Posts Tagged ‘Censure’
Posted by jeunempl sur juillet 11, 2012
Le Commerce du Levant
Dénoncer la censure, moquer son fonctionnement sans tout à fait la caricaturer, dans une web-série au format court adapté aux connexions laborieuses du Liban. Le tout sans s’exposer à la censure, qui s’appuie sur des textes lacunaires ne prévoyant aucun contrôle d’Internet… C’est l’objectif de Mamnou3 (interdit en arabe), une web-série de dix épisodes d’environ huit minutes diffusés à partir du 1er juillet et soutenue par la Fondation Samir Kassir.
Premier concept de « faux documentaire » (ou mockumentary en anglais) dans le monde arabe, la série décrit la vie du bureau de la censure de la Sûreté générale, chargée de veiller à ce que films, pièces de théâtre ou émissions de télévision ne perturbent ni les bonnes mœurs, ni la paix civile.
L’idée a germé lors d’une conférence sur la censure organisée par la Fondation Samir Kassir. Son directeur exécutif Ayman Mhanna fait alors défiler les films qui ont été censurés au cours de l’année et en explique la raison à chaque fois. « Les motifs invoqués étaient tous ridicules, on n’en revenait pas dans la salle… J’ai alors commencé à imaginer le processus et les personnages qu’il y a derrière cette censure », se souvient Nadim Lahoud, producteur délégué de Mamnou3.
La Fondation Samir Kassir a financé la web-série par l’intermédiaire du Centre SKeyes, qui a pour objectif de surveiller les violations de la liberté de la presse et les entraves à la culture. La fondation est elle-même principalement financée par l’Union européenne.
La réalisation de la web-série qui a coûté 60.000 dollars a été confiée à Nina Najjar. Les acteurs sont des étudiants.
« Internet nous donne accès à des gens qui, souvent, ne sont même pas au courant que Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral, Relations Liban-Belgique/UE | Tagué: caricature, Censure, cinema, film, Fondation Samir Kassir, internet, Liban, Libanais, Mamnou3, Nina Najjar, Sureté générale, Television, Theatre, Union Europeenne, Web, web-série | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur janvier 19, 2012
Metro-France

Darine Hamzé et Charles Berling (photo : Sarmad Louis)
Arte diffuse ce vendredi soir Beyrouth Hôtel, un long métrage de Danielle Arbid interdit dans son pays.
Pas facile d’être cinéaste au Liban. Danielle Arbid en sait quelque chose. Après avoir vu son premier film, Dans les champs de bataille, interdit aux moins de 18 ans pour des scènes de flirt, et avoir été accusés d’obscénité pour son deuxième opus, le très sensuel Un homme perdu, la réalisatrice se retrouve une fois de plus épinglée par le comité de censure de son pays. Alors qu’il devait sortir dans les salles libanaises le 19 janvier, son dernier film Beyrouth Hotel, vient d’être interdit de diffusion. La raison ? “Il serait dangereux pour la sécurité du Liban. Quand on me l’a annoncé, j’ai cru à une blague !” confie la réalisatrice dont le film passe ce soir sur Arte.
Histoire d’amour sur fond d’espionnage, Beyrouth Hôtel raconte la passion entre une chanteuse libanaise (Darine Hamzé) et un avocat d’affaires français en mission au Liban (Charles Berling). Rien de bien dangereux à première vue. Sauf que Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Arte, Attentat, Beyrouth Hotel, Censure, cinema, Culture, Danielle Arbid, fiction, film, Hariri, Politique, Réalisatrice | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur août 19, 2010
Par Jihad NAMMOUR
Le ministre de l’Information a beau le nier, la déprogrammation du feuilleton iranien sur Jésus-Christ constitue bel et bien un acte de censure. Et en dépit des apparences, cette censure est étatique. Il est vrai qu’elle n’a pas emprunté les mécanismes habituels de la censure, c’est-à-dire le bureau spécialisé de la Sûreté générale. Mais le processus qui a abouti à la déprogrammation de ce feuilleton télévisé a tout de même impliqué le président de la République, le ministre de l’Intérieur, le ministre de l’Information, quelques députés et le directeur de la Sûreté générale. Elle illustre une fois encore la préférence qu’ont les acteurs politiques pour les voies informelles où des agents publics agissent en court-circuitant les mécanismes institutionnels. Ce que la censure étatique informelle a de pire est qu’elle ne dit pas son nom, qu’elle ne s’assume pas, qu’elle nie même son existence. Comme dans un tableau de Magritte, le ministre de l’Information l’a répété à ceux qui voulaient l’entendre : « Ceci n’est pas une censure. » La progression du double langage au Liban semble irréfrénable.
La censure en tant que réflexe
Confronté au feuilleton iranien, le Centre catholique d’information (CCI) entendait l’expurger « des séquences offensantes pour la foi chrétienne », mais le ministre de l’Information s’est « rendu compte qu’il y avait trop à faire », et que par conséquent sa déprogrammation se révélait nécessaire. En somme, les deux parties avaient intériorisé la logique du bureau de censure : lorsqu’une œuvre gêne, soit on la modifie, soit on l’interdit. En d’autres mots, soit on Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Billets & Opinions, Culture & Société, Géneral | Tagué: Censure, Chrétiens, Christianisme, Culture, Dialogue, Expression, film, Interdiction, Islam, Jesus Christ, Liban, Liberté, musulmans, Ramadan, Religion, Tarek Mitri | 1 Comment »
Posted by dodzi sur avril 9, 2010
L’Orient le Jour

Anat Kamm affirme avoir agi pour des motifs idéologiques. Elle a volé quelque 2 000 documents classés « top secret » et les a fait parvenir au journaliste Uri Blau du quotidien « Haaretz ».
Une Israélienne a été accusée « d’espionnage aggravé » susceptible de porter atteinte à la sécurité de l’État, ont indiqué hier la radio publique et la radio de l’armée israélienne. Ces médias ont indiqué rendre publique cette information après la levée de la censure de cette affaire par un tribunal de Tel-Aviv.
Anat Kamm, une soldate, a profité durant son service militaire obligatoire entre 2005 et 2007 de ses fonctions de secrétaire du général Yaïr Naveh, alors commandant de la région militaire centre – qui couvre la Cisjordanie – pour voler quelque 2 000 documents classés « top secret », selon ces mêmes sources. Ces documents concernaient notamment du matériel, des armements et des méthodes opérationnelles de l’armée. Anat Kamm, qui a travaillé après son service militaire pour le site d’informations israélien Walla, a transmis la plupart de ces documents au journaliste Uri Blau du quotidien Haaretz. Ce dernier a alors publié une série d’articles relatifs aux méthodes de l’armée.
La censure israélienne a dans un premier temps autorisé la publication des articles avant d’interdire celle d’autres documents dont un relatif à l’opération lancée fin décembre 2008 (jusqu’à janvier 2009) par l’armée contre la bande de Gaza, a indiqué la radio de l’armée. L’un des articles publiés indiquait notamment comment les militaires avaient reçu pour directive de mener des assassinats ciblés contre des activistes palestiniens du Jihad islamique alors qu’il était possible de les arrêter, en contradiction avec un arrêt de la Cour suprême. Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur janvier 21, 2010
Libnanews
Dans un communiqué publié par l’ANI, la Direction Générale de la Sureté Générale a réfuté toute interdiction du dernier opus de la série SAS, « La Liste Hariri » au Liban.
« La Direction Générale n’a pas pris aucune action d’autorisation ou de rejet » du livre, indique le communiqué qui appelle les médias à vérifier leurs informations avant toute publication.
Hier, le journal Français Le Figaro avait annoncé l’interdiction de la Liste Hariri par la Sureté Générale, nouvelle reprise par la presse libanaise. Selon le quotidien français, cette interdiction aurait été motivée par l’implication -selon l’histoire- du Hezbollah dans l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafic Hariri, le 14 février 2005. La Figaro relevait également que le responsable de la Sureté Générale appartenait à la communauté chiite et était un proche du Mouvement chiite.
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Posted by dodzi sur janvier 9, 2010
Angola Press
Le président libanais Michel Sleimane a demandé aux Etats-Unis de revenir sur leur décision d’interdire la chaîne du Hezbollah, Al-Manar, à l’occasion d’une rencontre avec le sénateur américain et ancien candidat à la présidence John McCain, en visite à Beyrouth.
« Le président Sleimane a demandé que (Washington) revienne sur (sa) décision d’interdire certaines chaînes de télévision, dont Al-Manar », lit-on dans un communiqué de la présidence à l’issue de la rencontre qui s’est tenue vendredi soir.
Il a indiqué « avoir donné des instructions aux responsables concernés au Liban et aux ambassadeurs à l’étranger pour suivre (le) dossier » de la liberté de la presse, poursuit le communiqué.
Le président faisait également référence au projet de loi adopté le 8 décembre dernier par la Chambre des représentants américaine et qui recommande des « mesures punitives » contre les fournisseurs d’accès satellite diffusant des chaînes considérées comme propageant des idées à caractère terroriste.
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Posted in Culture & Société, Géneral, Régional | Tagué: Al Manar, Beyrouth, Censure, Etats-Unis, hezbollah, John McCain, Liban, Liberté, liberté d'expression, liberté d'opinion, liberté de presse, libertés, média, McCain, Medias, Michel Sleiman, Sleiman, USA, Washington | Leave a Comment »
Posted by dodzi sur août 9, 2009
AFP
RYAD — Ryad a annoncé dimanche avoir fermé les bureaux en Arabie de la chaîne satellitaire basée au Liban LBC en raison de la polémique créée par son émission « Ligne rouge », dans laquelle un Saoudien se vantait de sa vie sexuelle.
Les bureaux de la chaîne à Jeddah ont été fermés samedi sur ordre du ministre de l’Intérieur, le prince Nayef ben Abdel Aziz, a déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère de l’Information, Abdel Rahman al-Hazzaa.
« C’est à cause de l’interview de Mazen Abdel Jawad », a-t-il ajouté, en référence à une émission de « Ligne rouge » diffusée en juillet, durant laquelle Abdel Jawad avait expliqué avoir eu sa première expérience sexuelle à l’âge de 14 ans.
Il avait également raconté comment il utilisait la fonction Bluetooth de son téléphone portable pour tenter d’entrer en contact avec des Saoudiennes disposant également de cette fonction technologique de radio à courte distance et obtenir des rendez-vous galants, dans un pays où la mixité est strictement interdite. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral | Tagué: Abdel Rahman al-Hazzaa, Arabie Saoudite, autorités judiciaires, Ben Talal, Censure, choc de culture, communication, Culture, Femme, Islam, Jeddah, Justice, KSA, LBC, Lebanese Broadcasting Corporation, Liban, liberté d'expression, Mazen Abdel Jawad, média, Nayef ben Abdel Aziz, police religieuse, prince saoudien, pudeur, Religion, Rotana, Royaume d'Arabie Saoudite, Ryad, saoudien, sexualité, tabou, témoignage, vie sexuelle, Walid Ben Talal | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mai 14, 2009
Le Monde – Cécile Hennion
Comment Beyrouth, « courtisane, érudite, ou dévote », ainsi que la célébrait la poétesse libanaise Nadia Tuéni, va-t-elle rendre honneur à sa désignation, par l’Unesco, de capitale mondiale du livre 2009 ?
Contrastes et extrêmes s’affichent sur les promontoires. Au rayon sciences humaines du Virgin Megastore, en plein coeur de la ville, ont été exposés sans complexe et côte à côte Mein Kampf, d’Adolf Hitler, et The Secret Life of Syrian Lingerie (La Vie secrète de la lingerie syrienne). Au Moyen-Orient, le Liban est le pays arabe qui échappe le mieux à la censure. La Sûreté générale proscrit surtout les ouvrages critiquant la religion, souvent sur l’injonction d’associations représentant l’une ou l’autre des dix-sept communautés confessionnelles que compte ce pays.
« L’édition libanaise en langues française ou anglaise est plus engagée qu’en langue arabe, estime Hyam Yared, romancière et poétesse libanaise, auteur d’un premier roman, L’Armoire des ombres (Edit. Sabine Wespieser, 2006). La production en langue étrangère est moins Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur mars 17, 2009
Libération
Le film israélien sur le massacre de Sabra et Chatila circule sous le manteau.
BEYROUTH, de notre correspondante ISABELLE DELLERBA

La porte de fer claque. Les retardataires resteront dehors. La galerie d’art beyrouthine, transformée pour un soir en salle de projection, est déjà comble. Elle ne pourra accueillir, ce soir-là, tous ceux qui, curieux ou sceptiques, veulent voir comment «l’autre», l’ancien soldat israélien devenu réalisateur, Ari Folman, relate l’une des pages les plus sombres de leur propre histoire : le massacre de Sabra et Chatila, commis en septembre 1982 par les phalangistes chrétiens au lendemain de l’assassinat de leur chef, Béchir Gemayel, alors que les troupes de l’Etat hébreu encerclaient le camp palestinien.
Le film d’animation Valse avec Bachir, Golden Globe Award et césar 2009 du meilleur film étranger, n’est pas diffusé dans les cinémas libanais. Le visionner est même illégal. Le Liban boycotte en effet tous les produits israéliens. «Je comprends parfaitement cette politique mais je trouve absurde de prohiber une œuvre d’art», lâche Ralf, appareil photo en bandoulière – «au cas où les forces de l’ordre interviendraient pour mettre fin à la projection».
Au premier rang, un couple de quinquagénaires BCBG a prévu des sandwiches «pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent si nous sommes arrêtés». Lire le reste de cette entrée »
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Posted by dodzi sur mars 1, 2009
Libnanews
Par Carmen & Ryan – du blog cinema

Valse avec Bachir a été distingué par de nombreuses nominations, dont plusieurs prix, dont un Oscar et un César
La censure dont a été l’objet le film d’animation israélien Valse avec Bachir par les autorités libanaises, prouve que ces dernières illustrent fidèlement l’adage qui dit que le propre des imbéciles est de détester tout ce qu’ils ignorent. Il suffit qu’un film soit de production israélienne pour l’interdire et le fuir comme la peste, sans même le visionner pour forger sa propre critique et à ce moment-là opter pour un rejet ou pour une acceptation. C’est d’ailleurs cette politique suivie depuis plus d’une décennie dans le pays des cèdres : les dirigeants bac + 1 et les héritiers des sièges politiques de leurs parents ou de leurs aïeux qui pensent à la place du peuple et décident de ce qui peut être ou ne pas être accessible au commun des mortels.
D’ailleurs, interdire un film ces jours-ci émane de l’ignorance elle-même, puisqu’il suffit d’un écran d’ordinateur, d’une connexion et de quelques clics afin d’avoir le produit du 7ème art à portée de main.
Voilà comment, avec la curiosité de voir dans quel contexte le nom de l’ancien dirigeant des Forces Libanaises a été évoqué dans une production de l’état hébreu, nous avons pu nous procurer facilement ce film qui nous ont renvoyés à une époque où le Liban saignant de la guerre civile a été témoin d’un affreux massacre de civils palestiniens, celui de Sabra et de Chatila, mais vu par les yeux d’un juif. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Billets & Opinions, Culture & Société, Géneral, Liban dans l'Histoire | Tagué: Ari Folman, Bachir Gemayel, Bechir Gemayel, Camps palestiniens, cèdres, César, Censure, Chrétiens, Christianisme, cinema, critique, critique cinéma, Croix-rouge, film, Forces Libanaises, Gemayel, Golden Globe, Histoire, histoire du Liban, histoires, Islam, Israel, judaisme, Juif, juifs, Liban, musulmans, Oscar, Oscars, Palestine, palestinien, Palestiniens, réfugiés, Sabra et Chatila, Sabra-Chatila, Valse avec Bachir, Waltz with Bachir, Waltz with Bashir | Leave a Comment »