Posts Tagged ‘Armenien’
Posted by jeunempl sur septembre 15, 2012
MPLBelgique.org
L’équipe de presse du MPL Belgique vous propose un recueil d’articles et de photos sur la seconde journée de visite du pape Benoît XVI au Liban.


19h10 : Le pape rencontre les jeunes du Liban et du Moyen-Orient: vous avez une place privilégiée dans mon coeur; Il est temps que musulmans et chrétiens s’unissent pour mettre fin à la violence et aux guerres.
Le pape Benoît XVI s’est adressé aux jeunes du Liban et du Moyen-Orient ce soir depuis le siège patriarcal de Bkerké en leur disant: « vous avez une place privilégiée dans mon coeur et dans le coeur de l’Eglise ». Aux Libanais, il a dit: « vous êtes l’espérance et l’avenir de votre pays. »
Il a surtout souligné l’importance que « musulmans et chrétiens s’unissent pour mettre fin à la violence et aux guerres. »
Voici l’intégralité de son allocution:
« Béatitude, frères évêques, chers amis,
Que la grâce et la paix vous soient accordées en abondance par la véritable connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur » (2 P 1, 2).
Le passage de la lettre de saint Pierre que nous avons entendu exprime bien le grand désir que je porte dans mon coeur depuis longtemps. Merci pour votre accueil chaleureux, merci de tout coeur pour votre présence si nombreuse ce soir!
Je remercie Sa Béatitude le Patriarche Bechara Boutros Raï pour ses paroles d’accueil, Mgr Georges Bou Jaoudé, Archevêque de Tripoli et président du Conseil pour l’apostolat des laïcs au Liban, et Mgr Elie Hadda, Archevêque de Sidon des Grecs melkites et vice président du même Conseil, ainsi que les deux jeunes qui m’ont salué en votre nom à tous. « Salami Outikom » [« Je vous donne ma paix »] (Jn 14, 27) nous dit le Christ-Jésus.
Chers amis, vous vivez aujourd’hui dans cette partie du monde qui a vu la naissance de Jésus et le développement du christianisme.
C’est un grand honneur! Et c’est un appel à la fidélité, à l’amour de votre région et surtout à être des témoins et des messagers de la joie du Christ, car la foi transmise par les Apôtres conduit à la pleine liberté et à la joie, comme l’ont montré tant de saints et de bienheureux de ce pays. Leur message éclaire l’Eglise universelle. Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Nos articles | Tagué: Armenien, Baabda, Benoit XVI, Bkerke, Bzommar, catholiques, Chiites, Chrétiens, Exhortation apostolique, Kabalan, Kabbani, Maronites, message, Moyen Orient, musulmans, Orthodoxes, Paix, palais, Pape, Patriarcat, Patriarche, président, Religieux, Sunnites | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur avril 3, 2012
L’Hebdo Magazine – Joëlle Seif
Le ministre de l’Industrie, Vrej Sabounjian, est un homme discret. Aux belles paroles, il préfère l’action. Sur son travail au ministère, il est intarissable. En revanche, lorsqu’on essaie de le faire parler sur les alliances du parti Tachnag pour les élections de 2013 ou sur la réconciliation du parti avec Michel Murr, ses réponses sont très diplomatiques. Sarcastique à l’occasion, il ne manque pas d’égratigner au passage l’ancien président Amine Gemayel ou de répondre vertement à Walid Joumblatt.
Né en 1948, du plus loin qu’il s’en souvienne, Vrej Sabounjian a toujours fait partie du Tachnag. «Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’étais membre du Tachnag» dit-il. C’est sur la décision du parti qu’il s’est présenté aux élections législatives de 2009 pour le siège arménien-orthodoxe à Achrafié. Mais ce n’est qu’en tant que ministre de l’Industrie dans le cabinet de Najib Mikati qu’il fait réellement son entrée en politique. «Il est vrai que c’est la première fois que je suis ministre, mais il existe beaucoup d’autres qui sont dans la même situation. Il est évident que certains sont plus familiers avec la procédure des réunions du Conseil, mais il y a des personnes qui ont beaucoup d’expérience sans avoir été ministres au préalable. Leurs interventions sont très intéressantes et utiles», confie Sabounjian. Les critiques formulées par l’actuelle opposition ne le dérangent pas outre mesure. «Quand on est en dehors du pouvoir, il est normal de critiquer l’action du gouvernement. Je suis pour la critique constructive. La critique gratuite ne sert à rien, puisque finalement, que ce soit la majorité ou l’opposition, tout le monde travaille dans l’intérêt du pays», affirme le ministre de l’Industrie.
Dans un pays où il existe deux visions de l’économie, celle reposant sur les services et l’autre sur l’industrie, Vrej Sabounjian considère qu’une économie de services ne peut réussir à elle seule et il faut impérativement qu’on ait une économie équilibrée. Pour lui, il est très important de prendre en considération les données et le timing, ce dernier étant Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral | Tagué: Amine Gemayel, Armenien, BRIC, BRICS, Courant Patriotique Libre, Economie, Elections, Gouvernement, industrie, Kataeb, Liban, Libanais, Michel Murr, Ministre, Murr, Portrait, réalisations, Réformes, Sabounjian, Tachnag, Vrej Sabounjian, Walid Joumblatt | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mars 5, 2012
Cyril Fourneris – L’Hebdo Magazine

Après presque cent ans de lutte pour la reconnaissance du génocide arménien, l’heure est venue de réclamer des réparations. Un nouvel angle pour contourner les obstacles de la juridiction internationale qui laisse à la diaspora arménienne tout entière un rôle à jouer. D’éminents juristes internationaux se sont penchés sur la question en fin de semaine dernière, à Antélias.
Ils étaient plus de 60 experts en matière de droit international et de génocide à avoir fait le déplacement jusqu’au Catholicossat de Cilicie à l’appel de sa sainteté Aram Ier, tous venus avec la ferme volonté de faire avancer la cause arménienne. Et pourtant, le début du séminaire fut marqué par un sentiment général de frustration: Dans un premier temps les juristes, ont réaffirmé le droit inaliénable des Arméniens à la justice, à la réparation et à la vérité sur les crimes commis par l’Empire ottoman, en 1915. Mais ils ont vite dressé la liste des obstacles qui jusqu’aujourd’hui empêchent le jugement préalable à la reconnaissance de l’acte de génocide. Selon les juristes, en l’absence de coupables, il faut faire jouer la loi en faveur des victimes. Ainsi faut-il cesser de focaliser les réflexions et les actions sur l’accusation de génocide.
Sans coupable pas de crime
«Un tribunal instituant le génocide arménien n’est plus possible, il est trop tard». Dès les premières heures, le ton est lancé par le Dr. Jacobs. «La Cour Internationale de Justice, si elle est habilitée à juger des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et de génocide comme ceux perpétrés sur les Arméniens en 1915, ne peut émettre de jugement, car les accusés sont morts». «L’Etat turc est le responsable des crimes de l’empire ottoman», démontrera par la suite le professeur Patrick Dumberry: il en est la continuation, comme convenu lors du traité de Lausanne en 1923. Mais il reste pour autant impossible de juger le gouvernement turc. Un tribunal pénal n’est compétent que sur la question de l’action du crime, et pas des conséquences.
L’impératif est vite fixé: il faut se pencher sur l’aspect continuel des crimes, seule issue possible à cette impasse de la juridiction internationale. Explorer les faits qui en Turquie sont la perpétuation du génocide de 1915. L’irréductible négation du génocide par l’Etat turc n’est-elle pas la continuation du crime? Elle se traduit dans les manuels scolaires et punit même la proclamation du génocide par l’article 301 du nouveau code pénal du pays. Membre du Conseil européen au même titre que l’Arménie, l’Etat turc pourrait dans ce cadre être amené à devoir se justifier pour Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Dossiers, Géneral, Régional | Tagué: Antelias, Aram 1er, Armenie, Armenien, Castaldi, cause arménienne, Cilicie, crime, diaspora, empire ottoman, génocide, génocide arménien, International, juristes, Massacres, Megret, Mgr Aram 1er, ottomans, Patrick Dumberry, Politique, Régional, restitution, turc, turque, Turquie, Violences | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur décembre 30, 2011
Propos recueillis par Jérôme Gautheret – Le Monde
Professeur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Vincent Duclert est notamment spécialiste de l’affaire Dreyfus. Son travail sur les mobilisations intellectuelles l’a amené à s’intéresser à la question du génocide arménien, et au-delà, à la vie intellectuelle en Turquie. Il a notamment publié un ouvrage sur les engagements intellectuels turcs dans les années 2000, L’Europe a-t-elle besoin des intellectuels turcs ? (Armand Colin, 2010) à travers l’étude de plusieurs pétitions emblématiques de l’évolution de la société turque, notamment celle du 15 décembre 2008 de demande de pardon aux Arméniens pour la « grande catastrophe » de 1915. La traduction de ce livre devait être publiée en Turquie par l’éditeur Ragip Zarakolu, mais celui-ci a été arrêté comme « terroriste » le 29 octobre et ses manuscrits saisis. Vincent Duclert a co-fondé avec Hamit Bozarslan, Cengiz Cagla, Yves Deloye, Diana Gonzalez et Ferhat Taylan le Groupe international de travail (GIT) « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie » (www.gitfrance.fr et www.gitinitiative.com)
Lire le premier et le deuxième volet de l’entretien.
Comment la recherche sur le génocide arménien avance-t-elle, malgré tout, en Turquie ?
Il y a une élite intellectuelle de très grande qualité, qui a compris qu’il y avait un devoir à la fois scientifique et civique de se saisir du refoulé, d’envisager les questions interdites : le génocide arménien, la nature de l’Etat kémaliste, présenté en Turquie comme le modèle indépassable alors qu’il s’apparente aussi à des formes de dictature, la guerre contre les Kurdes, la situation de l' »Etat profond », le pouvoir militaire, les réseaux religieux…
Ils veulent ouvrir ces dossiers, et sont prêts à prendre des risques considérables : Taner Akçam a été emprisonné, avant de devoir s’exiler ; Hrant Dink, qui lui aussi a mené un travail très important avec sa revue bilingue arméno-turque, a été assassiné en 2007 dans un contexte de chasse à l’homme. Hrant Dink a été visé parce que ses travaux tendaient à rappeler combien la société turque est en réalité mélangée, complexe, et que c’est la prise en compte de ce tissage – souvent tragique – qui permettrait de faire la paix avec le passé et de préparer l’avenir. Et puis il n’y a pas que les problèmes ethniques et religieux, il y a la place du genre, des femmes, des homosexuels…
Pour le gouvernement turc, le fait que des universitaires se décident à étudier ces pans du passé constitue une menace pour l’intégrité de la nation, pour la mémoire de Mustafa Kemal. Ils ne peuvent plus Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Alain Juppé, Ankara, Armenie, Armenien, Assassinat, élite intellectuelle, Bernard Lewis, Cengiz Cagla, Diana Gonzalez, Etats-Unis, Ferhat Taylan, France, génocide, génocide arménien, Gilles Veinstein, Grande Bretagne, Hamit Bozarslan, Histoire, Hrant Dink, International, Kurdes, Loi, Massacre, Mustafa Kemal, négation, négationisme, Ottoman, Turquie, Yves Deloye | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur décembre 30, 2011
Propos recueillis par Jérôme Gautheret – Le Monde
Professeur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Vincent Duclert est notamment spécialiste de l’affaire Dreyfus. Son travail sur les mobilisations intellectuelles l’a amené à s’intéresser à la question du génocide arménien, et au-delà, à la vie intellectuelle en Turquie. Il a notamment publié un ouvrage sur les engagements intellectuels turcs dans les années 2000, L’Europe a-t-elle besoin des intellectuels turcs ? (Armand Colin, 2010) à travers l’étude de plusieurs pétitions emblématiques de l’évolution de la société turque, notamment celle du 15 décembre 2008 de demande de pardon aux Arméniens pour la « grande catastrophe » de 1915. La traduction de ce livre devait être publiée en Turquie par l’éditeur Ragip Zarakolu, mais celui-ci a été arrêté comme « terroriste » le 29 octobre et ses manuscrits saisis. Vincent Duclert a co-fondé avec Hamit Bozarslan, Cengiz Cagla, Yves Deloye, Diana Gonzalez et Ferhat Taylan le Groupe international de travail (GIT) « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie ».
(www.gitfrance.fr et www.gitinitiative.com)
>> Lire le deuxième et le troisième volet de l’entretien
Le génocide de 1915 a été précédé par une autre vague de massacres, vingt ans plus tôt. En 2006, vous avez édité un discours prononcé par Jean Jaurès à la Chambre des députés le 3 décembre 1896, alors que des massacres faisaient rage dans l’Empire ottoman (Il faut sauver les Arméniens, Mille et une nuits). Le dirigeant socialiste soulignait que les tueries s’accompagnaient de la volonté de dissimuler ce qui était en train de se produire. En quoi était-ce inédit ?
La volonté de dissimulation des massacres au XIXe siècle, notamment ceux commis par les Turcs contre les Grecs dans la guerre d’indépendance (1822-1830), est récurrente. Mais le fait nouveau ici est le caractère organisé de cette dissimulation. Le pouvoir du sultan Abdulhamid II (1876-1909) en vient à payer la presse européenne pour qu’elle ne parle pas de ces massacres. C’est ce que dénonce aussi Jaurès à la tribune.
Comment caractériseriez-vous les massacres de 1894-1896 ?
Plus de 200 000 personnes ont été massacrées, mais à cela s’ajoute un processus de spoliation, et même d’humiliation de tout un peuple, qui accélère un phénomène déjà ancien. Or, la dégradation collective et individuelle favorise la réalisation des génocides : plus une population est bien intégrée, moins il est facile de la faire disparaître. Les grands massacres de 1894-1896 Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Abdulhamid, Abdulhamid II, Alep, Anatolie, Armenie, Armenien, Cengiz Cagla, Constantinople, Diana Gonzalez, Europe, extermination, Ferhat Taylan, Franz Werfel, génocide, génocide arménien, grecs, Hamit Bozarslan, Henry Morgenthau, Histoire, Jean Jaures, Kurdes, Marcel Cachin, Massacre, organisation spéciale, OS, Ottoman, Ragip Zarakolu, Rwanda, Sarikamish, sultan, sultan Abdulhamid II, sultan rouge, Tsar, turcs, Turquie, Vahakn Dadrian, Vincent Duclert, Yves Deloye | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur mars 2, 2011
Libnanews
Sur les ondes de Télé Liban, le député arménien Hagop Pakradonian s’est prononcé pour l’accélération de la formation du prochain gouvernement dirigé par le premier ministre Nagib Mikati, afin de faire face aux conséquences de la publication des actes d’accusations des personnes suspectées d’être impliquées dans l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafic Hariri.
Pour rappel, le juge Antonio Cassesse a remis aujourd’hui un nouveau rapport concernant les derniers progrès effectués dans le cadre de l’enquête. Certaines sources indiquent que la publication des actes d’accusation pourrait avoir lieu lors de la première moitié du mois de Mars.
Le parlementaire a également dénoncé le protocole d’application signé par l’ancien premier ministre Fouad Saniora entre le Liban et le TSL, l’estimant non constitutionnel en raison de l’absence de la signature du chef de l’état. Hagop Pakradonian poursuit en soulignant la nécessité de sortir « des compromis étrangers et d’aboutir à une décision nationale ».
Le député a également estimé que le Liban passe par une phase critique nécessitant un gouvernement d’union nationale, avant de conclure, estimant appartenir « J’appartiens à un peuple résistant et au parti Tashnag; celui qui a perdu sa patrie ne s’oppose pas à la résistance et à la libération du territoire ».
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Posted in Actualité Tayyar-CPL, Géneral | Tagué: accusation, Armenien, Député, Fouad Siniora, Hagop Pakradounian, Hariri, Liban, Metn, Pakradounian, Parlement, Résistance, Siniora, Tachnag, Tribunal, TSL | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur août 22, 2010
Delphine Darmency – L’Hebdo Magazine
Autoroute côtière, au niveau de Bourj Hammoud.
Pendant que l’œil du conducteur est rivé sur les files de voitures, les passagers peuvent encore remarquer les restes du camp de Sandjak, fondé en 1939 pour abriter les réfugiés arméniens.
Non loin de la place de la municipalité de Bourj Hammoud, entre la rue d’Arménie et l’autostrade, subsiste la moitié du camp de Sandjak. L’autre moitié a disparu sous les pelleteuses, laissant d’un côté un long terrain vague et, de l’autre, quelques squelettes de maisons, cloisons détruites et toits bâchés.
Mais entre les amoncellements de briques, les canapés pourrissant à l’extérieur, des antennes satellitaires et des draps pendus à des fils montrent que le camp respire encore. Des dizaines de familles y vivent toujours.
En 1939, le Sandjak d’Alexandrette (ou Liwaa Iskandaroun), alors syrien, est annexé par la Turquie à la suite d’un accord signé par la France mandataire. Des milliers d’Arméniens abandonnent leurs maisons et quittent le pays. Direction, le Liban.
A Beyrouth, ils s’installeront dans le camp qui reprend le nom de leur terre d’origine, Sandjak. «En 1946, ils sont rejoints par des familles ayant vendu leurs maisons pour partir en Arménie mais dont le voyage ne s’était pas concrétisé. Rejoints également par des familles venues du Nord du Liban», relate Mme Manqassarian, membre de la municipalité de Bourj Hammoud dans un article d’an-Nahar paru le 4 avril 2006.
Il y aurait eu dans les baraquements de bois et de tôle 750 familles. «En 1970, une partie de la population déménage dans de nouvelles habitations populaires dans les quartiers de Rawda, Bourj Hammoud ou Fanar, mais la majorité Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Anjar, Antioche, Armenie, Armenien, Beyrouth, Bourj Hammoud, Camp, exode, Fanar, France, Histoire, Injustice, Iskandaroun, Justice, Liban, Manqassarian, Memoire, Mont Moïse, Moussa Dagh, réfugiés, Sandjak, Syrie, Turquie | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur juillet 26, 2010
Tigrane Yégavian – L’Hebdo Magazine
Un sigle, trois initiales en arménien, une abréviation en arabe, la FRA: Fédération révolutionnaire arménienne Tachnagtsoutioun (en français «fédération») – ou parti Tachnag, tel qu’on le connaît au Liban. Celui-ci est probablement le plus ancien parti politique existant au pays du Cèdre. Magazine revient sur l’histoire de ce parti aux multiples visages.
Depuis des lustres, le Tachnag fait la pluie et le beau temps dans son fief de Bourj Hammoud ainsi que dans la localité de Anjar, dans la Békaa. Soupçonné par ses adversaires de demeurer dans l’opacité, il n’en reste pas moins un parti incontournable au sein de l’arène politique libanaise et il en est bien conscient. Après avoir encaissé une lourde défaite aux législatives de 2009, il réapparaît en forme aux municipales de 2010.
La F
RA, qui fit ses premières armes contre les Ottomans et les Tsaristes, n’en demeure pas moins un acteur engagé dans le combat pour la défense de la cause arménienne. De nos jours, elle encadre un pan entier de la communauté arménienne du Liban à la manière d’un parti tribunitien, comme ce fut le cas du Parti communiste français des années 1950. Comme le souligne le chercheur et journaliste français Gaïdz Minassian, auteur d’une thèse controversée sur ce parti, «nombreuses sont les familles arméniennes de Bourj Hammoud et ailleurs où l’on naît Tachnag, on se marie Tachnag… et l’on meurt Tachnag».
Opérant depuis l’Arménie, le Tachnag est un parti international, politiquement orienté et impliqué dans les pays où la diaspora arménienne est présente depuis le génocide de 1915. Isolé des autres partis arméniens, le Tachnag fait cavalier seul dans son combat contre le régime soviétique qui gouvernait l’Arménie. Les communistes arméniens et les militants du parti concurrent Hentchak, à l’époque influents, le taxaient volontiers de parti chauvin et «nationaliste petit bourgeois».
Le duel Tachnag/Hentchak connut son paroxysme en 1958, lorsque le Liban s’entre-déchirait dans un arrière-fond de guerre froide. Dans ce contexte, c’est tout naturellement qu’une alliance se forgea entre le Tachnag et les Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Culture & Société, Dossiers, Géneral, Liban dans l'Histoire, Régional | Tagué: Anca, Anjar, Antelias, Aoun, arméno-libanais, Armenie, Armenien, AYP FM, Azéris, Aztag, bénévoles, Bekaa, Beyrouth, Bickfaya, Bourj Hammoud, CJGA, communisme, diaspora, Diplomatie, Erevan, Etats-Unis, Fédération révolutionnaire arménienne, Financement, FPLP, FRA, France, génocide, Georges Habach, Guerre, Hagop Pakradounian, Hamazkayin, Hariri, Haut-Karabagh, Hayrénik, Hentchag, Hentchak, hezbollah, Homenetmen, Homentmen, Hrant Markarian, International, Iran, Joe Biden, Karabagh, Kataeb, Kurdes, Liban, lobby, lycée Djémaran, Medias, Michel Aoun, Montevideo, Montreal, Nancy Pelosy, ottomans, Pakin, Pakradounian, Pierre Gemayel, PKK, radio, Radio Gomidas, Résistance, révolutionnaire, revue, Shahan Kahandarian, soviétique, Sport, Syrie, Tachnagtsoutioun, Tachnak, Tashnag, Turquie, Vahé Sétian, Voice of Van, Wadih Haddad, Yerguir | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur juillet 13, 2010
Roger AKL

La Turquie et Israël, deux pays, deux démocraties d’un type spécial où la démocratie ne s’applique pas à tous d’une manière égale. Ce sont deux pays étrangers au monde arabe qui se sont sentis portés l’un vers l’autre par des intérêts particuliers : Israël, pour casser l’embargo musulman et avoir un allié de revers contre les Arabes, la Turquie, pour entrer en Occident et en Europe, par la grande porte, une porte que le gardien israélien peut leur ouvrir sur deux battants.
Les besoins de l’un et de l’autre les ont rendus complices, Israël protégeant la Turquie contre les conséquences de son négationnisme sur le Génocide Arménien, ses coups d’Etat, son manque de démocratie, sa conquête du Nord de Chypre, pays de l’Union Européenne, et la purification ethnique de ses chrétiens ; la Turquie, apportant une caution musulmane à la colonisation de Jérusalem-Est et de la Palestine, au blocus illégal de Gaza et à la purification ethnique rampante de la Cisjordanie.
Cela fut possible quand l’Armée gouvernait la Turquie avec l’aide des partis dits laïques, installés par Moustapha Kemal, pour « moderniser » la Turquie par la force des baïonnettes. Seulement, depuis l’élection de partis islamiques en Turquie, l’alliance entre les deux complices battait de l’aile. De plus, après les guerres d’Irak et d’Afghanistan et les renversements économiques du XXIème siècle, l’Occident a perdu beaucoup de sa puissance, l’Europe de son attrait, tandis que la Turquie Lire le reste de cette entrée »
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Posted in Billets & Opinions, Géneral, Régional | Tagué: AKP, Arabe, Armenien, Asie, Chrétiens, Démocratie, Droits de l'Homme, Europe, Gaza, génocide, génocide arménien, islamisme, Israel, Juif, lobbye, Méditerranée, Moustapha Kemal, Moyen Orient, musulman, négationnisme, occident, orient, Paix, Palestine, Politique, Turquie | Leave a Comment »
Posted by jeunempl sur avril 28, 2010
Tayyar.org

Hagop Pakradounian, député du Metn
Le député Hagop Pakradounian, membre du bloc du Changement et de la Réforme, a indiqué que les Arméniens sont très dérangés par l’absence de représentation officielle à la commémoration des massacres arméniens au Liban.
« Les Arméniens ne sont pas uniquement des voix électorales », a-t-il dit.
S’exprimant lors d’une intervention accordée à la chaîne télévisée « NTV », M. Pakradounian a critiqué la non-représentation des trois présidents bien que des invitations officielles leur avaient été envoyées.
Le député du Tachnag a également regretté l’absence de la représentation des Ministres et des députés qui représentent les différentes communautés musulmanes au Liban.
« Les responsables craignent sur le futur des relations diplomatiques avec la Turquie, c’est pourquoi ils se sont absentés. Ils n’ont pas respecté le souvenir de nos martyrs », a-t-il conclu.
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