Les pays arabes ont dépensé, au moins, 15 milliards de leurs pétrodollars, pour renverser le régime de Bachar al-Assad.
C’est le célèbre journaliste et écrivain égyptien, Mohammed Hassanein Heykal, qui l’a révélé lors d’une interview avec la chaîne de télévision égyptienne, CBC, faisant allusion à l’intervention israélienne en Syrie et aux efforts contre le gouvernement syrien.
«Soutenus par l’Occident et la Turquie, les pays arabes ont dépensé, depuis le début des agitations en Syrie, pas moins de 15 milliards de dollars, sans arriver pour autant à un résultat tangible. Dans le même temps, Israël, qui a tiré le plus grand bénéfice de ces événements en Syrie, est toujours présent, avec ses services de renseignements et d’espionnage, tels que le Mossad, dans toutes les régions aux alentours de la Syrie, voire, au sein même du pays», a rappelé Heykal, affirmant que la prise de position différente de la Russie témoigne que cette dernière a tiré leçon des événements en Lybie, alors que les Arabes n’ont encore rien compris, ni conclu des évolutions dans la région.
Brahimi : un « touriste âgé »
Les médias officiels syriens ont mené lundi une nouvelle charge contre le médiateur international Lakhdar Brahimi, le qualifiant de « touriste âgé » et lui demandant de renoncer à sa mission s’il n’a pas de solution à proposer pour le conflit en Syrie.
« Lakhdar Brahimi ressemble à un touriste âgé qui fait une tournée plaisante dans des capitales partout dans le monde », écrit le quotidien As-Saoura. « Il n’a rien fait, sinon tenter de faire échouer les règlements politiques visant à sortir la Syrie de la crise ».
« Brahimi n’a jamais dénoncé les groupes terroristes armés et les pays qui les soutiennent. Il s’est écarté de Lire le reste de cette entrée »
La chaine satellitaire syrienne a diffusé de nouveaux enregistrements de conversations téléphoniques entre, selon elle, le député du Courant du futur Okab Sakr et des chefs rebelles syriens.
Le journaliste syrien Rafic Lotof, spécialisé dans le démontage des trucages médiatiques diffusés par les chaine Al-Jazeera et al-Arabiyé, a déclaré qu’il disposait d’autres enregistrements prouvant l’implication de Sakr dans le transfert d’armes aux rebelles syriens.
La télévision syrienne a diffusé 9 minutes d’enregistrements de plusieurs conversations. Certaines d’entre elles ont été Lire le reste de cette entrée »
Le chef du parti des Forces Libanaises (FL), Samir Geagea, a accusé de nouveau l’axe syro-iranien et son allié, le clan du 8 Mars, d’être derrière l’assassinat du général Wissam Hassan.
« Ceux qui commettent les assassinats se trouvent au sein de l’appareil exécutif » a-t-il signalé, affirmant que son clan poursuivra sa voie dans la lutte et la pression politique afin de renverser le gouvernement actuel.
S’exprimant dans un entretien accordé à la chaîne de télévision satellite « al Jazeera », le leader des FL a rejeté la possibilité de tout accord sur le retour des forces du 14 Mars à la table du dialogue, à l’exception toutefois, de la mise en accusation de Michel Samaha.
S’adressant aux Chrétiens en Syrie, M. Geagea les a appelés à « prendre part à la révolution dans leur pays, à poursuivre leur quête de la Lire le reste de cette entrée »
Le dernier double véto de la Russie et de la Chine sur la question syrienne doit bien renseigner que le monde a bien changé dans les rapports de force. Un triple véto doublé sur la Syrie ne se décide pas sur l’humeur, mais sur des analyses géostratégiques objectives. Il s’agit d’un affrontement entre deux conceptions du monde : l’une unipolaire et l’autre multipolaire. Les rapports de force entre les différentes puissances constituant les éléments clés, décisifs.
Dans la vision sino-russe les instabilités dans le monde arabe sont une menace directe pour leurs intérêts aussi bien matériels que dans leur espace politique intérieur, surtout pour la Russie. Les musulmans de Russie sont en effet menacés par l’Islam extrémiste salafo-wahabiste qu’encourage la puissance américaine – sous couvert de ‘démocratie’ dans cette vague des ‘Printemps arabes’- dans la mesure où cela sert ses objectifs hégémoniques dont l’affaiblissement de la Russie est l’une des priorités. Les exemples « yougoslaves », « irakiens » et « libyens » où les lois internationales ont été bafouées pour instaurer le chaos restent des cas graves des méfaits de l’unilatéralisme qu’il faut, coûte que coûte, briser. La Syrie, disent les analystes, « sera un symbole fort du retour de la puissance russe et de sa capacité à Lire le reste de cette entrée »
2012: Championne du Liban des 100 m, 200 m, 400 m et 800 m nage libre et du 100 m papillon.
2011:
Médailles d’or des 200m, 400m et 800m nage libre aux jeux Panarabes de Doha
Médaille de bronze du 100m papillon aux jeux Panarabes de Doha
7è des championnats du monde universitaire en Chine
2010: Capitaine de l’équipe universitaire de natation de l’Université de Virginie aux États-Unis
Qui est Katya Bachrouche?
La famille Bachrouche est assurément une famille sportive. Jenna (soeur de Katya) fait partie de l’équipe de basket-ball de l’université d’Oakland. Katya, elle, est une étoile montante de la natation. Celle qui porte également la nationalité américaine peut naturellement nourrir des espoirs de performance, car son palmarès parle pour elle. En effet, elle a remporté plusieurs trophées durant ses années lycée aux Etats-Unis, et récemment elle a mené son université de Virginie, où elle suit des études de psychologie, à remporter quatre titres de conférence.
Le journaliste allemand du Frankfurter Allgemeine Zeitung Rainer Hermann confirme ici son premier article selon lequel le massacre de Houla a été perpétré par les rebelles sunnites. Et non par l’armée régulière syrienne comme cela a été rapporté.
Le massacre de Houla marqua un tournant dans le drame syrien. Il y eut un grand nombre de réactions indignées à travers le monde lorsqu’on appris que 108 personnes avaient été tuées à Houla le 25 Mai, dont 49 enfants. Les demandes pour une intervention militaire afin de faire cesser le bain de sang en Syrie se firent de plus en plus forte tandis que la violence s’en est allé crescendo depuis lors. Basés sur les« nouvelles » délivrée par les médias des pays du Golfe et les dires des observateurs de l’ONU le jours suivant le massacre, l’opinion mondiale condamna quasiment sans exception l’armée régulière syrienne et les milices Shabiha proche du régime pour le massacre perpétué.
Au cours des semaines qui suivirent, et sur la base de témoins des événements, le Frankfurter Allgemeine Zeitungcontesta cette version officielle des événements. Il rapporta que les civils tués étaient soit des alaouites soit des chiites. Ils furent tués de sang froid par des sunnites à Taldou, une ville située dans la plaine de Homs, tandis que de violents combats faisaient rage aux check points entourant le village entre l’armée régulière syrienne et l’« Armée Syrienne Libre ».Notre article fut passé sous silence par de nombreux médias à travers le monde et rejeté par les autres sous prétexte qu’il n’était pas crédible. Ce qui nous amène à poser quatre questions :
Pourquoi l’opinion mondiale a-t-elle suivi jusqu’à maintenant une autre version des événements ?
Pourquoi le contexte de la guerre civile rend-il douteux ce qui est vraisemblable ?
Pourquoi les témoins sont-ils crédibles ?
Quels sont les autres faits qui renforcent notre version des faits ?
Premièrement, pourquoi l’opinion mondiale suit-elle une autre version des faits ? Il n’est pas douteux que durant les premiers mois du conflit, alors que l’opposition ne possédait pas d’armes et se trouvait sans défense, toutes les atrocités qui furent commises le furent par le régime. On assuma donc qu’il était évident que cela continuerait ainsi. De plus les médias syrien gouvernementaux n’ont aucune crédibilité. Par exemple ils se servent de l’étiquette « gangs de terroristes armés » depuis le début du conflit. Du coup personne ne les croit, même quand c’est effectivement le cas. Deux chaines de médias, Al Jazeera et Al Arabia sont devenues les chaînes d’information de référence alors que leurs propriétaires, le Qatar et l’Arabie Saoudite, sont deux États activement impliqués dans le conflit en cours. Nous avons de très bonnes raisons de faire nôtre le dicton : « Dans une guerre c’est la vérité qui meurt en premier ».
Deuxièmement, pourquoi dans ce contexte de guerre civile, la version douteuse est-elle celle qui apparaît comme vraie ? Depuis quelques mois de très nombreuses armes furent infiltrées en Syrie et les rebelles ont des armes de calibres moyens depuis très longtemps. Chaque jour plus de 100 personnes sont tuées en Syrie, pour moitié environ entre chaque camp. Les milices qui opèrent sous la bannière de l’« Armée Syrienne Libre » contrôlent de larges parties des provinces de Homs et de Idlib et elles tentent d’étendre leur domination sur d’autres parties du pays. L’augmentation du chaos a fait apparaître une vague de kidnapping criminels et a favorisé le règlement de vieilles disputes. Si on regarde les pages de Facebook où parlent des Syriens : tout le monde a des histoires quotidiennes de nettoyages ethniques à raconter, des histoires de gens assassinés uniquement parce qu’ils sont alaouites où sunnites.
La plaine de Houla, qui se trouve entre la ville sunnite de Homs et les montagnes des alaouites, est majoritairement peuplée de sunnites ; elle a une longue histoire de tensions entre communautés. Le massacre se produisit à Toulda, un des plus grand villages d’Houla. De tous les noms des civils tués, 84 sont connus. Ce sont ceux des pères, mères et 49 enfants de la famille Al Sayyid et des deux branches de la famille Abdarrazzaq. Les habitants de la ville affirment que les victimes étaient des alaouites ou bien des sunnites convertis au chiisme. A quelques kilomètres de là, près de la frontière Libanaise, cela les rend suspect d’être des sympathisants du Hezbollah, haïs par les sunnites. Furent également tués à Toulda des parents du membre du parlement, fidèle au gouvernement, Abdalmuti Mashlab.
Les médecins légistes libyens effectuent des tests ADN sur des restes humains retrouvés dans un cimetière en Libye et qui pourraient être ceux de l’imam Moussa Sadr, ont annoncé les nouvelles autorités libyennes.
Le porte-parole du gouvernement libyen, Nasser al-Maneh, a précisé mercredi à la chaîne qatarie al-Jazira, que les restes ont été transférés dans un hôpital de Tripoli où les tests sont en cours.
« Nous avons établi des contacts avec la famille de l’imam chiite et le gouvernement libanais après avoir reçu des informations sur le cimetière en question, a ajouté M. al-Maneh. Les résultats des tests ADN seront publiés prochainement. »
Le chef de la diplomatie libanaise, Adnane Mansour, de retour mercredi soir de Tripoli à la tête d’une délégation, a toutefois démenti les informations d’al-Jazira. « L’enquête sur cette affaire se poursuit. Nous avons effectué d’énormes progrès », a-t-il néanmoins déclaré au quotidien al-Akhbar.
En 1978, l’imam Moussa Sadr avait été invité en Libye par le régime de Mouammar Kadhafi. Il y était arrivé en août, accompagné de son bras droit et d’un journaliste. Les trois hommes n’ont plus donné signe de vie depuis. Tripoli a toujours affirmé que l’imam avait quitté la Libye pour l’Italie. Lire le reste de cette entrée »
L’attentat à la voiture piégée a eu lieu le dimache 18 mars dans l’après-midi dans un quartier résidentiel d’Alep. Bilan: au moins trois morts et des dizaines de blessés. Mais ce qui choque le plus, c’est que la page facebook d’Al Jazeera aura repris l’information de l’Autorité générale pour la révolution syrienne, pour la poster… le samedi 17 à 18h45, soit un jour avant les faits!
La page facebook d'Al Jazeera commente, le samedi 17 mars à 18h45: "Autorité générale pour la révolution syrienne: une énorme explosion secoue le nouveau quartier d'Alep à Alep" (source)
Voiture piégée à Alep, manifestation dispersée à Damas
BEYROUTH (Reuters) – L’explosion d’une voiture piégée a fait au moins deux morts dimanche à Alep, la deuxième ville de Syrie, au lendemain d’un double attentat qui a tué 27 personnes à Damas, où une manifestation anti-gouvernementale a été dispersée par la police.
L’agence de presse officielle SANA rapporte que l’attentat commis par des « terroristes » à Alep, à 300 km au nord de Damas, a fait deux morts et trente blessés.
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée en Grande-Bretagne, fait état de trois morts et de 25 blessés et ajoute que l’explosion s’est produite à proximité d’un bâtiment de la Sécurité d’Etat et d’une église. Lire le reste de cette entrée »
Ce mardi 25 janvier 2011 restera dans les mémoires de tous les Libanais. Plus que de la colère, c’est un déferlement de violence et de haine que les partisans enragés de Saadeddine Hariri ont offert aux citoyens libanais de Beyrouth, Tripoli ou Saïda. L’armée libanaise, déployée dans toutes les zones sensibles du pays, a permis d’éviter le pire. Contrairement à d’autres pays, l’armée libanaise ne tire pas sur la foule, aussi excitée soit-elle. Au contraire, elle compte dans ses rangs plus de 30 blessés à l’issue de cette journée.
OTV, New TV, NBN et Al Jazeera: les médias libres sous les griffes des partisans de Hariri
Dès la matinée, plusieurs actes de vandalisme donneront le ton; pneus brulés, routes bloquées, voitures attaquées,etc. Mais très vite, l’effet de groupe va donner lieu à des actes encore plus graves. Des journalistes de la New TV, la chaîne qui avait diffusé les enregistrements audio entre Hariri et le faux-témoin As Siddiq, ainsi que de la OTV et NBN sont attaqués. Al Jazeera verra carrément son camion de presse complètement malmené et détruit par des partisans du Courant du Futur (parti de Hariri) devenus incontrôlables. Lire le reste de cette entrée »
Palestijnse onderhandelaars zouden Israël de voorbije tien jaar zware toegevingen hebben gedaan, maar Israël zou die geweigerd hebben. Dat moet blijken uit informatie die door Palestijnse bronnen is gelekt aan de nieuwszender Al Jazeera.
Al Jazeera pakt nu uit met 1.600 uitgelekte mails, telefoongesprekken en verslagen van ontmoetingen van Palestijnse leiders van de voorbije tien jaar. Daaruit zou moeten blijken dat de Palestijnse overheid erg ver wou gaan om Israël tot een vredesverdrag te verleiden.
Zo zou er zijn voorgesteld om Israël alle joodse kolonies rond Oost-Jeruzalem, behalve Har Homa, te laten annexeren, in ruil voor gebied elders. Dat zou de oude stad in Oost-Jeruzalem zelf weliswaar als hoofdstad van een Palestijnse staat maken, maar dan wel met een ring van joodse nederzettingen.
Bovendien was er een voorstel om de controle over de Tempelberg (heilig voor joden en moslims) tijdelijk in handen te geven van een internationale commissie. Die had naast Israël en de Palestijnen ook de Verenigde Staten, Saudi-Arabië, Egypte en Jordanië moeten omvatten.
Ten slotte zouden de Palestijnen hebben aangeboden om « slechts » 100.000 Palestijnse vluchtelingen te laten terugkeren, mensen die in 1948 bij de oprichting van de joodse staat gevlucht zijn. Hun afstammelingen zouden nu enkele miljoenen mensen vormen en de PLO had altijd de terugkeer van die mensen geëist, wat Israël steeds heeft afgewezen. Lire le reste de cette entrée »