Posts Tagged ‘CO2’
Posted by jeunempl sur décembre 3, 2012
(Suzanne Baaklini – L’Orient le Jour)
Conférence de presse au Qatar pour présenter les efforts du Liban en matière de conservation de l’énergie.
Quand on connaît l’histoire du Liban en matière de protection de l’environnement, pas toujours reluisante, on s’étonne du fait que les autorités de ce pays veuillent se diriger vers une économie à faibles émissions de carbone, donc moins polluante. Et pourtant, c’est la tournure que prennent les interventions des officiels de la délégation libanaise durant le 18e sommet du changement climatique qui se tient à Doha jusqu’à vendredi prochain.
En effet, le Liban devrait devenir le premier pays arabe à s’engager officiellement en vue de réduire ses émissions de gaz à effet de serre (responsables du réchauffement climatique). Il devrait confirmer cette année l’engagement annoncé par l’ancien Premier ministre Saad Hariri en 2009 lors du sommet de Copenhague, celui d’augmenter le taux d’électricité produite par des moyens propres et renouvelables à 12 % d’ici à 2020.
Une présentation des projets libanais a eu lieu samedi à Doha, au cours de laquelle plusieurs officiels des ministères de l’Environnement et de l’Énergie, ainsi que du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) ont résumé les efforts libanais à ce propos, avec un seul leitmotiv : réduire les émissions reviendrait à aider le Liban à sortir de ses problèmes interminables de pollution de l’air, tout en attirant des fonds pour lui permettre de se diriger vers une économie plus verte.
Les exposés ont porté sur des études montrant que le secteur de l’énergie, caractérisé par un chaos certain, est le premier pollueur au Liban (en raison notamment de la multiplication des générateurs privés), suivi par le trafic. Un des chiffres Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur août 11, 2012
Le Commerce du Levant
Le Centre libanais pour la conservation de l’énergie (LCEC) a indiqué que huit banques commerciales libanaises ont accordé 3.557 prêts subventionnés en 2011 d’un montant total de 5,3 millions de dollars pour l’installation de chauffe-eau à l’énergie solaire.
Ces prêts font partie d’un programme pour la conservation de l’environnement lancé en 2010 par la Banque du Liban (BDL) et le ministère de l’Energie et de l’Eau.
Selon le LCEC, le marché des chauffe-eau à l’énergie solaire au Liban a atteint 18,1 millions de dollars en 2011 et a contribué à la réduction de 18.390 tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
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Posted by jeunempl sur février 27, 2012
Anaïs Bard – L’Hebdo Magazine
Que ce soit dans les ruelles ou les grandes artères, le flot continu des voitures n’épargne aucun recoin de Beyrouth. La sérénade jouée en permanence par les klaxons ne manque pas de confirmer cette forte affluence de véhicules, embourbés dans des files à rallonge. Mais le bruit n’est que le moindre des désagréments engendrés par cet encombrement. Une grande bouffée d’oxygène prise avenue de La Sagesse suffit à en prendre conscience: l’air de Beyrouth est très pollué.
L’unité de recherche sur la qualité de l’air (AQRU), créée par le Conseil national libanais de la recherche scientifique (CNRS) pour analyser la qualité de l’air à Beyrouth, a rendu des résultats pour le moins inquiétants. A partir de 26 sites de mesures, disséminés dans toute la ville, l’AQRU a montré que le taux de dioxyde d’azote (NO2), un polluant provenant entre autres du trafic routier, dépassait largement la valeur limite des 40 microgrammes par m3 fixée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avec des moyennes annuelles de 53 et 58 microgrammes par m3 en 2009 et 2010.
Il en va de même pour les particules en suspension. Appelée PM10 pour les plus grandes et PM2,5 pour les plus petites, ces particules fines sont présentes dans l’air, à l’extérieur comme à l’intérieur. A Beyrouth, la moyenne annuelle des PM10 dépasse de 175 à 275% la valeur limite fixée par l’OMS à 20 microgrammes par m3, la moyenne annuelle des PM2,5, quant à elle, atteint le double du taux de 10 microgrammes par m3 recommandé par l’OMS.
Des chiffres et des composants chimiques qui semblent abstraits et dont l’impact sur la santé, moins explicite et direct qu’une oreille qui siffle au bruit des klaxons, est méconnu de la population. Pourtant, la pollution de l’air présente de nombreux risques. Dans un rapport publié le 26 septembre dernier, l’OMS estime que plus de 2 millions de personnes, dont près de 1,3 million dans les villes, meurent du fait de l’inhalation de particules en suspension. Celles-ci «peuvent pénétrer dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et provoquer des cardiopathies, des cancers du poumon, des cas d’asthme et des infections respiratoires». Un bilan très lourd, dû au non respect des valeurs de références conseillées par l’OMS. 80 des 91 pays, ayant transmis des informations sur la qualité de l’air, dépassent ces taux. Et le Liban Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur novembre 3, 2011
Libnanews
Monsieur Ibrahim El Ali, quelles sont les actions menées par votre organisation pour lutter contre la pollution de l’air au Liban ?
Mawassem Khair (Bluegreen Liban) a entrepris plusieurs actions de protection de l’environnement dont la dépollution de plus de 4000 bombes à sous munitions après la guerre de 2006 et des bombes à phosphates, puis entrepris plusieurs actions de reboisement, de nettoyage des forêts et des cours d’eau…
Notre organisation est très active au niveau international pour initier des projets de grande envergure, particulièrement au niveau de l’union pour la méditerranée.
Aujourd’hui J’élabore un projet avec la région Ile de France pour un transfert de compétence visant à établir des campagnes de mesure et déterminer des pics de pollutions de la qualité de l’air au Liban.
L’homme oublie qu’il respire quotidiennement plus de 20 kilos d’air, alors qu’il ne prête attention qu’au kilo d’aliments qu’il absorbe. Quand cet air est pollué comme à Beyrouth, ses habitants absorbent quotidiennement des fines particules polluantes de la taille de bactéries et qui finissent par causer des problèmes importants de santé publique.
Tous les types de pollutions finissent par se retrouver dans l’air. Donc, planter un arbre seulement est une action pour lutter contre la pollution de l’air, d’où l’urgence de renforcer les espaces verts dans les villes libanaises.
Il y a de nombreuses mesures possibles autres que préventives. Celles qui agissent au niveau du transport, des industries, et aussi de l’agriculture, surtout qu’on retrouve des pesticides qui se retrouvent mélangés avec les émissions des gaz de voiture.
Puis il est urgent d’assister le gouvernement à se conformer aux meilleures normes en vigueur au niveau international.
Puis sensibiliser les citoyens sur la pollution automobile, ou encore les usines de cimenteries ou métallurgiques ou des centrales électriques. L’installation de filtres ou la mise en place d’un système optimal de filtration est un investissement énorme que l’état n’oblige pas à faire. Mais ne serait-il pas temps que les pollueurs contribuent financièrement pour endiguer cette situation intolérable ?
– Que pensez vous de la législation en vigueur au Liban concernant les pollutions de l’air ? Si ces législations existent, sont elles appliquées ?
Comme dans tout au Liban il y a un grand fossé entre les législations en vigueur et la réalité de leur application sur le terrain.
Il faut d’abord faire une distinction entre les gaz à effet de serre, principalement le CO2, auxquels s’attaque le protocole de Kyoto en 1997 et les gaz polluants (gaz acides tels que SOx (sulfates), NOx (nitrates), composés chlorés et fluorés, dioxines, métaux lourds,etc).
Ces gaz soufrés issus de la pollution automobile sont très rarement sanctionnés contrairement à la législation de tous les pays modernes, et si le parc au Liban est composé d’un million 500 milles véhicules, plus de la moitié circule dans la région de Beyrouth, et plus de 30% d’entre eux n’ont pas leur visite technique à jour. Si ce parc est relativement neuf, sa consommation en CO2 reste élevée ; plus de 400g de CO2/km , alors qu’en Europe, le taux maximum est fixé à 140g par km. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur juin 28, 2010
Libnanews – RFI
Le 28 avril dernier, RFI consacrait la deuxième partie de son émission environnementale « C’est pas du Vent » au Liban. Son invité du jour n’était autre que le célèbre écologiste libanais Ibrahim El Ali. A ses côtés, plusieurs spécialistes le soutiennent et profitent de l’émission pour expliquer les problèmes qui touchent l’environnement au Liban, mais aussi les solutions qui les accompagnent. Libnanews vous propose une retranscription de cette émission radio instructive.
Dominique Desaunay: Bienvenue à tous dans cette 2ème partie de « C’est pas du Vent » en compagnie d’Ibrahim El Ali, président de Mawassem Khair qui veut dire Moissons de la Bienfaisance en français, et dont la mission est de faire découvrir et de sauvegarder la biodiversité et la richesse de la nature au Liban.
Alors, c’est un petit souvenir du Liban que j’allais visiter sur les petits marchés. Je n’en reviens pas, ils ont des porte-voix pour haranguer la foule et vendre leurs fruits et légumes, et autres chouchous.
Ibrahim El Ali, le pape a un jour déclaré; « Le Liban, c’est plus qu’un pays, c’est un message ». Et pour vous donc, réussir une politique de protection de l’environnement au Liban, c’est du même coup transmettre ce message à l’ensemble de la planète?
Ibrahim El Ali: Tout à fait, c’est exactement ça. On voit bien par exemple que les télévisions arabes sont très très développées dans l’espace médiatique. Et pourtant, tout est focalisé par rapport au Liban. Le Liban est un véritable prisme. Déjà dans l’histoire du Liban, ça a été à travers les Phéniciens, à travers le prisme de la civilisation de la Méditerranée, la construction de tous les ports. Le Liban a véhiculé toutes ces graines qu’on a retrouvées et ça crée un espace méditerranéen dans la faune végétale. Et il y a véritablement un message. Ce n’est pas seulement son espace géopolitique ou géostratégique, c’est également la richesse de son eau, des plantes, de son littoral, de sa population.
Dominique Desaunay: Votre ONG Mawassem Khair a commencé son action en participant au désamorçage de plus de 4000 bombes au Liban-Sud ainsi qu’à la lutte contre les incendies. Mais au-delà de ces actions de terrain, vous pensiez déjà au reboisement de la région?
Ibrahim El Ali: Je pense au reboisement de la région, surtout au reboisement de la forêt primaire. On a maintenant de plus en plus de forêt de pins qui se mettent en place. Le pin se développe rapidement mais ça tue la Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: Alain Fridlender, Alain Fried-Lander, écologiste, biodiversité, Bkassime, Bkassine, BlueGreen, c'est pas du vent, carbone, Cèdre, Cedars for care, champ d'arbres, chene, civil, CO2, déchets, Dominique Desaunay, Ecologie, Environnement, Forêt, forêt primaire, genévrier, germination, graines, hippocampe, Houda Seoud, Ibrahim el Ali, Ifat Edriss, Jouzour Loubnan, Laboratoire, Liban, Liban-sud, littoral, Magda Abou Dagher, Mawassem Khair, Méditerranée, Mer, Mohammed el Saajri, Montagne, ONG, pin, pins pignons, plantes, Pollution, reboisement, RFI, Saida, Société, Université St Joseph, USJ, végétal | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur février 25, 2010
Libnanews
S’exprimant à l’occasion d’un colloque scientifique portant sur les changements climatiques, organisé dans la Lebanese American University (LAU), le ministre de l’environnement a indiqué que le Liban compte remplacer 20 000 taxis par des véhicules plus propres et construire 41 barrages afin d’augmenter ses ressources hydrauliques à 825 millions de mètres cubes.
Auparavant, le Dr. Ahmed Houry avait présenté un rapport sur les changements climatiques, indiquant que l’année 2005 était plus chaude en raison de l’effet de serre provoquée par les activités humaines, citant notamment le cas du dioxyde de carbone, du méthane et des différents chlorofluorocarbones. L’enseignant avait notamment Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Ahmed Houry, barrage, Chabrouh, changement climatique, CO2, dioxyde de carbone, douane, Dr. Ahmed Houri, EAU, Ecologie, effet de serre, Energie, Environnement, hybride, Kyoto, Liban, méthane, Mohammed Rahal, Moyen Orient, ressources, secheresse, Taxi, Tayyar Abdo | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur novembre 13, 2008
L’Orient le Jour
« Allégez le poids de vos factures », c’est le nouveau slogan d’une campagne nationale qui vise à véhiculer l’information sur l’importance d’utiliser des lampes à consommation d’énergie plus faible.
Elles sont appelées « lampes fluorescentes compactes » (LFC), elles ont de drôles de formes enchevêtrées, elles durent de 9 à 10 fois plus qu’une lampe normale et elles consomment 80 % d’énergie en moins. Beaucoup d’arguments qui sous-tendent la dernière campagne en date du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et du ministère de l’Énergie et de l’Eau, via le Projet du Centre libanais pour la conservation de l’énergie (LCECP).
Comme pour d’autres campagnes sur l’efficacité énergétique (on se souvient de celles qui portaient sur l’économie d’énergie et sur la promotion du chauffe-eau solaire), cette « Campagne nationale pour l’utilisation des lampes à énergie efficace », lancée hier au Metropolitan Hotel sous le parrainage du ministre de l’Énergie Alain Tabourian, fera véhiculer le message avec humour. Dorénavant, les slogans « Allégez le poids de vos factures » et « Économisez donc l’énergie et gardez la lumière ! » empliront les panneaux d’affichage, les radios et les télévisions. C’est encore une fois les deux acteurs Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral | Tagué: Alain Tabourian, émissions, campagne, CO2, EDL, Energie, Kamal Hayek, lampes fluorescentes compactes, LCECP, Liban, Liliane Nemri, ministère de l’Énergie et de l’Eau, Mounzer Baalbacki, PNUD, Rola Khazen | Leave a Comment »