Sur les sept premiers mois de l’année, le Liban a accueilli 993.867 touristes, soit 25% de moins que pour la même période en 2010. Pour le seul mois de juillet, la baisse était de 39,3% en rythme annuel. Elle était de 23,1% en juin, de 29,1% en mai, de 20,4% en avril, de 14,3% en mars, de 17% en février et de 7,6% en janvier.
Cependant, le nombre de visiteurs a bondi de 23,5% en juillet (219.653) par rapport à juin.
Les touristes arabes ont représenté 32,9% du total des visites, suivis de près par les Européens (29,2%), les Asiatiques (17,5%) et les Américains (13,7%)
L’Indice de confiance du consommateur au Liban a augmenté en juillet de 8,15% en rythme mensuel et de 11,45% en rythme annuel pour atteindre 146 points, selon la société de recherche panarabe ARA.
Le sous-indice économique a augmenté de 20%, atteignant 300 points, son plus haut niveau depuis novembre 2010. Le sous-indice de revenu personnel est resté inchangé à 150 points. Le sous-indice lié à la sécurité a quant à lui augmenté de 22,42%, atteignant 344 points, son plus haut niveau depuis juin 2010.
Au niveau géographique, c’est le Sud qui a connu la hausse la plus importante, avec une augmentation de 41,4%, atteignant 222 points, la Békaa et Beyrouth ont progressé de 11,76% et 8,15% à 152 et 100 points respectivement.
ARA Marketing Research and Consultancy est une entreprise de conseil spécialisée basée au Moyen-Orient avec des bureaux à Beyrouth, à Dubaï, à Abou Dhabi, à Koweït et à Doha.
L’ouverture du Festival International de Jounieh, organisé par PHELLIPOLIS ONG, eut lieu lors d’une grande cérémonie vendredi soir, en présence d’un grand nombre de citoyens de Jounieh, y compris ses figures économiques, sociaux et culturels, le Président et les membres de la municipalité de Jounieh, et la participation de l’Orchestre des Forces de sécurité publique qui ont joué la musique nationale et traditionnelle, tout en cheminant à travers Jounieh vers le vieux souk, et en passant par le palais de la municipalité.
En même temps, la baie de Jounieh a assisté à un rassemblement de bateaux qui ont participé à un festival d’éclairage unique et mémorable. De même, un feu d’artifice pour prés de quinze minutes a éclairé le ciel de la ville.
Vendredi matin, des parapentistes de différentes nationalités, surélevant leurs drapeaux respectifs, ont commencé à décoller de Harissa vers la baie de Jounieh. En même temps, des Montgolfières ravissaient le ciel, et les invités à bord eurent la chance de voir Jounieh sous un autre angle !
Créateur libanais, Elie Saab lance sa première collection en 1982. Le mélange oriental et occidental a su charmer les stars des tapis rouge. Découvrez l’histoire de la marque.
Elie Saab est né à Beyrouth au Liban, le 4 juillet 1964, d’une mère au foyer et d’un père marchand de bois. Il est l’aîné de cinq enfants. Rien ne le prédestine à la couture, pourtant dès l’âge de 9 ans, Elie Saab commence à dessiner des croquis et découpe les rideaux et les nappes de sa mère. Rapidement, grâce aux bouches à oreilles, il se constitue un réseau de clientes. Maîtrisant déjà l’art de la coupe, Elie Saab ouvre son atelier à Beyrouth entouré d’une quinzaine d’ouvriers et lance sa première collection en 1982. Sa marque éponyme remporte un réel succès et franchit les frontières du pays.
En 1997, Elie Saab a le privilège d’être le premier créateur étranger à intégrer la Camera Nazional de la Moda (Chambre Nationale de la Mode Italienne). Cette association coordonne le développement de la mode italienne dans le monde. Pendant trois ans, le styliste présente des défilés à Rome. En 1998, Elie Saab lance sa première collection de prêt-à-porter Automne-hiver pendant la semaine de la mode de Milan. Les créations sensuelles, modernes et orientales se font remarquer.
La star du tapis rouge En 2000, il se fait repérer et la Chambre Syndicale de la Haute Couture l’invite à Paris. Elie Saab tombe sous le charme de la Capitale française et s’y installe en 2002. La même année, Halle Berry, l’actrice américaine, porte la robe lie-de-vin lorsqu’elle remporte l’Oscar de la meilleure actrice. C’est à cet instant que la marque se fait connaître par les stars hollywoodiennes. Elie Saab se développe dans le monde entier : Les Angeles, Paris, Madrid, Hong Kong…
En 2003, Elie Saab collabore avec Pronovias pour des collections de robes de mariée Elie by Elie Saab. En 2005, le couturier ouvre une nouvelle maison de couture à Beyrouth. La même année, sa collection de prêt-à-porter est présente lors de la Fashion Week à Paris. Glamour et sensuelle, la marque est présente sur le tapis rouge. Les robes ont su charmer Sophie Marceau, Rihanna, Catherine Zeta-Jones, ou encore Eva Longoria. L’imagination d’Elie Saab n’a aucune retenue, les collections mêlant influences d’occident et d’orient. Le créateur aime utiliser la tulle, des plumes, des perles, de l’organza et bien d’autres tissus. En 2007, le créateur ouvre une Lire le reste de cette entrée »
Note du MPLBelgique.org : pour plus d’infos sur la programmation et spectacles proposés, visitez le site officiel byblosfestival.org
Le comité du Festival international de Byblos a lancé son programme pour l’été 2011 dans une conférence de presse qu’il a tenu à « Byblos Sur Mer » en présence du ministre démissionnaire du Tourisme Fadi Abboud et du ministre sortant de la Culture Sélim Wardé.
Ce festival « du 28 juin au 22 juillet » se spécifie par des activités aussi bien étrangères que libanaises ainsi qu’un autre gratuit.
En cette occasion, M. Abboud a affirmé que « les festivités artistiques sont un élément assez important pour le tourisme ». « Le Festival de Jbeil contribue, sans aucun doute, à attirer les touristes et les citoyens des différentes régions », a-t-il dit.
A son tour, M. Wardé a indiqué que « le lancement du Festival international de Byblos est une dynamique non seulement pour le tourisme et la culture mais également pour la pensée humaine ». « Cet événement montre le visage réel du Liban et son rôle dans cette partie du monde », a-t-il ajouté.
M. Wardé a assuré que « son ministère veut à tout prix réactiver le rôle du tourisme culturel pour son grand rendement pour l’économie libanaise ».
Onze ans de réparation, tel est le temps qu’il a fallu à Beyrouth pour se refaire un visage avenant après la longue période de guerre qu’elle a traversée. C’est aujourd’hui une capitale à taille humaine, généreuse et dynamique, où les visiteurs français sont accueillis à cœur ouvert, et qu’il est bien difficile de quitter.
Depuis quelque temps, les habitants ont retrouvé peu ou prou le décor qui manquait à leur joie de vivre intarissable.
Les bâtiments très hollywoodiens de Solidere sont terminés. Les anciennes villas princières du quartier Hamra retrouvent peu à peu leur lustre ocré dans des jardins ombreux.
Les vitrines d’Achrafiyeh regorgent de noms de créateurs internationaux et les ruelles de Gemmayizeh bruissent des rires et appels téléphoniques de Beyrouthins toujours en quête et prêts à partager la bonne adresse, le resto branché, le bar incontournable, la boîte où il faut être vu, et le Lire le reste de cette entrée »
Accidents mortels, voitures complètement détruites, camions renversés, dépressions nerveuses… voilà la scène quotidienne dont témoigne les citoyens libanais, notamment les beyrouthins, suite aux embouteillages monstres causés par le lancement des travaux, depuis le 18 juillet 2008, à Nahr el Mot.
Il s’agit en effet du projet de l’échangeur autoroutier de Zalka- Nahr el Mot, exécuté dans le cadre d’un projet de transport urbain, dirigé par le Conseil de Développement et de Reconstruction (CDR), en coopération avec les ministères de l’Intérieur et des Municipalités, des Travaux publics, et du Transport.
A noter que c’est le carrefour le plus achalandé du Grand Beyrouth.
33 mois et demi de souffrance…
Les travaux portent sur la mise en place d’un pont en béton prêt à l’emploi, en parallèle au pont métallique existant, pour le remplacer après son élimination. Ce pont permet de lier la route du Nord aux régions de Jdeidé et Sin el Fil, aux régions de Zalka et Amarit Chalhoub de l’autre côté, ainsi qu’aux régions du Metn-Nord à l’aide d’un pont semi-circulaire qui en découlera.
Un second pont, semi-circulaire et en béton prêt à l’emploi, sera également construit, et permettra ainsi de lier les régions de Jdeidé et de Sin el Fil à Beyrouth, et à l’autostrade du Metn.
A noter que les travaux incluront la mise en place de deux passages supplémentaires, outre deux Lire le reste de cette entrée »
Deuxième sortie dans le cadre de la poule D et seconde défaite pour l’équipe du Liban de football. Mercredi à Saïda, le pays du Cèdre a débuté les éliminatoires de la coupe d’Asie 2011 de la pire des façons, en sombrant corps et âme contre la Syrie sur le score sans appel de 2 à 0. La sélection nationale a renoué avec ses anciens démons. Statiques, sans imagination, très en-dessous de leur niveau en club, les joueurs ont été défaillants dans à peu près tous les compartiments du jeu.
La dernière fois que l’équipe du Liban a entamé une campagne de qualification par deux défaites consécutives doublées d’une prestation indolente, elle a terminé son parcours droit dans le mur*. Ce postulat n’a évidemment pas valeur de règle absolue. Mais il ne pousse guère à l’optimisme tant les rouges, vaincus mercredi soir par une équipe de Syrie que beaucoup snobaient il y a encore peu, se sont montrés décevants et ont paru loin du compte.
Sans imagination, sans audace mais surtout sans envie, la sélection libanaise se retrouve menée dès la première mi-temps. Les visiteurs Lire le reste de cette entrée »