Posted by jeunempl sur août 8, 2011
D.H. – ANI
La plus longue ligne de danseurs de la traditionnelle Dabké et la plus grande brochette de viande ont permis au Liban de figurer dans le livre Guinness des records, grâce à Dhour-Choueir, localité du Metn.
Le comité de « la journée libanaise pour la sensibilisation » a permis ce record, sous le slogan « non à la drogue, non à la vitesse, non à la cigarette et oui à la vie », sous le patronage du chef de la municipalité de Dhour-Choueir Elias Bou Saad, en présence du ministre du Tourisme Fadi Abboud et du député Nabil Nicolas et sous la supervision du représentant du livre Guinness Talal Omar.
La brochette de viande de 97m a brisé, et de loin, le précédent record de 7m des Etats-Unis. Elle a été préparée par cent marmitons environ, dirigés par Chef Antoine Hajj.
Des activités artistiques et des programmes de sensibilisation contre la drogue, le tabagisme et la vitesse ont ponctué cette mémorable journée qui a vu une ligne de danseurs de Dabké formée de 5050 personnes, bien devant la ligne de 4475 danseurs formée au Canada.
Archive la veille:
La plus longue chaîne de Dabké et le plus long chiche-kebab ce lundi pour battre le record!
S.N. – ANI
Le comité de « la journée libanaise pour la sensibilisation » organise demain, dimanche, la plus longue chaîne de Dabké (danse folklorique libanaise), prévue avec 5000 personnes, et le plus long chiche-kebab, à Dhour Choueir, sous le patronage du président de la municipalité de Dhour Choueir Elias Bou Saab et en présence du ministre du Tourisme Fadi Abboud.
Cette journée aura pour but de casser les records Guinness, respectivement pour la Dabké et le chiche-kebab, et les résultats seront annoncés plus tard dans la journée.
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Culture & Société, Géneral, Liban dans l'Histoire | Tagué: Antoine Hajj, brochette, Chef Antoine, chiche-kebab, Culture, dabke, danseurs, Dhour Choueir, drogue, Elias Bou Saab, Fadi Abboud, folklore, Guiness, Liban, Metn, Nabil Nicolas, sensibilisation, tabagisme, vitesse | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur août 21, 2009
Nouvel Observateur
Pour la première fois dans l’histoire de ces deux vénérables institutions, les Chorégies présentaient un opéra hors du Théâtre antique d’Orange, dans un autre site romain prestigieux, l’Acropole de Baalbeck. Une entreprise magnifique qui se répétera en 2010 et 2011 et devrait s’étendre à l’Egypte, la Syrie et Israël.
Solistes, choristes, danseurs, musiciens, chef d’orchestre, metteur en scène, équipes techniques et d’encadrement : ils étaient plus de 160 à débarquer par vagues successives à l’aéroport Beyrouth pour être installés dans les villes (chrétienne) de Zahlé et (musulmane) de Baalbeck afin de remonter sur l’acropole romain de cette dernière « la Traviata » de Verdi, qu’avant les Libanais des centaines de milliers de Français avaient découverte au Théâtre Antique d’Orange (trois fois 8300 spectateurs) et à la télévision française (1 200 000 téléspectateurs).Par quel miracle deux des sites romains parmi les plus prestigieux de ce qui reste de l’empire des Césars, le Théâtre antique d’Orange, en France, et l’Acropole de Baalbeck, au Liban, ont-ils pu s’entendre pour mener à bien une telle entreprise ?
Renaissance du Festival de Baalbeck
Tout a commencé avec la renaissance du Festival de Baalbeck, fondé en 1956, mais suspendu de 1975 à 1996 dans le fracas des armes durant la guerre civile et les ruines de l’Etat libanais pendant les années qui suivirent. Et par l’intermédiaire de deux médecins de Montpellier et de Marseille qui, à l’aube des années 2000, tissèrent les premiers liens entre les dirigeants des deux manifestations. Que rêver de plus judicieux que cette alliance musicale entre deux nations soeurs de part et d’autre de la Méditerranée, entre deux institutions francophones se produisant l’une et l’autre dans des vestiges romains ? Il est alors décidé que les Chorégies viendraient en août 2006 à Baalbeck reprendre la production de « Lucia de Lamermoor » montée en juillet de cette année là à Orange. Artistes, matériel, contrats, visas…tout était prêt, quand soudain, le 20 juillet, éclate la guerre lancée sur le Liban par Israël. Baalbeck en 2007 devait voir « Madame Butterfly » et « Carmen » en 2008, mais jamais les conditions politiques ne le permirent. Ce n’est que cette année, avec le semblant d’apaisement que montre la Syrie, l’apparence de paix entre Israël et le Liban et le calme relatif du Hezbollah, que la direction du Festival de Baalbeck a pu donner le feu vert aux Chorégies d’Orange pour que cette magnifique alliance se concrétise enfin. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Aïda, Acropole, Acropole de Baableck, acropole romain, antique, antiquite, armée, Artiste, artistes, Baalbak, Baalbeck, Baalbek, Bacchus, Ballet, Ballet d'Avignon, Bekaa, Beqaa, Beyrouth, Boléro, Carmen, César, Césars, chef d'orchestre, Chorégie, Chorégies, Chorégies d'Orange, choristes, Chrétiens, Christianisme, conflit, Culture, Damas, danse, danseurs, E strano, Egypte, Empire de Rome, Empire romain, Ermonela Jaho, festival, Festival de Baablek, Festival de Baalbak, Festival de Baalbeck, Français, France, Francophonie, Frédéric Bélier-Garcia, Guerre civile, guerre civile libanaise, Heliopolis, hezbollah, Histoire, Imam, Islam, Israel, Jupiter, Kursaal, La Traviata, Liban, Lucia de Lamermoor, Metteur en scene, mondanité, Mosquée, mosquées, muezzin, muezzine, musiciens, Musique, musulmans, Opéra de Paris, Opéra royal de Wallonie, orange, orchestre, Paolo Arrivabeni, Politique, prière, public, Rome, Ruines, scène, sites antiques, sites romains, Soldats, Solistes, Syrie, temple de Bacchus, temple de Jupiter, Théatre Antique, Théatre Antique d'Orange, Verdi, Violetta, Zahle | Leave a Comment »