Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘compétitivité’

Gaz naturel : Bassil en fait l’éloge dans un atelier de travail à l’AUB

Posted by jeunempl sur avril 28, 2012

(L’Orient le Jour)

« La clé de la croissance économique de notre pays réside dans l’exploitation de nos ressources naturelles en gaz », a déclaré hier le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, Gebran Bassil, au cours d’un atelier de travail sur le gaz naturel à l’Université américaine de Beyrouth (AUB). « Le Liban ne peut plus se permettre de dépendre uniquement du pétrole, qui non seulement pollue énormément, mais qui nous coûte annuellement 15 % de notre produit intérieur brut (PIB) », a souligné M. Bassil. Selon lui, il est grand temps que le pays adopte progressivement le gaz naturel, « moins cher que le pétrole et qui peut être utilisé facilement dans le transport, l’industrie et surtout la production d’électricité dont la facture s’élève aujourd’hui à plus de 6 milliards de dollars annuels ». Le ministre a soutenu que le passage au gaz réduirait considérablement le coût de production des entreprises et améliorerait ainsi la compétitivité du pays pour l’exportation.

M. Bassil a assuré que toutes les études et cahiers des charges étaient prêts et a rappelé l’importance pour le Liban de persévérer pour l’extraction du gaz naturel qui lui revient en mer. « Je place mes espérances en vous, étudiants de l’AUB, afin que ce projet devienne la priorité gouvernementale première et voit le jour dans les plus brefs délais », a conclu le ministre de l’Énergie. Lire le reste de cette entrée »

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Réconcilier patronat et salariés autour d’un projet de croissance

Posted by jeunempl sur octobre 25, 2011

Par Charbel Nahas (publié sur L’Orient le Jour)

« La compétitivité du Liban est en flagrant recul », note le ministre du Travail, Charbel Nahas. Analyse Patronat et salariés sont mécontents de la décision d’ajustement des salaires qui a été prise en Conseil des ministres. Cela était prévisible. Dès le départ, le Comité de l’indice des prix que je préside en tant que ministre du Travail a cherché à sortir du tête-à-tête dans lequel employeurs et employés ont été placés pour proposer une solution satisfaisant les revendications légitimes des deux parties, ainsi que celles de l’ensemble des Libanais, à travers une redéfinition des priorités de la politique économique et sociale de l’État. Les instances économiques en appellent aujourd’hui au dialogue pour la définition d’une politique « globale » dont la traduction doit se faire dans le budget pour l’année 2012. Je suis prêt à engager ce dialogue dans les plus brefs délais. En attendant, je pense utile de porter à la connaissance du public les propositions remises par le Comité de l’indice des prix dans son rapport au Conseil des ministres. Pour comprendre ces propositions, il est nécessaire au préalable de brosser le tableau de la situation de l’emploi, de l’inflation et de la répartition des richesses au Liban.

Forte inflation

Le niveau des prix a beaucoup augmenté. En valeur absolue, le taux d’inflation entre 1996 et 2011 a atteint les 100 %. Par comparaison avec le niveau des prix mondiaux, la hausse est supérieure de 21 % au Liban.
L’augmentation des prix des biens et services non échangeables (comme le transport, les télécommunications, l’enseignement, les loisirs, etc.) est le principal facteur de cette inflation sur le long terme. L’augmentation des prix alimentaires (et des produits ménagers en général) est restée relativement limitée jusqu’à ce que la crise alimentaire mondiale ne provoque leur flambée ces dernières années. Mais le fait que les prix de ces denrées augmentent trois fois plus au Liban que les moyennes mondiales révèlent bien que les causes de l’inflation sont internes.

Recul de la compétitivité de l’économie

La compétitivité du Liban est en flagrant recul. Entre 1991 et 2009, le taux de change réel a triplé suivant en cela la même augmentation que les dépôts bancaires. L’explication tient au fait que les flux de capitaux d’une abondance exceptionnelle dont a bénéficié le Liban ont surtout alimenté la consommation au détriment de Lire le reste de cette entrée »

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Le coût de l’énergie et le manque de compétitivité, principaux obstacles au développement de l’industrie libanaise

Posted by jeunempl sur septembre 4, 2011

Le Commerce du Levant

La productivité et la compétitivité du secteur industriel libanais souffrent principalement du coût de l’énergie et de la fluctuation des taux de change.

C’est ce qui ressort d’une enquête réalisée auprès de 100 cadres exécutifs du secteur industriel, menée entre janvier et avril 2011 par le Centre de recherche économique de la Chambre d’industrie de commerce et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban.

Parmi les personnes interrogées, 43% considèrent que le coût élevé de l’énergie est le principal obstacle à la productivité, alors que 22% ont mis en cause le coût de la main d’œuvre et 19% les prix élevés des matières premières.

Concernant la main d’œuvre, 30% ont souligné son niveau faible de qualification, 22% ont mis en cause les salaires élevés et 20% ont relevé le manque de normes dans le secteur industriel.

Au niveau de l’exportation, 52% des personnes interrogées ont mis en cause le Lire le reste de cette entrée »

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Sehnaoui: La réduction des tarifs Internet boostera le secteur

Posted by jeunempl sur août 23, 2011

R.CH. – ANI

Le ministre des Télécommunications Nicolas Sehnaoui a affirmé que le décret sur la réduction du tarif du service Internet pourrait booster le secteur, signalant que ce décret fait parti d’une série des projets qui visent à améliorer et développer le secteur.

Il a salué, lors d’un Iftar offert par la compagnie « Nokia Siemens » à l’hôtel « Le Gray », la décision de la compagnie qui a choisi le Liban comme marché expérimental pour promouvoir ses services avant de les lancer sur les marchés internationaux.

Il a également indiqué que cette décision assure des profits pour le marché libanais et vise à activer le pouvoir de compétitivité sur le marché libanais.

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Lancement du recensement agricole 2010-2014

Posted by jeunempl sur août 13, 2010

Le Commerce du Levant

Le ministre de l’Agriculture, Husseïn El-Hajj Husseïn a annoncé, au cours d’une conférence de presse en présence du représentant de la FAO au Liban, Ali Moumen, le lancement du projet de recencement agricole 2010-2014, financé par le gouvernement italien.

Ce recensement, qui se déroulera du 1er août au 11 octobre sur l’ensemble des mohafazat du pays, vise à constituer une base de données agricoles portant tant sur le domaine animal que végétal. Il permettra de réglementer le secteur dans ses deux volets public et privé.

La création d’un registre agricole, en l’occurrence une carte de reconnaissance de l’agriculteur et de l’entreprise agricole, en constitue un des éléments principaux. Ce registre permettra, par ailleurs, d’améliorer les conditions de vie et de travail des agriculteurs ainsi que la qualité de la production agricole tout en accroissant sa compétitivité.

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Banque mondiale : les lacunes du haut débit ont un impact négatif sur la compétitivité

Posted by dodzi sur février 1, 2010

L’Orient le Jour

Un rapport de la Banque mondiale a fait état du retard affiché par le Liban dans tous les domaines des services d’accès Internet, notamment en ce qui concerne le haut débit, retard qui, à long terme, pourrait handicaper la croissance économique du pays.

Les services Internet haut débit (Broadband) actuellement disponibles au Liban ne seraient pas assez performants, sont trop chers et leur taux de pénétration bas en comparaison aux autres pays de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord (MENA), selon un rapport de la Banque mondiale (BM). Le rapport a ajouté que ces facteurs influaient négativement sur la compétitivité du secteur privé régionalement et internationalement, surtout au niveau des services. Le rapport, repris par le bulletin économique hebdomadaire de la Byblos Bank, le Lebanon This Week, a en effet souligné qu’en raison de la médiocrité de la performance locale du haut débit, les entreprises préféraient souvent aller s’implanter dans d’autres pays à l’étranger proposant une meilleure qualité de connection pour des coûts de communication moindre.

La BM a également constaté que le manque de compétition dans le marché du haut débit au Liban avait limité la croissance de la connectivité internationale, ou bande passante, tout en maintenant des prix élevés. En effet, le prix fixé par le ministère des Télécommunications pour un mégabit par seconde (Mbps) est de 1,350 dollar par mois – contre 223 dollars par mois pour une capacité similaire de connexion entre Istanbul et Londres, et 537 dollars pour la connexion Francfort-Istanbul. Toujours selon ce rapport, le Liban aurait la capacité de bande passante la plus basse de la région MENA, en termes absolus et per capita. La BM a de ce fait prévenu le Liban que le manque d’accès au haut débit et aux services d’accès Internet handicapera probablement la productivité et la compétitivité locales face au reste de la région – avec un possible impact négatif au long terme sur le développement économique du Liban. Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL: Politiques sociales

Posted by dodzi sur mai 29, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 7 Politiques sociales

Diagnostic

1. Des gouvernements qui se soucient peu du fait que près de 56% de la population est dépourvue de tout système de retraite, d’indemnité de fin de service, de protection contre les accidents de travail et autres, et que 30% des salariés ne sont pas inscrit à la Sécurité Sociale, en contravention avec la Loi.

2. Des gouvernements qui n’hésitent pas à se décharger de leurs responsabilités sur les entreprises en leur imposant de financer notamment des frais de scolarité et de transport pour leurs employés, sans se soucier d’aggraver leurs coûts de fonctionnement et de pénaliser leur compétitivité.

3. Des gouvernements qui ont renoncé à imposer aux employeurs le respect des droits des salariés et leur laissent la possibilité, quand ils le souhaitent, d’offrir à ces derniers des assurances privées qui ne couvrent souvent qu’une faible partie des droits que la Loi leur garantit.

4. Des gouvernements qui n’hésitent pas à mettre la main-d’oeuvre libanaise la moins qualifiée et la plus pauvre en compétition avec une main-d’oeuvre étrangère sans protection et sans droits, employée souvent de manière illégale, aggravant le chômage et la pauvreté des groupes sociaux les plus vulnérables (voir le programme du CPL au sujet du marché du travail et de l’Emploi).

5. Des gouvernements qui ont renoncé à lutter contre le secteur informel dans lequel les conditions de travail sont souvent en deçà des normes libanaises et les droits des salariés, notamment l’accès à des filets de sécurité sociaux, inexistants (voir le programme du CPL au sujet du marché du travail et de l’Emploi).

6. Des gouvernements qui se soucient peu du chômage, préférant inciter les personnes sans emploi à émigrer.

7. Des gouvernements qui se sont peu soucié jusqu’à présent du fait que les personnes ayant cotisé à la Sécurité Sociale sont dépourvues de couverture santé dans leurs années de vieillesse, que les émigrés souhaitant s’installer dans leur pays d’origine une fois leur vie active terminée ne bénéficient d’aucune couverture sociale (ni retraite vieillesse ni couverture santé).

8. Les aides octroyées aux populations vulnérables se font de manière désordonnée et sans contrôle. De nombreuses ONG qui reçoivent des fonds du ministère des Affaires Sociales sont fictives. Le Ministère ne contrôle pas leur action et ne vérifie pas leur efficacité de manière sérieuse. De plus, sa structure ouvre la voie à de nombreuses duplications dans ses dépenses. Par ailleurs, son action n’est pas coordonnée avec celle des ONG libanaises et étrangères actives dans le pays et il ne supervise pas leur travail.

9. La décision d’abaisser brutalement les cotisations sociales des employeurs aux branches « Maladie » et « Allocations familiales » de la Sécurité Sociale a créé un déficit durable des comptes de celles-ci et les gouvernements ne semblent pas se soucier du fait que leur déficit est actuellement comblé par la direction de la CNSS en puisant dans les réserves de la branche « Indemnités de fin de service ». Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL : Entreprises et Industrie

Posted by jeunempl sur mai 28, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 5 – Entreprises et Industrie

Diagnostic

1. Pas de politique économique nationale favorisant le développement des entreprises. Pas de prise en compte suffisante des besoins et des revendications du secteur privé. Pas de suivi de la situation des entreprises, notamment des PME/PMI.

2. Insuffisance ou mauvais état des infrastructures, ce qui freine le développement du secteur privé.

3. Difficultés administratives et juridiques pour créer une entreprise et cesser l’activité.

4. Corruption de l’appareil d’Etat qui hausse le coût des opérations, diminue la compétitivité et décourage l’investissement.

5. Faible effet des incitations fiscales existantes, notamment en raison de la faiblesse du taux de l’impôt sur le bénéfice des entreprises, de l’évasion et de la fraude fiscale dont sont responsables les entrepreneurs.

6. Trop petite taille des entreprises libanaises : les entreprises de moins de 5 employés représentaient en 2007, 88% du total. En ce qui concerne les entreprises industrielles, celles qui employaient moins de 5 employés représentaient en 1999 74% du total. Cette très petite taille les rend faiblement compétitives et très vulnérables aux chocs externes d’origines diverses.

7. Secteur informel très développé (68% des entreprises n’étaient pas enregistrées en 2007). Ce secteur n’attire pas les investissements; il n’a pas accès aux financements bancaires; sa productivité est faible; il est plus vulnérable aux chocs externes; les conditions de travail y sont souvent déplorables et les travailleurs y sont en situation précaire.

8. Fiscalité peu favorable aux investissements dans les secteurs de production de biens, notamment à cause de l’exemption des plus-values immobilières de tout impôt.

9. Financement trop dépendant du secteur bancaire.

10. Organismes de résolution de conflits, notamment les tribunaux spécialisés, insuffisants ou inefficaces, ce qui décourage l’investissement, notamment l’investissement étranger.

11. Pas d’instruments de défense commerciale contre les produits subventionnés d’origine étrangère, ce qui fragilise gravement les producteurs nationaux.

12. Pas d’instruments de défense commerciale contre les pratiques de dumping, ce qui fragilise les entreprises compétitives. Lire le reste de cette entrée »

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Elections 2009 – Programme du CPL : L’Agriculture

Posted by jeunempl sur mai 28, 2009

MPLBelgique.org

Programme complet du Courant Patriotique Libre

Programme-CPLChapitre 1 : L’Agriculture

Diagnostic

1. La part du secteur agricole dans l’économie libanaise est en baisse continue. Elle ne représente plus que 6% de la richesse générée par le pays alors que les revenus d’une large partie de la population continuent à dépendre de ce secteur.
2. La part des emplois directs offerts par le secteur agricole est en baisse rapide. Elle est tombée à 4,7% en 2004 alors qu’elle était encore de 9,3% en 1997.
3. La balance agricole et agro-alimentaire connaît un déficit grave qui menace la sécurité alimentaire du pays : 11% seulement des importations de produits de l’agriculture et de l’élevage étaient couvertes par les exportations en 2007 et 31,5% seulement des importations de produits agroalimentaires. Le déficit commercial sur l’ensemble de ces trois types de produits représentait plus de 17% du déficit commercial total en 2007.
4. Le secteur agricole n’a bénéficié d’aucune attention soutenue de la part des pouvoirs publics depuis l’Indépendance malgré la part élevée du PIB qu’il représentait alors. Aucune véritable politique agricole, au sens d’une action publique cohérente et orientée de façon à développer durablement le secteur agricole, n’a jamais été élaborée.
5. De nombreuses études effectuées par les organisations internationales ou des pays amis sont enterrées et leurs recommandations ignorées. Les programmes qu’ils mettent en œuvre ne sont pas exécutés dans le cadre d’une stratégie et de priorités nationales avec lesquelles ils devraient s’articuler.

6. Les surfaces agricoles disponibles sont en recul constant à cause d’une absence de protection réglementaire, de l’extension urbaine et de la désaffection à l’égard du secteur.
7. L’absence de cadastre dans de nombreuses zones agricoles et le coût des droits de succession qui décourage de nombreux héritiers à formaliser leurs droits de propriété ont amené des nombreux agriculteurs à être dépourvus de titres de propriété, ce qui les empêche de tout accès au crédit.
8. Le morcellement foncier, en l’absence de politiques de remembrement, pénalise la mécanisation de l’agriculture et les investissements dans le secteur.
9. L’exploitation n’est pas sécurisée car les baux ruraux sont souvent conclus oralement et pour des durées très courtes, ce qui n’encourage pas les investissements non plus.
10. Les coûts des facteurs de production sont élevés en comparaison avec ceux des pays concurrents : la location de la terre, les intrants agricoles et la main-d’œuvre libanaise.

11. Les ressources en eau sont fréquemment détournées au profit des consommateurs des grandes villes.
12. La politique d’irrigation se développe sans que soient opérés des choix culturaux.
13. Il n’y a pas de politique publique de formation unifiée ni d’actions de vulgarisation publiques efficaces. Le faible niveau technique des agriculteurs libanais les rend dépendants des vendeurs d’intrants agricoles (engrais, pesticides, insecticides, etc.). Ceci conduit à de fréquents usages abusifs d’intrants qui rendent parfois la production invendable sur les marchés internationaux à cause de son coût élevé et de sa non-conformité aux normes phytosanitaires internationales. La méconnaissance de ces normes par des agriculteurs insuffisamment formés et informés aggrave cette situation.
14. Les producteurs connaissent mal la demande interne et externe. Les variétés produites sont encore fréquemment traditionnelles. Elles sont souvent concurrencées par de nouvelles variétés plus demandées, aussi bien sur le marché domestique que sur les marchés extérieurs traditionnels, notamment les pays arabes.
L’accès de la production aux marchés des pays développés est souvent impossible car Lire le reste de cette entrée »

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