Mouvement pour le Liban

Représentant le Courant Patriotique Libre en Belgique

Posts Tagged ‘changement climatique’

Rahal: Le Liban remplacera 20 000 taxis par des véhicules hybrides

Posted by jeunempl sur février 25, 2010

Libnanews

S’exprimant à l’occasion d’un colloque scientifique portant sur les changements climatiques, organisé dans la Lebanese American University (LAU), le ministre de l’environnement a indiqué que le Liban compte remplacer 20 000 taxis par des véhicules plus propres et construire 41 barrages afin d’augmenter ses ressources hydrauliques à 825 millions de mètres cubes.

Auparavant, le Dr. Ahmed Houry avait présenté un rapport sur les changements climatiques, indiquant que l’année 2005 était plus chaude en raison de l’effet de serre provoquée par les activités humaines, citant notamment le cas du dioxyde de carbone, du méthane et des différents chlorofluorocarbones.  L’enseignant avait notamment Lire le reste de cette entrée »

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Inauguration par l’UE et Omsar de deux centres de traitement des déchets au Sud

Posted by jeunempl sur janvier 15, 2010

(L’Orient le Jour)

Pourquoi les autorités locales, surtout dans les contrées éloignées, ne seraient-elles pas chargées du traitement des déchets ? Deux nouveaux projets inaugurés hier par l’Union européenne et Omsar au Liban-Sud montrent que c’est faisable, à condition que le suivi soit assuré suffisamment par les municipalités.

Deux projets ont été inaugurés hier au Liban-Sud par le chef de la Délégation de l’Union européenne (UE), Patrick Laurent, qui était accompagné de l’ambassadeur du Danemark, Jantop Christensen, et par le ministre d’État au Développement administratif, Mohammad Fneich, ainsi que l’équipe d’Omsar qui a exécuté le projet. Le directeur général de l’Environnement Berge Hatjian représentait le ministre de l’Environnement, et le ministre de l’Intérieur était représenté par Nicolas Abou Daher. Les deux nouvelles installations comprennent un centre de tri et de stérilisation des déchets hospitaliers à Abbassieh (caza de Tyr) et un centre de tri et de compostage des déchets à Ansar (caza de Nabatiyeh).

Les deux nouvelles installations font donc partie de ce projet financé par l’UE à hauteur de 14,2 millions d’euros, qui a été confié à Omsar dès 2003 pour des raisons principalement logistiques, comme l’a expliqué M. Laurent. La directrice du projet au sein d’Omsar, Roula Kabbani, a précisé à L’Orient-Le Jour qu’en 2004 « un appel a été lancé aux municipalités pour qu’elles présentent des projets, suivi de campagnes de sensibilisation ». Elle a ajouté que, parmi les 75 projets présentés, 17 ont été retenus selon des critères définis préalablement et seront situés dans toutes les régions libanaises.

« Jusqu’à présent, nous avons distribué tous les équipements de tri et de collecte des déchets, ainsi que les camions, précise-t-elle. Nous avons terminé cinq usines, et il en reste onze. Le projet devrait être clôturé en Lire le reste de cette entrée »

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Les Arabes vivent dangereusement

Posted by dodzi sur janvier 5, 2010

Jeune Afrique

Le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a publié le cinquième volet de son « Rapport arabe sur le développement humain ». Les pays de la région souffrent toujours du chômage, de la pression démographique et peinent à faire respecter les droits de l’Homme. Des problèmes auxquels s’ajoute désormais la menace du changement climatique.

Sept ans après la publication du premier « Rapport arabe sur le développement humain », le cinquième volet de cette série parrainée par le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), publié au Caire le 21 décembre, aboutit au même constat désespérant : « Les obstacles au développement humain sont très tenaces » dans le monde arabe « parce que la sécurité des populations n’y est pas assurée. »

Pression démographique

Les intellectuels arabes qui établissent ce sombre bilan ont passé au crible les différents aspects de cette insécurité. Elle est d’abord environnementale, au sens large du terme. Si elle tend à ralentir, la croissance démographique se poursuit. La population des pays arabes est passée de 172 millions en 1980 à 330 millions en 2007, et atteindra 385 millions en 2015. Et, bien sûr, elle est jeune : les moins de 25 ans représentent 60 % de la population totale ; l’âge moyen est de 22 ans, contre 28 ans dans le reste du monde.

Cette pression humaine s’exerce sur des territoires désertiques à 68,4 %, où 57 % des ressources hydriques sont partagées avec des États voisins et les réserves d’eau souterraines « fortement surexploitées ». Peu industrialisés, ces pays « ne contribuent que très peu à l’effet de serre » et au réchauffement climatique. Mais ils font partie de ceux qui en pâtiront le plus. L’Égypte, le Liban, le Soudan et les pays du Maghreb seront parmi les plus affectés. Si, comme on le redoute, la hausse moyenne des températures de la planète devait dépasser 3 °C, le niveau de la mer pourrait s’élever de 1 mètre et provoquer l’exode de 6 millions d’habitants du delta du Nil. Lire le reste de cette entrée »

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L’énergie solaire thermique au Liban : potentiel, réalisations et défis

Posted by dodzi sur décembre 17, 2009

L’Orient le Jour

Par Dalal MEDAWAR

L’ensoleillement annuel du Liban permettrait de produire entre 2 et 6 kilowatts-heure d’électricité au mètre carré (kWh/m2).

Au moment même où le sommet de l’ONU sur le climat à Copenhague entre dans sa seconde semaine et que les chefs d’État du monde entier tentent de trouver un accord sur le changement climatique, une question se pose : le Liban s’est-il engagé sur la voie verte, notamment au niveau de l’énergie solaire ?

Il est évident que le Liban possède des ressources naturelles remarquables … et exploitables, ne serait-ce qu’au seul niveau de l’énergie solaire, sans prendre en considération l’hydraulique ou l’éolien. En effet, le pays possède une moyenne d’ensoleillement de 300 jours par an, soit de quoi produire potentiellement entre 2 et 6 kilowatts-heure au mètre carré (kWh/m2).

Un chemin parsemé d’embûches

Cependant, la loi 462 votée en septembre 2002 dans le but de réglementer le secteur de l’énergie n’a toujours pas été appliquée. Il n’est donc pas possible pour le moment de revendre l’électricité produite par les technologies vertes (solaire, éolienne, hydraulique…), ce qui pose problème aux compagnies désirant exploiter le potentiel énergétique à portée de main.

Plusieurs organisations et associations, dont notamment le Centre libanais pour la conservation de l’énergie (LCECP), se sont de ce fait mobilisées au cours de ces dernières années afin que la réforme du secteur de l’énergie soit concrétisée. Pour M. Albert Khoury, directeur général adjoint de la compagnie privée Électricité de Aley (E-Aley), qui travaille notamment sur une campagne d’informations sur l’énergie solaire en partenariat avec le programme des Nations unies pour le développement au Liban (PNUD), il ne fait aucun doute que les énergies renouvelables représentent l’avenir : « L’énergie éolienne est compétitive (sur le marché), l’énergie solaire thermique est essentielle. » Lire le reste de cette entrée »

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Liban: pollution et changement climatique coûtent 500 millions USD par an

Posted by jeunempl sur décembre 4, 2009

AFP

La pollution et les conséquences du changement climatique coûtent environ un demi-milliard de dollars par an au Liban, a affirmé vendredi le ministre libanais de l’Environnement, Mohammad Rahal, à l’approche de la conférence de l’ONU sur le climat à Copenhague.

« L’Etat libanais perd jusqu’à 550 millions de dollars (365 millions d’euros) par an à cause de la pollution, dont 100 millions sont liés au changement climatique », a déclaré M. Rahal lors d’une conférence de presse à Beyrouth.

Les principaux secteurs touchés sont le tourisme, l’agriculture et la santé, a ajouté le ministre libanais.

Selon lui, le nouveau gouvernement d’union, qui travaille pour la première fois à la création d’un fonds pour l’environnement, réfléchit à des projets concrets pour lutter contre le changement climatique.

« D’ici 2012, nous voulons que 12% de l’énergie au Liban soit produite par des ressources alternatives », a-t-il avancé, notant que le pays disposait de marges de manoeuvre entre le vent, l’eau et le soleil.

Privilégié en terme de ressources en eau, dans une région où ce bien est rare, le Liban pourrait voir la pluviométrie baisser de 50% d’ici la fin du XXIe siècle si rien n’est fait, a prévenu Mohammad Rahal.

Le Premier ministre Saad Hariri emmènera la délégation libanaise à Copenhague, où se tiendra la conférence de l’ONU sur le climat (7-18 décembre).

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LIBAN: Les réserves d’eau menacées

Posted by dodzi sur août 17, 2009

IRIN

Lac Qaraoun

Le lac artificiel de Qaraoun, dans la vallée de la Bekaa, est l’un des deux seuls barrages du Liban

D’après Wael Hmaidan, directeur exécutif d’IndyACT, la Ligue des activistes indépendants, le Liban sera le premier pays du Moyen-Orient à être touché par le changement climatique. « La répartition des pluies a changé, la densité de la neige décroît et les feux de forêt se multiplient », a-t-il dit.

Les précipitations annuelles moyennes du Liban sont supérieures à 800 millions de mètres cubes (m3), et permettent le maintien de plus de 2 000 sources pendant la saison sèche, qui dure sept mois. De quoi rendre jaloux les pays voisins plus arides, comme l’Irak ou la Jordanie.

Mais la situation est en train de changer. « Il y a 20 ans, nous comptions sur 80-90 jours de pluie par an au Liban. Aujourd’hui nous prévoyons 70 jours de pluie », a indiqué Bassem Jaber, expert de l’eau du Projet de mise en place des outils techniques de gestion de l’eau (MOTGE), au ministère libanais de l’Energie et de l’eau.

D’après M. Jaber, ce n’est pas la quantité de pluie qui change, mais la période à laquelle elle tombe : « Il tombe la même quantité d’eau, mais en un temps plus court, ce qui empêche l’infiltration dans le sol. L’eau coule en surface et se jette dans l’océan, sans avoir été exploitée. Sur son chemin, elle provoque l’érosion du sol, des glissements de terrain et des inondations soudaines. A long terme, ces phénomènes aboutissent à la désertification ».

M. Hmaidan, d’IndyACT, affirme que ces changements météorologiques pourraient conduire le pays au désastre : « Les seules ressources naturelles du Liban sont son climat agréable, ses forêts et son eau. L’économie du pays repose sur le tourisme, qui dépend de ces ressources. Si elles disparaissent, c’en est fini de l’économie libanaise ». Lire le reste de cette entrée »

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Des ONG s’interrogent sur le rôle des pays arabes dans les négociations sur le changement climatique

Posted by jeunempl sur juin 25, 2009

(L’Orient le Jour – Suzanne Baaklini)

ecotourisme_libanLe monde entier se débat pour faire face à l’inévitable changement climatique, se préparant pour l’échéance de Copenhague, fin 2009. Entre-temps, que fait le monde arabe ? Pas grand-chose. Des ONG arabes se sont réunies la semaine dernière à Beyrouth pour discuter du rôle de la société civile dans cette partie du monde.

« Auparavant, les scientifiques devenaient alarmistes à la lumière de la perspective d’une hausse de 2° de la température de la Terre. Les dernières études effectuées sur le sujet montrent qu’on doit s’attendre à des conséquences catastrophiques à partir d’une hausse de 1,5°. » Ces propos de Waël Hmaïdane, directeur exécutif de l’association IndyAct (Ligue des militants indépendants), sont alarmistes, à l’instar de tout ce qui se dit actuellement dans le monde dans la perspective du sommet de Copenhague (organisé dans le cadre de la Convention des Nations unies sur le changement climatique, UNFCC). Cette réunion mondiale est souvent vue comme l’une des dernières chances pour l’humanité de prendre les mesures qui s’imposent pour limiter les effets du changement climatique et décider des méthodes d’adaptation, a-t-il précisé.

Cette intervention de M. Hmaïdane a eu lieu dans le cadre d’une réunion organisée par le Réseau arabe d’ONG pour le développement (ANND). L’ANND rassemble des organisations de quelque douze pays arabes. Ayant son siège à Beyrouth, il s’intéresse à tout ce qui touche au développement économique des pays arabes et élabore des stratégies d’appui à la société civile. Dans ce cadre, il ne pouvait que s’intéresser au changement climatique et à son impact sur les sociétés de la région. Il voulait donc, par cette réunion, approfondir la question de savoir quel devrait être le rôle de ces ONG dans la propagation des informations sur ce phénomène mondial et dans le lobbying auprès de leurs gouvernements pour une participation plus active aux négociations mondiales.

Au cours de cette réunion, la principale intervention, celle de M. Hmaïdane, a porté sur les prévisions de plus en plus sombres concernant le changement climatique. « Il y a toujours un point de non-retour, au-delà duquel les choses basculent sans aucun contrôle, dit-il. Aujourd’hui, les scientifiques ne peuvent être sûrs du moment où nous atteindrons ce point-là. »

Que se passe-t-il aux niveaux local et régional ? M. Hmaïdane a rappelé que le ministère de l’Environnement a adressé une note sur la situation libanaise à l’ONU, sans qu’aucune réelle mesure ne soit prise pour s’engager effectivement dans le processus de négociations. En outre, à un niveau régional, M. Hmaïdane a pointé du doigt les pays pétroliers en général, l’Arabie saoudite en particulier, qui, selon lui, entravent une prise de position commune des pays de la région. Ce point soulevé par l’écologiste a suscité un vif débat, d’aucuns considérant que ce qui empêche des prises de position plus énergiques pour la lutte contre le changement climatique dans le monde dépasse de loin le contexte de l’Arabie saoudite ou d’autres pays de la région.

En bref, les constatations principales de cette réunion portent sur le fait que le degré d’éveil des populations arabes, et le degré d’engagement des ONG et des gouvernements de la région restent également insuffisants. IndyAct est sur le point de préparer un plan d’action dans une tentative d’uniformiser l’action des ONG arabes sur ce plan.

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Amin Maalouf parie pour un monde moins suicidaire

Posted by dodzi sur avril 11, 2009

24heures

INTERVIEW | La société est déboussolée, mais le pire, annoncé, pourrait être salutaire.

amin-maalouf

Amin Maalouf: «Jamais le double langage de l’Occident n’a été aussi manifeste que durant l’ère Bush, et jamais le monde arabo-musulman n’a paru plus enfermé dans une impasse.»

Les plus cuisants échecs aboutissent parfois à de nouvelles avancées. C’est l’une des hypothèses du romancier Amin Maalouf (Goncourt 1993 pour Le rocher de Tanios ), auteur d’un essai percutant ( Les identités meurtrières ) qui a fait le tour du monde. Originaire du Liban, qu’il a quitté en 1976 pour s’établir en France, Maalouf incarne l’émigré-passeur entre cultures différentes. Or, l’Occident, constate-t-il, s’est aliéné une grande partie du monde en trahissant ses idéaux; et le monde arabe, humilié, se replie dans la déprime. Sur fond de crise majeure annoncée, Maalouf propose, avec Le dérèglement du monde , un bilan sévère de nos faillites matérielles et morales, dont il étudie les tenants avec beaucoup de nuances.

– Après deux guerres mondiales, la Shoah, le goulag et autres génocides, quel nouveau «dérèglement» pointez-vous?
– Les tragédies que vous citez font partie de l’Histoire de l’humanité, dont le dérèglement global que je décris risque de marquer le terme. Ce n’est pas du catastrophisme: voyez la crise financière et la crise climatique. Et le dérèglement est non seulement économique et géopolitique, mais aussi intellectuel et éthique. Tout le monde se sent d’ailleurs déboussolé. Jamais le double langage de l’Occident n’a été aussi manifeste que durant l’ère Bush, et jamais le monde arabo-musulman n’a paru plus enfermé dans une impasse. Lire le reste de cette entrée »

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Le Liban aborde la question du changement climatique mondial

Posted by jeunempl sur janvier 28, 2009

Libnanews

À l’issue de leur réunion du conseil des ministres qui s’est déroulé le 27 janvier,le ministre de l’information Ghazi Zaiter a indiqué le président de la république a évoqué les problèmes liés à la désertification et aux changements climatiques au Liban. Michel Sleiman a appelé les ministères concernés à élaborer des solutions adaptées afin de conserver les ressources en eau et des espaces verts du pays des cèdres.

Ainsi, le ministère de l’agriculture ainsi que celui de l’énergie et des ressources hydrauliques devraient présenter prochainement des plans d’action à ce sujet.

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