Posts Tagged ‘brigade’
Posted by jeunempl sur août 21, 2012
Rajana Hamyeh – Al Akhbar
Traduit par MPLBelgique.org
Lorsque les pompiers ont organisé un sit-in devant le siège de la municipalité de Beyrouth il y a deux mois, ils n’avaient qu’une seule demande: un niveau de vie décent.
Il y eut alors une levée de boucliers. Ils furent accusés de se comporter de façon irresponsable en abandonnant leurs casernes et, ce faisant, d’enfreindre la loi de l’institution militaire. Peu se souciaient de la manière dont ceux qui bravent quotidiennement la mort, sont censés joindre les deux bouts.
Une série de réunions eurent lieu au gouvernorat de Beyrouth et dans les bureaux municipaux ainsi que dans les maisons des politiciens pour discuter des revendications des pompiers. Il s’agit notamment de résoudre le « mystère » juridique sur le fait qu’ils soient classés comme personnel militaire ou civil, l’augmentation de la retraite, les heures supplémentaires, les suppléments de transport et de scolarisation, ainsi qu’un règlement des salaires.
Il y eut une impasse pendant une période, et les combattants du feu furent invités à former un petit comité de suivi pour les représenter. Après quelques concessions mutuelles, et beaucoup de Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral | Tagué: Beyrouth, brigade, Budget, caserne, finance, Liban, Loi, Mounir Moukhallalati, Municipalité, pompiers, retraite, salaire, sapeurs-pompiers | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur septembre 1, 2011
L’Hebdo Magazine – Arlette Kassas
La cassure entre Michel Aoun et Walid Joumblatt a longtemps dominé la scène politique. Si la rivalité entre les deux hommes a atteint son paroxysme durant les élections législatives de 2005, leurs relations ont toujours été marquées par des différends fondamentaux. Retour sur l’histoire.
De nombreux points séparent Michel Aoun et Walid Joumblatt. L’un est militaire et ne pardonne pas aux politiciens d’avoir aidé à la scission de l’armée au début de la guerre de 1975. L’autre a, depuis toujours, été destiné à hériter du leadership d’une communauté qui n’a jamais été attirée par les militaires. Or, depuis qu’il a assumé des responsabilités dans l’Armée libanaise, Michel Aoun a eu à affronter Walid Joumblatt.
Pour le général, l’Armée était la seule solution. Il affirmait que les Libanais ne voulaient pas le divorce mais y avaient été poussés de force. En 1980, Aoun est chef d’une brigade en poste, le long de la Ligne de démarcation entre l’ouest et l’est de la capitale. Lorsqu’Israël envahit le Liban en 1982, le lieutenant-colonel Aoun mobilise un bataillon pour défendre le palais présidentiel de Baabda. Quelques mois plus tard, il prend le commandement de la 8e brigade mise sur pied le 1e janvier 1983.
Progression de la 8e brigade
En septembre de la même année, la 8e brigade affronte les miliciens du parti socialiste progressiste (PSP), les milices palestiniennes et les auxiliaires pro-syriens à Souk el-Gharb. Elle repousse l’assaut de cette coalition. La guerre de la Montagne bat son plein et Souk el-Gharb, dernier verrou de défense du régime libanais, revêt une grande importance. Ce fut alors le premier affrontement direct entre les deux hommes, qui laisse une certaine amertume à Walid Joumblatt.
Michel Aoun avait échappé de justesse à un piège tendu par les Israéliens, après leur retrait de la Montagne en 1983, alors qu’il explorait le terrain pour sonder les possibilités d’un déploiement de l’Armée libanaise. Après la défaite des Forces libanaises dans la Montagne, à l’automne 1983, une Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire | Tagué: Aley, Amine Gemayel, Aoun, armée, Armée libanaise, Baabda, bataille, brigade, colonnel, CPL, Forces Libanaises, France, Général Aoun, Géneral, Gemayel, Gouvernement, Guerre, Joumblatt, Liban, libération, Michel Aoun, milice, Montagne, Politique, président, PSP, Souk el gharb, Syrie, Taef, tayyar, transitiion, Walid Joumblatt | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mars 16, 2011
(L’Orient le Jour)
[Note du MPLBelgique.org: la brigade criminelle est une branche des Forces de Sécurité Intérieures (FSI) qui est dirigée par Achraf Rifi. Le procureur de la république ayant ordonné cette convocation est Saïd Mirza… ces deux fonctionnaires, proches de Hariri, ont été placés et maintenus à la tête de fonctions étatiques par le gouvernement de Fouad Siniora en 2005. Depuis, les règlements de compte ne cessent de prendre le dessus sur la légalité et le droit. L’état, tel que perçu et conçu par le clan Hariri mérite une refonte complète.]
Le Centre libanais des droits humains (CLDH) a lancé hier un appel à la solidarité des associations des droits de l’homme et de la presse.
Cet appel fait suite à la convocation des représentants de l’association, Marie Daunay et Wadih al-Asmar, par la brigade criminelle des FSI, en raison de la publication, le 10 février dernier, d’un rapport intitulé « Détention arbitraire et torture : l’amère réalité du Liban ». Mme Daunay et M. Asmar sont donc sommés de se présenter demain jeudi 17 mars à 10 heures au Palais de justice de Beyrouth.
Selon les responsables de l’association, la convocation aurait été ordonnée par le procureur de la République, Saïd Mirza, notamment en raison de l’évocation dans ce rapport des pratiques présumées du mouvement Amal en matière d’arrestation et de torture. « Le mouvement Amal a été cité deux fois dans le rapport », soutient M. Asmar. Nous aurions été convoqués suite à la plainte lancée par les avocats d’Amal, ajoute-t-il. Mme Daunay ajoute que la convocation s’est faite par téléphone. « Ils n’ont rien voulu nous dire de plus. Nous ne savons pas si nous sommes accusés ou si c’est juste un interrogatoire », observe-t-elle.
Contacté par L’Orient-Le Jour, l’avocat militant des droits de l’homme, Nizar Saghieh, préfère ne pas porter de jugement à ce stade. « Il vaut mieux attendre et observer ce qui va se passer », dit-il, tout en espérant qu’il n’y ait pas d’atteinte à la liberté d’expression. Affaire à suivre, donc, avec vigilance…
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Posted in Dossiers, Géneral | Tagué: Amal, Asmar, brigade, CLDH, Daunay, détention, Forces de Sécurité Intérieure, FSI, Hariri, Marie Daunay, Mirza, Nizar Saghieh, police, Said Mirza, Securité, Siniora, torture, Wadih al-Asmar | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur octobre 10, 2010
Franklin Lamb – Traduit par Mireille Delamarre
…Préparations pour la guerre à venir – Connaître l’ennemi

Parfois des membres du Hezbollah se plaignent à l’auteur de cet article – comme l’a fait l’un d’entre eux récemment – que :
« nous passons tellement de temps à étudier chaque aspect imaginable des forces sionistes et leur société corrompue, leur psychologie, les forces et faiblesses sur le champ de bataille, chaque bataille et chaque petite confrontation depuis ces 28 dernières années, leurs aliments favoris, les drogues et les jeux vidéos. Je ne les trouve pas vraiment intéressants je veux juste les expulser du reste du Liban et de la Palestine. Le plus tôt sera le mieux. »

Parmi les guerres passées impliquant Israël que le Hezbollah dit-on étudie au microscope, en plus de ses propres combats lors des guerres et invasions israéliennes, il y a celles de 1948, 1956, 1967, et 1978, de même que toutes les agressions en série à l’intérieur de la Palestine occupée inclus Gaza.
Le Hezbollah croit qu’Israël attaquera effectivement le Liban et que le plan de bataille sioniste comprendra l’utilisation des unités israéliennes suivantes que le Hezbollah a minutieusement étudiées pour se préparer à les affronter. Parmi celles-ci la 91ème « Division Galilée » qui sera selon le Hezbollah appuyée par de multiples brigades de troupes régulières et de réservistes essayant de bloquer la frontière Sud du Liban pour stopper la Résistance et les unités de l’armée libanaises et les empêcher de pénétrer en profondeur en Palestine occupée.
En plus le Hezbollah se prépare à débusquer et paralyser la 162ème Division de Blindés qui a subi régulièrement des dommages lors de la guerre de 2006 de même qu’à affronter la Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur mai 15, 2009
Tayyar.org
Michel Aoun, chef du Courant Patriotique Libre ainsi que du bloc du Changement et de la Réforme, est candidat à l’un des 5 sièges maronites du Kesrouan où il y préside la liste du Changement et de la Réforme.
Le plus jeune commandant en chef de l’Armée libanaise (1984-1990), ancien Premier ministre du Liban (1988-1990), le « Général », comme l’appellent les Libanais, est aujourd’hui député de Kesrouan-Jbeil, chef du Bloc parlementaire du changement et de la réforme (formé de 22 députés de toutes les communautés libanaises) au Parlement libanais, et chef de l’Opposition libanaise.
Michel Aoun est né le 18 février 1935 à Haret Hreik, un village chrétien-chiite de la banlieue sud de Beyrouth. Il est le fils de Naim Aoun, agriculteur, et de Marie née Aoun, mère au foyer. Sa famille compte six enfants dont trois garçons et trois filles. Il fait ses études à Beyrouth chez les Frères des Écoles Chrétiennes et à l’école du Sacré-Cœur. Adolescent, il fut contraint, pour des raisons économiques familiales, d’abandonner ses études tout au long d’une année scolaire, au cours de laquelle il travailla comme apprenti en dessins industriels dans un bureau d’études d’ingénierie. De retour à l’école, il accomplit en une année avec succès le programme éducatif prévu normalement pour deux ans.
Bien qu’issu d’une famille chrétienne maronite, fortement attachée aux valeurs spirituelles, Michel Aoun a réussi, durant sa jeunesse, à établir des liens d’amitié avec nombre de ses compères musulmans. « Nous n’avons jamais conçu des a priori de distinctions entre Ali et Pierre, ou entre Hassan et Michel », dira-t-il. « Nous partagions les mêmes repas et nous passions les nuits les uns chez les autres. Leurs fêtes religieuses étaient les nôtres et les nôtres furent les leurs. »
Durant cette enfance, deux évènements majeurs marquèrent fortement le devenir de Michel Aoun ; ils formeront en lui un esprit rebelle s’engageant pour la défense des droits de la patrie et de ses fils. Le premier consiste en les harcèlements des femmes de son village par les soldats sénégalais en service près de l’Armée française durant le mandat, en les années quarante ; l’autre en l’occupation des maisons de Haret Hreik par des soldats australiens des Forces Alliées, lors de la seconde guerre mondiale, tirant de leur sommeil les villageois, parmi lesquels il se trouvait avec sa famille.
C’est dans cet esprit, qu’il s’engagea, en 1948, à l’âge de 13 ans, comme volontaire participant à la distribution des aides humanitaires aux réfugiés palestiniens accueillis au Liban.
Le 30 novembre 1968, il épouse Nadia el-Chami. Le couple a trois filles : Mireille, Claudine et Chantal et a aujourd’hui huit petits-enfants. Michel Aoun a toujours montré un grand attachement aux valeurs familiales, et l’appui de sa famille qui ne lui a jamais manqué, a certainement été essentiel aux heures les plus difficiles de sa vie.
La carrière militaire
Le 1/10/1955, Michel Aoun entre à l’école militaire comme élève officier. Il obtient son premier grade comme sous lieutenant dans l’artillerie le 30/9/1958. Il est nommé capitaine en 1968, commandant en 1974, lieutenant colonel en 1975 et colonel en 1980.
De 1959 à 1972, Aoun occupe plusieurs fonctions dans l’Armée de l’artillerie dans plusieurs régions libanaises. En août 1973, il est muté à Saida au sud du Liban, chargé du commandement du bataillon de la 2ème artillerie. Début 1976, lors des accrochages opposant l’Armée libanaise à l’Armée de libération de la Palestine (ALP), Michel Aoun Lire le reste de cette entrée »
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Posted by jeunempl sur mai 7, 2009
MPLBelgique.org
Issam Abou Jamra est candidat du Courant Patriotique Libre sur la liste du Changement et de la Réforme pour le siège orthodoxe de la circonscription de Achrafieh – Rmeil – Saifi (Beyrouth 1).
Candidat: Issam Abou Jamra
Courant Patriotique Libre
Grec-orthodoxe – Première circonscription de Beyrouth
Site officiel
Etat Civil
Né en 1937 à Kfeir – Sud du Liban
Sa femme Antoine Helou est décédée en 1998. Il a quatre enfants : Fadi, Dani, Marc et Michel.
Etudes
– Il a suivi ses études complémentaires et secondaires à Saida
– En 1956, il rentre à l’école militaire comme élève officier et est gradué en 1959 comme lieutenant dans l’équipe d’artillerie.
– Il est passé par les différents grades militaires jusqu’à ce qu’il ait été désigné en 1990, général de brigade.
– Il a suivi des formations militaires au Liban, en France et aux Etats–Unis. La dernière formation qu’il a suivi fut celle de la direction et d’états-majors à Lifnorth – dans le Kansas.
– Il a étudié à l’université libanaise et a reçu un diplôme en droit en 1980.
Au cours de son service militaire
Le général Abou Jamra a tenu plusieurs postes militaires importants dont :
• Commandant, chef du bataillon d’artillerie – chef de la deuxième brigade – chef de la septième brigade
• Président du bureau du commandant en chef, président du bureau dans plusieurs opérations et états – majors.
• Inspecteur général au ministère de la Défense – membre du conseil militaire entre 1984 et 1990
• Il a été mis en retraite en 1996
• Il a reçu plusieurs médailles dont : la médaille de guerre et la grande fanchon
En plus des services militaires
Il a occupé le poste de vice-Premier Ministre au sein du gouvernement transitoire du général Michel Aoun entre le 22 septembre 1988 et le 13 octobre 1990. Il a également tenu 6 ministères : La Justice, les Télécommunications, l’Energie et l’Eau, l’Habitat, l’Agriculture et l’Economie.
Après l’occupation syrienne du palais présidentiel de la république et du commandement de l’armée libanaise ainsi que sa prise de pouvoir au Liban le 13 octobre 1990, Abou Jamra s’est dirigé vers l’ambassade française à Mar Takla où il est resté jusqu’à son exil le 24 juin 1991 en France avec le général Michel Aoun et le ministre, général de Brigade, Edgard Maalouf. Il est ensuite resté en France et a continué de travailler avec le général Aoun pour diriger le CPL et provoquer le retrait des forces étrangères du Liban et la restauration de sa souveraineté.
Abou Jamra est retourné d’exil avec le général Aoun le 7 mai 2005, après le retrait de l’armée syrienne du Liban suite aux manifestations populaires et conformément à la résolution 1559 des Nations Unies.
Il travaille toujours au sein de la direction du CPL afin d’assurer la stabilité et la prospérité du Liban.
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