Devoir de mémoire: La population libanaise témoigne
– Parce que les politiques ont voulu effacer de notre mémoire, à travers une loi d’amnistie, toutes les exactions qu’ils ont commises durant la guerre civile,
– Parce que les médias n’assurent pas leur rôle de conscientisation de la population,
Le Livre Blanc reste encore aujourd’hui une référence pour rappeler à la population, de tous ages, les malheurs que peuvent engendrer tout conflit opposant un Libanais à son propre frère libanais. En attendant que l’état assure un jour pleinement ce rôle de mémoire au niveau de ses institutions, nous vous publions en plusieurs parties le Livre Blanc, rédigé à la fin de la guerre civile par de jeunes étudiants français, extérieurs au conflit, venus au Liban dans le seul but de comprendre. Pour cela, ils partent à la rencontre de la population témoin des exactions de la milice des Forces Libanaises dans le conflit l’opposant à l’Armée Libanaise.
Chapitre 3 : Utilisation de la Terreur
Comment justifier l’injustifiable ? La guerre n’explique pas tout. On ne peut s’abriter derrière des prétextes militaires pour terroriser sa propre population. Au programme des régions contrôlées par les Forces Libanaises, vol, viol, violence, meurtre; se doublant d’arrestations arbitraires.
Sur le point des arrestations arbitraires, l’Armée n’est pas non plus exempte de reproches. Mais on ne peut comparer les attitudes des deux camps, en raison du facteur de popularité dont bénéficie l’Armée lequel lui impose une certaine discipline dans son comportement général. Vols, viols, violences, meurtres sont quasiment inconnus dans les secteurs tenus par l’Armée.
Les témoignages des riverains s’accordent à reconnaître le comportement correct des soldats.
La férocité des Forces Libanaises découle du comportement de la grande proportion de Bécharriotes (de Bécharré, village de Samir Geagea) dans les rangs de la Milice. En effet, les Forces Libanaises ont vu un grand nombre de leurs partisans Beyrouthins les quitter. Et pour grossir leurs rangs, il a fallu faire appel aux Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Géneral | Tagué: Achrafieh, Adma, Ajaltoun, appartement, armée, arrestations, Baabda, Becharré, civil, crimes, Dbayé, drapeau, effigie, FL, Forces Libanaises, francs-tireurs, Fum-el-Chebbak, Général Aoun, Ghazir, Guerre, Hôtel-Dieu, intimidations, Jounieh, Kaslik, milice, milicien, mines, Nahr-el-Kalb, pillage, population, Radio Liban, Samir Geagea, témoignage, terreur, tunnel, vandalisme, Violence, viols, vol | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur avril 10, 2009
(Livre Blanc du Conflit Armée Libanaise – Forces Libanaises)
Ce texte entre dans le cadre plus large de la publication du Livre Blanc, regroupant les témoignages de la population lors de la guerre civile libanaise en 1990. Vous pouvez suivre l’intégralité de ce document sur cette page:
1990 – Devoir de mémoire: La population libanaise témoigne
– Parce que les politiques ont voulu effacer de notre mémoire, à travers une loi d’amnistie, toutes les exactions qu’ils ont commises durant la guerre civile,
– Parce que les médias n’assurent pas leur rôle de conscientisation de la population,
Le Livre Blanc reste encore aujourd’hui une référence pour rappeler à la population, de tous ages, les malheurs que peuvent engendrer tout conflit opposant un Libanais à son propre frère libanais. En attendant que l’état assure un jour pleinement ce rôle de mémoire au niveau de ses institutions, nous vous publions en plusieurs parties le Livre Blanc, rédigé à la fin de la guerre civile par de jeunes étudiants français, extérieurs au conflit, venus au Liban dans le seul but de comprendre. Pour cela, ils partent à la rencontre de la population témoin des exactions de la milice des Forces Libanaises dans le conflit l’opposant à l’Armée Libanaise.
Chapitre 1 : Privations et vexations
Tout conflit engendre des privations : les gens sont terrés chez eux et manquent de tout. Les derniers événements dans la Région Libre n’y ont pas échappé. Combien sont-ils, à avoir passé 22 jours dans des escaliers avec pour seuls vivres un peu de pain sec et du fromage ? Combien sont restés sans eau, sans électricité, sans gaz, sans essence ou sans nourriture, faisant du pain sur un feu de bois chez eux, s’éclairant aux bougies, recueillant l’eau de pluie et la faisant bouillir pour qu’elle soit potable, protégés du froid par un dérisoire nylon remplaçant les vitres brisées. Et l’angoisse ! Les membres d’une même famille ne pouvaient plus se joindre par téléphone, et toutes les routes étaient bloquées.
Mais lorsque ces privations semblent volontaires et s’accompagnent de vexations, on se pose des questions.
Aussi les Libanais s’interrogent-ils : pourquoi dès les premiers jours du conflit, la centrale de Zouk contrôlée par les Forces Libanaises s’est-elle arrêtée de fonctionner, privant d’électricité Jounieh et Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Géneral | Tagué: Achrafieh, Ain-el-Remaneh, Armée libanaise, Baabda, Beyrouth, Chrétiens, civil, crimes, Dbayé, EAU, Electricité, Forces Libanaises, Général Aoun, Guerre, Guerre civile, Jounieh, Liban, Livre Blanc, Metn, milice, Miliciens, Pain, population, privations, témoignages, vexations, Zouk | Leave a Comment »