RT @w_akl: Au nom de la jeunesse libanaise, souffrante mais résiliente, nous souhaitons la bienvenue au #Liban à Mme la juge #Aude_Buresi e… 2 weeks ago
Avec les élections législatives de 2013 en point de mire, le club de basket-ball libanais de La Sagesse reçoit une attention renouvelée comme outil populaire politique. Les Forces Libanaises et le Courant Patriotique Libre cherchent à s’approprier le club comme précieuse base de soutien.
Quand Elie Mechantaf, à la tête du club libanais de basket-ball La Sagesse, visita l’année dernière le QG du chef des Forces Libanaises (FL) Samir Geagea, il retourna les mains vides. Il avait échoué à rapporter les fonds qui couvriraient 7 années de déficit du club.
La plupart des donateurs convoités refusèrent d’aider Mechantaf, à l’exception de Wadih el-Absi, un homme d’affaire qui soutient le chef du Courant Patriotique Libre (CPL) Michel Aoun.
Le soutien financier de Absi qui sponsorise déjà plusieurs clubs de basket et associations sportives, contribua à faire revenir le club à ses premières gloires. Suite aux excellents résultats réalisés par le club cette saison, la Sagesse devint à nouveau attractive à ceux qui l’avaient ignoré auparavant.
Cette période actuelle d’enthousiasme pour l’équipe arrive à la veille des élections législatives de 2013, donc mettant en échec toute tentative d’éloigner le club de la politique. Lorsque le député Nadim Gemayel est apparu à l’émission phare « Dunk » d’Al-Jadeed dimanche dernier, cet avenir manifestement politique fut confirmé.
Gemayel annonça que la coalition du 14 Mars allait utiliser la Sagesse comme tribune politique en réponse aux actions de Absi, mécène du club. Le député a appelé à la suppression du poste de chef du conseil d’administration à Ziad Abs, un Lire le reste de cette entrée »
Le ministre Nicolas Sehnaoui et l’ingénieur Ziad Abs ont déclaré dans une conférence de presse avoir conclu avec les hotels Alexandre (Achrafieh), Padova (Sin el Fil) et un troisième hotel au Royal Park de Ain Saadé la prise en charge des sinistrés de l’attentat d’Achrafieh. Un responsable permanent (Mme Samira Saradar) à plein temps, ainsi que des médecins et une équipe d’encadrement des victimes seront également à disposition.
Les personnes dans le besoin peuvent appeler le numéro suivant : 70 / 00 13 19
Pour de plus amples informations, voici la conférence de presse dans son entièreté (7min 55sec):
Le ministre Sehnaoui a également rappelé que cette action vise les victimes d’Achrafieh, au-dela de toute tendance politique.
Le comité du Courant Patriotique Libre (CPL) à Achrafieh – Rmeil a organisé une rencontre en présence du vice-premier Ministre Issam Abou Jamra, le député Edgard Maalouf, Nicolas Sehnaoui, Ziad Abs et des partisans du CPL.
Dans un discours prononcé à l’occasion, le général Abou Jamra a affirmé qu’il est confiant par rapport au résultat des élections avec l’annonce de la liste électorale, formée de Massoud Achkar, Nicolas Sehnaoui, Issam Abou Jamra, Freig Sabounjian et Grégoire Kalloust.
« Nous serons victorieux le 7 juin car cette liste représente la libre Beyrouth et le Liban Libre. A partir de maintenant, nul ne peut déformer votre décision. Beyrouth sera restaurée à ses propriétaires, il faut arrêter toute exploitation des martyrs. Le général Aoun a exercé beaucoup d’effort pour pouvoir accorder à Achrafieh, à Jezzine, à Zgharta et beaucoup d’autres régions la capacité de changement. Ils n’ont pas pu vaincre le général Aoun ni par les bombardements, ni par l’argent», a-t-il dit.
Abou Jamra a appelé à accorder les prérogatives au vice-premier Ministre et au président de la république. Il a en outre estimé que ce groupe ne croit pas en un équilibre au sein de l’État. « Il n’y a pas d’équilibre dans la répartition des services dans la ville de Beyrouth », a-t-il ajouté. Lire le reste de cette entrée »
L’annonce de a candidature au siège grec-orthodoxe à Achrafié a fait l’effet d’une bombe et a donné à ses détracteurs l’opportunité de lui tirer dessus à boulets rouges. Pourtant, c’est avec beaucoup de sérénité que Issam Abou Jamra, vice-Premier ministre, a accepté le choix de l’opposition et se prépare à défendre Achrafié «des rouleaux compresseurs du passé, comme il l’avait défendu en prenant les devants sur ses lignes de démarcation pendant la guerre». Rencontre.
Vos détracteurs affirment que vos alliés de l’opposition préfèrent réserver le siège grecorthodoxe de Marjeyoun à Assaad Hardan et vous présente comme une victime de calculs électoraux qui vous désavantagent. Qu’y atil de vrai? Lorsqu’on est membre d’un parti, il n’y a pas de victimisation. Au sein du Courant patriotique libre (CPL), nous pensons avant tout à l’intérêt général. Je suis un dirigeant du CPL et j’y occupe une place symbolique. J’aime ma région et j’aurais aimé y présenter ma candidature, d’autant plus que je n’y ai jamais abandonné les habitants et j’ai toujours rendu, dans la mesure de mes moyens, des services à tous ceux qui le demandaient. Par ailleurs, les habitants de la région auraient aimé me rendre la pareille à l’occasion de cette échéance. Notre alliance avec le Hezbollah et Amal me pousse aussi à me présenter dans ce caza. Mais, dans une étude que nous avons menée sur tout le territoire libanais, nous sommes arrivés à la conclusion que ma candidature à Achrafié serait plus bénéfique à l’opposition. D’autre part, ma candidature à Achrafié, où j’ai habité et où j’ai des connaissances solides, me convient, du fait des services que j’ai rendus à la région depuis 1970. Les habitants d’Achrafié savent parfaitement que mes prises de position sont stables, depuis l’époque où j’étais officier dans l’armée, en passant par la période où j’étais viceprésident du gouvernement de Michel Aoun, à ce jour. Ces facteurs jouent en ma faveur. Et si je suis élu, tout ce dont la région a besoin sera réalisé.
La déclaration de Michel Aoun visant à justifier votre candidature à Achrafié a choqué plus d’un.
«Il n’y a pas de nerf à Achrafié», a-t-il dit. Le général Aoun a mis tout son poids lors de la conférence de Doha pour assurer la libre décision et le libre choix aux habitants de plusieurs ciconscriptions, dont Achrafié, Jezzine, Koura, Batroun, Zghorta, et il a senti que les propos de M. Hariri à Doha étaient une offense. «Vous les prendrez sur papier, mais en réalité, ces régions resteront entre mes mains», lui avait lancé le chef du Moustaqbal. Lire le reste de cette entrée »
Dans le cadre des élections législatives libanaises du 7 juin 2009, la NBN accueille quatre des principaux candidats pour les élections de Beyrouth I (Ashrafieh, Rmeil et Saifi): Ziad Abs et Nicolas Sehnaoui, représentant le Courant Patriotique Libre, et Michel Pharaon et Nayla Tueni, candidats de Saad Hariri et Samir Geagea.
Le débat aura lieu ce mardi 17 février à 21 heure (Beyrouth), 20 heure Bruxelles.