Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘concurrence’

Le cloud computing sera bénéfique aux PME

Posted by jeunempl sur décembre 28, 2011

Le Commerce du Levant

Opportunité en or pour les PME, le cloud computing, qui consiste à déporter sur des serveurs distants des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste client de l’utilisateur, fait face à deux obstacles majeurs dans la région : le manque de haut-débit (- toutes les opérations transitent par de la bande passante-); et la culture locale peu propice au partage de données avec une partie tierce.

Mais la donne est lentement en train de changer : les pays du Golfe et le Liban ont fortement investi ces dernières années dans leurs infrastructures télécoms. Et certaines start-up, comme Cinemoz, se développent en basant leurs services sur le cloud.

« Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, le cloud computing permet de mettre en concurrence des petites sociétés avec de grandes sociétés, situées n’importe où dans le monde», affirme Nasser Kettani, directeur de la technologie chez Microsoft Moyen-Orient et Afrique. Pour la première fois, les petites sociétés ont accès à une capacité de stockage et de puissance IT illimitées. Elles ne paient que pour ce qu’elles utilisent.

Ce sont les grandes compagnies type Microsoft qui ont en charge le développement et le maintien de la technologie, ainsi que l’entretien des serveurs. Ces cinq dernières années, de plus en plus de sociétés situées dans les pays développés (où le haut-débit est la norme) ont délocalisé leurs systèmes de comptabilité, de logistique, de facturation, etc. sur le Cloud. « Le cloud computing a l’avantage d’être moins cher, de permettre plus de Lire le reste de cette entrée »

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Le Liban a le marché de téléphonie mobile le moins concurrentiel du monde arabe

Posted by jeunempl sur juillet 4, 2011

Le Commerce du Levant

L’indicateur 2011 du degré de compétitivité dans le marché de la téléphonie mobile place le Liban à la 19ème place sur les 19 pays arabes inclus dans l’étude. Ce classement est le même qu’en 2010, mais en recul par rapport à 2007 et 2006 où le Liban était en 15ème et 11ème place respectivement.

Cet indicateur élaboré par « the Arab Advisors Group » mesure le degré de compétitivité sur le marché de la téléphonie mobile dans la région et prend en compte neuf critères : le nombre d’opérateurs agréés ou attendus sur le marché, le nombre d’opérateurs effectifs, la part de marché du plus grand opérateur, le nombre de forfaits prépayés, le nombre de forfaits post-payés, la disponibilité des forfaits smartphone, la disponibilité des différentes offres, la disponibilité des services 3G et enfin la compétitivité des tarifs longue distance.

L’Arabie saoudite se place en tête du classement, avec ses quatre opérateurs de téléphonie mobile agréés et effectifs, ses 19 forfaits prépayés et 23 forfaits post-payés. Les classements de l’Arabie saoudite, de l’Algérie, de Bahreïn et de la Mauritanie ont progressé par rapport à 2010, ceux de l’Egypte, de l’Irak, du Koweït, de la Libye, du Maroc, d’Oman, de la Palestine, du Qatar, de la Syrie, des EAU et du Liban sont restés identiques, et ceux de la Jordanie, du Yémen et du Soudan ont régressé.

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Cedarcom et Broadband Plus portent plainte contre le ministère des Télécoms

Posted by jeunempl sur février 12, 2011

Le Commerce du Levant

Le fournisseur de données (DSP) Cedarcom et le fournisseur de services internet (ISP) Broadband Plus, tous deux appartenant au même groupe, ont annoncé dans un communiqué de presse avoir porté plainte le 7 février dernier contre le ministère des Télécoms pour non respect de ses engagements concernant l’installation du DSL.

L’histoire remonte à 2006, lorsque diverses entreprises du secteur privé (dont Cedarcom) avaient signé avec le ministère des Télécoms et avec Ogero un mémorandum d’entente pour l’installation et le déploiement des équipements DSL (internet haut débit) dans tout le Liban. Cedarcom a effectivement installé dès 2007 ses équipements dans 34 centrales, mais ceux-ci n’ont jamais été reliés au réseau local, empêchant par là-même Cedarcom d’offrir ses services et lui occasionnant des pertes se chiffrant en centaines de milliers de dollars.

De la même manière Broadband Plus, qui aurait du pouvoir passer par Ogero pour offrir des services internet, n’a pas eu la possibilité d’opérer.

«Nous sommes la seule compagnie du secteur privé à ne pas avoir pu activer nos services », regrette Imad Tarabey, PDG de Cedarcom, au Commerce du Levant. Il déplore également la concurrece déloyale d’Ogero dans Lire le reste de cette entrée »

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Toutes les techniques de pointe au colloque « Réseaux large bande et Internet rapide » de l’Université antonine

Posted by jeunempl sur janvier 27, 2010

(L’Orient le Jour)

Pour la première fois, le ministre des Télécommunications, Charbel Nahas, fait des promesses précises à propos de son plan d’action.

Le colloque «Réseaux large bande et Internet rapide », qui a réuni des sommités des technologies de l’information et de la communication à l’Université antonine, a donné l’occasion au ministre des Télécommunications, Charbel Nahas, de dévoiler les principaux points de son action à la tête du ministère. Le ministre n’a pas uniquement abordé le lancement de l’Internet à large bande partout au Liban, mais aussi et surtout la visibilité pour les opérateurs potentiels et la promotion de la concurrence. Autrement dit, le partage des infrastructures et la fixation de la contribution des opérateurs aux missions de service à un faible pourcentage de leurs chiffres d’affaire. Le ministre a en outre évoqué, au sujet de la téléphonie fixe, la transition vers la nouvelle génération NGN pour assurer la rentabilité technologique. Il a aussi annoncé une baisse régulière des tarifs.

Sur le plan des services, Charbel Nahas a révélé que le Liban se prépare au lancement de plusieurs projets « e-gouvernement» et au renforcement de la confiance numérique via la signature électronique et la sécurité des fichiers informatiques pour développer le commerce électronique et les transactions dans le secteur bancaire.

La deuxième séance du colloque préparée par France Télécom R&D-France et présidée par l’ancien ministre Ahmad Fatfat, président de la commission parlementaire sur les Technologies de l’information et de la communication (TIC), a discuté des infrastructures où l’on a confirmé le déploiement du câble sous-marin optique IMEWE très prochainement, qui permettra de désengorger le trafic dans la région, et envisager les réseaux d’accès par fibre jusqu’à chez l’abonné. Ces réseaux ont fait l’objet d’une présentation qui a montré les promesses haut débit ou ultralarge bande pour les utilisateurs en exposant les Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL: Gestion des finances publiques et de la dette publique

Posted by dodzi sur mai 29, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 6 Gestion des finances publiques et de la dette publique

Diagnostic

A. Un Etat très endetté et qui subit des pertes financières considérables et injustifiées

1. Ratio dette/PIB parmi les plus élevés au monde,

2. Dette injustifiée au regard des sommes dépensées pour la reconstruction des infrastructures à la fin de la guerre et pour la subvention de différents secteurs économiques (énergie, agriculture, PME/PMI, etc.) mais justifiée par le taux prohibitif des intérêts payés durant de nombreuses années au regard des taux d’intérêts dans le monde et de l’inflation locale.

3. Pertes additionnelles dues à une mauvaise gestion de la dette publique, notamment à une mauvaise évaluation des besoins de financement qui conduit à emprunter parfois de manière excessive à cause d’une gestion chaotique des comptes des entités publiques et du manque de prévision.

4. Pertes dues à la mauvaise gestion de l’Electricité du Liban : pertes non techniques et pertes techniques sur le réseau, tarification inadaptée au prix des combustibles, pas de politique d’achats à long terme ni de couverture financière des risques.

5. Coût des infrastructures anormalement élevé qui s’explique par la corruption au plus haut niveau de l’Etat et par le désir de certains gouvernements précédents d’acheter l’appui de partis politiques par l’intermédiaire d’entrepreneurs qui leur sont proches. C’est notamment le cas pour les travaux financés par l’intermédiaire du CDR et du Conseil du Sud et pour les indemnités payées par la Caisse des Déplacés. Les comptes de ces deux derniers organismes ne sont d’ailleurs pas soumis au contrôle des institutions de l’Etat et le budget du CDR n’était pas inclus jusqu’à récemment dans le budget de l’Etat.

6. Pertes dues à l’obsolescence de la loi sur les achats publics et au rôle inefficace des organismes de contrôle de l’Etat.

7. Surdimensionnement de certains équipements publics et surnombre de fonctionnaires dans certains secteurs, notamment dans le domaine de l’éducation publique. Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL : L’Agriculture

Posted by jeunempl sur mai 28, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 1 : L’Agriculture

Diagnostic

1. La part du secteur agricole dans l’économie libanaise est en baisse continue. Elle ne représente plus que 6% de la richesse générée par le pays alors que les revenus d’une large partie de la population continuent à dépendre de ce secteur.
2. La part des emplois directs offerts par le secteur agricole est en baisse rapide. Elle est tombée à 4,7% en 2004 alors qu’elle était encore de 9,3% en 1997.
3. La balance agricole et agro-alimentaire connaît un déficit grave qui menace la sécurité alimentaire du pays : 11% seulement des importations de produits de l’agriculture et de l’élevage étaient couvertes par les exportations en 2007 et 31,5% seulement des importations de produits agroalimentaires. Le déficit commercial sur l’ensemble de ces trois types de produits représentait plus de 17% du déficit commercial total en 2007.
4. Le secteur agricole n’a bénéficié d’aucune attention soutenue de la part des pouvoirs publics depuis l’Indépendance malgré la part élevée du PIB qu’il représentait alors. Aucune véritable politique agricole, au sens d’une action publique cohérente et orientée de façon à développer durablement le secteur agricole, n’a jamais été élaborée.
5. De nombreuses études effectuées par les organisations internationales ou des pays amis sont enterrées et leurs recommandations ignorées. Les programmes qu’ils mettent en œuvre ne sont pas exécutés dans le cadre d’une stratégie et de priorités nationales avec lesquelles ils devraient s’articuler.

6. Les surfaces agricoles disponibles sont en recul constant à cause d’une absence de protection réglementaire, de l’extension urbaine et de la désaffection à l’égard du secteur.
7. L’absence de cadastre dans de nombreuses zones agricoles et le coût des droits de succession qui décourage de nombreux héritiers à formaliser leurs droits de propriété ont amené des nombreux agriculteurs à être dépourvus de titres de propriété, ce qui les empêche de tout accès au crédit.
8. Le morcellement foncier, en l’absence de politiques de remembrement, pénalise la mécanisation de l’agriculture et les investissements dans le secteur.
9. L’exploitation n’est pas sécurisée car les baux ruraux sont souvent conclus oralement et pour des durées très courtes, ce qui n’encourage pas les investissements non plus.
10. Les coûts des facteurs de production sont élevés en comparaison avec ceux des pays concurrents : la location de la terre, les intrants agricoles et la main-d’œuvre libanaise.

11. Les ressources en eau sont fréquemment détournées au profit des consommateurs des grandes villes.
12. La politique d’irrigation se développe sans que soient opérés des choix culturaux.
13. Il n’y a pas de politique publique de formation unifiée ni d’actions de vulgarisation publiques efficaces. Le faible niveau technique des agriculteurs libanais les rend dépendants des vendeurs d’intrants agricoles (engrais, pesticides, insecticides, etc.). Ceci conduit à de fréquents usages abusifs d’intrants qui rendent parfois la production invendable sur les marchés internationaux à cause de son coût élevé et de sa non-conformité aux normes phytosanitaires internationales. La méconnaissance de ces normes par des agriculteurs insuffisamment formés et informés aggrave cette situation.
14. Les producteurs connaissent mal la demande interne et externe. Les variétés produites sont encore fréquemment traditionnelles. Elles sont souvent concurrencées par de nouvelles variétés plus demandées, aussi bien sur le marché domestique que sur les marchés extérieurs traditionnels, notamment les pays arabes.
L’accès de la production aux marchés des pays développés est souvent impossible car Lire le reste de cette entrée »

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« Pour Noël, je voudrais… un mari »

Posted by dodzi sur décembre 24, 2008

AFP/iloubnan.info

Pendant les fêtes de fin d’année, des hordes de jeunes Libanais célibataires vivant à l’étranger rentrent au Liban pour passer des vacances en famille. Dans ce pays à la société traditionnelle marquée par une forte émigration masculine, ce moment représente, pour beaucoup de Libanaises en âge de se marier, l’occasion de se lancer à la conquête du parti idéal.

« C’est le moment pour beaucoup de jeunes hommes de rentrer au pays pour les fêtes. Et là les attendent de nombreuses jeunes femmes, qui cherchent à trouver le mari idéal », explique Samir Khalaf, professeur de sociologie et chef du Centre de recherche sur le comportement à l’Université américaine de Beyrouth. « Nous avons ici un vrai problème de démographie », ajoute-t-il. De tous temps, au fil de l’histoire du Liban, les jeunes Libanais ont émigré, notamment pour trouver ailleurs de meilleures conditions économiques. Mais le phénomène s’est renforcé pendant la guerre civile (1975-1990) et la crise économique qui a suivi. Il s’est une nouvelle fois accéléré après le conflit de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah. Selon certaines estimations, on compte aujourd’hui au Liban environ cinq femmes pour un homme en âge de se marier, dans un pays de quelque 4 millions d’habitants. Pour les Libanaises, la compétition est rude dans la course au prince charmant. Lire le reste de cette entrée »

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