RT @w_akl: Au nom de la jeunesse libanaise, souffrante mais résiliente, nous souhaitons la bienvenue au #Liban à Mme la juge #Aude_Buresi e… 2 weeks ago
La chaine satellitaire syrienne a diffusé de nouveaux enregistrements de conversations téléphoniques entre, selon elle, le député du Courant du futur Okab Sakr et des chefs rebelles syriens.
Le journaliste syrien Rafic Lotof, spécialisé dans le démontage des trucages médiatiques diffusés par les chaine Al-Jazeera et al-Arabiyé, a déclaré qu’il disposait d’autres enregistrements prouvant l’implication de Sakr dans le transfert d’armes aux rebelles syriens.
La télévision syrienne a diffusé 9 minutes d’enregistrements de plusieurs conversations. Certaines d’entre elles ont été Lire le reste de cette entrée »
« La BBC a déprogrammé, d’une manière imprévue, un documentaire sur la mort de l’ancien Premier ministre du Liban Rafic Hariri, sur fond de tension croissante à Beyrouth à propos des conclusions attendues prochainement du Tribunal spécial pour le Liban (TSL) et qui risquent de mettre en cause des membres du Hezbollah », rapporte The Guardian. Meurtre à Beyrouth est une série en trois parties qui présente des interviews d’hommes politiques à Beyrouth, Damas, Washington et Paris autour de l’attentat qui a tué, en février 2005, Rafic Hariri et 22 autres personnes.
La BBC a déclaré le 16 novembre « avoir repoussé la date de diffusion du film [qui devait être projeté samedi 20 novembre] pour vérifier qu’il est conforme aux règles éditoriales de la chaîne ». Aucune nouvelle date n’a été fixée. Toutefois, la décision a été prise après que « le journal libanais Al-Akhbar a parlé de cette série en première page en affirmant que l’objectif de ce film est d’accuser le Hezbollah d’avoir tué Hariri en 2005 », relève le quotidien britannique. La série a été initialement commandée par la chaîne saoudienne satellitaire Al-Arabiya à ORTV, une société de production anglo-saoudienne. Finalisée l’été dernier, mais jamais diffusée, la série a été reprise par BBC World qui s’est chargée de l’édition d’une nouvelle version.
Le président américain, Barack Obama, a dit, lundi 26 janvier, que le moment était venu pour les Israéliens et les Palestiniens de revenir à la table des négociations. Dans un entretien accordé à la chaîne al-Arabiya, M. Obama assure qu’il tiendrait ses engagements de campagne vis-à-vis du monde musulman : non seulement d’engager sans attendre l’effort pour faire la paix entre Israéliens et Palestiniens, mais aussi de retirer les troupes américaines d’Irak, de prononcer rapidement un discours à l’adresse des musulmans depuis une grande capitale musulmane, et plus généralement de tendre la « main de l’amitié » au monde musulman et de restaurer la relation qu’ont les Etats-Unis avec lui.
Cet entretien intervient au moment où M. Obama envoie son émissaire George Mitchell au Proche-Orient, avec pour consigne de « commencer par écouter parce que, trop souvent, les Etats-Unis commencent par dicter les choses », puis de revenir lui rendre compte de ce qu’il aura entendu. Mais, « au bout du compte, ce n’est pas à nous de dire aux Israéliens ou aux Palestiniens ce qui vaut mieux pour eux. Il va falloir qu’ils prennent certaines décisions ». Le président concède que quelques mois ne suffiront pas à résoudre le conflit. « Je continuerai à croire que la sécurité d’Israël est prépondérante », dit-il, « mais je crois aussi qu’il existe des Israéliens pour reconnaître l’importance de faire la paix ». Selon lui, les Etats-Unis vont ainsi prendre « une série d’initiatives » en direction du Proche-Orient. Lire le reste de cette entrée »