Vol AE 409: Boeing et Airbus en profitent pour un bras de fer commercial
Posted by jeunempl sur février 2, 2010
La France ayant approuvé l’envoi au Liban d’une équipe technique, Washington s’empresse d’annoncer la localisation des boîtes noires… Ces dernières font-elles désormais partie du bras de fer commercial entre Boeing et Airbus ?
Le mystère reste entier en ce qui concerne l’emplacement des boîtes noires de l’avion d’Ethiopian Airlines. Toutes les informations parues à ce propos manquent de précision : on ignore toujours l’endroit où se trouvent ces boîtes…
La France a dépêché une équipe spécialisée conduite par Paul-Louis Arslanian. Cette équipe s’est mise à l’ouvrage dès son arrivée au Liban, et a exclu l’hypothèse d’un attentat terroriste… Mais le dernier mot dans les opérations de recherches appartient aux Américains. Une source française proche du dossier le confirme : la France, explique-t-elle, a laissé à Washington les coudées franches, parce qu’il s’agit d’un Boeing, de fabrication américaine. D’autant que le bras de fer commercial entre Boeing et Airbus est à son apogée à l’heure actuelle. Les Etats-Unis ont donc décidé d’avoir le dernier mot.
La même source ajoute : les recherches ayant pris du temps et révélé l’impossibilité de localiser le site du crash, les experts français ont décidé d’avoir recours à leur équipe technique à Paris. C’était le mercredi 27 janvier. Le soir du même jour, les Américains se sont hâtés d’annoncer que le destroyer américain a pu capter des signaux émis par les boîtes noires de l’avion… Les Français ont donc renoncé à faire venir des renforts techniques au Liban, bien que la France possède les équipements nécessaires…
La nouvelle annoncée par les Américains visait-elle à rassurer les familles des victimes ou à tenir les Français à l’écart des recherches, étant donné que les boîtes noires pourraient révéler une défaillance technique de cet appareil de fabrication américaine ?
Ces doutes, qui ont assailli certains membres du comité conjoint mis en place après le drame, sont corroborés par une autre question : pourquoi le destroyer américain et le navire Ocean Alert ont-ils quitté les eaux territoriales dès l’annonce de cette nouvelle et sans avoir achevé leur mission ?
D’aucuns assurent que les équipes américaines ont déjà repêché les boîtes noires, qu’elles auraient transportées vers une destination inconnue… Ils n’excluent pas, d’ailleurs, une manipulation du contenu de ces boîtes grâce à des moyens technologiques sophistiqués.
Le bras de fer entre avionneurs s’est-il immiscé dans cette catastrophe ? La source précitée considère que l’hypothèse la plus probable est celle d’une altération des preuves, et plus précisément des données que renferment les boîtes noires : en fin de compte, toute défaillance technique entraînera un préjudice considérable pour Boeing, et sera de bon augure pour Airbus.
« Addiyar »/Vol AE 409: Boeing et Airbus en profitent pour un bras de fer commercial
La France ayant approuvé l’envoi au Liban d’une équipe technique, Washington s’empresse d’annoncer la localisation des boîtes noires… Ces dernières font-elles désormais partie du bras de fer commercial entre Boeing et Airbus ?Le mystère reste entier en ce qui concerne l’emplacement des boîtes noires de l’avion d’Ethiopian Airlines. Toutes les informations parues à ce propos manquent de précision : on ignore toujours l’endroit où se trouvent ces boîtes…
La France a dépêché une équipe spécialisée conduite par Paul-Louis Arslanian. Cette équipe s’est mise à l’ouvrage dès son arrivée au Liban, et a exclu l’hypothèse d’un attentat terroriste… Mais le dernier mot dans les opérations de recherches appartient aux Américains. Une source française proche du dossier le confirme : la France, explique-t-elle, a laissé à Washington les coudées franches, parce qu’il s’agit d’un Boeing, de fabrication américaine. D’autant que le bras de fer commercial entre Boeing et Airbus est à son apogée à l’heure actuelle. Les Etats-Unis ont donc décidé d’avoir le dernier mot.
La même source ajoute : les recherches ayant pris du temps et révélé l’impossibilité de localiser le site du crash, les experts français ont décidé d’avoir recours à leur équipe technique à Paris. C’était le mercredi 27 janvier. Le soir du même jour, les Américains se sont hâtés d’annoncer que le destroyer américain a pu capter des signaux émis par les boîtes noires de l’avion… Les Français ont donc renoncé à faire venir des renforts techniques au Liban, bien que la France possède les équipements nécessaires…
La nouvelle annoncée par les Américains visait-elle à rassurer les familles des victimes ou à tenir les Français à l’écart des recherches, étant donné que les boîtes noires pourraient révéler une défaillance technique de cet appareil de fabrication américaine ?
Ces doutes, qui ont assailli certains membres du comité conjoint mis en place après le drame, sont corroborés par une autre question : pourquoi le destroyer américain et le navire Ocean Alert ont-ils quitté les eaux territoriales dès l’annonce de cette nouvelle et sans avoir achevé leur mission ?
D’aucuns assurent que les équipes américaines ont déjà repêché les boîtes noires, qu’elles auraient transportées vers une destination inconnue… Ils n’excluent pas, d’ailleurs, une manipulation du contenu de ces boîtes grâce à des moyens technologiques sophistiqués.
Le bras de fer entre avionneurs s’est-il immiscé dans cette catastrophe ? La source précitée considère que l’hypothèse la plus probable est celle d’une altération des preuves, et plus précisément des données que renferment les boîtes noires : en fin de compte, toute défaillance technique entraînera un préjudice considérable pour Boeing, et sera de bon augure pour Airbus.
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